Justin Richards

J'adore la série télévisée Doctor Who et en particulier le binôme Doctor et Amy Pond. C'était avec joie et enthousiasme que j'ai commencé la lecture de ce roman. Pourtant j'ai été déçue : je n'ai pas retrouvé l'ambiance, l'humour et les détails de Matt Smith et de Amy Pond. C'est une lecture agréable mais sans plus

J'ai apprécié ces revisites de contes célèbres (comme Cendrillon, Blanche-Neige, la Belle et la Bête, la Belle au bois dormant, les trois petits cochons, etc.) transposés dans l'univers de Doctor Who. Si tous ne reprennent pas forcément des éléments connus, on y retrouve Rose, les Anges Pleureurs, les Daleks, les Sontaran, les Slitheen, les Zygon et le Docteur bien sûr, sous plusieurs formes (Nine, Ten et Eleven entre autres).

Les revisites sont très bien faites puisque j'ai reconnu facilement les contes de base et que les histoires sont à chaque fois très bien intégrées dans le Whoverse. Après, cela reste des contes connus et à destination des enfants donc il y a très peu de suspense et d'originalité. Deux exceptions, à mes yeux : The Emperor Dalek's New Clothes et The Grief Collector. Ce dernier conte, d'ailleurs, est probablement mon préféré, l'idée de base aurait pu faire un bon épisode de la série ! J'ai également beaucoup aimé The Garden of Statues avec les Anges Pleureurs.

En somme, il ne faut pas s'attendre à de la grande qualité mais j'ai admiré la créativité de l'auteur et c'était un moment de détente sympathique dans un de mes univers favoris.

Très bon recueil de nouvelles sur Ashildr. On voit évoluer le personnage à travers ces quatre aventures . Une ou deux nouvelles de plus aurait était parfait pour retracer sa route entre "The Girl Who Died" and "The Women Who Lived"

Histoire sympathique du 11e Docteur en solitaire, sans plus. C'est divertissant, mais je suis peut-être un peu blasée que lorsque les histoires concernent d'anciens adversaires, Cybermen, Daleks et cie. je ne suis guère surprise. Celle qui l'accompagne dans le livre est une institutrice du XIXe avec la tête bien sur les épaules - je les aime beaucoup les compagnons du Docteur ainsi (à l'image de Donna), mais elle est bien plus calme.

Tout premier livre que je lis avec un "nouveau docteur", Eleven. Il m'a semblé très bien, prenant et engageant. Le mystère de départ est très vite résolu, c'est un peu dommage - et quand je dis résolu - bof, pas expliqué clairement non plus. Car très vite, cela démarre sur une invasion lambda, même si j'ai trouvé les aliens de l'histoire, assez pitoyable pour comprendre leurs motivations. J'aurais aimé qu'ils se repentent, car le Docteur aurait pu alors les aider, au vu de leur situation désastreuse, ce qui aurait relever un vrai challenge - enfin je trouve - et aussi une exploration plus philosophique/éthique du problème.

Nouvelle histoire sur Docteur Who, mais cette fois, avec le 9e Docteur. L'histoire est sympathique et terrifiante (car c'est un trigger pour moi tout ce qui transforme une personne : ici, un vieillissement instantané). Elle se déroule à Novrosk, petit village en Sibérie dont les habitants ont été abandonné à leur sort dans une ancienne base navale et militaire et survivent malgré le froid et les conditions grâce à l'énergie de sous-marins nucléaires (pris dans la glace). L'isolement est clé dans cette histoire.

Un roman jeunesse qui parle de voyages dans le temps avec un auteur de Doctor Who aux commandes ? Il n'en fallait pas plus pour aiguiser ma curiosité... Hélas, l'intrigue peine à décoller et à trouver ses enjeux avant de finir sur une conclusion où je ne suis pas sûr d'avoir tout compris...

Une deuxième aventure des Sentinelles du Temps qui est déjà bien moins tordue que la première. Ça se lit vite et n'a quasiment aucun temps mort.

Anna et Jamie sont propulsés dans le futur post apocalyptique de... 2021 pour une nouvelle mission. Des péripéties bien moins tarabiscotées que les précédentes. On sent l'influence Whovienne dans ces romans

Les aventures d'Anna et Jamie s'achèvent sur fond de guerre froide et de menace nucléaire. Un roman sympathique mais les questions sans réponses à la fin du roman rendent cet au revoir difficile