Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Il n'y a aucun rythme dans ce roman, c'est lassant.
Transférés
Transférés
Certains diront que pas mal de points sont survolés, à juste titre car j'aurais également souhaité en savoir plus sur le Barbican et ses habitants, à titre d'exemple. Mais en même temps, je trouve que pour une dystopie de moins de 300 pages, c'est justement très bien dosé. J'ai tellement l'habitude de voir des dystopies s'étaler sur plusieurs tomes... Là c'est un one shot et l'histoire complète se tient.
L'écriture fluide devient rapidement addictive, on a envie de rester avec Thalia et Galien, de découvrir ce qu'il va leur arriver etc. Ravie aussi que la romance soit au second plan de l'histoire car le sujet est intéressant et original et ne méritait nulle concurrence. Pour tout vous avouer, je ne m'attendais pas à une telle histoire quand j'ai acheté le roman !
Un livre que je relirai avec plaisir à l'avenir. Chers lecteurs, ne doutez pas, vous allez apprécier ce roman.
Transférés
Transférés
Transférés est une uchronie young adult où, en Angleterre, la science a trouvé le moyen de transférer des maladies à autrui, un système utilisé pour punir les criminels. Talia, fille d’un politicien en passe de devenir le nouveau premier ministre, approuve ce procédé, mais après avoir sauvé une fillette d’une agression, elle découvre peu à peu l’envers du décor.
Ce livre fourmille de bonnes idées, mais qui sont malheureusement trop peu exploitées. La politique, le Barbican, la relation entre Talia et son père, Alison, Sebastian Conway, Galien et Tig… Deux cent et quelques pages ne suffisent pas à traiter tous ces éléments autrement qu’en surface.
À bien des égards, et notamment en ce qui concerne ses défauts, ce roman m’a fait penser à Show Stopper (Hayley Barker). On y retrouve un manichéisme assez marqué, la persécution de minorités ethniques, et surtout une héroïne qui retourne sa veste en l’espace de quelques jours alors qu’elle ne s’est jamais posé la moindre question avant.
En fait, Talia est l’incarnation de l’adage « L’Enfer est pavé de bonnes intentions ». Tout d’un coup, elle décide de se mêler de tout, mais fait n’importe quoi, et sème plus de chaos qu’elle ne vient en aide aux gens, même si, évidemment, tout s’arrange (trop rapidement) dans les dernières pages.
Pire, sous couvert que Tig lui rappelle sa sœur défunte, elle devient littéralement obsédée par cette fillette, au point de ne pas hésiter à enfreindre la loi, à mentir et à manipuler pour elle, et pourtant, c’est à peine si elles ont l’occasion d’interagir. Talia passe davantage de temps avec Galien qu’avec Tig, et celle-ci est inconsciente ou presque dans les rares scènes qu’elles partagent.
Leur relation aurait mérité d’être plus approfondie, mais l’auteur a préféré s’attarder sur l’attrait exercé par les beaux yeux de Galien (ce qu’on ne sentait pas du tout venir dès le début…). En outre, j’ai trouvé que le récit manquait un peu de fluidité par moments, certaines actions s’enchaînent trop vite et auraient mérité une ou deux phrases supplémentaires pour gagner en clarté.
Une lecture passable, mais sans plus. Si vous avez aimé Show Stopper, je pense que vous apprécierez ce livre, mais sinon, je vous conseille de vous mettre en quête d’une dystopie dotée d’un univers plus creusé que celui-ci.
Transférés
Ce livre m’a happé du début à la fin, à tel point que je n’ai pas vu les pages défiler. Ce roman, n’est pas transcendant, rien d’extraordinaire, toutefois, il se lit très bien et on ne s’ennuie à aucun moment.
L’univers dystopique est incroyable, ainsi que ce petit côté « science-fiction ». Le fait de transférer les maladies aux criminels et, généralement, au plus pauvres est une excellente idée.
J’ai aussi aimé la protagoniste, qui a des idées extrémistes au début du livre et qui, au cours de l’histoire, va découvrir « l'envers du décor » le mode de vie dans les bas quartiers, ce qui va la faire douter de ses croyances et de ses certitudes. Tout n'est pas blanc ou noir...
J’apprécie ce changement, elle va peu à peu réfléchir par elle-même et prendre ses propres décisions, même si cela contredit ses proches.
(Ce que nous faisons tous à l’adolescence.)
Pour ce qui est de la romance, elle passe au second plan, elle est très minime.
Ce livre est un bon divertissement, mais c’est TOUT. J’aurais souhaité que l’univers soit plus détaillé et approfondis, car le concept est inédit, cependant, il n’a pas été assez exploité.
Transférés
L'intrigue est bien menée.
J'ai aimé voir Talia évoluée, s'interroger, réfléchir, agir. Il y a suffisamment de rebondissements pour ne pas s'ennuyer.
Notre jeune héroïne, 16 ans, vit dans la haute société. Son père est pressenti pour devenir le prochain Premier ministre d'Angleterre. Autant dire qu'elle évolue dans une bulle de sécurité et de bien être.
Pourtant, lorsque Talia va se retrouver confronter à différents événements suite à un incident qui se déroulera à l'hôpital, elle va remettre beaucoup de chose en question.
Ajouté à cela des découvertes dans sa sphère personnel qui rajouterons à la colère de la demoiselle et vous avez là une héroïne qui ne perds pas le nord et qui a tendance à foncer tête baisser sans réfléchir.
Ce livre réunit tous les code de la dystopie et devrait plaire aux lecteurs du genre.
Transférés
Transférés
Transférés
Transférés
Transférés
Les personnages sont plus ou moins attachants et l'histoire est intéressante.
Transférés
Ce n'est pas un navet, il y a de très bonnes idées mais non approfondies en ce seul volume.
Niveau charisme des personnages c'est un peu le néant. Et question "timing" comme l'on suit un compte à rebours qui s'écoule à partir de "vingt-quatre jours avant les élections" on imagine que cela va être ultra dynamique...sauf que ça ne décolle pas en vrai. Tout s'accélère, il se passe plein de trucs, mais non je suis restée spectatrice. (J'ai loupé le train et je l'ai regardé partir quoi…)
Pourtant le principe de base est original : punir les infractions en injectant des maladies. Le "Transférés" du titre c'est ceci. Ceux du bon côté de la loi ont droit à un "lavage de sang" (grossièrement) qui leur enlève toute bactérie néfaste (du simple rhume à la tuberculose ou pire), et l'on transfert ce "mal" aux coupables (reconnus par la loi) selon le level adapté de maladie à inoculer (en rapport avec le crime).
Déjà là je me suis dit si on peut supprimer les maladies de cette façon...pourquoi diable à tous pris les transférés? Pourquoi ne pas cramer le tube ou que sais-je ? Parce qu'à part pour "punir les vilains" (donc il faut garder du stock de "punitions" ?!) bin...il n'est pas flagrant scientifiquement parlant (dans le roman) qu'il faille à tout prix la réintégrer dans un corps donc pourquoi diable ?!! (On sait juste que ça ne peut pas marcher si on transfert sur un animal...oui mais pourquoi retransférer de toute façon...pour "punir" on t'a dit !! Bon ok...Bof hein...peut-être aussi vu mon manque d'intérêt que j'ai loupé une information clef...mais je n'ai pas adhéré sur le fond fumeux.)
La narration : uniquement du point de vue de Talia. Joli nom, gros traumatisme enfant, bien gentille, mais plate… elle n'est pas sortit des pages, elle a gardé le format feuille de papier à mes yeux. Oui elle est fille d'un candidat aux élections et...c'est bien. Idem ce qui se passe autour d'elle devrait être palpitant, mais ça ne l'ai pas car sa personnalité en elle-même est terne.
Galien (j'adore son nom !!) sympathique avec un gros potentiel charismatique et de la profondeur...sauf que comme l'on n'a pas le droit de suivre l'action par ses yeux, ce qu'on découvre à travers ceux de Talia "survole" l'ensemble...et le pauvre Galien ne peut gagner en épaisseur...pour Tig c'est pire (elle est prétexte à tout et reste lointaine).
Vous vous doutez que dans un système pareil les inégalités sont légions. Pauvre, il suffit de fuguer d'un foyer (délit mineur) pour être déclaré "coupable" (dès huit ans par exemple) et à partir de là vous êtes fichés pour toujours. La moindre infraction légère fait que vous voici répréhensible de façon chronique (la "vilenie de la maladie transmise" montant crescendo avec la récidive).
D'un autre côté si vous êtes "haut dans la hiérachie" même en écrasant un piéton vous n'aurez pas droit à une hépatite mais à un simple rhume. (Vive les passe-droits !)
Autant dire que la révolte gronde et s'exacerbe depuis des années. (D'ailleurs oui ça vire à l'émeute violente.)
Imaginez l'ambiance : les antibiotiques sont interdits puisque le remède "miracle à tout" existe...et en même temps avoir le nez qui coule (le temps d'aller se faire "nettoyer les globules") est très mal vu (suscite le dégoût) et non toléré (cela devient même un aveu de culpabilité)...sympa non ?!
Les "coupables/transférés" sont littéralement "parqués" dans le Barbican (sorte de ghetto insalubre). Ce n'est pas la joie, mais l'entraide y existe. Talia en s'y rendant ouvrira littéralement les yeux sur ses privilèges non mérités et l'injustice réelle du système. Va-t-elle y remédier ?
(En tout cas elle va bien s'en mêler et devenir l'icône du "feu au poudre"...l'étincelle qui provoque le basculement c'est elle !)
Je vous laisse juge… le roman quitte ma bibli quoi qu'il arrive. (Même la fin me semble grand guignolesque...bref ! Next.)
Transférés
Elle est prête à tout pour sauver les plus faibles qui sont victimes d’injustice mais elle a un gros problème, cela portera préjudice à son père....
Je recommande !
Transférés
Transférés