Kate Thompson

Bon livre , histoire bien mené , le personnage principal est attachant malgré ses défauts . La fin est assez original .

Je n'ai pas réussi à dépasser le tiers de cette histoire, pour plusieurs raisons:

1- L'ennui. Car il fait bien l'avouer, on s'ennuie dans cette histoire, rien n'est surprenant. Mais encore, s'il n'y avait eu que cela, je ne me serais sans doute pas découragée pour autant.

2- Ce qui m'a vraiment gênée, c'est le personnage principal. Impossible de s'attacher à lui. L'auteur ne lui créé que des défauts, si bien qu'on le déteste, qu'on ne peut pas s'identifier à lui, ni même le prendre en pitié. Il a une mentalité stupide, c'est le genre de personne que je ne peux pas supporter.

3- L'écriture est mauvaise, mais je pense que cela vient du fait que ce soit écrit à la première personne (se reporter au 2)

4- Dernière chose qui m'a achevée et qui m'a fait poser définitivement le livre: l'histoire. Elle n'a rien d'originale, le scénario de la maison hantée à la campagne a été revisité des milliers de fois, merci bien.

Franchement déçue par ce livre où j'espérais trouver un peu de suspense au moins, mais qui n'a réussi qu'à m'agacer et à m'ennuyer.

Hum ... Que dire dire de ce livre ?

Je ne sais pas ...

Il n’était pas mauvais mais je croit que je l'ai surtout suivit pour savoir quel était le rapport entre le perso principale et la Fée ?!?

Et franchement de ce cote la le livre ma plus ! Le dénouement a la fin dépasse tout ce que l'on pourrais pensais et puis je voulais vraiment que le personnage principale s'en sorte, je ne l’apprécier pas tant que ça mais le voir s'enfoncé de plus en plus me désespérais !

Ce livre étais assez bien mais pas super. Le personnage principal est un abruti mais ça fais plaisir de le voir se débrouiller un peu. Sinon l'histoire est bonne dans son ensemble et l'intrigue nous tiens jusque au bout. J'avoue que j'ai un peu flipé aussi.... Je le conseille tout de même en lecture de détente.

Missy<3

Une jolie bluette sans prétentions.

A lire sous la couette un jour de pluie ou de neige.

Le réel problème de ce livre pour moi, c'est que tout est fait pour nous faire croire que le fantastique se mêlera au récit : la 4è de couverture, le titre – même la couverture appuie cette idée. Hors, l'auteure ne fait que suggérer la chose tout au long de l'histoire, ce qui fait que c'est décevant pour ceux qui souhaitaient assouvir leur soif de recette magique et d'ingrédients fantastiques. Ici, le côté fantastique n'est donc pas réellement présent – quoique, chaque interprétation est libre d'ouverture, à vous de vous faire la vôtre sur le sujet – bien qu'il soit suggéré par l'auteure qui joue justement la carte du doute dans le but d'éveiller l’intérêt du lecteur tout en nourrissant pauvrement la curiosité de ce dernier. Je me suis également laissée prendre au piège et de fait, j'ai forcément été déçue. Cela se révèle n'être finalement rien d'autre qu'un roman tranche de vie dans lequel on se sert de cette fameuse ambiguïté.

Globalement, l'on suit surtout le quotidien, la reconversion et l'évolution mentale d'un jeune homme difficile en proie au mal-être. Le plaisir – ou plutôt non-plaisir – de la lecture repose donc sur ce principal fait : le caractère pénible et dur de l'adolescent, ce qui s'avère être une ressource à double tranchant. Autant le protagoniste agace de par sa violence et son antipathie, autant c'est justement ce qui ajoute un minimum d’intérêt à l'histoire. Hélas, il semble clair que c'est bien trop peu de chose comme argument face à ce qui nous était originellement vendu : la présence d’une entité magique aux abords d'une maison isolée en pleine campagne – théâtre lugubre d'une disparition inquiétante et d'un hypothétique meurtre d'enfant.

Arrivera donc vite la fin avec son lot de questions (ou presque...), comme un film qui se serait brutalement arrêté avant toute résolution du schéma initial, nous laissant un peu curieux et très déçus.

La Petite Bibliothèque de l'Espoir, The Little Wartime Library dans la version originale parue en 2022, traduit par Maryline Beury, a été publié parles éditions City en 2022. Le style de l'auteur est dynamique et abordable: "A cet instant, Ruby eut le sentiment qu'elle venait enfin de gagner la confiance de la jeune fille étrangement adulte. On dit que les bibliothèques sont des lieux invitant aux confidences, que tous ces livres murmurant leurs mots depuis leurs étagères délient les langues. Peut-être est-ce vrai. Peut-être qu'on ne peut s'empêcher de raconter la sienne, quand on est entouré d'histoires." (Page 106).

Les nombreux dialogues donnent au roman vie et rythme. Ils traduisent les pensées et les sentiments des personnages, nous les rendant accessibles, comme des amis se confiant les uns aux autres: "-Seigneur, voilà que je deviens émotif, à mon grand âge. -Allons, Mr Pepper, dit Clara. Vous avez perdu votre épouse il y a peu de temps. Vous avez le droit de craquer, de temps en temps. -Quatorze semaines et quatre jours précisa-t-il en ôtant ses lunettes pour s'éponger les yeux. -Elle vous manque beaucoup, n'est-ce pas? dit Ruby en passant un bras autour de lui. -Oh, que oui. Ce sont les petites choses qui me manquent le plus. Le doux compagnonnage du quotidien.(Page 133).

Construction: de longs chapitres donnant la parole alternativement à Clara et à Ruby. La longueur des chapitres n'affecte aucunement le bon déroulement de la lecture, entraînés que nous sommes par le flux de cette histoire passionnante.

Thèmes: espoir, amour, foi en la vie, amitié, loyauté.

Londres 1944. Clara Button, bibliothécaire, est l'héroïne du jour. Elle va recevoir une récompense pour sa contribution à l'effort de guerre en permettant aux réfugiés qui vivent dans l'abri installé dans les couloirs du métro, de s'évader par la lecture. Le programme Lire pour la victoire était un programme de promotion de la lecture lancé par le gouvernement britannique en 1942 afin de soutenir le moral de la population pendant la guerre. Par sa gentillesse et son inlassable dévouement, la jeune veuve permet à de nombreux enfants mais aussi des adultes de s'évader quelques heures de leur quotidien qui peut, la seconde suivante, se transformer en cauchemar.

Nous suivons la vie chaotique et précaire des habitants de l'abri installé dans les couloirs du métro d'un quartier de l'est de la capitale. Les jeux des enfants qui tentent de vivre leur vie d'enfant; les stratégies de survie imaginées par des femmes tout autant ingénieuses que démunies; la prise de conscience de certaines d'entre elles qui cherchent à s'émanciper de maris volages ou violents; les histoires d'amour qui fleurissent çà et là sans crier gare...

Tandis que chaque jour apporte son lot de malheurs et de destructions, les agressions sexuelles dans l'East End mettent la police sur les dents. Comme si la vie n'était pas assez compliquée comme ça! C'est dans ce contexte que Clara et Ruby se battent chaque jour pour offrir au plus grand nombre quelques heures d'évasion et de rêve. La bibliothèque de bric et de broc où l'on peut également boire un thé ou un gin devient le centre névralgique de cette vie souterraine où lecture rime avec liberté...

Bethnal Green: station de métro-abri dans le hall des guichets duquel Dot a installé un café où elle prépare thé, friture et autres plats en fonction des denrées dont elle dispose, dispensant chaleur humaine et bonne humeur. L'abri accueille plus de cinq mille personnes dans des couchettes installées le long des voies. Certes l'odeur pestilentielle et le manque de lumière les rendent inconfortables, mais grâce à elles de très nombreuses vies ont été sauvées. Bethnal Green, station inachevée sur la Central Line, dont les travaux ont été interrompus au début de la guerre, fait office de village miniature souterrain, avec sa bibliothèque, son théâtre et ses cours de danse, une garderie pour enfants, un café, une infirmerie.

Bibliothèque souterraine: construite à 24 mètres sous terre après le bombardement de la bibliothèque municipale de Bethnal Green dès la première semaine du Blitz, sauvant ainsi plus de 4 000 volumes, notamment de nombreux livres pour enfants.

La Petite Bibliothèque de l'Espoir est un roman magique dont la lecture ne peut que redonner foi en l'humanité et ensoleillé nos cœurs assombris par les mauvaises nouvelles qui ne cessent de nous accabler depuis quelques années. Ne jamais croire que des jours meilleurs ne reviendront pas. La pandémie qui nous a frappés de plein fouet avec son cortège de malheurs et de privations n'est certes pas comparable aux ravages de la seconde guerre mondiale. Néanmoins, habitués que nous étions à vivre dans une société d'abondance, elle nous a rappelé combien la vie est éphémère et que tout peut basculer du jour au lendemain. La Petite Bibliothèque de l'Espoir nous suggère que malgré tout il ne faut jamais perdre espoir, que la solidarité, l'entraide, l'amitié et l'amour sont les valeurs sûres qui nous permettront de nous en sortir sans sombrer dans l'affliction et le découragement. La lecture, remède universel pour surmonter les embûches que le destin sème sur nos routes...

Un super roman qui parle de l’importance des livres et des bibliothèques, inspiré d’une histoire vraie.

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Au départ j’avais hésité à lire ce roman vu qu’il était tiré d’une histoire vraie, j’appréhendais un peu que ce soit trop dur étant donné que ça se passe pendant la guerre.

Et puis le côté bibliothèque et espoir dans le titre, une fois que j’avais lu le résumé, m’ont vraiment trop donné envie.

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Et qu’est-ce que je ne regrette pas d´avoir sauté le pas, ce livre étant un concentré d’espoir plein d’émotions d’amour pour les livres.

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Le personnage principal, Clara, est une bibliothécaire passionnée qui va sauver plus d’une vie grâce a son amour des livres, à son ouverture d’esprit et à sa tolérance en ce lieu où le goût de chacun est écouté et respecté.

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L’amitié qui lie Ruby et Sarah dans cette bibliothèque souterraine m’a beaucoup plu, et tout ce qu’elles vont créer ensemble, cette solidarité, ce club de lecture, ce mouvement féminin également.

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Globalement j’ai adoré les personnages principaux mis en avant, mais aussi les secondaires et les moins appréciables forts utiles par certains aspects, qui ne m’ont fait qu’apprécier davantage l’attitude des autres.

Billy et Clara ♥️

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Cette histoire va défendre l’amour des mots, l’importance des livres pour chacun, peu importe leurs genres ... et c’était juste génial.

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Ce roman nous parle aussi de la guerre, des atrocités, des pertes, des souffrances, des trahisons qui sont le quotidien de nos personnages.

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La dernière partie du livre est consacrée à une note de l’autrice dans le laquelle elle parle de son travail de recherche pour ce livre, de tous les recueil de témoignages d’employés de bibliothèque (que nous retrouvons d’ailleurs en début de chaque chapitre, c’est vraiment le plein d’amour pour les livres) et de l’histoire de la véritable bibliothèque de Bethnal Green.

J’ai vraiment trouvé ça super d’avoir toutes ces informations dans le livre, avec les photos de l’époque, ça rajoute vraiment un plus plutôt que d’aller rechercher sur Internet les mêmes infos.

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En bref : vous aimez les livres ? Lisez ce livre😁.

Malgré le côté très manichéen des personnages et le ton un peu trop chick litt (qui m'a semblé inapproprié), j'ai aimé cette résistance à travers les livres, les liens d'amitiés improbables noués dans cette bibliothèque souterraine ainsi que l'approche du côté libérateur et rassembleur de la pratique de la lecture.

Chronique de Diana : https://followthereader2016.wordpress.com/2022/10/21/la-petite-bibliotheque-de-lespoir-kate-thompson/

Ce roman est tout simplement un petit bijou qui parlera à tous les amoureux des livres et qui donnera envie à ceux qui hésitent encore à en ouvrir un.

Ce récit nous parle d’histoire et principalement de la seconde guerre mondiale à Londres. C’est pour cela que l’on commence en 2020 avec une personne âgée, ses deux filles dans le contexte tendu du Covid. Notre héroïne veut absolument récupérer une correspondance et les faire découvrir à ses enfants.

On remonte donc en mars 1944 et c’est là que l’on découvre Clara et Ruby. Les points de vue seront alternés et nous permettront de mieux les découvrir car elles sont diamétralement opposées. Clara est veuve, n’a plu de travail depuis que la bibliothèque où elle officiait, a été détruite par les bombardements. Elle a pu sauver quelques livres et est d’un caractère discret. Pour surmonter ce triste moment, elle a crée une petite bibliothèque où chacun est le bienvenu pour s’évader. Ruby, elle est bien plus expansive et se dit qu’il faut profiter de chaque instant et encore plus quand les temps sont sombres. Ces deux là sont pourtant très amies et inséparables.

Ce lieu privilégié et protégé permet de revenir à une vie presque normale dans cette pièce souterraine. Un endroit hors du temps où l’horreur de la guerre n’existe pas, enfin où l’on tente de l’oublier.

Ce récit met en avant que la vie continue, que le bonheur existe même dans l’épouvantable et que les livres sont les garants de l’espoir d’un jour meilleur. Mais aussi que l’humain peut montrer le meilleur comme le pire.

Les destins ne sont pas forcément tracés et nos personnages vont démontrer qu’on peut les construire et les changer. Il faut savoir que ce récit est tiré d’une histoire vraie, l’auteure l’a écrit pendant la pandémie et elle remet certaines choses à sa place dans les comparaisons qui ont pu être faites à cette période.

Cette histoire est un hymne à la vie et aux livres, leur pouvoir, leur don de guérison et surtout celui de fuir une réalité bien souvent atroce. Alors chérissons chaque mots publiés. J’ai adoré la plume de l’auteure, la façon dont elle relate une époque. C’est très prenant et d’une fluidité surprenante. Ce roman est une pépite. féministe qui transmet un message fort et positif.