Katherine Pancol
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Note moyenne : 7.15/10Nombre d'évaluations : 2 366
6 Citations 1 304 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

C'est long et franchement je ne comprend pas le but de ce livre. J'ai appris qu'il y avait une suite, mais je ne la lirais pas. Ca ne m'a pas donné envie du tout.
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je n'ai pas du tout accroché au style d'écriture. Je n'ai même pas réussi à finir le livre... C'est dommage
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Je n'ai pas du tout accroché, j'ai lu les 2/3 du livre et j'ai arrêté. Je trouve que l'intrigue est tirée en longueur et pas suffisamment haletante pour maintenir l'attention du lecteur.
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J'ai adoré. Lu d'un trait. Je le recommende vivement.
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Des personnages qui nous ressemblent ou qui ressemblent à certaines personnes que l'on connait: drôles, pitpoyables, humbles ou détestables...Comme dans la vie de tous les jours! Et pourtant on ne s'ennuie pas car les destins des personnages se croisent et interfèrent les uns sur les autres avec des conséquences pressenties ou complètement inattendues. Si vous ajoutez une certaine dose d'humour et d'exotisme avec les fameux crocodiles...vous obtenez un bon moment à passer!
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J’ai eu du mal à adhérer au début il m’a fallu plus de la moitié pour accrocher
Finalement c’est divertissant mais sans plus
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Un peu mieux que le premier mais néanmoins un peu surprenant sur la tournure que prend l’histoire
Rate divertissant tout de même
À voir avec le troisième
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Le début du roman m'est apparu un peu brouillon, ennuyeux, « sans queue ni tête » en quelque sorte. Sans donner de suite logique à son récit, la romancière dresse, successivement, les portraits de plusieurs couples, sans aucun lien entre eux. Je suis parvenue péniblement à la moitié du livre et c'est seulement à partir de la page 191 que j'ai réellement commencé à m'intéresser au récit jusqu'à ne plus pouvoir le lâcher jusqu'à l'épilogue :
Il existe des secrets de familles monstrueux et inavouables que l'on pense enfouis à jamais… jusqu'au jour où la vérité éclate. Alors, il arrive que les ressentiments jusque-là étouffés, ressurgissent du passé et se rappellent à nous, se transformant en haine et en soif de vengeance. Pris au coeur de cette tourmente infernale, des couples tenteront de soigner les blessures psychologiques et physiques qui leur ont été infligées. Cependant, le parcours de soins jusqu'à la guérison reste semé d'embûches et si les remèdes peuvent se montrer quelquefois efficaces, les cicatrices, elles, sont bien plus longues à se refermer… au risque de ne jamais y parvenir !
Mépris de classe, humiliations, haine et vengeance, ces quatre mots sont synonymes de violence et de maltraitance, ils sont à l'origine du mal qui peut s'abattre sur autrui, à tout moment et sans crier gare, par l'accomplissement d'actes délictueux, irréfléchis et odieux, pouvant conduire au pire. Dans cette fiction, Jules, André, Raymond et les autres, représentent toute l'abjection d'une gent masculine ayant définitivement basculé dans une immoralité bestiale. Et puis, il y a Stella, Léonie et Suzon, ces femmes maltraitées, outragées, brisées, auxquelles la romancière cède la parole, n'hésitant pas à plaquer les véritables mots sur les maux trop souvent indicibles de toutes les victimes de violences intrafamiliales, de viols et d'incestes qui taisent leur souffrance, par honte ou par peur, en se murant dans le silence.
A la faveur d'un récit fort, direct et sans tabou, Katherine Pancol a réussi à m'emporter dans la dramaturgie de cette histoire de famille. Une fiction qui s'est imposée à elle et qu'elle a choisie d'écrire suite à un fait réel de violence conjugale dont elle fut le témoin quelques années auparavant à la terrasse d'un café. J'ai beaucoup apprécié son choix d'apporter quelques halos lumineux dans la noirceur des ténèbres de cette tragédie familiale. le romantisme et l'amour rajoutent un petit supplément d'âme au roman dans l'espérance de jours meilleurs… et il y en a vraiment besoin !
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Dans un deuxième tome, détonant et passionnant, la romancière poursuit le récit intarissable des aventures d’Hortense, Elena, Joséphine, Shirley, Rosita, Calypso, Emily et toutes les autres muchachas infatigables et un peu déjantées de cette saga originale. Chacune d’entre voit un passé, parfois douloureux, ressurgir dans sa mémoire, un présent pas toujours facile à assumer, se dresser en obstacles qui semblent insurmontables et un avenir prometteur se dessiner, à condition de prendre le bon chemin.
Musicienne, professeure, styliste, coiffeuse, prostituée, bénévole dans une association, etc… Amies, sœurs, filles, mères, grands-mères… trois générations de femmes se font face, s’engueulent puis se réconcilient pour mener un seul et même combat : celui de l’indépendance et de la liberté.
Et les hommes où se cachent-ils et quels rôles jouent-ils ? Gary, Philippe, Oliver, Mark, Gaétan, Victor, Giuseppe, et tous les autres ? Trois générations d’hommes se disputent la vedette au cœur de ce brouhaha trépidant de filles qui débordent de vie et d’amour.
En dépit d’un scénario un peu désordonné qui cadre parfaitement avec les caractères trépidants et les comportements souvent confus des héroïnes, j’ai apprécié ce roman rafraîchissant et plaisant à lire. À la faveur d’une belle écriture, Katherine Pancol a réussi à m’emporter dans le tourbillon existentiel de ses muchachas, un peu rebelles mais tellement attachantes. L’épilogue laisse augurer une suite (et fin) prometteuse, très certainement riche en rebondissements.
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Fin de la trilogie ! Sans surprise mais moment sympathique
Afficher en entierOn parle de Katherine Pancol ici :
2018-03-17T13:33:29+01:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2012-03-17T14:21:31+01:00
2011-06-16T18:55:22+02:00
2011-04-12T00:12:09+02:00
2011-03-19T13:21:12+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Katherine Pancol
et autres évènements
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Editeurs
LGF - Le Livre de Poche : 22 livres
Albin Michel : 21 livres
Hachette Jeunesse : 15 livres
Seuil : 13 livres
Points : 7 livres
Audiolib : 5 livres
Hachette : 5 livres
France Loisirs : 4 livres
Biographie
Je suis née au Maroc, à Casablanca, j'ai grandi sous les palmiers de Media...
À cinq ans, je suis arrivée en France. Études littéraires (maîtrise et deux ans de doctorat de lettres modernes), prof de français-latin, petits boulots divers, et puis un jour ! coup de baguette, je deviens journaliste.
J'écris dans un journal (Paris-Match puis Cosmopolitan).
Mes premiers mots imprimés à l'encre noir sur blanc.
Un éditeur me remarque et me demande d'écrire un roman.
Un roman ! Moi ! Impossible !
Ce sera " Moi d'abord " en 1979. Le ciel me tombe sur la tête et le succès aussi. Je file à New York. Changer de ville, de pays. Voyager, vivre, m'amuser, connaître un autre monde. Écrire me paraît toujours aussi impossible. Mais la littérature me rattrape et c'est "La Barbare" en 1981. Puis, toujours à New York, j'écris "Scarlett, si possible" et "Les hommes cruels ne courent pas les rues ".
Je prends goût à l'écriture, à la vie qui va avec.
Je n'ai plus le choix. Je ne sais faire que ça. Et des enfants.
Une fille d'abord puis un garçon.
Je me marie, je divorce, j'emménage, je déménage.
Banal, hélas !
Je continue à écrire. L'écriture devient le moteur de ma vie. Je découvre que c'est dur et que c'est facile. Je découvre que le temps passe si vite ou si lentement. Que j'ai envie d'arrêter ou de ne jamais arrêter...
Je découvre un autre monde. Je voyage dans ma tête et c'est aussi bien...
J'écris des romans ("Vu de l'extérieur", "Encore une danse", "Une si belle image", "J'étais là avant", "Et monter lentement dans un immense amour", "Un homme à distance", "Embrassez-moi"). Des scénarios. Et des articles. Pour Paris-Match. Je voyage. Je passe dix jours à Manchester à suivre les mollets de Cantona ou une semaine dans le couloir de la mort d'une prison américaine. J'interviewe Reagan, Jospin, Chirac ou Meryl Streep, Johnny, Vanessa Paradis, Louise Brooks.
On récolte toujours en observant, on apprend. J'aime apprendre. J'aime la vie, l'amitié, les rencontres, les voyages, l'imprévu, j'ouvre grand les bras, même quand j'aurais envie de les refermer. Tout m'étonne, je ne suis jamais blasée.
Et puis, j'arrête le journalisme pour me consacrer à l'écriture.
Mes journées se déroulent selon un rite immuable : lever, thé et tartines, lecture des journaux, maison à faire tourner et papiers à remplir, promenade avec le chien Chaussette et enfin… seule, face à l'ordinateur, je retrouve mon autre monde, mon univers imaginaire avec des mots, des personnages, des idées qui volent dans l'air et que j'attrape. Ou pas. Certains jours, je les ramasse à la pelle, d'autres, je me lamente dans le désert !
Mais toujours la même envie de vivre et d'apprendre…
Je reprends à mon compte la phrase de Paul-Émile Victor : "Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie."
Source : www.katherine-pancol.com
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