Kathya Cautillo
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Quelques chiffres
Note moyenne : 5.67/10Nombre d'évaluations : 3
0 Citations 4 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Le premier tome de cette saga avec une auteure assez inexpérimentée, je trouve. En effet le style d'ecriture est assez enfantin, assez pauvre. C'est dommage car il y a une super idée, un super fond créatif.
Il peut peut-être convenir aux plus jeunes. Je ne peux qu'encourager l'auteur pour nous donner un livre plus fournie.
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Un livre dans la continuité du premier avec, pour moi, un gros point faible au niveau du style d'écriture assez grossier. Sinon l'originalité est toujours au rendez-vous et pourra surement plaire à un public assez jeune feru d'aventures et de quêtes plutôt épiques.
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Ce livre me faisait bonne fgure au début mais à la fin, il devient lassant. Je n'ai vraiment pas envie d'acheter la suite. Il m'a quand même laissé quelques bons moments et je l'aime bien quand même
Afficher en entierDédicaces de Kathya Cautillo
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Biographie
L’histoire de la Soultzmattoise Kathya Cautillo, 40 ans, n’est pas moins fantastique que son premier livre, sorti en août, un roman d’"heroïc fantasy" intitulé "Dragor le joyau des dieux". "Je ne l’ai pas fait exprès, s’excuse-t-elle presque. J’ai commencé à rêver cette histoire il y a trois ans, et je me suis mise à la raconter".
Aux plus incrédules, cette maman de deux enfants, chef de service dans la restauration, explique avoir assisté dans ses nuits à l’apparition de tout un monde.
"C’était une planète, sur laquelle ne vivait qu’une seule espèce et qui se mourrait. Puis, tout a été recréé. Semaine après semaine, j’étais spectatrice de cela, c’était un Eden magnifique". Mais, poursuit-elle, "les rêves sont devenus des cauchemars, un dragon est apparu, des animaux s’attaquaient entre eux… Cela résonnait encore en moi dans la journée. C’était terrifiant".
Sans avoir jamais prisé ni même lu ce genre littéraire, Kathya Cautillo a éprouvé le besoin, "pour évacuer tout ça", d’écrire les étranges aventures du jeune Dragor, dont l’obsession est de retrouver la "Pierre de treize", l’anneau régulateur d’énergie sans lequel les 13 dimensions de son univers sont plongées dans le chaos. "Parfois, j’écrivais pendant des heures. Du coup, je n’en parlais plus, je dormais comme un ange. Je mettais machinalement mes petits papiers sur le bureau de mon mari Vito, et c’est lui qui a constaté que je rêvais une histoire".
Ce dernier, coordinateur du magazine Dojo Fight, lui a alors proposé de créer une maison d’édition, désormais ouverte à d’autres jeunes auteurs. "Le texte est quasiment tel quel, je l’ai très peu retravaillé". Avouant qu’elle a "beaucoup de mal à passer du livre thérapeutique à la réalité commerciale", Kathya Cautillo a vu arriver avec "une grande émotion" les 4 000 exemplaires imprimés du premier tome, dont 2 500 en allemand (des versions en anglais et en italien sont prévues). "J’ai toujours aimé écrire des lettres, mais je ne considère pas comme un écrivain. Je me laisse aller. Je ne connais pas la fin, je rêve encore. J’ai tout de même une inquiétude : que cela s’arrête".
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