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Ken Bruen

Auteur

52 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Ken Bruen est né en 1951 à Galway. Après une carrière d'enseignant d'anglais qui l'a mené pendant 25 ans en Afrique, au Japon, en Asie du sud-est et en Amérique du Sud, il décide de se consacrer à l'écriture. Il a écrit une trilogie ("The White Trilogy ", achetée par Channel 4) autour de flics de flics assez originaux : Roberts et Brant, qui lui valu le succès, et une série, excellente autour d'un autre héros récurrent : Jack Taylor.

Ken Bruen est Un auteur de polars irlandais absolument désespérés et désespérément drôles aussi (allez comprendre). Bruen a vécu une tragédie au Brésil. Pris dans une rafle par erreur, il a été emprisonné et retenu pendant 4 mois. Période où il a vécu les pires sévices. Selon lui, c'est la folie qui l'a sauvée du gouffre, c'est dire. De retour en Irlande, il s'est mit à écrire comme un forcené.

Bruen est un cas dans le milieu du roman noir. Il s'est spécialisé dans le polar "punk rock", ou si vous préférez, les enquêtes sans enquête, les histoires hors normes.

Pas de cadre fixe, ses romans sont, soit de longues glissades vers la déjante la plus radicale (Les enquêtes de Jack Taylor) soit une peinture sans concession de la vie et des moeurs d'un commissariat et des flics qui l'occupent, dans la série Robert & Brant (ou R&B, oui, oui, vous lisez bien) dont l'inspiration assumée est la chronique du 87ième District d'Ed Mc Bain qu'il admire énormément. Ses livres sont ponctués de références littéraires (son personnage Jack Taylor, étant un lecteur avide), mais aussi musicales, principalement des années 70 et 80.

On y entend les The Clash, du reggae et Joy Division, on y parle du manager d'Echo & The Bunnymen et d'ABBA, mais toujours sur le ton désabusé de celui qui ne comprends pas lui-même sa propre passion pour ce style de musique. Vous voyez ? Bruen excelle également dans l'art du dialogue. Lapidaire, survolté et férocement drôle, surtout dans R&B Le personnage principal de sa série "déjante et tragédie existentielle", Jack Taylor, est un ex-guarda (la police irlandaise, dans le sud) alcoolique et en général porté sur toutes les formes excès, spécialement, les excès chimiques et liquides. C'est absolument fabuleux. Un portrait vraiment acide de la solitude contemporaine quand on a décidé de ne pas baisser les bras devant la connerie et la cruauté ambiante.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.11/10
Nombre d'évaluations : 18

0 Citations 10 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Ken Bruen

Sortie Poche France/Français : 2013-10-16

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par philippe67 2012-02-12T10:54:13+01:00
La Main droite du diable

Est ce un polar ou un roman de société? L'auteur nous plonge dans une Irlande sombre, les pubs, le whiskey et Guinness.

J'ai adorré! ça c'est du roman noir!

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Commentaire ajouté par nataly 2013-12-22T06:58:41+01:00
Delirium tremens

Delirium Tremens nous fait découvrir un héros atypique. En effet, jack Taylor, fait parti de ses policiers que l'on pourrait nommer ripoux, et qui se rebelle contre les choses qui ne lui conviennent pas. Il en a donc été renvoyé, et s'est jeté dans l'alcool et une vie on peut le dire quelque peu dissolue. Son père lui a appris l'amour de la lecture, mais sa mère l'a toujours rabaissé et ne l'a jamais aimé. Et même en tant que détective privé, il passe comme misérable. Ken bruen nous offre ici un personnage totalement différent, auquel on ne souhaite pas être assimilé, et pourtant on s'y attache. Il fait partie de ses personnes qui sombrent dans l'alcoolisme, qui n'a aucune relation aboutie avec quiconque, qui mène une vie triste, et on a envie qu'il s'en sorte. Il mène son enquête d'une manière très particulière puisqu'il a une relation avec la mère de la victime, il règle son compte au responsable de manière expéditive….De façon surprenante, la description de la vie de jack Taylor nous montre un côté sombre et noir de l'Irlande, par la vie de ce héros, les pubs dans lesquels il va, les personnes qu'il côtoie, la police qui n'y a pas un bon rôle.

L'auteur nous dépeint vraiment parfaitement son personnage, ainsi que les personnages secondaires, je dirais même que du coup l'enquête passe vraiment en second plan. Mais je suis restée passionnée par l'histoire de cet homme et de son environnement. Et le fait que les chapitres, les phrases, et les dialogues soient tous courts nous entraine en tant que lecteur.

J'ai vraiment passé un agréable moment de lecture et je vais probablement tester d'autres romans de cet auteur

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Commentaire ajouté par sandycot 2016-07-02T08:40:21+02:00
Delirium tremens

Cet anti héros assez attachant nous rappelle énormément celui de J.K.Rowling dans ses derniers polars : un homme bourré de problèmes et bourru qui a un gros penchant pour la bouteille ! L'enquete est tout à fait secondaire et n'existe qu'en fine toile fond. l'écriture est plaisante, différente et l'auteur porte bien son personnage.

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Commentaire ajouté par Whale 2018-01-18T12:06:06+01:00
Blitz

Mon premier livre de Ken Bruen, qui se trouve être le quatrième tome de la série R&B. J'y ai découvert les personnages de Roberts, Falls, Brant et Nash.

Un roman noir très bien ficelé, avec des personnages construits sur mesure à l'humour décalé.

Dans ce court polar, on a un mélange d'action, d'humour noir, de violence et d'amitié improbable.

L'écriture est fluide et la lecture addictive !

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-08-02T17:07:50+02:00
Le Martyre des Magdalènes

Si vous trouvez que le commissaire Erlendur est trop hanté par ses souvenirs, si vous pensiez qu’un flic ne pouvait pas être plus imbibé que l’inspecteur Harry Hole ou le privé Matt Scudder et qu’on ne pouvait pas faire plus torturé que le sergent sans nom qui enquêtait sur la mort de Dora Suarez, et bien, c’est que vous n’avez pas encore fait connaissance avec Jack Taylor…

Ancien guarda (flic), Jack Taylor s’est fait virer pour abus de substances illicites, dont l’alcool et la Guiness. Le savoir-faire des brasseurs n’était pas dégusté avec sagesse. Sans parler d’une petite "snifette" de temps à autre. Là, il vit dans un petit hôtel.

Alors qu’il fait briquer le zinc d’un pub avec ses manches (comprenez qu’il y est accoudé), un truand lui demande d’éponger sa dette en retrouvant « l’ange des Magdalènes », celle qui aurai sauvé des jeunes filles, dont la mère du truand.

Magdalènes ? Quoi t’est-ce ?? Pour ceux qui ne le sauraient pas, dans l’Irlande catho, les "Maisons des Magdalènes" étaient des charmantes institutions, tout ce qui a de plus légales, où des charmantes bonnes sœurs avaient la mission de purifier les filles mères ou toutes autres pécheresses. Amen.

Afin d’expliquer à ces gamines que ce qu’elles avaient fait était "mal", on leur donnait comme mission de s’occuper de la lessive, le tout dans des conditions de travail qui ferait défaillir le plus zen des syndicaliste. L’église – bénie soit-elle – se faisant bien entendu rétribuer pour ce service, les clients occultant les sévices reçus par ces filles.

Comme on se fichait pas mal de la cause qui avait planté un polichinelle dans le tiroir de ses jeunes filles – viol familial ou autre – on leur faisait payer leur ignominie afin de laver plus blanc que blanc leurs péchés imaginaires. La dernière de ces maisons a fermé dans les années 1990. Ite missa est… Circulez, y’a plus rien à voir !

Sérieusement, si ces bonnes sœurs méritent le peloton d’exécution et la damnation éternelle dans les flammes de l’Enfer, Jack Taylor aussi. Parce que niveau « enquête », il est à fouetter ! Je dirais même qu’il n’en a rien à branler, malgré le fait que son truand psychotique de client ait failli lui coller des traces de freinage dans le slip en lui donnant des frayeurs à coups de roulette russe. Non, ça le fera pas se remuer plus que ça…

De plus, Jack s’est vu confier une autre enquête sur une veuve qui aurait tué son mari. L’enquête étant demandée par le beau-fils. Là aussi, rien à battre, il continue de s’imbiber grave et décide que la veuve est innocente.

Il est dit dans une critique qu’on ne suit pas Jack pour ses enquêtes et c’est bien vrai. Non, on suit ses aventures dans les brumes de l’alcool et du brouillard de poudre blanche pour tout autre chose. Les ambiances… les mots d’irlandais, sa nonchalance, ses pensées, ses bons mots, son je-m’en-foutisme, sa manière de se mettre la terre entière sur le dos, son manque de morale absolue.

Je m’attendais à avoir plus de passages sur les Magdalènes, mais l’auteur n’a inclus que quelques courts chapitres, sans trop développer, tout en arrivant à vous coller des sueurs froides. Écriture sobre, mais percutante, pour ces passages.

On frémit devant quelques sévices admonestés par ces femmes frustrées, qui n’avaient pas choisi les voies de Dieu par vocation ou alors, n’avaient rien compris au message initial. Et puis, le pouvoir, ça grise et ça fait jouir !

Si j’ai eu un peu de mal au départ en découvrant Jack, il a réussi à m’étonner sur la fin. Bon, il a fallu qu’il lâche un peu la bouteille et se bourre de médocs qui lui auraient fait gagner le Tour de France, s’il avait décidé de le courir.

Par contre, j’ai bien aimé le fait que Jack Taylor, grand lecteur, nous livre ses opinions et ses coups de cœur sur tel ou tel auteur. Mieux, le roman est truffé de citations, de clins d’œil ou de pensées sur ses auteurs favoris qui sont tout de même : Robin Cook, David Peace, James Ellroy ou Edward Bunker. Du lourd.

Au travers des bouteilles sombres de Guiness, la réalité est souvent trouble, Jack va s’en rendre compte. De plus, toutes les vérités ne sont pas bonnes à être exhumées.

Une enquête qui doit presque se résoudre sans l’aide de Jack, mais une fois que son euro est tombé, là, il y va à fond la caisse et la morale, il vous la fourre où je pense !

Un roman noir qui m’a fait découvrir un autre univers, celui de l’Irlande. Voilà un auteur que je vais suivre de très près.

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-08-02T17:40:25+02:00
Delirium tremens

Un roman de Jack Taylor, on ne le lit pas, on ne le dévore pas : on le boit. Cul-sec ! Avec un peu d'eau à la rigueur, mais sans glaçons.

Jack Taylor, ancien de la Garda Síochána (Gardiens de la paix, en Irlande), a réussi à se faire licencier de cette institution (un véritable exploit) et depuis, il est devenu un espèce de détective privé imbibé d'alcool.

Ok, pour ce qui est de l'alcool, non, non, rien n'à changé ! Il se pochetronnait déjà sévère du temps qu'il était à la Garda.

Jack Taylor n'a rien d'un Sherlock Holmes – loin de là – et pourtant, je l'aime bien. Limite un anti-héros vu le nombre de pages où il est dans le cirage le plus total. Même une éponge est moins imbibée que lui, c'est dire.

Jack Taylor est un détective atypique, comme il n'en existe pas deux dans la littérature, un privé bordeline toujours en pleine révolte sur tout le monde (sa mère notamment) et en train de regretter son père qui lui offrit sa première carte de bibliothèque. Sa seule constante dans son alcoolémie furent les livres.

Sa vie est une véritable soulographie, il se détruit à petit feu – et ça fait mal de voir qu'un alcoolo ne retient jamais les leçons du passé – et malgré tout, j'adore suivre ses enquêtes.

Jack Taylor résoudre une enquête ?? Oui, il y arrivera, avec un peu de chance et avec l'aide d'autres personnes (mais pas avec celle de la dive bouteille).

Ici, c'est une mère qui ne croit pas au suicide de sa fille de seize ans (retrouvée noyée) qui l'engage, alors qu'il est assis à sa table de pub préféré. Alors, notre Jack va réouvrir l'enquête et on dirait que ça ne plait pas à tout le monde…

Durant ses « enquêtes », Jack nous raconte ses souvenirs, son enfance, son Irlande, sa ville de Galway, son pub préféré, celui tenu par le vieux grincheux de Sean.

On peut critiquer Jack et son alcoolisme galopant, mais contrairement à ses compatriotes sobres lui au moins a de l'empathie et de la sympathie pour les clochards de tout poil qui vivent en marge de la société, exclus qu'ils sont.

Par contre, des amis, il n'en a pas beaucoup et certains ont même tendance à le tirer vers le bas…

L'écriture de Bruen, c'est de la poésie cynique, noire, vacharde. Et j'en redemande. Lire Bruen, c'est lire de l'Irlande et la respirer à plein poumons.

Je ne sais s'il trempe sa plume dans de l'alcool à 90° ou dans un encrier rempli d'amertume, mais il nous brosse un portrait de son pays peu flatteur, mais l'ambiance est là.

À sa manière de planter des mots comme ça, l'un en dessous de l'autre, ça me fait penser à celle de Michael Mention, comme si Mention s'en était inspirée.

Un roman noir qui se boit plus vite qu'une Guiness… C'est drôle, incisif, bourré de répliques acerbes, des citations comme s'il en pleuvait, des références aux grands noms du Roman Noir, de la chanson, le tout mitonné aux petits oignons dans des chapitres et des phrases courtes qui donnent du rythme au roman.

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Commentaire ajouté par carroue 2018-10-01T17:43:26+02:00
Le Martyre des Magdalènes

Bien déçus par ce livre. En lisant le résumé de ce policier, je m’attendais à beaucoup plus de renseignements sur les couvents des Magdalènes. Ce livre porte bien mal son titre laissant présager une recherche sur ces institutions religieuses où l’on envoyé les filles mères, parfois après un viol, ou lorsque l’on voulait se débarrasser.

Ici rien de pédagogique. Tout tourne autour de Jack Taylor ancien flic désabusé. Alcool, drogue… Le but du roman est de savoir si celui-ci va se sortir de sa déprime, de ses vices.

Dans le résumé il est écrit je cite : « Ce qui s’annonçait comme une mission rédemptrice va vite se transformer en chemin de croix. »

Je confirme, pour moi ce fût un chemin de croix

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On parle de Ken Bruen ici :

Dédicaces de Ken Bruen
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Gallimard : 23 livres

Fayard : 7 livres

Forge Books : 6 livres

Points : 2 livres

Brilliance Audio : 2 livres

Corvus : 2 livres

Seuil : 1 livre

BB/Art : 1 livre

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