Kenji Miyazawa

Un joli recueil, des histoire touchantes et poétiques. Une lecture très agréable.

Un livre sur des recueils de contes d'Asie agréables à parcourir.

Dans un style poétique, les contes de ce recueil mettent en scène des animaux et des plantes ayant des comportements similaires aux êtres humains. Chacune d'elles contient sa morale.

Ces contes, écrits par un auteur et poète (Kenji Miyazawa), sont faciles à lire et rafraîchissants.

Ce petit recueil de contres était vraiment doux et agréable à lire ! On se plonge dans des contes japonais tout à fait charmants et pleins de douceur. Mon préféré reste le premier qui est vraiment touchant et mignon. Très poétique et calme, je le conseille à tout le monde, amateur ou non de culture japonaise.

Trois nouvelles poétiques qui nous transportent dans un univers atypique et reposant.

Dans ce livre se tiennent trois nouvelles écrites par l'auteur japonais Kenji Miyazawa.

La première nous fait découvrir le personnage de Gauche, violoncelliste un peu raté, qui cause le plus grand désespoir à son chef d'orchestre. Mais il va vite se rendre compte qu'à défaut d'être un virtuose, il semblerait que son instrument ait un certain pouvoir de guérison.

Une nouvelle très sympathique, attendrissante et touchante qui nous montre qu'il ne faut jamais toujours persévérer.

La seconde nouvelle nous emmène dans une école japonaise où un nouvel élève vient d'arriver. Et il semblerait que ce soit le dieu du vent Matsaburo. Aux côtés de ces écoliers candides nous suivons quelques jours d'insouciance et de légèreté.

Cette nouvelle m'a moins plu mais elle reste tout de même agréable à lire.

La troisième et dernière nouvelle nous incite à faire un voyage pour le moins particulier. Giovanni est fasciné par la Vois lactée, à tel point qu'un soir il s'endort en l'observant. Il va alors faire un rêve étrange dans lequel il voyage en train aux côtés de Campanella, son ami de toujours. Un voyage vers la fin du Ciel. Durant ce voyage, il va rencontrer un drôle de chasseur d'oiseau, deux orphelins attachants, une religieuse énigmatique et j'en passe.

Cette nouvelle est certainement celle que j'ai préféré de par son atmosphère et les références bouddhistes très intéressantes.

Conclusion: une ambiance bien particulière accompagne ce livre que je recommande chaudement.

Chronique complète : https://enquetedesaveurs.blogspot.com/2018/08/train-de-nuit-dans-la-voie-lactee-kenji.html

C'est en regardant L'Île de Giovanni il y a quelques années que j'ai éprouvé l'envie de lire ce livre. Le film le place au cœur de la narration de son histoire, avec de belles envolées.

Dernièrement j'ai essayé de regarder l'adaptation animée, n'ayant pas encore trouvé le livre. Il était mauvais... Tout en longueurs... Je me suis dit : "Allons, ne reste pas là-dessus et lis-le dès que possible ! L'Île de Giovanni était tellement bien !" Et c'est vrai que c'est ce film qui m'a incitée à insister.

Or donc, je le trouve enfin ! Après des années d'attente ! Je me réjouis et l'entame. Il faut saluer l'imagination de l'auteur. Cependant... il y a beaucoup de longueurs. J'ai été surprise de retrouver Gauche le Violoncelliste. Rappelez-vous, le studio Ghibli en a fait un film (que j'ai vu il y a fort longtemps) ! La nouvelle n'était pas mauvaise et s'est laissée lire. En revanche, Matasaburo... Quel ennui... J'ai insisté sur plusieurs chapitres de cette novella. Trop d'élèves, trop de noms. Impossible de les situer, et il ne se passe rien durant bien trop longtemps...

Arrive donc Train de nuit dans la voie lactée. Je sens l'appréhension après les deux titres précédents.

Il commence bien, sans les longueurs ajoutées dans le film. C'est instructif, le professeur parle de la voie lactée à ses élèves dans un long laïus. Ces derniers taquinent Giovanni avec cette histoire de veste en peau de loutre... Visiblement elle fait référence au livre Cuore de Edmondo de Amicis. Cependant je n'ai rien compris...

Autre point obscur : La Tour des éléments, également évoquée dans un poème de l'auteur, il n'y a pas plus d'explications. Elle est décrite brièvement et je me suis demandée à quoi elle servait dans l'histoire. À rien en fait.

Après un préambule qui pose le décor de son quotidien, Giovanni embarque donc dans le train de la voie lactée, y trouve son ami Campanella et va profiter de ce voyage en sa compagnie.

Attention je vais spoiler !

Spoiler(cliquez pour révéler) Le train qui parcourt la voie lactée est une métaphore de l'âme qui rejoint les étoiles. Campanella est mort noyé en essayant de sauver Zanelli, tombé de sa barque. Ce pourquoi Campanella dit bien dans le train "J'espère que ma maman ne m'en voudra pas. Mais je me dis qu'en accomplissant des actes importants, je serai pardonné."

Je trouve que la novella est trop longue pour cette finalité que l'on devine très vite (et que je connaissais grâce au film qui m'a tiré quelques larmes à l'époque). Trop de longueurs une fois dans le train, de lieux, de rencontres... qui au lieu d'épicer le texte, le rendent plutôt amer. Une petite déception, mais il faut tout de même saluer l'imagination de l'auteur.

Ce petit recueil de contes m'a laissée assez perplexe puisque chaque histoire propose des réflexions sur des sujets importants mais de manière plus ou moins profonde et détournée. J'ai eu parfois du mal avec le dénouement des contes et avec l'esthétique de certaines histoires.

En outre, il y en a de plus doux et poétiques que d'autres et ce sont ceux que j'ai préférés, comme le premier conte ouvrant le recueil.

Petits contes sur le bien ou le mal. Particulier. Certains sont mieux que les autres. La bio de l'auteur à la fin nous explique mieux les choix de ces petits contes.

Je ne connaissais pas cette nouvelle et j'ai apprécié car elle fait beaucoup réfléchir. De plus les dessins sont superbes.

Je trouve ce livre hyper émouvant. Vu a travers les yeux de chacun,quel que soit le personnage c'est magnifique.C'est un peu comme la recherche du bonheur par un enfant.

Un classique japonais que j'ai découvert à travers ce manga et ses jolies illustrations.

Une lecture apaisante et qui fait réfléchir à travers beaucoup de poésie.