Commentaires sur ses livres

Splendide ! Très belle découverte. C'est bien écrit, prenant et riche en émotions. On est happés par l'histoire dès les premières pages. Gros coup de coeur pour les personnages et notamment pour Elijah. J'ai vraiment adoré le déroulement de l'histoire qui se passe en "douceur". Par contre,

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la fin a été un peu trop abrupte à mon goût et me laisse sur un sentiment d'inachevé, avec plus de questions que de réponses. J'aimerais beaucoup une suite afin de savoir ce qu'il s'est passé entre les deux épilogues et surtout avoir un aperçu de ce qui va se passer après l'épilogue car il y a matière à faire encore beaucoup de choses avec cette histoire (La réaction des parents, des amis, de Nolan, comment Esteban a réussi à se débrouiller après sa fugue, comment ils vont pouvoir commencer à construire quelque chose de positif après tout ce qu'ils ont vécu, est-ce qu'ils pourront surmonter leur passé, la réaction de la mère d'Elijah lorsqu'elle apprendra ce que son mari a fait à son propre fils, etc. Encore plein de points qu'il est possible de développer selon moi).

Du MM, du MF, du feel good et cette fois des bikers… K. Jarno peut décidément tout écrire !
Ce premier tome des Bloodlust Spectrum est tout simplement une pépite, un véritable coup de cœur.
J’ai traversé une flopée d’émotions. Comment expliquer que je passe du rire aux larmes en l’espace de trois petites pages. Moi, je ne vois qu’une seule raison… la puissance de la plume de cet auteur.
K. Jarno nous dévoile des héros plus vrais que nature. Avec leur passé, leurs forces, leurs faiblesses, leurs projets et surtout tout leur cœur. Des cœurs malmenés, abîmés, souillés mais toujours combattifs. Les héros se sont parfaitement trouvés, ils sont cash (et pas qu’un peu), les réparties sont spontanées et tranchantes ce qui donne l’impression de les vivre en direct.

Dicey est le sergent d’armes de ce MC régnant sur la Nouvelle-Orléans. Il dégage une aura démente, sombre et intrigante. Dicey a le regard dur, hanté, dominant et froid. Il parle peu et quand il le fait c’est soit pour planifier les prochaines missions du MC soit pour prendre un malin plaisir à s’attaquer à Veronica. Dicey est dangereux et très attirant, j’ai totalement succombé.

Veronica. Alors elle, je suis fan ! Totalement effrontée, un second degré de dingue, une ténacité à toutes épreuves, un caractère de feu dans un corps de déesse. Cette femme n’a peur de rien et ne cesse de se battre pour atteindre ses objectifs. Mais dans son infiltration, elle n’avait pas anticipé devoir lutter avec un certain biker ténébreux, insolent et qui n’a absolument aucune confiance en elle. Faire machine arrière ? Hors de question et puis… il est déjà trop tard!

Ce duo détonne. Cette romance est un mélange de savoureux échanges entre deux héros qui s’obstinent à nier l’évidence et la dure réalité du monde des bikers. C’est sombre mais pas dark. C’est haletant tant pour les scènes sensuelles que violentes, K. Jarno ne nous laisse aucun répit. La peur prend à la gorge et je me suis surprise à cautionner une certaine brutalité. Les liens entre Dicey et Veronica se créent dans le danger et la menace mais c’est tellement fort que les actes de violences passent au second plan pour ne retenir que leur façon maladroite de s’avouer leurs sentiments naissants.
Bienvenue dans cette famille, atypique au quotidien chahuté et dangereux. Bienvenue dans cette famille où personne ne reste derrière et où les guerres se gagnent en groupe.

J’aurais juste encore deux choses à dire… 1.Foncez ! et 2.Vivement la suite !

Extrait :
Je le déteste trop pour que ce soit possible. Il se montre tellement désagréable que ça lui enlève tout charme. Je ne le trouve pas beau du tout. Ni quand il joue avec son dé et que je fais une fixette sur la longueur de ses doigts. Ni quand il abat son regard glacial sur moi et que je frissonne. Ni quand son tee-shirt s’enfonce dans les sillons de ses abdominaux outrageusement saillants et que j’hypersalive. Tout cela ne sont que de pures coïncidences.

Moi qui m'attendait à une romance toute légère, sans prise de tête remplie de scènes polissones...et bien je me suis fourrée le doigt bien profond...dans l'oeil.
Ce qui pourrait expliquer pourquoi je termine cette histoire avec les yeux pleins de larmes.
Encore une fois j'étais pas prête.
Kentin nous offre, en plus d'une histoire d'amour, une histoire d'amitié d'un autre monde.
J'ai tellement aimé sa façon de faire vivre ses personnages.
Au début j'ai ri pour son ironie, son humour teinté de noir qu'il laisse s'exprimer à travers le personnage de Clément.
Puis le rire a laissé place à d'autres choses, d'autres sentiments.
L'histoire s'est approfondie, les personnages aussi.
Et de fil en aiguille, Kentin a tissé un moment de lecture incroyable.
Je ne le dirai jamais assez mais s'il y bien un titre à lire de l'auteur, c'est Le secret qui nous lie...mais ce soir...
Coup d'âme assuré.

L’idée semblait bonne… Au final, les personnages sont caricaturaux, sans épaisseur (l’employeur abusif peu crédible, l’employé « je m’en foutiste »). L’histoire est inconsistante, sans relief. Quant aux développements sur l’hygiène des usagers du métro... ils n’ont pas lieu d’être dans une romance.

Atterrissage forcé après la lecture de ce missile littéraire qui m'as mise sur orbite...

Lorsque je vois sur une couverture le nom de K.Jarno je sais que je vais passer un bon moment, pour avoir lu Marie H.J. sous son autre nom de plume, je savais également que je ne serais pas déçue.
En revanche, ce que je n'avais pas vu venir, était que l'association de ces deux malfaiteurs aurait raison de moi.
Ils m'ont tout pris. Mon cœur, mon âme, mes pleurs...tout.

Outre une histoire d'amour à damner un saint, les auteurs, nous livrent une leçon de vie que je ne suis pas prête d'oublier.

Si dès le début les personnages de Noah et d'Axel sont bien marqués par un personnalité et un vocabulaire distincts, au fur et à mesure de ma lecture, j'ai pu m'apercevoir de leur évolution. Au même rythme que nos protagonistes, les auteurs ont également évolué dans leur écriture, révélant une symbiose parfaite.

Petit à petit, ils ont su mettre en évidence l'alchimie entre ces deux cœurs et je peux affirmer qu'il s'agit d'une des plus belles histoires d'amour que j'ai pu lire.
Donner de l'amour sans chercher à en recevoir, c'est beau tout simplement.

Ils ont dévasté mon âme,piétiné mon cœur et m'ont offert une lecture bouleversante.

Sur fond de romance interdite, des enjeux bien plus lourds nous sont dévoilés. Les pièces du puzzle s'assemblent, le voile se lève, et c'est avec une aisance déconcertante que nos deux plumes ont tout incendié sur leur passage.

Les 100 dernières pages m'ont transportés. Cela faisait une éternité que je n'avais pas ressenti cela.
Bon courage au prochain livre qui passera entre mes mains, parce qu'à ce niveau il en faudra beaucoup pour me transcender.

Je reste très dubitative sur mon avis pour ce livre car il me laisse à la fois l'impression qu'il est superbement bien écrit et en même temps... je me suis tellement ennuyée, tout me blasait. En fait, non, je sais que le penche plus du côté de la balance que le livre m'a ennuyé mais la plume magnifique de l'auteur a beaucoup, vraiment beaucoup atténuée le goût fade de l'intrigue.

Je n'ai rien contre les huis clos, justement, on sent la tension, on a peur avec les personnages, on vit avec eux le danger, on se demande ce qu'il va se passer. Voir le gang ennemi de la série de Insolent a fait que j'étais d'autant plus terrifiée pour les personnages mais justement... c'est parce que j'ai lu Insolent que j'ai pu me plonger totalement dans ce huis clos car autant le dire, pour réussir à être terrifiée pour les personnages il faut qu'on ait le temps de s'être accroché à eux d'une manière ou d'une autre pourtant...
Ici, on entre tout de suite dans la prise d'otage et on utilise des chapitres type "flashback" pour nous montrer l'histoire des personnages... C'est vraiment très maladroit, pour ma part, je trouve qu'on casse l'imprégnation de l'action au présent -la prise d'otage et les morts violentes qui s'en déroulent- et qu'en plus on n'a absolument pas le temps de se projeter dans chaque morceaux du passé pour comprendre mieux les personnages.

Les personnages parlons en... Ils sont vides... enfin non, ils ne le sont peut-être pas mais comment dire... On ne les connait tellement pas que j'ai juste aucun sentiment pour eux. Eli est vide, égoïste et franchement... pour un homme en médecine qui est au bout de ses études donc il s'approche bien de la trentaine... je le trouve tellement mais tellement peu assumé dans ses actes. Et ça m'a tellement saoulé qu'il passe son temps à détourner l'attention sur sa "non-action" (je ne dirai pas que c'est de la lâcheté, forcément qu'il a peur des réactions, juste de l'indécision)... car ouais, les conversions du couple, tournant autour de faire leur coming-out, bizarrement ça finit toujours, c'est de la faute de Shaw car il ne rompt pas avec Prudence... Et même si on parle de lui, d'un seul coup à cause de ça, il devient plus "excusable" que Shaw... C'est vide... tellement vide... Donc Eli, impossible pour moi d'accrocher à son personnage car mise à part ça... eh bah on ne sait pas grand chose de lui... Est-ce qu'il est timide ? Est-ce qu'il est sûr de lui dans son travail ? Est-ce qu'il un caractère ?? Shaw dit qu'il est généreux mais j'aimerai bien savoir... quand ?

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Mise à part quand Shaw est en danger de mort où soudain il lui pousse un caractère sinon il n'y a rien
Je me suis du coup, plus accrochée à Shaw qui malgré tout ,montre un grand courage pour protéger celui qu'il aimait, pour tenter de construire quelque chose avec lui alors qu'il était tétanisé comme tout humain dans ce genre de situation.

Je donne un magnifique aspect positif à l'auteur pour tout l'aspect réel de la scène. Il n'y a pas eu de "héro" qui d'un seul coup se découvre des prises de karaté ou une maitrise parfaite des armes à feu pour sauver tout le monde. Non, ça se passe comme la réalité : terrifiant, impuissant et tragiquement.
C'est surement la magnifiquement plume de l'auteur qui donnait tant mais tant de réalisme, d'imprégnation de l'histoire qui a fait que j'ai lu jusqu'au bout et qui fait que l'histoire n'est pas à jeter malgré le manque totale de bon sens scénaristique.

Le scénario... alors si on exclue la prise d'otage qui est là en fait juste pour... eh bien pour mettre au grand jour la relation entre Shaw et Eli, car oui ! ce n'est pas l'intrigue principale, non, non ! L'intrigue, c'est juste un père homophobe traditionnel type moyenâgeux qui veut diriger la vie de son fils... oui...
Alors même si on se concentre sur ça... eh bien euhhhh nous sommes en 2019 dans le bouquin... Je suis parfaitement au courant des religions musulmans, de leur tradition un peu "ancienne", je sais que dans certaine famille ça se fait toujours, qu'il y ait un rejet, oui... c'est banal, c'est même trop prévisible et peu original mais c'est TOUT ce que le père aurait pu faire car comment vous dire... Déjà, nous sommes au États-Unis, autant dire que ce n'est pas la religion principale du pays... Ensuite, nous sommes à Springfield, qui dans mes souvenirs possèdent pas mal de chanson en faveur de la cause LGBT et même la belle série les Simpsons en parle... Nous sommes dans l'Etat de l'illinois, où le mariage gay est adopté... et nous sommes dans un Etat qui puni sévèrement l'homophobie...
Tout le monde pendant la prise d'otage voit et entend ce que dit le père d'Eli et... On va me faire croire qu'Eli pense vraiment que son père peut lui imposer ça ? Sachant qu'en plus il veut renvoyer Shaw sans réel motif, ce n'est pas autorisé au Etat-Unis, encore plus que Shaw pourrait l'attaquer pour homophobie et même plus au vue des menaces et de tout ce qu'il fait à Eli... mais nan, personne ne pense à tout ça après les évènements, on doit craindre le chef de l’hôpital puis c'est tout...

Je pense sincèrement que l'auteur n'a pas fait assez de recherche pour le scénario et les possibilités de ses personnages et c'est ça qui a dû m'ennuyer car mon cerveau s'accrochait tellement à cette plume juste magnifique, j'étais plongée dans l'univers mais... Il y a tellement de choses qui n'allaient pas. Je voulais hurler au père qu'il allait avoir des problèmes avec la justice, je voulais secouer Eli en lui disant d'assumer un peu, de montrer son caractère. Shaw ! Oh mon sauveur de l'histoire pour qui j'ai ressentie des sentiments, je voulais le prendre dans mes bras, lui dire de faire attention avec son père ! Le protéger, car on voit bien qu'il est en détresse émotionnelle, qu'il est incapable de voir le mal là où il est, qu'il a besoin d'un soutient...
Toute la prise d'otage était "merveilleuse", vraiment, ça me prenait aux tripes dans les points de vue de Shaw...

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Bon par contre, la police est comme toujours chez cet auteur ; invisible. Les coupables ne sont pas arrêtés alors que les médecins/infirmières ont vu leurs visages, leurs blasons... je suis prête à parier qu'il y avait des caméras aussi sur l'entrée de l'hôpital... hummm ça suffit pour un mandat d'arrêt mais bon...

Il y a un autre point que j'ai "apprécié" malgré tout à la fin : la mère d'Eli. Malgré la crainte du père, malgré le fait qu'elle ne va rien faire contre lui, elle vient soutenir son fils, lui prouver que quelqu'un de sa famille l'aime toujours. Elle vient lui dire qu'elle l'aime qu'elle n'a pas été "éduqué" pour comprendre l'homosexualité et... c'est juste tellement vrai et parfait car souvent c'est cela le problème envers les personnes des autres générations. L'humain a toujours eu peur des différences, avant si un blanc et un noir était en couple, les parents foutaient à la porte les enfants car ce n'était pas dans les "éducations" des gens... maintenant c'est sur la sexualité et... eh bien même si je pense qu'il n'est jamais trop tard pour apprendre, la réaction de la mère m'a fait "plaisir". Pour moi, un parent qui aime vraiment son enfant ne peut que soit accepter son enfant et comprendre, soit l'accepté et comme la mère chercher à comprendre même si elle sait que c'est l'inconnu pour elle.

En conclusion, oui le livre est merveilleusement bien écrit, la plume est juste parfaite mais... le scénario et les personnages sont fades... Ce qui fait que je m'ennuyais tout en ne pouvant pas quitter l'histoire. Je le répète, la plume est merveilleuse, j'étais portée dans l'histoire malgré mon ennuie. Un peu comme si j'étais menottée dans une sale de cinéma et que j'étais obligée de voir un film en 4D, tous mes sens sont plongés dans l'histoire mais je rage sur trop de chose et je suis incapables de me libérer.

Histoire sans queue ni tête.
L'héroïne est confrontée sur son lieu de travail à un nouveau patron aussi magnifique que sexiste. Comme elle mène une double-vie et se défoule à ses heures perdues sur un blog féministe, elle en fait sa tête de turc la nuit pour se venger de ce qu'il lui fait subir le jour. En parallèle, elle est aussi très attirée par lui, ce qui semble réciproque, quoique les deux tombent très vite dans un conflit de pouvoir qui envenime tout et que son meilleur ami semble aussi en pincer pour cet homme. Bref, que c'est simple... Troisième fil d'une intrigue qui n'en avait vraiment pas besoin, voilà qu'un troisième larron, ami du patron, se prend dans les filets de l'héroïne et pourrait bien être son petit-ami parfait.
Je pense avoir résumer à grands traits cette histoire qui oscille en permanence entre romance, pamphlet féministe, ode à l'amitié et à la tolérance face aux homosexuels, bisexuels, etc., satire de la vie d'entreprise, querelle de pouvoir avec coups tordus, bassesses diverses et complot.
Autant l'avouer, je n'ai rien aimé dans cette histoire. Non seulement l'histoire se cherche mais en plus, elle rate systématiquement son enjeu. Le fil sur l'amitié finit en eau de boudin, même chose pour celui concentré sur le "véritable amour" et ainsi de suite. Mais venons-en au principal, la relation entre l'héroïne et son prince-tyran. L'auteur a manifestement voulu surfer sur la vague MeToo mais en médicalisant le problème de son patron, en ramenant le débat à la sphère bipolaire/psychiatrique, elle délégitime, sans s'en rendre compte, le combat de son héroïne et se prive d'une lecture socioculturelle du sexisme, pourtant fondamentale. Finalement, ce pauvre type misogyne est simplement un "malade" mais un malade contre lequel on emploie les mêmes armes, "parce que voilà quoi, il lui a pris son poste". C'est peu dire que le sujet méritait d'être traité avec infiniment plus de soin que cela.

Pas aimé.
Honnêtement, je ne comprends pas comment on peut catalogué ce livre de "Romance". Perso, je la cherche encore.
Je n'ai aimé ni l'histoire, ni les personnages, ni cette pseudo romance et je ne parle même pas de la fin !
Seigneur, j'ai vraiment perdu mon temps. -_-
Ce genre de livres, c'est sûr, c'est pas pour moi !

Mon dieu, plus cliché tu meurs ! Ils se rencontrent à peine et déjà ils font un pari comme deux adolescents, et le mec il a fait quoi ? 6 ans d'études pour ne même pas savoir parler à un client récalcitrant car soi disant il n'était pas méchant mais ces propos m'ont choqués tant ils étaient humiliants, lui disant en gros qu'il n'était qu'un déchet de la société sans avenir et que lui il était meilleur. Franchement. Et en plus ce pari pourri qu'ils acceptent comme deux ado en rut. Bref, ça m'a coupé l'envie, je sens le gros cliché venir ou il se chamaille puis c'est l'amour fou jusqu'à être prêt à tout l'un pour l'autre et comme c'est un gang de motards y aura des menaces, des kidnappings et un ou deux morts. Bref du déjà vu.

Un dernier tome tout en douceur, avec beaucoup d'émotions.
Celui-ci marque la fin de la trilogie, nous découvrons donc tous les secrets d'Ophélie et d'Evan, et je dois avouer que la douceur de la plume de Kentin n'a fait que renforcer l'émotion que j'ai ressentie.
Kentin traite dans sa trilogie de sujets importants et douloureux, et tout est écrit dans la bienveillance.

J'avais trouvé le tome 2 assez transitif, je pense que 2 tomes auraient été suffisant pour cette histoire. Mais je suis très contente d'avoir eu la chance de rencontrer Ophélie et Evan (entre autres), et d'avoir suivi leur évolution, tant sur l'aspect personnel, professionnel, qu'amical et amoureux.

Une belle histoire d'amour remplie de différences, des sujets importants traités dans la bienveillance et une plume très poétique, merci Kentin.

Le sujet de

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la thérapie de conversion est intéressant. Je n’avais encore jamais lu un livre qui abordait la question. Mais malheureusement, j’ai trouvé ça bâclé. Je trouve que cette partie de l’histoire n’a pas été assez approfondie. Et que dire de la fin ? Précipitée et bâclée. On a droit à deux épilogues, mais tellement courts qu’ils n’apportent pas véritablement de réponses. Bref, un peu décevant.

J'étais super contente de découvrir l'histoire de Samantha, alias Sam, la meilleure amie de Veronica, héroïne du 1er tome. J'avais beaucoup apprécié ses apparitions dans l'histoire de Veronica, et j'avais espéré secrètement qu'elle aurait, elle aussi, sa propre histoire.
Alors déjà rien que pour ça : Merciiii Kentin!
📚
Sam est un personnage auquel il est très facile de s'attacher. Brillante, intelligente, cultivée et amoureuse des livres, c'est une jeune femme discrète et timide qui ne s'ouvre pas facilement aux autres.
À force de s'entendre dire qu'elle ressemble fortement à un certain personnage de dessin animé, elle a décidé de prendre les gens au mot en poussant l'analogie à son paroxysme; mais avec pour conséquence de se retrouver enfermée dans cette image. Elle en est prisonnière et ne sait plus comment s'en défaire. Elle ne sait plus qui elle est au fond d'elle même.
L'arrivée de Delta dans sa vie, va lui permettre de s'émanciper, de s'affranchir de ce carcan qu'elle s'est créé.
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L'expression "se méfier de l'eau qui dort" prend tout son sens avec le personnage de Delta. D'une apparence calme, sereine, et tranquille, en réalité au fond de lui les émotions grondent, rugissent, bouillonnent et parfois débordent soudainement et brutalement. Delta s'efforce, en permanence, de maintenir en cage ses émotions.
Kentin nous embarque avec lui pour remonter le fil jusqu'à la genèse permettant d'éclairer le comportement de Delta. Et je dois dire que l'histoire du jeune Delta m'a beaucoup émue.
📚
Quand Delta commence à fréquenter Sam, il comprend que quelque chose en elle fait écho en lui. Ils ont un vécu similaire sur un point particulier, mais n'en sont pas au même niveau dans leur cheminement personnel. Delta étant plus avancé, il va vouloir aider Sam, sans pour autant faire les choses à sa place.
Il sera en quelque sorte l'impulsion qui permettra à Sam de se libérer. J'ai beaucoup aimé que Delta ne s'impose pas comme le 'Chevalier' / 'Défenseur' de Sam, mais bien comme une sorte 'd'accompagnant' (🤷‍♀️). A aucun moment, il ne la considère comme une demoiselle en détresse.
🔧
S'installe entre eux au départ un fake couple (suite à un mensonge du côté de Sam / en réponse à un pari du côté de Delta - pari qui m'a un peu fait peur au départ..😬). Fake couple qui va évoluer progressivement vers un friends to lovers. J'aime tellement ces deux tropes. J'ai adoré les voir apprendre à se connaître, créer un lien complice teinté d'une attraction de plus en plus forte.
📚
Concernant le MC et ses affaires, je les ai trouvé plus en retrait dans ce tome. Ce qui me fait dire que peut-être ce tome est une sorte de transition en attendant de nouvelles perspectives dans les tomes suivants.
🔧
Je terminerai en précisant qu'encore une fois Kentin m'a surprise en m'emmenant sur des sentiers que je ne pensais pas fouler avec cette histoire...!

Je ne connaissais pas cet auteur. En fait le premier livre que j’ai lu , y’a 1 semaine c.est bloddlust spectrum qui a été un des meilleurs romans que j’ai dévoré donc la différence était inévitable.j’ai bien aimé le début avec une dualité et des répartits sympas mais c’est assez vite retombé . En effet ils sont passés d’ennemi à l’inverse beaucoup trop tôt mais sans sortir ensemble. On comprend bien que Léna a subit quelque chose de grave , et qu’elle n’est pas prête à se mettre en couple , mais ça a été beaucoup trop long. Je me suis perdu dans des paragraphes entre chaque dialogues, entre un mec limite arrogant qui devient fleur bleue,entre un monde d’adultes et ensuite on les retrouve à jouer comme des gamins de 12 ans à action ou vérité et “je n’ai jamais ”. Ils ne se mettent ensemble que très tard et le fait qu’on ne partage pas leurs intimité plus tôt m’a essoufflé . Certes l’écriture est bonne mais j’ai eu l’impression de lire un roman d’ado . Je ne sais pas si je continuerai la série si les autres sont sur la même lignée . Dommage

J'ai eu un coup de coeur pour ce livre ! Ca faisait un moment qu'il traînait dans mes envies avec l'abonnement kindle, mais je ne m'étais jamais lancée.
Je suis allée au salon de la romance à Salon de Provence et après avoir discuté avec l'auteur et acheté le livre, j'avais vraiment hâte de le lire !
Chose faite, je ne suis pas du tout déçue ! J'ai vraiment adoré. C'est un roman dur, mais l'histoire est tellement belle !

On plonge rapidement dans l'action, avec Shawn et Eli qui se retrouvent au milieu d'une prise d'otage dans l'hôpital où ils sont internes en chirurgie. J'ai beaucoup aimé l'alternance entre le présent et le passé, mais également entre les différents personnages. Ca m'a permis de vraiment être immergée dans leurs pensées.
Au niveau des personnages, j'avoue que parfois il m'ont un peu agacée (mais personne n'est parfait) et que j'avais envie de leur secouer les miches. Que ça soit du côté d'Eli ou de Shawn... Parce que leur amour est évident, et même pour eux il l'est, alors j'avais du mal à comprendre leurs réticences, même si elles sont clairement développées et bien amenées (le dilemme d'Eli qui doit choisir entre Shawn et sa famille / religion et Shawn qui a une dette envers Prudence...)

Je ne me suis pas beaucoup attachée à Prudence, même si j'ai pu voir son "bon" côté grâce au point de vue de Shawn, mais clairement c'est le genre de personnes que j'ai du mal à apprécier.

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donc j'avoue que ce qui lui arrive, m'a plutôt arrangée, parce que du coup ça m'a évité de voir un scandale avec des pleurs face à Shawn et Eli...

Le père d'Eli est détestable, je déteste tellement ce genre de personnes intolérantes comme ça ! La religion n'est pas quelque chose de fondamentalement mauvais, mais entre les mains de certaines personnes, elle le devient. Et je déteste ces personnes qui prennent comme prétexte la religion pour diffuser leur haine et leur incompréhension. Bref, je n'arrivais même pas à comprendre qu'Eli continue à vouloir lui plaire...

En tout cas, c'est tous ces sentiments, cet amour que j'avais pour Shawn que j'ai vraiment adoré, il est tellement gentil, tellement humain, et cette haine contre le père d'Eli font partie des raisons pour lesquelles j'ai adoré ce livre.

Eli et Shawn sont déjà en couple (même si rien n'est officiel, même entre eux) et amoureux (idem) dès le début du livre, et je croyais que ça pourrait me gêner, car j'aurai manqué toute la partie où les personnages tombent amoureux, mais les flash-back ont comblé ce manque, et leur amour est tellement beau et pur que j'ai aimé ce couple dès les premières lignes.

En bref, un coup de coeur que je relirai régulièrement je pense !

J’avais enchaîné avec plaisir la lecture des trois premiers tomes, et attendais ce dernier tome avec impatience. De mon point de vue, c’est le moins bon des quatre tomes. C’est toujours sympa de retrouver l’univers des Four Wingmen of the Apocalypse mais l’histoire entre Caleb et Carrie n’est pas vraiment spectaculaire. En plus de cela, ce tome laisse des questions ouvertes:

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On peut se demander pourquoi l’identité du propriétaire de « Spotted Yale » n’a pas été découverte avant ce tome 4 car cela ne semblait pas si impossible que ça à faire. Malgré l’explication de ce tome, on ne comprend également pas tous les choix de Caleb notamment son intervention en tant que « Spotted Yale » dans le tome 2 portant sur Roméo/Nadia.
*
La partie bonus revient sur les 4 couples formés durant les 4 livres.

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C’est également un peu décevant. Un point plus loin dans le temps aurait été mieux.

Globalement, une lecture sympa mais sans plus.