Kerrigan Byrne
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Note moyenne : 7.73/10Nombre d'évaluations : 761
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Voilà une autrice dont j'avais entendu beaucoup de bien en romance historique et qu'il me tardait de découvrir. Celui-ci fait partie de la série Les demoiselles Goode (ici, le second tome), le précédent étant sorti sous le titre : Sans foi ni loi, une autre série. Pour le coup, je n'étais pas au courant et je n'ai pas eu de problème à me plonger dans cette nouveauté dans le sens où le premier volet était sur un autre couple.
Dans L'homme aux yeux d'or, nous suivons Nora et Titus. Plus jeunes, ils sont tombés amoureux. Mais Nora étant la fille ainée d'un baron et Titus, un simple valet de pied, toute relation durable était impossible et ils se sont quittés en mauvais termes. Quinze ans plus tard, Titus est devenu un chirurgien réputé, tandis que Nora est désormais veuve d'un criminel de la pire espèce. Mais les sentiments ne sont jamais vraiment partis.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette romance se lit ultra rapidement. Moins de 300 pages, avec une bonne centaine de pages qui nous plongent dans le passé de nos deux amoureux. Je dois dire que j'ai beaucoup apprécié cette première partie de l'histoire. Elle permet de comprendre les sentiments de nos deux personnages ainsi que le début de leur relation. Titus idolâtre littéralement Nora dans le passé et on sent bien que ça durera. Du côté de Nora, c'est une autre paire de main. D'abord, elle ne le remarquera pas vraiment et puis tout va changer lorsqu'elle va tomber malade. On sent d'ailleurs déjà la vocation de Titus à cette époque. C'est à ce moment là que commencera une relation interdite. Interdite car son père, le baron voit loin et compte bien marier son aînée à un homme riche. Cette relation sera donc vouée à l'échec dès le début.
Ce qui nous conduira vers le présent. Changement de décor et surtout ajout d'un élément perturbateur. Le mari de Nora, violent, criminel et surtout désormais mort, la jeune femme va donc retomber sur son premier amour dans certaines circonstances. Et si j'ai apprécié dans sa globalité cette histoire je dois dire que j'en attendais plus. C'était un bon moment, les bases étaient vraiment bien posées et avec du potentiel, mais, dans le présent, l'autrice concentre cette histoire sur l'aspect passion et non sentiments. Ce qui fait qu'en dehors de leur attirance flagrante, qui est toujours de la partie, on ne creuse pas leur passé (séparé), la fameuse haine que nous annonçait le résumé et qui finalement ne dure qu'une seconde. Et ça, je trouve ça dommage. Ca va très vite et pire encore, Nora reproduit les mêmes erreurs qu'à l'époque, ce qui donne la sensation qu'elle ne mérite pas vraiment Titus.
Alors voilà, j'ai passé un bon moment, la plume est agréable, l'histoire est chouette mais ça manque vraiment d'approfondissement de la relation, des émotions et des sentiments des personnages. Qu'ils soient fous de désirs si le reste est creusé, d'accord mais j'en attendais bien plus. J'ai cru comprendre que ce n'était pas le meilleur des tomes de ses séries, je verrais donc si à l'avenir je me laisserais tenter ou non.
Afficher en entierPour du Kerrigan Byrne, je trouve ce titre plutôt décevant et trop convenu ! Moi qui me faisais un plaisir de retrouver l’univers de Sans foi ni Loi dont Les Demoiselles Goode sont issues, c’est une petite déception.
L’intrigue est superficielle et la romance, trop rapide à mon goût. De mon point de vue, elle manquait cruellement de sel et de piquant. Rien à avoir avec les premiers tomes de Sans Foi ni Loi. Pourtant, avec le passé et les quiproquos entre Titus et Honoria il y avait de quoi faire. Titus n’arrive pas à la cheville de ses prédécesseurs et Honoria est assez fade, elle qui passait pour une femme égoïste, facile, voire cruelle. Elle aurait pu être tellement plus que cette fille qui se languit pour son amour de jeunesse qu’elle a trahi.
Si j’ai pris plaisir à retrouver quelques héros des tomes précédents (de la série principale), j’ai lu l’histoire de Titus et Honoria sans trop d’émotion. Durant ma lecture, j’ai eu l’impression que l’autrice cochait un cahier des charges. Des héros-amants qui se détestent, mais se désirent. Des quiproquos parfois assez bateau, une rivale pour un peu de jalousie qui dure à peine un paragraphe et un méchant plus que superficiel. Et le pire, je crois, c’est l’amorce des futures romances avec deux des sœurs d’Honoria… Là encore, je ne sais pas, mais j’ai trouvé ça mal venu.
Dans l’ensemble, si j’ai lu le roman sans difficulté, je n’ai pas ressenti grand-chose pour les personnages ni pour l’histoire. À mon avis, c’est une romance historique que je risque, hélas, de vite oublier.
Afficher en entierLes premières pages sont fortes : ma curiosité est piquée. Le prologue est une mise en bouche bien prometteuse. Le roman m’embarque assez rapidement. J’ai l’impression qu’une certaine intrigue avec chantage et vengeance va être la ligne principale de ce roman.
Il est vrai qu’Alexandra et le Duc de Redmayne combattent des démons jusqu’à l’ultime page de ce roman mais, ce qui domine, est davantage la relation des deux protagonistes. L’histoire avance au rythme de leurs découvertes corporelles, de leur désir, de leur séduction. Ce roman est essentiellement basé sur l’érotisme d’une rencontre avec en toile de fond un passé qui ressurgit et qui menace (vraiment ?) d’entraver le plaisir de ces deux êtres. Un défi gagné d’avance…
Les passages descriptifs de leurs gestes dominent dans tous les chapitres. Leur amour naissant encombre la narration jusqu’à devenir central et essentiel. Cela peut être plaisant au début mais cela me semble insuffisant lorsque je fais le bilan de ma lecture.
Le dénouement est rapide. Les ennemis sont vite mis hors d’état de nuire. J’aurais préféré davantage d’actions et de combats entre les protagonistes et les antagonistes et quelques scènes sensuelles parsemées par-ci, par-là sans qu’elles ne deviennent omniprésentes. Cet équilibre m’aurait davantage satisfaite.
Bilan : Je regrette l’omniprésence de l’amour et des scènes descriptives dans cette romance, très romancée. Au bout d’un moment, je me suis lassée de ces conquêtes et de ces jeux sensuels. Je préfère quand la romance est en second plan.
Afficher en entierLa première fois que je l'ai lu je l'ai trouvé éblouissante.
Une romance qui commence dés le jeune âge, un personnage féminin courageux, un autre masculin torturé. C'est l'une des plus belles histoires Aventure et Passion dont j'ai tiré un réel plaisir à lire et dont je me souviens encore aujourd'hui.
Afficher en entierAutant j'avais apprécié la série "sans foi, ni moi" (je crois que j'ai pratiquement tous les tomes), autant ce livre m'a déçue : j'ai trouvé le style décousu, le ton pompeux, les personnages insipides. Bof !
Afficher en entierLe titre n'a rien à voir avec l'histoire, je trouve. Je dirais même que c'est le titre le moins bien trouvé depuis longtemps. Le résumé effleure à peine l'histoire laissant présager (avec le titre) quelque chose de bien différent. C'est dommage qu'on ne puisse plus faire confiance aux résumés.
Cependant, l'histoire en elle-même est sympathique. On retrouve Cecelia, notre Rebelle rouge préféré (pour moi) qui se voit offrir du jour au lendemain un casino avec des moeurs plutôt légères (très, un peu de tenue parfois ça serait pas de refus). Et elle retrouve Cassius, le juge et beau-frère du personnage principal du tome 1. Elle doit se déguiser pour ne pas être reconnu et faire en sorte d'aider les personnes qui ont besoin de son casino (et de l'école accolé) tout en voulant retrouver la vérité sur les fillettes kidnappés et vendus.
Je trouve que beaucoup de chose fut "dommage" dans cette histoire. Il y avait moyen, par exemple de faire d'autres quiproquos alors que là, même si la réalisation se fait au milieu du roman, elle n'était qu'inévitable tant elle n'avait pas autant d'importance que ça. Il n'y avait pas réellement de dualité entre "la lady de jour et la joueuse de nuit".
Ramsay m'a touché, et j'ai particulièrement aimé son personnage. Je pense que pour le moment, ce tome est mon préféré. A voir avec le tome 3 ;)
Afficher en entierParution chez J'Ai Lu en mars 2024 sous le titre : "L'Homme à l'accent français".
Afficher en entierJ’aime énormément cette autrice de romance historique et l’univers qu’elle a su créer avec sa série principale, Sans Foi ni Loi. Ce spin-off se concentre sur les sœurs Goode et ce deuxième tome plus principalement sur l’une des deux jumelles, Mercy.
On peut dire que Mercy est une jeune femme pleine de ressource que le danger n’effraie absolument pas. Une vraie tête brûlée. Et que notre héroïne est aussi une enquêtrice en herbe ! C’est en découvrant qu’une de ses amies a été assassinée que Mercy va revoir l’un des frères Sauvageau. Des brigands recherchés par la police. Raphaël le plus jeune des frères est assez attrayant et un terrible séducteur. Enfin, c’est ce qu’il montre. Tout comme il ne cache pas son attirance pour Mercy même si une relation entre eux est impossible. Raphaël et son frère Gabriel ont des projets, donc une histoire avec la jeune femme est exclue. Quant à Mercy, elle est bien décidée à trouver le meurtrier de son amie quitte à se mettre en danger.
J’ai aimé la tension sexuelle qu’il y a entre les héros ainsi que le mystère entourant les frères Sauvageau. J’ai également apprécié revoir l’inspecteur Morley et certains personnages des romans précédents. Ce qui m’a moins plu par contre et que je trouve assez décevant aussi, c’est que tout va trop vite et que l’histoire est plutôt courte. On n’a pas le temps d’apprendre à connaitre les héros, et de voir les liens qui commencent à se créer entre eux. Tout s’enchaine et le dénouement de l’enquête arrive bien trop rapidement aussi !
Malgré tout, je n’ai pas boudé mon plaisir en lisant ce nouveau tome et je dois admettre que je suis très curieuse de connaitre l’histoire de Gabriel, le frère aîné de Raphaël, un géant qui cache de sacrées casseroles !
Afficher en entierJ'ai été déçue par ce bouquin. Je trouve que la romance va trop vite.
Afficher en entierJe n'ai pas lu les premiers tomes de ce spin-off de Sans foi ni loi ce qui ne m'a pas empêché de comprendre l'histoire et de retrouver des personnages bien connus. J'ai lu ce tome par curiosité justement, vous pouvez donc sans souci lire les tomes indépendamment les uns des autres.
Néanmoins j'avoue que je l'ai trouvé très décevant comparé justement aux autres livres de l'histoire principale, les personnages sont creux, la romance fade, l'intrigue cousue de fil blanc.
C'est dommage.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Kerrigan Byrne
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Editeurs
J'ai lu : 12 livres
Ardent Publishing : 11 livres
J'ai lu Pour Elle : 7 livres
LYX : 5 livres
LYX.digital : 5 livres
Saint Martin's Press Inc. : 4 livres
St. Martin's Paperbacks : 4 livres
Kerrigan Byrne : 4 livres
Biographie
Kerrigan Byrne a fait beaucoup de choses pour payer les factures, des forces de l’ordre au professeur de danse du ventre. Maintenant, elle est enfin en mesure d’avoir la carrière qu’elle avait décidée à treize ans quand elle a annoncé à sa famille très sceptique qu’elle allait « grandir pour devenir une romancière ». Qu’elle écrive sur les druides celtiques, les mauvais garçons victoriens ou les agents irlandais du FBI, Kerrigan utilise sa passion obsessionnelle pour l’histoire, sa vaste ascendance celtique et son amour de Shakespeare dans presque toutes les histoires.
Kerrigan vit avec son mari sur la côte de la péninsule olympique de l’État de Washington dans une ville de l’époque victorienne presque figée dans le temps. Quand elle n’écrit pas, vous pourriez la trouver sur la plage avec ses chiens, se prélasser dans un vignoble ou une brasserie locale, ou acheter des choses dont elle n’a pas besoin dans les magasins d’antiquités. Ses romans avec St. Martin’s Press incluent la série Victorian Rebels (à commencer par The Highwayman)et la série Devil You Know (qui commence par How To Love A Duke in Ten Days).
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