Kiriko Yumeji

On rentre directement dans l'action, pas d'explications, il faut suivre comme on peut, spectateur halluciné. Si le scenario est aussi solide qu'il y parait, ce peut-être un très bon manga.

Longtemps que j'avais lu le premier tome, difficile de se remettre dans le bain après tout ce temps. Mais une chose est sûre, l'ambiance, les dessins et le cadre, ça reste très maîtrisé et parfaitement réussi.

Mais toujours pas totalement emballée par ce tome. Pour commencer, à cause de cette dimension dramatique. La façon dont les personnages clament leur tirade, on se croirait presque dans une pièce de théâtre (qui s’apparentait plus à une tragédie pour le coup), avec pour une fois, une écriture très soignée (en général, c'est plutôt secondaire dans un manga). Alors ça contribue à l'ambiance du manga, à en faire ce qu'il est. Mais personnellement, je n'adhère que moyennement, parce que la touche poétique dans les paroles en plus du cadre historique, je trouve que ça fait légèrement pompeux, et donc pas forcément addictif.

Ensuite, niveau scénario... Eh bien, je suis déçue. Par l'idée est bonne, originale, tout ce qu'on veut. Mais je n'ai pas eu l'impression que l'intrigue évoluait beaucoup dans ce tome, et j'ai eu ce sentiment de redondance... Seulement le second tome, et je trouve déjà l'histoire trop répétitive. Parce que finalement, il n'y a pas de points vraiment développés. A la limite, on a quelques éclaircissements sur certains personnages, mais autrement le schéma est le même : un poète qui débarque, rencontre, bataille, et défaite du poète. Pas de nouvelle tournure, pas un autre élément qui donnerait une toute autre vision de l'histoire, non. C'est toujours pareil.

De beaux dessins et un bon début d'histoire. On a des personnages intéressants dans un Paris au XVIIIème siècle. On est dans un monde où la poésie peut ronger l'âme et où la magie et l'alchimie sont présentes. Petit regret tout de même, des noms célèbres apparaissent (par exemple, Diderot), mais cela n'a aucun rapport avec les personnages historiques (la preuve, celui qui a pour nom Diderot n'a pas le même prénom que l'écrivain que l'on connaît tous).

L'histoire s'éclaircit un peu, on en apprend plus sur Lia et d'autres personnages. J'ai adoré quand d'Alembert s'est amusé à transformer le mot psalm en équation mathématiques plutôt qu'un anagramme classique.

Toujours des noms de personnages historiques mais pas de vrai rapport avec les originaux, on reste dans l'adaptation libre.

Cela fait plusieurs années que je possède cette série dans ma bibliothèque et je n'arrive pas à m'en séparer à cause des dessins. Ils sont magnifique, avec tant de détails qu'il faut un petit moment pour tout voir...

J'ai remis mon nez dedans ces derniers jours, et qu'elle déception ! Je ne trouve pas d'autres mots que déception et frustration... L'histoire est intéressante mais en huit tomes l'auteur n'a pas eu le temps de développer complètement son intrigue (enfin à mon goût). Pleins de points restent sombre, il y a certains choses que je n'ai pas comprises...

Un beau manga qui mérite d'être bien plus travaillé car avec cette fin on ne peux que s'attendre à une suite.

On continue d'en découvrir plus sur les différents acteurs de l'histoire (mais pas vraiment de l'Histoire car certains personnages n'ont pas beaucoup de points communs avec leurs originaux).

La recherche de l'assassin de Lia et des poètes n'est pas encore prête à se terminer.

Un tome plein d'action. Cela bouge aussi de plus en plus du côté du des poètes.

Le mode de combat des jumelles était intéressant.

Un tome plein d'action qui finit avec beaucoup de suspens.

On a pas beaucoup avancé dans l'histoire, même si certains personnages ont pu évoluer ou révéler leur allégeance.

Encore un tome plein d'action. Le comté de Saint Germain montre ses couleurs petit à petit.

Clairement le meilleur tome de la série pour le moment. Beaucoup de choses se passent et le personnage de Mme de Pompadour rajoute de la profondeur à l'intrigue, même si ses choix sont prévisibles depuis sa première apparition.