Commentaires sur ses livres

lecture un peu en dents de scie, c'est très beau, on passe un assez bon moment, mais il ne se passe pas grand chose à vrai dire, et les personnages ne sont pas assez profonds pour que l'effet slice of life suffise à lui seul... je n'apprécie pas plus que ça le patron-chat non plus, bref je ne lirai pas la suite

très bonne découverte.Vraiment émouvant,beaucouo de potentiel pour la suite.

les prénom des personnage son un peu bizarre mais j'ai bien aimer le livre

Clap de fin sur un tome plein de rétrospectives et de chapitres très portés, pour mon plus grand bonheur, sur la plongée. C'était un effet quelque chose que je regrettais un peu à propos des derniers tomes.

Les adieux entre Teko, Pikari - et dans une certaine mesure avec nous-mêmes, lecteur - ont été difficiles, beaux, larmoyants mais au final ils auront été pleinement satisfaisants.
J'ai énormément apprécié qu'il n'y ait pas un mais plusieurs chapitres dédiés à l'épilogue. J'ai ainsi pu connaître, sans équivoque et sans me sentir pressée, ce qu'il advient de tous les personnages auxquels je m'étais attachée.
J'imagine qu'après les avoir dessinés pendant 12 ans, la mangaka maîtrise parfaitement son scénario en plus de son dessin poétique et délicat.

En bref, une conclusion qui me convient.

Un tome qui donne envie de visiter le Japon ou, à défaut, de se préparer un bain de pieds.

J'ignore si l'éditeur a pris la décision d'arrêter la série ou si la mangaka en est arrivée au bout de ce qu'elle avait à raconter avec ses personnages mais, même si j'apprécie la diversité des points de vue des différentes saynètes, la temporalité a défilé à vive allure !
En quelques dizaines de pages, on est passé de la fin du printemps au milieu de l'automne !

Si les graphismes n'avaient pas été aussi raffinés qu'à l'accoutumée (à l'instar de la double page de la baleine, par exemple), j'aurais pu me demander si le tout n'avait pas été bâclé.

Toujours est-il qu'il ne reste plus qu'un tome ! Je vais être bien triste de finir cette série.

Cet un très beau manga qui tourne autour des gondolières, en effet, c'est l'histoire de Akari.Elle rêve de devenir gondolière et choisit donc de passer un test pour entrer dans une compagnie, mais problème, Akari c'était entraînée jusque là en conduisant la gondole à l'envers sans qu'elle s'en aperçoive, elle a donc beaucoup plus de mal.
Arrivera-t-elle au bout de son rêve ????

Un tome agréable où on en apprend plus à propos des nouvelles recrues, le tout agrémenté de belles doubles pages aquatiques.
J'ai bien aimé le clin d'œil à Minecraft ainsi que l'amour pour la photographie qui transparaît à travers les mots de la mangaka.

Ayant constaté, dans le tome précédent, l'évolution de Pikari et de Teko, je ne peux m'empêcher de remarquer que le focus est dorénavant plus axé sur les jeunes du club.
Peut-être que je ressens une sorte de mélancolie due au fait que la fin de la série se rapproche inexorablement.

Un tome doux amer dans lequel les jumeaux font leurs adieux ; c'est maintenant la vie universitaire qui s'ouvre à eux. Faisant par la même de Kokoro le seul personnage masculin récurrent, ce qui est vraiment très peu.

D'un autre côté, les deux nouvelles recrues du club de plongée apportent avec elles un vent de fraîcheur bienvenu.
En faisant la connaissance de Sakura et de Momiji, j'ai pu me rendre compte du chemin parcouru par Teko et Pikari depuis le tome 1. Quelle évolution ! Non seulement Teko est plus assurée et avenante - je suis sûr que la position de présidente du club va lui être bénéfique - mais Pikari est plus mature et moins dissipée, preuve en est de son ouverture à la romance.

Enfin, plus mature mais toujours aussi prompte à nous faire rire. Et lorsque l'on ajoute les très belles doubles pages aquatiques, voilà qui donne encore un très bon tome !

Manga tout un douceur pour ce premier tome tranche de vie, les personnages sont attachants et on y trouve aussi une touche d'humour bienvenue. Les doubles pages colorées de cette edition sont magifiques! A voir la suite

Cela faisait longtemps que je n'avais pas ouvert un tome d'Amanchu ! et j'ai été ravie de retrouver, comme à l'accoutumée, de superbes planches à l'architecture et aux personnages soignés - même si les animaux laissent généralement à désirer, lol.
Ce que je déplore cependant, c'est que seul un chapitre soit consacré à la plongée. Les premiers tomes, qui étaient très portés sur la pédagogie, me manquent quelque peu.

De plus, j'ai comme l'impression qu'une belle ellipse se soit glissée dans les parages : j'ai eu du mal à reconnaître certains personnages, notamment Pikari elle-même.

En bref, il me semble que la fin de la série intervient dans quelques tomes, aussi j'espère retrouver d'ici là cette touche d'onirisme, propre à la mangaka, que j'affectionne tant...

Aria c'est ma pause douceur. C'est cette étincelle de pur bonheur.
C'est LE manga à dévorer quand ça va mal. Notre héroïne est douce, patiente, elle s'émerveille de chaque chose qui l'entoure, elle est sage et déterminée. Une histoire du quotidien, un récit positif pour se faire du bien sans modération.

Ici on change un peu grâce aux festivals, ce qui ne fait pas de mal, car sinon on n'a pas vraiment d'intrigue intéressante à suivre autre que la vie de tous les jours sans perturbation. Les tenues de festival sont particulièrement belles.

Un tome dans lequel il ne se passe pas grand chose encore une fois. Le temps passe et il y a des histoires qui pourraient sembler sans rapport les unes avec les autres.

Un manga plein de douceur et de poésie. Les personnages sont attachants et il y a beaucoup de références à Venise et son histoire. L’autrice a su y ajouter un peu de magie avec des éléments fantastiques et de la science fiction. Je trouve juste le format un peu long (quasi 400p).

Comme toujours, un tome onirique et chaleureux.
J'ai spécialement aimé le chapitre

Spoiler(cliquez pour révéler)

sur la retraite de la gondole avec son récapitulatif des lieux marquants de la série. Cependant, j'ai peine à croire - après tout ce temps et la progression fulgurante des débuts - qu'elles ne soient toujours que des apprenties.
J'apprécie beaucoup que les interactions romantiques soient plus marquées, même si cela reste subtil et progressiste. Au moins de ce côté-là les choses changent !