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🌼 Rien ne va plus dans le paisible village de Demi-mot : une lettre s'est effondrée à la frontière de la bourgade et Prospérine Virgule -Point retrouve un cadavre dans sa boutique. La jeune fille décide donc de mener l'enquête et de se diriger vers la capitale pour éclaircir ce mystère...
🌼 J'ai beaucoup apprécié ce roman, qui pour moi est vraiment différent des autres.
🌼Je dois avouer que ma lecture au début a été ralentie par ce monde créé par l'autrice : nous avons ici une belle mise en abîme ( dans cette histoire il existe un Monde à l'intérieur des livres) et Laure Dargelos joue très bien avec le style et le champ lexical de l'écriture, ce qui peut surprendre au début.
🌼 Tout le roman a pour point central l'écriture (l'enquête tourne autour d'un manuscrit inachevé) et cela est renforcé par la mise en page et les illustrations qui font partie intégrante de l'histoire.
🌼 Une fois habitué au style, nous sommes plongés dans une enquête intéressante et surprenante : que se passe-t-il réellement dans le monde des livres ?
🌼 Enfin les personnages sont attachants et ont chacun une personnalité qui leur est propre. Mon personnage préféré est sans conteste Ernest dont j'adore la manière de parler et le pouvoir.
🌼En conclusion, une très belle découverte et un roman très original. Je pense me servir de quelques extraits pour expliquer aux élèves la mise en abîme. Je pourrais aussi le recommander à des élèves de quatrièmes bons lecteurs. En tout cas pour moi ce fut vraiment un très bon moment de lecture et je reste admirative de l'exercice stylistique. J'ai hâte de découvrir les autres romans de l'autrice.
Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin
Ne prenant pas ses lecteurs par la main, le titre s’adresse à des ados en passe de devenir de jeunes adultes, en leur promettant pour le coup une aventure haletante, à l’habile plume.
Les Oubliés d'Astrelune
La Voleuse des Toits
J’ai vraiment adoré!
L’univers est vraiment captivant et très bien construit
On découvre Plume, jeune aristocrate qui rêve d’un monde meilleur. La société dans laquelle elle vit est dictatorial, l’art est prohibé et passible de la peine de mort. Elle rêve de rejoindre la rébellion pour mettre fin au règne de la ligue écarlate.
Bien évidemment tout ne va pas se passer comme prévu !
On va vite découvrir Elias, futur seigneur de la ligue écarlate tout à fait détestable mais croyez le ou pas, je me suis beaucoup attaché à lui et il m’a beaucoup touché par son histoire . Comme à plume d’ailleurs.
Même si certains traits de leurs personnalités m’a quelques fois déranger dans l’ensemble je les ai beaucoup aimé.
Certains personnages secondaires sont top et très attachants.
Le livre est coupé en 3 parties et comment vous dire que la deuxième m’a fait tomber sur les fesses. Un rebondissement auquel je ne m’attendais absolument pas.
Mais passé la surprise je me suis de nouveau laissé porter par ma lecture.
J’ai ressenti énormément d’émotions pendant ma lecture et j’ai même versé quelques larmes.
Même s’il y a quelques petits défauts je trouve que c’est vraiment un très bon roman pleins d’émotions.
Un petit coup de cœur
L’audio est vraiment extra et je vous le conseille vivement
La Voleuse des Toits
Les Oubliés d'Astrelune
Vous l'aurez compris, Prospérine Virgule Point et La phrase sans fin est un roman atypique. L'auteure Laure Dargelos nous plonge dans un environnement pluridimensionnel, celui des auteurs mais surtout celui des livres. Elle réussit à construire un monde qui prend racine au cœur même des romans (achevés ou non), créant des villages et des personnages hauts en couleur et en ponctuation. Elle s'amuse et nous amuse avec des jeux de mots, se jouant de l'orthographe et de la grammaire pour donner vie à la langue française tout en y mettant la forme au cœur même de ses chapitres (bien que les illustrations soient très "simplistes").
L'histoire est entraînante, pleine d'humour et de suspens (bien qu'un brin dramatique). Du début à la fin, Laure Dargelos m'a transporté en me faisant vivre les aventures de Prospérine. J'ai adoré son côté loufoque, ses plantes, sa persévérance !
Pour moi c'est un roman ingénieux, parfaitement construit, une véritable pépite pour les amoureux des livres.
Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin
Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin
Le roman est structuré en trois parties qui correspondent presque à une trilogie regroupée en un seul livre. Je dis presque, car pour réussir une bonne série, chaque tome doit avoir sa propre histoire qui s’intègre dans le fil principal sans pour autant nous sauter aux yeux dès le premier roman. Or ici, nous n’avons qu’une unique trame découpée entre plusieurs personnages. Nous suivons d’un côté Plume et Elias et de l’autre un groupe de rebelles.
Dès les premières lignes qui mettent en scène la furtivité de Plume (Éléonore Herrenstein) au sein de la nuit, j’ai été happée par l’histoire. Toutefois, quelques longueurs ont fini par me détacher du texte auxquels j’espérais me rattacher par la suite. Surtout que j’avais deviné l’un des gros retournements de situation avant la moitié du livre. Si la passion n’est pas revenue, j’ai apprécié le sentier obscur que l’autrice a choisi pour atteindre la fin de l’histoire et qui évitait une facilité scénaristique que d’autres n’auraient pas hésité à emprunter pour redorer l’image de l’antagoniste.
Plume est la fille de l’ancien ambassadeur du pays d’Orme. Logée dans les beaux quartiers de Seraën, elle se sent prisonnière des murs de la cité qui la protège de l’ennemi, Valacer. Alors, elle profite de la nuit pour se balader sur les toits. Elle brave l’autorité de l’Oméga en dessinant à la craie et en pénétrant dans les bas-fonds. Une liberté qui lui sera d’autant plus chère quand elle deviendra la fiancée d’Elias d’Aubrey, un héritier de La Ligue écarlate qui terrorise le peuple sous le joug de l’Oméga.
« Elle était devenue une voleuse des toits qui, à la nuit tombée, usait de l’obscurité pour dérober au gouvernement une part d’espoir. Un morceau de ciel étoilé qu’elle glissait sous son oreiller et qui l’accompagnait dans chacun de ses songes. »
Nous avons une héroïne pure dont les graines de la révolte ont germé grâce à une injustice et s’enracinent au fil de ses interactions avec Elias et les rebelles pour éclore en espoir. Cependant, nous sommes loin d’une donneuse de leçon éclairée sur tout. Intrépide, Éléonore est aussi fataliste et terriblement rêveuse. Les deux ne sont pas incompatibles. Lorsque la flamme de l’espoir vacille dans son cœur, il suffit du souffle d’une personne proche d’elle ou une situation inextricable pour la raviver. Sa détermination reflète la naïveté de la jeunesse, ce manque d’expérience et de lucidité qui permet d’envisager l’ensemble des conséquences d’un acte. Ainsi, elle apprendra à ses dépens (et à ceux des autres) que tout symbole de révolte ou toute solution empreinte de justice engendre des causes multiples, bonnes comme tragiques.
Elle apprend à danser dans cette vie grise avec Élias. Ce seigneur ténébreux est l’archétype du beau gosse méchant au passé douloureux. Manipulateur, sarcastique, violent, il ne comporte pas de réelle surprise par rapport à son évolution psychologique. Leur relation m’a à la fois plu et déplu. Les affronts, les joutes verbales et leurs omissions m’ont égayée par leur nature. La romance m’a laissée de marbre, car je pense qu’elle n’était pas nécessaire au développement de l’histoire. La psychologie de Plume qui accepte le mariage au début du roman uniquement par obligation dessinait une femme qui n’a pas besoin d’amour pour s’attacher aux autres. Honnêtement, je l’aurais bien vue agir de la même manière par amitié que par amour. Je n’ai pas cru au développement de ce enemies to lovers. Mais, La voleuse des toits reste un roman young adulte. Et comme la majorité des récits ciblant ce public la romance doit impérativement s’établir dans les pages. Je pense que ce genre peut se passer de ce trope, se départir de cette obligation. Une histoire d’amitié peut tout aussi être poignante que l’amour entre deux personnes.
Mis à part ce petit désagrément, j’ai adhéré au thème qui défende l’expression artistique et sa force symbolique. J’ai adoré la manière dont l’autrice a tissé ses trois lois dans son univers et l’intrigue, en dévoilant les réelles raisons de leur promulgation. Des règles qui s’arment de la propagande, de la censure pour faire régner la peur. Un système qui garde les chiens gémissants en laisse grâce à la haine de l’étranger. La guerre contre Valacer, la nation ennemie, démontre l’efficacité de l’utilisation d’une sorcière pour justifier les maux et les actes des tyrans.
« – Je n’ai pas peur de la justice des hommes, déclara Finhen. Elle n’est qu’une institution fragile qui, sous prétexte d’œuvrer pour le bien, se révèle très souvent arbitraire. Elle a beau porter le nom de justice, elle n’est jamais juste… »
Le seul élément qui m’a dérangée concerne la notion de talent inné pour la peinture. Personne ne sort de l’utérus de sa mère un pinceau à la main et la capacité de reproduire le monde avec une perspective et des proportions parfaites. Affirmez ça, c’est éliminer toutes les heures, tous les jours, les mois, les années d’entraînement et d’assiduité pour arriver à dessiner correctement. Même les prodiges sont des amateurs sans répétition.
En bref, La voleuse des toits place son intrigue dans une ville emprisonnée par les ambitions d’un dictateur qui use de la haine de l’étranger et de la peur pour assouvir son emprise sur un peuple divisé. À travers les mésaventures de Plume et Élias, l’autrice dévoile le dessin préparatoire esquissé sur la toile de son monde en diluant progressivement les couches de peinture qui dissimulent les desseins de l’Oméga. Une histoire et un univers simple, mais divertissant, quoiqu’un peu long.
La Voleuse des Toits
Les Oubliés d'Astrelune
Tout doucement, on voit les deux personnages principaux changer, comprendre des choses et tout faire pour modifier ce qui doit l’être. J’ai trouvé Eléonore très courageuse. C’est une gamine de l’aristocratie, pourtant elle fait preuve d’une lucidité à toute épreuve. Fonceuse, elle n’hésite pas à manipuler, voler ou se battre. Je l’ai beaucoup aimée. Elias est plus difficile à cerner. Il souffle sans arrêt le chaud et le froid, à souvent un comportement ambigu et perturbant. J’ai eu du mal à savoir si je pouvais me fier à lui. En tout cas, c’est bien lui qui réserve le plus de surprises.
Lors de la troisième partie, tout s’enchaîne, les masques tombent. L’histoire prend un autre tournant et il se passe énormément de choses. Mais surtout, tout prend une autre dimension et les émotions sont exacerbées. J’ai été assez soufflée par ce que j’ai lu et j’ai été très émue lors de certains passages. Je ne m’attendais pas à ça. Les révélations sont folles. Je n’ai rien vu arriver et l’auteure a su parfaitement me bousculer.
Pour moi, clairement, cette fin rattrape toutes les longueurs ! Je ne regrette absolument pas d’avoir persévéré !
La Voleuse des Toits
J'ai aimé cet univers,
J'ai aimé les personnages,
J'ai aimé l'histoire....
J'ai donc tout aimé de ce livre.
Pour une fois, moi, la lectrice qui lit un livre en environ deux jours même s'il fait 1000 pages, j'ai savouré ce livre pendant deux semaines. Je l'ai lu avec délicatesse, vivant l'histoire comme si c'était la mienne.
Merci à L'auteur pour cette pépite.
La Voleuse des Toits
Les personnages sont vraiment attachants, autant les principaux que les secondaires qui m'ont particulièrement touchée. L'univers est bien décrit et assez original sans pour autant en faire trop.
Au fur et à mesure de la lecture, je m'attachai chaque page un peu plus à chacun des personnages.
Le roman est divisé en trois parties, comment vous dire que la dernière page de la seconde ouvert les vannes d'un barrage que je ne soupçonnais même pas ! J'ai pleuré pendant presque toute la dernière partie du roman !! Et elle n'est pas petite je vous le dis !
Cette dernière partie m'a achevée, j'ai du mettre une poubelle à côté de moi pour contenir tous les mouchoirs que j'utilisai ! J'avais vraiment mal pour les personnages, on ressent leurs souffrances et leurs peines comme si c'était les nôtres.
Une fin magnifique et pleine d'espoir (trop courte à mon goût pour m'avoir fait pleurer comme une madeleine pendant plus de deux heures !!!)
Bref ! Lisez le et pleurer pour que je me sente moins seule avec mes mouchoirs usagés ^^' !
La Voleuse des Toits
Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin
J'ai eu du mal au départ à accrocher, car je ne comprenais pas bien cet univers, puis au fil des pages, le tout s'est construit, affiné et la lecture est devenue très agréable. Le style de l'auteur est très plaisant et les illustrations couleurs originales.
Ce roman inspire à continuer ses propres écrits afin de ne pas les laisser s'effacer et disparaitre.
Prospérine Virgule-Point et la Phrase sans fin
Un titre qui me faisait particulièrement envie et qu'il me tardait de découvrir. On est ici sur un one-shot de romance fantasy young adult. Et si dans l'ensemble j'ai apprécié ma lecture et ai passé un bon moment, j'ai quand même quelques bémols sur cette histoire notamment concernant la romance et le rythme en dents de scie, ponctué de longueurs.
Mais avant d'en parler, de quoi ça parle ? Nous y suivons Eléonore, fille d'ambassadeur le jour et voleuse la nuit telle une ombre qui parcours les toits et se fait appeler Plume auprès de ceux qui résistent aux pouvoir de la Ligue, cette élite qui a banni l'art sous toutes ses formes. Mais lors de l'une de ses escapades, Plume va faire la rencontre d'Elias, héritier d'une des familles les plus importantes qui semble prêt à tout pour accéder au pouvoir et à l'épouser.
Elias est charmeur, mystérieux, il séduira par ses belles paroles et son côté taquin mais c'est aussi clairement un personnage qu'on pourrait presque qualifié d'anti-héros. Ses actions sont clairement discutables et parfois, il fait froid dans le dos. Toute cette ombre en lui que l'on découvre au fur et à mesure, fait qu'on ne sait pas vraiment s'il faut s'attacher à lui ou non. Je l'avoue, à la fin de la première partie (sur 3), j'ai été me spoiler les dernières lignes parce que parfois, trop de mystère tue le mystère. Je n'aime pas être dans le doute et l'incertitude. OUPS. Globalement, je trouve que son personnage est le plus intéressant à suivre dans le sens où il est assez surprenant et mystérieux. Mais ses actions ne jouent pas toujours en sa faveur et feront qu'il m'a plu mais pas entièrement.
Plume/Eléonore de son côté est une héroïne qui veut renverser la ligue et rester libre. Et si j'ai aimé son courage et sa détermination, j'avoue ne pas avoir réussi plus que ça a m'attacher à elle. Parfois, son comportement me faisait l'effet d'être trop superficiel et naïf et à d'autres, elle a un côté un peu buté à souffler le chaud et le froid et ne voir que le mauvais. Après, elle reste malgré tout assez intéressante à suivre et on a envie de la voir réussir dans ce qu'elle entreprend.
Parlons maintenant romance. Je trouve que c'est l'un des bémols de l'histoire. Au début, on a ce petit jeu entre les deux personnages, le fait qu'Elias joue parfois un double jeu. Plume est donc plus que méfiante. J'ai apprécié ce démarrage. Mais aux moments où il laisse entrevoir un peu de vérité et où rapprochement il pourrait y avoir, Plume reste sur ses idées. Pour que finalement, d'un coup, comme un cheveu dans la soupe, elle change d'avis et soit totalement amoureuse de lui. Pour moi, il y a un vrai soucis au niveau de l'évolution. Elle aurait pu commencer à accepter certaines choses petit à petit plutôt qu'un simple écrit vienne tout bousculer. On m'avait dit, slow-burn et oui, il est vrai que la romance débute assez tardivement dans le roman mais le changement n'est à mon sens pas crédible d'un point de vue sentiments ce qui vient entacher un peu le tout.
Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, j'ai apprécié l'univers proposé par l'autrice, le côté assez dystopique de cette histoire, le pouvoir en place étant beaucoup trop dans l'extrême avec la volonté de gouverner par la peur. J'ai également apprécié le fait que le voyage dans le temps soit de la partie avec ce mystère qui plane autour de potentiels changements. Toutefois, je trouve qu'il y a quand même quelques incohérences et notamment dans la troisième partie. On part un peu dans tous les sens et je regrette un peu le fait que cette partie donne la sensation d'être moins approfondie car la résolution de l'histoire se fait sur quelques pages et il est difficile d'oublier les actes de certains personnages en un claquement de doigts. Enfin, je regrette les multiples points de vues, certains n'apportaient pas grand chose je trouve. Et les longueurs tout au long du récit n'ont pas rendu l'ensemble assez addictif à mes yeux.
En conclusion, une bonne base pour cette histoire. Des personnages qui surprennent le lecteur quand on s'y attend le moins (notamment Elias). Mais des longueurs qui rendent l'ensemble un peu lent et moins dynamique. Quant à la romance, ce n'est pour moi, pas le point fort de l'histoire et je regrette son évolution parfois en dents de scie qui vient la rendre moins crédible. Du bon, et du moins bon pour ce one-shot. Je l'avoue, j'avais espoir de plus l'aimer, c'était sympa mais je doute qu'elle me marquera dans le temps.
La Voleuse des Toits