Commentaires sur ses livres

Powerless et Powerful, malgré leurs imperfections, ont été de véritables coups de cœur. La plume de Lauren Roberts m'a touchée. Ses personnages m'ont conquise. Kai est mon n° 1 des BBF. Mais vous mentir reviendrait à me mentir à moi-même.

Reckless n'est pas le coup de cœur que j'aurais voulu avoir.

Objectivement, c'était en dessous de mes attentes.
J'ai gâché ma lecture en cherchant les sensations des livres précédents. Sur 70 % du livre, j'ai été frustrée par mon manque de ressenti. Mais j'ai quand même ri, pleuré, crié pour ce deuxième tome.

Lauren est une sorte de magicienne. C'est même une sorcière qui nous envoûte. J'ai encore bu son filtre d'amour et j'en veux encore.

Le positif :

- La romance est très (trop ?) présente dans ce tome. C'est du miel pour les romantiques. Les scènes s'enchaînent à la fois clichés et poétiques. C'est beau, c'est doux, c'est triste.
- Kai Azer, on ne peut pas faire plus positif comme point. C'est un lover transi. Il nous sort des disquettes à tout va, je l'aime.
- Pae, elle aussi je l'aime d'amour, c'est un peu une Jude hypersensible. On a envie de l'appeler Bichette et en même temps de rester à 10 m d'elle. Je l'ai préférée dans ce tome.
- Les décors et l'univers en général restent très qualitatifs, même si à mon goût peu présents, mais ça reste du YA.
- La plume, LA PLUME. Lauren nous a encore sorti les phrases les plus clichées et tendres possibles. Cette saga devrait être vendue avec un kit d'annotation.
- Les tropes, encore et toujours les plus appréciables : proximité forcée, one horse, et... Lisez-le pour connaître les autres.

Le négatif :

- L’intrigue ? Elle s’est perdue en chemin ou bien ? Aucune réelle résolution des questions du tome 1. Des nouvelles théories bancales. Et où sont les autres personnages ? Où EST MAK ?
- Le rythme était chaotique. Un début loooong. Le milieu romantiquement lent-goureux. Les 25 derniers % passent à la vitesse supérieure, mais peut-être un peu trop vite justement. Et surtout, la redondance des actions ?! Faut changer le disque, madame.
- Le POV de Kitt. Pourquoi, Lauren ? C’était le POV de la frustration. On n'a rien demandé, mais il s’est imposé tel un squatteur intempestif.
- Kai et sa vibe demoiselle en détresse. Mon gars, t'es bg, t’as des failles, mais sors-toi les doigts, non ?
- La fin. LOL. Je veux mourir. Faut pas faire ça.
- 25 avril 2025. Vous la voyez, l’attente à subir pour la sortie de Fearless ?

La conclusion :

Si le tome 3 est au même niveau que le tome 2, je serai quand même heureuse, parce que Kai et Pae sont parfaits comme ils sont. Après tout, Lauren a le pouvoir des mots, elle arrive à nous mener en bateau sur 400 pages et j'ai quand même envie de lui lâcher mon PEL.

Est-ce que je lirai le tome 3 ? Évidemment.
Est-ce que je continuerai ma propagande ? Bien sûr.
Est-ce que Kai Azer a mon cœur ? Assurément.
[livre lu en VO]

🩸🗡️💜| 𝐏𝐨𝐰𝐞𝐫𝐥𝐞𝐬𝐬, 𝐓.𝟏 - 𝐋𝐚𝐮𝐫𝐞𝐧 𝐑𝐨𝐛𝐞𝐫𝐭𝐬
[𝐍𝐨𝐭𝐞 : 𝟓/𝟓⭐]

À la question «le succès de ce livre est-il justifié ?», je n'ai qu'une seule réponse : assurément oui. Par contre, si vous me demandez de vous citer la chose que j'ai préférée dans Powerless, je serais bien en peine de ne vous en donner qu'une seule. Serait-ce la plume de Lauren Roberts, si belle et riche en émotions ? Ou bien nos héros, auxquels j'ai immédiatement accroché et dont j'ai pris plaisir à suivre les aventures ? Leurs joutes verbales ô combien savoureuses ? La romance et le rapprochement si lent entre Kai et Pae qu'il en est à la fois frustrant et délicieux ? Les scènes d'action mouvementées, qui vous font battre le cœur à cent à l'heure ? L'univers très intrigant, dont il me tarde de découvrir plus de facettes ? À moins que ce que je préfère soit justement le mélange de tout ça, un mélange qui a fait de ce 1er tome un roman difficile à lâcher, que je ne m'attendais pas à autant apprécier. Je n'ai pas vu passer ces 624 pages, j'ai ri, souri, pleuré, fondu, ressenti de la peur et eu mal pour nos personnages. Si on excepte quelques coquilles tout à fait normales étant donné que j'ai lu la version non-corrigée, je ne crois pas avoir quoi que ce soit à reprocher à cette histoire, hormis le fait que j'aurais aimé qu'Adena soit plus présente dans l'intrigue.
Powerless est une lecture que je ne peux donc que vous recommander, avec son petit côté Hunger Games version romantasy. Je suis désormais désespérément en attente d'avoir la suite, surtout après cette fin !
Paedyn est une jeune femme à laquelle je n'ai eu aucune difficulté à m'attacher et que j'ai comprise dans ses choix et pensées. J'ai aimé sa détermination et sa combativité, son intelligence et sa ruse, ses failles et ses peurs. Quant à Kai, comment peut-on le voir autrement qu'avec des cœurs à la place des yeux ? Dire que je l'ai adoré serait un bel euphémisme, pour moi, il mérite sans conteste le statut de bookboyfriend. Sa façon de regarder Paedyn est juste tellement belle...

𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 + : La romance, les persos (Kai❤️), la plume, les joutes verbales, l'univers, l'action, les émotions, l'addictivité
𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 - : Une Adena pas assez présente

4/5

Powerless est une saga que nous attendons tous, et pouvoir la découvrir en avant première via l'opération Lire avant Tout le Monde de @Booknode (en collaboration avec @LesEditionsOlympe) a véritablement été une chance. J'en suis énormément reconnaissante, et je me dois maintenant de vous écrire mon avis dessus, en toute transparence et objectivité.

Pour tout vous dire Powerless n'a clairement pas été une lecture parfaite, et ce n'était franchement pas gagné d'avance. Si je me base sur mes premières impressions, mon ressenti aurait pu être beaucoup plus mitigé. Pourquoi ? Parce que je n'ai pas immédiatement accroché à l'histoire, que je ne trouvais pas particulièrement transcendante. Avoir de fortes attentes vis-à-vis de cette saga ne m'a peut-être pas mis dans les meilleures conditions, et j'en ai conscience. Mais en tout cas, il m'a fallu une bonne centaine de pages, et même plus, pour enfin réussir à trouver quelque chose qui capte mon attention. Le début n'était pas mauvais, mais il est indéniable que ça manquait un peu de prises de risque. Nous ressentons aussi une grosse inspiration Hunger Games, Lightlark, Harry Potter, Divergente et j'en passe. L'ensemble n'est pas toujours bien amené, un peu brouillon et avec des incohérences flagrantes. Mais Lauren Roberts sait comment se faire pardonner en intégrant une bonne dose de tropes très appréciés.

Parlons des incohérences dérangeantes, qui concernent principalement cette compétition mortelle. J'ai trouvé que nous n'avions pas véritablement d'explications sur sa création, son objectif et le choix de la sélection des participants. Quel est l'intérêt pour le royaume d'Ilya ? C'est en partie pour cette raison que j'ai parfois trouvé que Lauren Roberts n'allait pas toujours au bout des choses en ce qui concerne son intrigue, et les différents éléments qui la composent. Un exemple supplémentaire avec ce système de points pour les participants qui n'avait finalement pas grande importance.

Heureusement, c'est aussi cette compétition mortelle qui a permis de donner un second souffle à cette histoire en la rendant bien plus captivante. A partir du moment où nous rentrons enfin dans le vif du sujet, ma lecture a pris un virage à cent quatre-vingt degrés. Les épreuves étaient vraiment prenantes et passionnantes à lire, et le système de magie sympathique à voir à l’œuvre. Le rythme change donc radicalement, et j'ai vraiment ressenti que j'avais envie de tourner les pages.

Du côté des personnages, je ne peux pas dire que j'ai eu un coup de coeur sur l'héroïne, Paedyn. Mais je l'ai quand même apprécié pour son sang-froid, sa ténacité et sa combativité. Toutefois, j'ai trouvé un peu bancale qu'elle ne soit pas plus affolée par ce qu'il lui arrive. Elle n'appréhende pas, et ne vient jamais mettre en évidence sa peur de se faire prendre, ou de voir sa véritable nature révélée aux yeux de tous ce qui viendrait la condamner à mort. Elle semble plutôt bien prendre sa participation à la Purge. Tout ça manquait vraiment de réactions significatives.

Difficile de ne pas apprécier Kai, qui est un personnage masculin très charismatique. J'ai aimé ses sarcasmes à base de compliments et de piques. Mais pas seulement, parce que sa bonne humeur était aussi très contagieuse. La romance avait Paedyn est un véritable slow burn avec de la tension comme on aime. Et puisque nous sommes sur du Young Adult, nous pouvons savourer son développement sans avoir des scènes de smut. C'est adorable et mignon, et les répliques remarquables.

Du côté des personnages secondaires, une mention toute spéciale à Jax, Andy et Kitt.

Le dénouement de ce premier tome donne envie de se pencher sur la suite. Clairement, j'ai hâte de pouvoir continuer cette saga, surtout quand on sait ce qui se passe pour nos protagonistes. Une certitude : Powerless plaira à beaucoup de monde car il rassemble énormément de tropes dont nous raffolons habituellement, mais aussi parce que Lauren Roberts nous propose une histoire sympathique à suivre. Quelques scènes sont parfois un peu redondantes, mais rien de vraiment perturbant. Même si ce n'était pas une lecture parfaite, j'en garde vraiment un bon souvenir. Le côté un peu brouillon pourrait déranger, mais la deuxième moitié rattrape suffisamment pour qu'on pardonne à l'autrice. Je valide totalement ce premier tome, même si c'est légèrement surcoté.

J’ai enfin tourné la dernière page de ce livre. Malheureusement j’ai trouvé ce premier tome extrêmement long, je n’ai pas été prise dans l’intrigue et je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages. Grosse déception et même si les dernières pages laissent présager une suite un peu meilleure, je ne sais pas si je me lancerai dans le second tome

Lu en anglais.

J'ai lu ce livre grâce aux nombreuses recommandations de Bookstagram. Vendu comme un Hunger Games-like en version fantasy, je dois dire que je suis restée un peu sur ma faim. D'abord, j'ai trouvé que le livre restait très vague au niveau world-building. La magie est assez peu explicitée, et du coup on se retrouve avec un personnage dénué de pouvoirs jeté au milieu d'un tournoi destiné à en faire la démonstration. Même si Paedyn est un personnage entraîné et fort, c'est un peu trop tiré par les cheveux. J'ai bien aimé la romance très slow burn, un peu trop même (les personnages sont très explicites sur leurs sentiments et il ne se passe quand même pas grand chose !). J'attends pas mal de choses du livre deux, notamment au niveau développement de l'univers et des factions en présence, mais Powerless reste une lecture sympa et distrayante, somme toute assez addictive.

[Lu en VO]
J'ai commencé Powerless en sachant pertinemment que je n'étais pas le public visé (adolescent) et que je risquais de le trouver ridicule. Ca m'a permis d'apprécier ma lecture en dépit ... eh bien ... du ridicule. L'autrice insiste lourdement sur les caractéristiques des héros : beaux, arrogants et impertinents. La romance ennemies-to-lovers tient une grande place dans le livre. J'ai été déçue de la grande révélation de la fin

Spoiler(cliquez pour révéler)

le fait que ce soit Kai qui ait tué le père de Paedyn et pas le roi car je la trouve complètement improbable.

Un index des différents pouvoirs aurait été vraiment utile ; une fois encore, je me suis sentie perdue.

Le livre s’inspire librement d’Hunger Games (et d’autres références du genre, mais je pense que vous en avez entendu parler), mais ce n’est même pas cela qui m’a dérangée.

J’ai trouvé l’histoire terriblement longue, et j’ai fini par m’ennuyer. La plume ou la traduction reste heureusement fluide, ce qui rend la lecture étrangement rapide, mais honnêtement, mon seul objectif était de finir au plus vite pour passer à autre chose.

On attend impatiemment ce fameux tournoi, qui prend une éternité à démarrer. Quand il commence enfin, malgré son caractère censément mortel, il m’a semblé assez fade, et les différentes épreuves se résument à quelques chapitres. En réalité, l’intrigue se concentre davantage sur les interactions entre la protagoniste et son love interest, avant et après les épreuves, au point de devenir répétitive, sans réel suspense.

Quant à la romance, parlons-en : elle semble précipitée, avec un coup de foudre presque instantané, malgré un semblant de slow burn au fil du récit auquel je n’ai absolument pas adhéré.

Les personnages sont clichés et manquent, selon moi, de profondeur. C’est du déjà-vu.

L’idée d’une Résistance aurait pu être intéressante si elle avait été davantage développée. Encore une fois, je n’ai pas été convaincue, l’ensemble me paraissait peu crédible.

J’aurais clairement DNF si je n’avais pas mis 25 € (avec, en prime, une qualité d’édition médiocre).

Je termine donc cette lecture déçue et ne lirai pas le prochain tome.

Bon, je crois qu’il est grand temps que je vous parle de cette énorme déception qu’a été Powerless. Habituellement je ne me précipite pas sur les livres qui ont autant de succès. J’attends, pour être certaine qu’il pourrait me plaire, et pour ne pas avoir trop d’attentes. Je ne l’ai pas fait cette fois-ci, et j’ai lu le roman dès sa sortie, mais honnêtement, attendre ne m’aurait pas fait changer d’avis pour autant.

Au début j’ai aimé. Même si le contexte est loin d’être des plus original, mais ça on y reviendra plus tard, j’ai apprécié Paedyn et sa débrouillardise, son courage de chaparder pour survivre. Et puis Kai, évidemment, leur rencontre, ses taquineries, en bref j’étais emballée.

Et puis j’ai déchanté mais à une vitesse, ça été le début de la fin. L’intrigue, comme je le disais, est peu originale. Mais en fait c’est pire que ça, nombreuses scènes sont des inspirations, voire carrément du plagiat tant c’est abusé. Les scènes plagiées sont complètes et détaillées, forcément, mais le reste est complètement bâclé. Si j’avais su j’aurais directement lu Hunger Games et au moins j’aurais passé un bon moment. Le roman n’a pas d’âme, les scènes originales sont répétitives et très peu travaillées, et on retrouve d’énormes incohérences, franchement on souffle. C’est le schéma classique vu et revu de la romantasy cliché, on a vraiment l’impression que c’est ce que l’autrice a cherché à produire, notamment en calant un nombre incalculable de tropes. Elle a dû se dire qu’il valait mieux en avoir trop que pas assez.

Et puis la romance, parlons en. Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi redondant. On a l’impression de lire les mêmes scènes en boucle, les mêmes descriptions aussi, et que Paedyn elle a de superbes yeux océan dans lesquels on se noie, et que Kai a une fossette quand il fait un vrai sourire, et puis ohlala je suis addict mais non je ne peux pas… Au secours. J’ai eu l’impression que Paedyn était devenu une demoiselle en détresse et Kai un vieux mec lourd et bourré au bar, je ne pouvais plus me les voir. Sans rire le roman aurait pu faire 100 pages de moins si on en avait retiré les descriptions répétitives et inutiles.

On termine avec une fin totalement prévisible, qui m’a d’ailleurs beaucoup fait penser à une autre romantasy, encore, et qui aurait pu me donner envie de lire la suite si seulement je n’avais pas autant détesté le tome 1. Je comprends la hype, c’est vu et revu, cliché, mais c’est ce qui marche, ça se lit facilement, sans prise de tête. Mais personnellement je préfère me prendre la tête sur un worldbuilding bien développé et une intrigue complexe, plutôt que de m’agacer sur un roman fade et mal construit.

J’ai vraiment eu du mal à terminer ce livre, je me suis ennuyée. Pourtant, le début était prometteur ! J’ai trouvé fascinante l’idée que Kai puisse capter les pouvoirs des autres pour les utiliser, ainsi que la manière dont Padyn perçoit les gens, presque comme une mentaliste, en se faisant passer pour une médium pour survivre dans un monde où les ordinaires sont traqués puis tués. C’est captivant. Malheureusement, la suite du récit m’a laissé sur ma faim. La ressemblance avec Hunger Games est difficile à ignorer, et les motivations du roi pour organiser ces épreuves sont floues. On comprend qu’il veut démontrer la puissance des élites, mais cela reste superficiel. Lors de l’épreuve du labyrinthe, j’avais même l’impression de revivre la Coupe de Feu ; je m’attendais presque à voir Harry Potter surgir avec un 'expelliarmus !'

Spoiler(cliquez pour révéler)

La fin m’a toutefois profondément touché avec la mort d’Adena...
En général, ce type d’univers et de récit est exactement ce que j’adore lire, mais ici, l’intrigue n’a pas réussi à me captiver comme je l’espérais. Malgré des idées de départ originales et une fin poignante, le manque de profondeur et les références trop évidentes à d’autres œuvres ont fini par me décrocher.

Honnêtement, je suis la première surprise par cette décision... mais heureusement que je n'ai pas acheté ce livre, parce qu'il ne m'a pas du tout convenu...

En soit, il n'y a rien de "mauvais" à reprocher à ce livre. Juste qu'il n'a rien d'original. Beaucoup de romantasy reprennent les mêmes codes du genre puis s'en affranchissent chacune à sa façon. Mais pas ce livre... que ce soit les personnages ou l'intrigue, il n'y avait rien de passionnant pour moi. Je n'ai même pas pu adhérer aux duos...

Moralité, suivre son Instinct et ne pas se fier aux tendances...

Quel COUP DE CŒUR!!!

J'ai tout simplement adoré Powerless. J'ai commencé le livre un peu à l'aveugle, simplement influencée par le booktok. Quelle incroyable surprise!!

J'avoue avoir été sceptique au début, pour la simple et bonne raison que j'ai trouvé d'énormes ressemblances avec Hunger Games et Red Queen. Même si Hunger Games restera à tout jamais l'un de mes livres favoris je n'étais pas forcément enchantée d'en trouver une pâle copie. Enfin concernant Red Queen, je n'avais lu que le tome 1 et j'avais aimé sans plus.
Alors oui, en lisant Powerless vous sentirez de très fortes inspirations de ces deux romans, mais il ne s'agit pas là de plagiat parce que les concepts sont très bien modifiés et appropriés.

Pour moi, le point le plus fort de Powerless réside en ses deux personnages principaux. J'exprime un fort regret quant au manque de développement des personnages secondaires, ce que je trouve vraiment dommage. Ça ne m'a pas empêchée de tomber sous le charme de Kai et Paedyn, cependant.
J'ai aimé la force de caractère de Paedyn et surtout le fait qu'elle s'en tenait à ce qu'elle pensait là où de nombreux personnages principaux ont tendance à flancher
Quant à Kai, j'ai adoré son humour, son sarcasme et ses répliques. J'adorais être dans la tête de ce personnage que j'ai trouvé très vrai et très justement réalisé.

Le world building manque un peu de construction je dois l'avouer, mais ça ne m'a pas empêchée d'adorer le bouquin. Clairement dans ce livre c'est la romance qui est au premier plan et non pas l'intrigue politique, et ça ne me dérange pas à titre personnel.

Ce que j'ai adoré dans l'écriture de Lauren Roberts, c'était ses dialogues. Encore une fois je les ai trouvés très vrais, et puis les taquineries de Kai et Pae c'était incroyable à lire!

Enfin pour revenir sur la romance je ne dirais pas que c'est réellement un enemies to lovers parce qu'ils n'ont littéralement aucune raison valable de se détester et que je trouve que cette appellation est utilisée à outrance. Par contre en termes de slow burn je peux dire que c'est bien slow, et c'était à la fois incroyablement bien et incroyablement frustrant!

La dernière phrase du roman est juste parfaite et je n'ai qu'une hâte : ouvrir Reckless dès que j'aurais pris quelques heures pour me remettre de Powerless...

Dans ce spin-off, on retrouve Adena, ma meilleure amie de Paedyn Gray.
Le livre est divisé entre deux POV, féminin et masculin, ce qui permet de structurer la trame… vers un final connu pour ceux et celles qui ont lu Powerless.
Il n’est nullement obligatoire de lire ce spin-off… c’est un petit plus sur un personnage attachant qui a quitté bien trop tôt le devant de la scène.

Un nouveau personnage dans ce tome qui pourrait bien le trouble fait dans le prochain
Hâte de retrouver Paedyn
Elle me manque

Bon sang !
Je suis tombée amoureuse de cette histoire !

Des idées intéressantes mais une exécution déplorable. Quelle déception.
La romance prend toute la place et le côté fantasy n'est qu'une toile de fond, vraiment au fond.
Ce n'est absolument pas un ennemies to lovers et encore moins un slow-burn. Ils s'attirent et se tournent autour depuis leur première rencontre. Ça viendra dans la suite apparemment mais du coup on parle de lovers to ennemies ... to lovers. Bref, y'a tromperie sur la marchandise.
Côté personnages, on nous vend une héroïne badass. Mais il ne suffit pas de savoir tirer à l'arc et d'avoir un peu de répartie pour être badass et Paedyn ne l'est clairement pas. Kai est sensé être le futur Exécuteur, sans coeur, du royaume, formé depuis sa plus tendre enfance. Au final on se retrouve face à un ado énamouré.
Les personnages secondaires sont à la limite de la caricature : le roi méchant, le prince endoctriné, l'adversaire des épreuves qui veut piquer le mec de l'héroïne, la gentille meilleure amie de l'héroïne...
Certaines scènes entre eux étaient mignonnes, comme dit plus haut, y'avait du potentiel. Mais c'est noyé sous des tonnes de niaiseries et de répétitions.
Niveau intrigue c'est du classique vu et revu. Un royaume autoritaire, une partie de la population qui veut se soulever et crée la résistance, des épreuves qui mêlent des combattants expérimentés qui ont passé leurs vies à s'entrainer et des habitants des bas-fond qui n'ont rien demandé. Tout ça pour divertir le peuple. En soit, ça peut être intéressant, c'est un classique mais un bon classique. Sauf que certaines scènes sont beaucoup trop proches d'Hunger Games. Je revoyais le film en lisant.
Je passe sur toutes les incohérences et les facilités scénaristiques.
J'ai réussi à finir mais ce ne fût pas sans difficultés.