Toutes les séries de Lax
Existe aux éditions Rivages sous le titre " Pierre qui roule".
À peine sorti de prison, Dortmunder retrouve son vieil ami Andy Kelp qui lui propose un coup fumant : subtiliser, au beau milieu d’une exposition, une émeraude de grand prix appartenant à un petit état africain. Facile ! Il suffit de réunir une bonne équipe et de concocter un plan à toute épreuve. Aussitôt dit, (presque) aussitôt fait. Mais en dépit d’une impeccable préparation, les choses ont comme une fâcheuse tendance à dévier de leur cours. Il faut dire que l’un des complices de Dortmunder a la brillante idée d’avaler la pierre pour échapper à la police, alors forcément cela complique un peu la tâche…
Le siècle vient d'entrer dans sa quatorzième année. Au Sénégal comme en France, Ousmane et Jean ne savent pas encore que le cours de l'histoire va bientôt les emporter. Pour l'heure, priment les affaires de cœur. Ismaila, la sœur d'Ousmane, doit-elle braver les lois tribales pour ne pas épouser son beau-frère ? Hubertine, l'étudiante en médecine, peut-elle vivre pleinement son amour avec Jean, le paysan ? L'émancipation des femmes s'avère aussi l'un des combats de notre temps.
L'Ange de la Mort Algérie 1957. Au cœur de la guerre qui oppose l'armée française aux rebelles luttant pour l'indépendance de leur pays, un événement préoccupe au plus haut point l'état-major français : une section de vingt-deux hommes a disparu, avec armes et bagages, depuis deux semaines. Cette section, composée de harkis, ces Algériens enrôlés dans l'armée française, est commandée par le lieutenant Messonnier. Le capitaine Valéra, chargé de retrouver Messonnier et sa section, mène son enquête dans les montagnes kabyles, là même où la section s'est évanouie. Messonnier et ses hommes sont-ils passés à l'ennemi ? Ont-ils été exterminés par les groupes armés du F. L. N., le Front de Libération Nationale algérien ? Messonnier a-t-il été trahi par son second, Mohan Djeddar, qui fut un militant du F. L. N. avant de rejoindre l'armée française ? Étrange personnage que ce Messonnier. Surnommé Azrayen', l'Ange de la Mort selon les croyances populaires kabyles, Messonnier a été l'amant de Takhlit Allilat, une jeune institutrice berbère. Pour le capitaine Valéra, le témoignage de Takhlit est donc des plus précieux s'il veut avoir une chance de retrouver Messonnier. Et bien malgré elle, Takhlit participe aux recherches.
Vous faites quoi, le jour où vous êtes licencié de votre boîte après de longues années de bons et loyaux services ?
Le héros de l'histoire, lui, a d'abord été très remonté. Normal, pour quelqu'un dont le boulot consistait justement à "entretenir et remonter quotidiennement" les seize pendules de son usine. Ensuite, il a décidé de se faire détective. Il faut dire que dans son deux-pièces, les meubles prennent nettement moins de place que la collection de polars.
Du temps désespérément libre, le coup de dés du hasard, une chemise jaune, un costard noir : et voilà, le Choucas est né. Avec ses faux airs de Guy Marchand, sa conscience politique et les classiques du roman noir en tête.
Lax, l'auteur, s'amuse à jouer avec les références et les codes du genre. Ses ambiances nocturnes, son humour, son dessin parsemé de trouvailles graphiques et de collages, ses couleurs en noir et jaune – clin d'œil à la fameuse Série noire de Gallimard – font cette nouvelle série un polar jubilatoire.
Quand Le Choucas rapplique, le lecteur, emballé, le suit sans hésiter…
--Gilbert Jacques
Les chevaux du vent, ce sont ces drapeaux de prière multicolores reliés par un même fil qui ondulent sous la brise, claquent sous la tempête, se délavent sous le soleil et la mousson, se déchirent sous la marche du temps, mais qui ne cessent d'illuminer les esprits. La vie des êtres humains n'est-elle pas à l'image de ces morceaux d'étoffe ? C'est la question que posent Lax et Fournier en conviant leurs lecteurs à rejoindre dans leur intimité une famille de la haute vallée du Gange à la fin du XIXe siècle. Deux frères amoureux de la même femme, il n'en faut pas plus pour rompre l'équilibre d'une famille, pour lancer ses protagonistes sur les routes de l'aventure. Ainsi, le père qui pour reconstruire sa famille se lance dans l'espionnage au profit des anglais. Sur fond de colonisation et de conquête victorienne, ce sont tous les mouvements de la tragédie classique qui se jouent à l'ombre des cimes enneigées de l'Himalaya.
Fournier a toujours vu en la bande dessinée la synthèse de ses deux passions : le dessin et le théâtre. Avec « les chevaux du vent », c'est le toit du monde que Lax lui offre pour scène à ciel ouvert.
(source : http://www.bedetheque.com)
Bien sûr, Les Oubliés d'Annam, c'est avant tout un thriller où priment l'intrigue et le suspense.
Bien sûr, d'autres problèmes y sont abordés, de la liberté d'expression aux rapports père/fille, en passant par les manipulations historiques.
Mais plus que cela, c'est probablement le destin de ces soldats perdus qui marquera le lecteur.
Parce que la France est encore mal guérie de ses blessures coloniales" (extrait préface écrite par les auteurs).
Mais qui sont ces "soldats perdus" ?
Jeunes pour la plupart, issus de la Résistance ou non, ils ont, par idéal, rallié la cause viêt-minh. On les a appelés "les soldats blancs de Hô Chi Minh", et l'armée française les a considérés comme des traîtres. Traîtres ou héros ?
Maître Pinacle était surnommé "la lessiveuse de la République". À l'affût du moindre vice de procédure, il avait fait enterrer les dossiers à charge les mieux ficelés d'une flopée d'hommes d'État et de hauts fonctionnaires. S'il avait bénéficié ainsi de la reconnaissance éternelle d'huiles de la Nation, il avait aussi drainé derrière lui un bataillon de laissés-pour-compte qui rêvaient de lui faire la peau. Exilé au Népal, Pinacle serait mort dans son lit, d'une apnée du sommeil. Difficile à croire... Si la "Préviglobe" parvenait à prouver qu'il y a eu meurtre, elle pourrait faire l'économie de la rondelette indemnité d'assurance vie due à la veuve. Si le Choucas ramenait cette preuve des montagnes népalaises, il en serait grassement récompensé. Et voilà notre détective globe-trotter en vol pour Katmandou, pour un trekking qu'il espère payant...
Après le succès de L'Aigle sans orteils, la suite que l'on attendait ! Sur les pavés de Paris-Roubaix, dans les entrailles des mines du Nord ou dans la noirceur de l'orphelinat, Pain d'alouette est le récit sublime de l'humaine condition ! Le vélo, métaphore de la souffrance et de la dignité des humbles...
Avril 1919, dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais. Quentin Ternois, ancien coureur cycliste, gazé à Ypres deux années plus tôt, emmène son neveu Élie découvrir Paris-Roubaix, «l'Enfer du Nord». La souffrance et la persévérance de ces trimards du vélo forcent le respect du jeune mineur, qui sait ce qu'«aller au charbon» veut dire. Et pour lui, ce sera une révélation. Au même moment, dans un orphelinat du Sud-Ouest, une très jeune enfant est en butte à la brutalité du directeur. C'est Reine Fario, la fille d'Amédée, «l'Aigle sans orteils», tué sur le front... Quatre ans plus tard, Camille Peyroulet, ingénieur en retraite de l'observatoire du pic du Midi, grand ami d'Amédée, apprend l'existence de Reine, et la mort d'Adeline, sa mère. Désormais, dans le souvenir ému d'Amédée, Camille n'aura de cesse de retrouver Reine, pour l'adopter. Ce ne sera pas une mince affaire...
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- Dites, monsieur Peyroulet, je ne veux pas aller contre la volonté de mon Amédée, mais vous croyez que c'est bien raisonnable, cette idée de devenir coureur cycliste ? Avec son infirmité...
- Vous savez, madame Fario, dans la tête de votre petit-fils, il n'y a pas d'infirmité ! Il n'y a qu'une énorme volonté, comme pour compenser son handicap. Le mieux que l'on puisse faire c'est de continuer à le soutenir.
1926. Pour être libre, Sarane a épousé un jeune officier de la coloniale. Parce qu'elle était libre, Sarane s'est perdue dans le Sahara. Les Touaregs l'ont recueillie et Sarane est devenue prisonnière. Prisonnière de son amour pour Kheg, le seigneur du désert. Mais la capture, puis l'évasion d'un prisonnier blanc vont changer sa fragile position.
Des années plus tard, au crépuscule de sa vie, Sarane se souvient et s'interroge: qui est ce vieillard assis sur son banc : son mari ? son amant ? le prisonnier ? aucun des trois ?
Christian Lax aime l'Afrique du Nord. Ses décors somptueux, son sable mordoré, ses lumières blanches ne font pas peur au dessinateur. Scénariste, il aime avant tout les aventures humaines aux couleurs aujourd'hui surannées.
En 1993, bien avant son "Aigle sans orteil", Lax avait déjà parlé du début du XXe siècle, grâce à une femme farouche et révoltée, une femme indépendante avant l'heure, mais pas libre pour autant.
Septembre 1976 : Dermot Doherty (fils et petit-fils de militants catholiques républicains, qui ont payé de leur vie leur engagement pour l'indépendance de l'Ulster) fait sa rentrée à la Royal School of Art de Belfast, où les protestants sont largement majoritaires...
Denis, frère de Dermot, qui a assisté à l'assassinat de leur grand-père par des miliciens protestants dix ans auparavant, a repris le flambeau de la lutte. Il s'est engagé furieusement parmi les combattants de l'I.R.A. (Irish Republican Army).
Stefen Molloy, fils unique et rebelle d'un homme d'affaires appartenant à la majorité protestante loyaliste qui détient tous les pouvoirs en Irlande du Nord (Ulster), devient l'ami de Dermot, chez qui il rencontre Denis, le terroriste intransigeant dont il va partager le destin, et précipiter du même coup les deux familles dans le tourbillon de la guerre...
Lax a choisi la bande dessinée pour jeter un regard critique sur la société contemporaine et les injustices de notre monde. Avec Des Maux pour le dire, il nous raconte avec pudeur les difficultés d'insertion d'un handicapé. Entre le roman et le reportage, mélangeant l'action et le suspense, Lax nous propose une oeuvre originale, sur un ton qui n'appartient qu'à lui.
(c) Vents d'ouest
Lorsque le docteur descendit en titubant le grand escalier, il était loin de s'imaginer la suite...
Lorsque le colonel fit venir, ce soir-là, Monique dans sa chambre, il ignorait encore tout, comme la cuisinière qui continuait d'administrer des taloches à Pierrot, comme les vieux qui y pensaient sans oser en parler. Et même lorsque les armes sortirent de leurs étuis, personne ne se doutait encore à quel point l'ennui qu'on distillait dans la maison de retraite était devenu mortel...
(source : http://www.bedetheque.com/)
Quand résonnent dans Bucarest soulevée les voix de l'amour, de la colère et de l'espoir.
Décembre 1989.
Professeur de littérature cultivant trop le goût de la liberté, Stoian Mirtzu, trente-cinq ans, est enfin libéré des geôles de la dictature roumaine où l'a plongé une sombre machination. Durant ses dix années d'internement, de doute et de souffrance, seul le souvenir du baiser de Rodica, une de ses anciennes élèves, le raccroche à la vie. À sa sortie, Stoian découvre sur un timbre-poste le portrait de Rodica. Pourquoi y personnalise-t-elle "La Fille aux ibis", symbole de la résistance roumaine antifasciste ? Qu'est-elle devenue ? Où la trouver ?
A la poursuite d'un fantôme qui se dérobe, Stoian remonte une singulière filière qui le conduira sur la piste de la jeune femme.Quand éclate l'insurrection de Bucarest, il la retrouve enfin sur un îlot du delta du Danube où elle s'est réfugiée, laissant derrière elle le cadavre d'un agent de la Securitate qui fut son redoutable et séduisant manipulateur...
Au cœur de la guerre d'Algérie, un homme est l'objet de toutes les recherches. Pour l'armée française, il est le lieutenant Messonnier, disparu avec ses hommes depuis deux semaines. Pour Taklhit, la jeune institutrice berbère, il est Francis, l'amour de sa vie. Pour les Kabyles, il est Azrayen', l'Ange des ténèbres... Azrayen', un sujet sensible, une œuvre forte et humaine. Profondément humaine.
En 2005 paraissait L’Aigle sans orteils dans la collection «Aire Libre». Justement récompensé par de nombreux prix, dont le Grand Prix RTL, ce fut le premier volet de la trilogie que Lax a consacrée au vélo, sa passion de toujours. Le vélo dans ses trois principales épopées : la course à étapes avec le Tour de France, la classique d’un jour avec Paris-Roubaix et la piste avec les Six-Jours. Avec L’Aigle, l’auteur raconte le destin sublime d’Amédée Fario, dans les années 1910, qui courut amputé de ses orteils. Avec Pain d’alouette, c’est le récit, dans les années 1930, de «l’enfer du Nord» et celui de l’enfer de la mine, les deux intimement liés, où l’on suit une autre destinée peu banale, celle de Reine Fario, la fille… de «l’Aigle sans orteils» ! Enfin, avec L’Écureuil du Vel’d’Hiv, Lax sublime une amitié fraternelle pendant les noires de l’Occupation. Avec cette trilogie, en définitive, Christian Lax raconte le vélo comme la métaphore de la souffrance et de la dignité des humbles…
"Bien sûr, Les Oubliés d'Annam, c'est avant tout un thriller où priment l'intrigue et le suspense. Bien sûr, d'autres problèmes y sont abordés, de la liberté d'expression aux rapports père/fille, en passant par les manipulations historiques. Mais plus que cela, c'est probablement le destin de ces soldats perdus qui marquera le lecteur. Parce que la France est encore mal guérie de ses blessures coloniales", écrivaient les auteurs dans la préface du tome 1, publié en 1990. Mais qui sont ces "soldats perdus" ? Jeunes pour la plupart, issus de la Résistance ou non, ils ont, par idéal, rallié la cause viêt-minh. On les a appelés "les soldats blancs de Hô Chi Minh", et l'armée française les a considérés comme des traîtres. Traîtres ou héros ? Dix ans après, avec cette édition intégrale augmentée d'un dossier inédit, largement illustré de documents photographiques et graphiques, la question que pose ce récit remarquable est toujours aussi pertinente.
Cervantès, Mike de son prénom, est un jeune homme plutôt paisible. Pour éviter de menus ennuis avec la police, il s'engage dans l'armée, et le voici GI en Afghanistan. Fait prisonnier par les talibans, évadé, repris, maltraité, il est amputé d'un bras. Exactement comme cet autre Cervantès, Miguel de son nom de baptême, futur auteur de Don Quichotte, qui perdit l'usage de sa main gauche au cours de la fameuse bataille de Lépante le 7 octobre 1571.
De retour au pays, à Jerome en Arizona, Mike, comme beaucoup de ces " revenants " de la guerre, se sent déboussolé, devient irritable, oscille entre accès de violence et moments de dépression.
Révolté contre une société dure pour les faibles, fou de rage il détruit une succursale de banque, et se retrouve en prison.
C'est au pénitencier du comté, où il purge sa peine, qu'il se plonge dans la lecture et découvre, émerveillé, l'oeuvre de son illustre homonyme, Miguel de Cervantès. C'est une révélation : Mike sera le Don Quichotte des temps modernes, en butte à toutes les inquisitions contemporaines, économique, politique ou religieuse, et en lutte contre toutes les formes d'injustice.
Mike Cervantès n'écrira pas le remake de l'épopée du " chevalier à la triste figure ", mais au volant de sa Mustang, sa Rossinante rutilante modèle 1971, il la vivra pleinement.
C'est la fin de la trilogie consacrée par Christian Lax au vélo. L'Aigle sans orteils : le tour de France dans les années 1910. Pain d'alouette : Paris-Roubaix dans les années 1920.
L'Écureuil du Vel'd'hiv : le vélo sur piste, au vélodrome d'hiver de Paris, durant la Seconde Guerre. Christian Lax convoque ses thèmes de prédilection - la volonté de s'élever que souvent exige le handicap ; la vie quotidienne des gens ordinaires qui se forgent un destin peu commun -, pour composer un récit empreint d'une irrépressible et pudique émotion.
Un jeune chasseur de miel malien. Alou, se dirige vers les ruches sauvages d'un baobab. Circulant en 4x4, armés jusqu'aux dents, des djihadistes foncent sur lui et font exploser l'arbre sacré. Parmi les débris, Alou découvre, presque intacte, une statuette représentant une femme enceinte. Encouragé par son père, il se rend dans le pays Dogon pour la présenter au sage du village, le hogon, respecté de tous pour sa culture. Le vieil homme reconnaît aussitôt cette Maternité rouge. Elle est l'oeuvre, selon lui, du maître de Tintam, dont une première Maternité se trouve déjà au Louvre, au Pavillon des Sessions. Pour le vieil homme, la sculpture, en ces temps de barbarie, sera plus en sécurité au Louvre près de sa soeur qu'ici au Mali. Et c'est à Alou, naturellement, que le hogon confie la mission impérative d'emmener la Maternité à Paris. Pour atteindre son but, le jeune homme, migrant parmi les migrants, ses soeurs et frères d'infortune, devra prendre tous les risques en traversant désert et mer...
Deux grands noms de la bande dessinée signent cette superbe histoire où aristocratie et petit peuple sont entraînés côte à côte dans le tourbillon qui mène aux grands bouleversements de la Révolution de 1789...
En 1833, dans les Alpes du Sud, Fortuné Chabert est un instituteur itinérant. De village en village, il enseigne avec bonheur lecture, écriture et calcul aux enfants. Ce nomadisme enseignant est appelé « l’université des chèvres ». Fortuné devra renoncer à son sacerdoce, et se retrouvera, des années plus tard, chez les Hopis de l’Arizona, aux États-Unis.
En 2018, Sanjar parcourt la montagne afghane avec son tableau sur le dos. Lui aussi pratique l’université des chèvres. Chassé par les talibans, il deviendra auxiliaire de l’armée américaine en Afghanistan.
Quel est le lien qui unit Fortuné et Sanjar, a priori aussi éloignés que possible par le temps et l’espace ? C’est une jeune femme, Arizona Florès. Descendante de Fortuné (cinquième génération), Arizona est journaliste au Phoenix Post. L’un de ses grands combats, c’est la dénonciation de la violence faite à l’école, avec ses tueries récurrentes qui endeuillent les familles américaines. Virulente dénonciatrice du lobby des armes à feu dans son pays, elle est mise à l’écart par son journal, qui l’envoie en reportage en Afghanistan. Elle y rencontre Sanjar. Celui-ci, de plus en plus en danger, ne peut que se résoudre à abandonner, comme Fortuné, sa mission émancipatrice...
D’Afghanistan aux États-Unis, du XVIIIe siècle à nos jours, l’école a toujours été rejetée par les obscurantistes : par la vertu d’un récit magnifique de colère et de générosité, de beauté et d’amour, Christian Lax prend parti pour une école sanctuarisée, qui émancipe et qui libère.
A l'occasion des rencontres franco-chinoises organisées ces dernières années par Beijing Total Vision et Mosquito, nous rassemblons les illustrations réalisées par : Alessandra, Boucq, Baudoin, Lax, Lepage, Kéramidas, Mazille, Verron et Lu Ming, Xiaoyu, Nie Jun, Wang Kewei, Pang Bang Ben.
Les Français donnent leur vision de la Chine et les auteurs chinois montrent la France telle qu'ils l'ont découverte.