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Par gavroche le 6 Juillet 2010 Editer
gavroche
La biographie par l’auteur est un tel plaisir que là voici telle quelle.

Léa Silhol est née à Casablanca, quelque part entre le Rick’s Café et la mer, d’un mariage mixte illégal qui lui a valu une mention “de mère inconnue” sur son certificat de naissance. Née sous le signe de terre du capricorne et l’ascendant impérieux du scorpion, un 3 janvier (NdElbakin : 1967), comme son maître ès imaginaire, John Ronald Reuel Tolkien. Elle entre en France à l’âge de six mois, sortie du Maroc en fraude grâce à une ambassade de France complice, dans un avion que Bogart lui-même aurait pu affréter.
Elle apprend à écrire à 5 ans, mais le fait à l’envers. Passionnée très tôt par les chevaux, elle se rêve officier au Cadre Noir ; dingue de mythologie et d’antiquité, elle se voudrait archéologue. Mais une santé fragile en décidera autrement.
L’année de ses 9 ans, après avoir lu Le Lion de Joseph Kessel, elle va trouver sa mère et lui déclare sans ambages qu’elle sera écrivain. Ce à quoi celle-ci répond avec le plus grand calme : “indubitablement”. Ce mot, qu’elle entend sans doute pour la première fois, sera le diapason d’un environnement familial où la confiance en son avenir de créatrice ne fera jamais défaut. Troisième génération de femmes littéraires et artistes de tempérament elle est abreuvée dès son plus jeune âge de Dumas et d’Asimov en égales proportions.
A partir de ses premiers griffonnages elle ne cesse plus d’avoir un cahier à la main. De plus en plus de cahiers, de plus en plus épais. Quoi qu’elle fasse, de regarder la télévision à faire ses devoirs, l’omniprésent cahier de notes sera toujours sous sa main gauche, comme un fantôme impossible à conjurer. Une scolarité en blanc et noir lui amène le vote de confiance de ses professeurs de lettres et l’impasse sur ses zéros de moyenne en maths. Inscrite d’office par son collège à des concours littéraires dont elle refuse de recevoir les prix, elle se veut en début d’adolescence l’une de ces artistes “qui ne vendent ni ne publient” et choisit une filière d’Arts Plastiques par peur des compromis. Ne pas vouloir être écrivain semble alors le seul moyen de nourrir son écriture.
Elle quitte le nid familial à 17 ans pour vivre seule, poursuivant ses études sans trop y penser et tissant une histoire personnelle marquée par le deuil et la perte. Elle passe alors plus de temps à jouer de la guitare basse et à composer des chansons pour divers groupes qu’à ficeler des histoires. Son refus entêté des compromis lui fera claquer la porte d’un hypothétique avenir musical comme elle l’a fait des autres.
Elle poursuit ses études sans plan ni conviction et ce parcours artistiques, de plus en plus marqués, en faculté de Lettres, par des incursions en Mythologies et Religion, la mène à tout et à rien. Elle voyage, s’essaye à des jobs divers, et bringue avec méthode.
Puis, en 89, elle cesse d’écrire, et abandonne le cursus universitaire dans un élan destructeur issu d’un deuil de trop. Au cours de la traversée du désert de 9 ans qui suivra, elle n’écrira quasiment rien, mais ne doutera jamais que le feu lui reviendra en temps et heures.
Elle travaille un temps comme serriste, cherchant comme souvent la paix dans le contact de la terre et la musique de la sève. Puis en 95 elle fonde avec quelques amis le Cercle d’Etudes Vampiriques, première association française consacrée à la mythologie du vampire. Elle dirigera cette association pendant 5 ans, publiant le prozine Requiem et organisant en 1997 la célébration du centenaire Dracula.
En 98 elle revient à l’écriture et, l’année suivante, est appelée à diriger plusieurs ouvrages sur son mythe de prédilection, dans les domaines de la fiction comme de l’analyse. Parallèlement elle travaille comme directrice littéraire aux Editions de L’Oxymore, qu’elle a contribué à créer.
Elle a brûlé tous les cahiers de son enfance et écrit maintenant sur un clavier blanc Macintosh (avec un doigt). Ses contes fantastiques ont commencé à paraître un peu partout en 1999 et, à son grand étonnement, l’an 2000 a vu la publication de son premier livre solo, la création d’un fan club voué à ses diableries et la ‘naissance’ d’un personnage à son nom chez les X-Men (ce qui la conforte dans son idée que le monde est vraiment un endroit bizarre).
Elle vit actuellement à Montpellier avec Greg, son compagnon depuis 16 ans, leur fille Morgana Lorien, 12 ans, leur fils Gabriel, 6 ans. Font aussi partie de la famille Erszébet, une vraie chatte de sorcière pleine de dents et de griffes, et Juliet, une siamoise sentimentale et complètement débile, ainsi qu’un Beta Splendens (un de ces poissons nommés communément “combattants”, en rappel de l’un de ces films préférés, Rumble Fish de Coppola) nommé Brummel. Elle est également entourée d’une poignée d’amis déviants & délicieusement dingues, et donc indéfectiblement fidèles (mais très tyranniques en ce qui concernent leurs exigences culinaires).
Quand elle n’écrit pas et ne publie pas les crimes des autres, elle plante des Acer Palmatum et collectionne un million de choses futiles et essentielles, des éditions rares du Rubaiyat aux vitraux anciens.
Par Unseelie le 2 Octobre 2011 Editer
Unseelie
Silhol Léa, née à Casablanca le 3 janvier 1967, est un écrivain, anthologiste et une ex éditrice française (éditions de l'Oxymore, 1998-2006).
Son nom signifie "gazelle" de l'hébreu "le'ah" ou "fatiguée" de l'hébreu "la'ah", ce qui signifie à la fois "maitresse" et "dirigeante" (voir son site). "Silhol" signifie "forgeron".
Elle est notamment connue pour ses récits d'imaginaire, romans et nouvelles croisant souvent les inspirations mythologiques et folkloriques avec un matériau littéraire original.
Elle s'intéresse également à la musique et au théâtre. Elle s'est illustrée pour ses études sur les mythologies, ses recherches sur les vampires, et bien sûr son univers de Faerie. Elle travaille généralement avec d'autres artistes et concepteurs, autant des photographes que des illustrateurs ou des graphistes. Rien n'est laissé au hasard, tant dans le fond et les recherches que dans la forme.
Un certain nombre de ses textes relèvent de la fantasy urbaine, de la fantasy féerique ou de la dark fantasy.
Elle a reçu le prix Merlin en 2003 pour son roman la sève et le givre. Son dernier livre, "Avant l'Hiver", est un complément important des deux romans précédents, "La sève et le givre" et "La glace et la nuit", qui composent une fresque époustouflante sur le Royaume de Faerie. Ce livre est sorti également dans une version Hard avec de nombreuses informations en plus, en tirage limité à 70 exemplaires.
Depuis 2009, l'auteure ne communique plus sur ses projets et ne souhaite plus voir ses oeuvres publiées chez les différentes maisons d'édition. Cette triste décision survient à la suite d'un conflit avec la maison d'édition Les Moutons Électriques, dont le directeur littéraire André-François Ruaud diffuse le communiqué suivant sur son blog, le 27 février 2009 : "Suite à de profonds désaccords professionnels et à plusieurs contrats non honorés par l'auteur, les Moutons électriques viennent de prendre la décision de ne plus publier de nouvelles œuvres de Léa Silhol."¹
Ainsi, il n'est plus possible aujourd'hui de trouver sur le marché que son premier roman, "La Sève et le Givre" en édition de poche uniquement. Les suites de cette oeuvre ("La Glace et la Nuit", et "Avant l'Hiver") qui furent brièvement publiées, et aujourd'hui en rupture complète malgré leur nomination au Prix Merlin, sont ainsi devenues de véritables objets de collection recherchées par les fans de Léa Silhol. C'est également le cas de l'intégralité de ses oeuvres, essentiellement publiées aux éditions de l'Oxymore, mais aussi aux éditions du Calepin Jaune.
A la suite de ces différends, et d'après le blog personnel de l'auteure sur la plateforme MySpace, Léa Silhol semble avoir totalement cessé d'écrire.

source wikipedia

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