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Livres - Bibliographie

Leo Perutz


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Tous les livres de Leo Perutz

«La belle Esther, l’épouse de Mordechai Meisl, s’éveilla dans sa maison de la place des Trois-Fontaines. La lumière du soleil matinal tombait sur son visage et donnait à ses cheveux des reflets rougeâtres… C’était un rêve ! murmura-t-elle. Et nuit après nuit, c’est toujours le même ! Quel beau rêve ! Mais, loué soit le Créateur, ce n’est qu’un rêve. » Roman des amours irréelles, roman d’une ville disparue, roman d’une société enchanteresse : dans La Nuit sous le pont de pierre, Leo Perutz ressuscite, avec une maestria digne des kabbalistes qu’il met en scène, la Prague du xviie siècle. Quatorze tableaux pour peindre les amours merveilleuses de la belle Esther et de l’Empereur, et pour magnifier un monde extravagant, empli de bouffons, d’astrologues, d’alchimistes et de courtisans fébriles, où s’entrelacent les passions.

Espagne. 1812

Dans les Asturies en proie aux désastres de la guerre, un personnage étrange provoque la mort de deux régiments de dragons : c'est le marquis de Bolibar. Son ombres hante ce roman admirable.

" où le fantastique parvient constamment à se dépasser pour atteindre à un pathétique bouleversant à une véritable grandeur".

(Roland Stragliati)

Sur la plaque, il lut un nom étranger qui ne lui disait rien. Une terrible frayeur s'empara de lui : peut-être arrivait-il trop tard. « Selioukov n'est plus là, se dit-il, il a quitté l'appartement hier et personne ne sait où il est parti... » Mais pendant qu'il réflechissait, il sentit une odeur délicate et étrange qui passait sous la porte. Il connaissait cette odeur ; il l'avait sentie en Sibérie, au camp de Tchernaviensk : c'était l'arôme du tabac chinois, des cigarettes que fumait Selioukov. Il ferma les yeux et aspira avec une satisfaction indicible le parfum d'une journée du passé.

Puis il sonna. Derrière cette porte, il le savait à présent, il trouverait Selioukov.

Leo Perutz

Georg Vittorin est un ancien officier de l'armée autrichienne. Libéré, après plusieurs mois passés dans un camp russe de Sibérie, il décide de rechercher l'un des gardiens dont il veut se venger, le capitaine Selioukov. S'engage alors une formidable course-poursuite à travers I'Europe des années 20. Constantinople, Milan, Paris, l'Union soviétique... Univers troubles sur fond de crise. Vittorin finira par retrouver son geôlier...

Où roules-tu, petite pomme ? est l'un des romans les plus célèbres de Perutz. Près de trois millions de lecteurs le découvrirent en 1928.

Mexique, 1519. Fernand Cortez marche sur Tenochtitlan, l’actuelle Mexico, pour soumettre l’empereur Montezuma. L’enjeu : le trésor des Aztèques. S’il parvient à s’en emparer, tout le Nouveau Monde tombera sous la coupe de Charles Quint. Le rhingrave Franz Grumbach, Allemand luthérien en exil, est un homme sans mémoire qui voue une haine féroce aux Conquistadores et à leurs inquisiteurs. Seul ou presque, sans arme, Grumbach choisit son camp : ce sera celui du diable. Qui le dote d’une arquebuse et de trois balles : l’une pour Cortez, l’autre pour le duc de Mendoza, qui a enlevé sa bien-aimée, la jeune Indienne Dalila – quant à la troisième…

Emblème des œuvres à venir, la Troisième Balle, premier roman de Leo Perutz, emprunte la forme d’un labyrinthe baroque et savamment construit, où le réel historique et l’imaginaire fantastique, étrange, métaphysique, ne cessent de se télescoper.

En 1932, Georg Friedrich Amberg, jeune médecin engagé par le baron von Malchin, quitte Berlin pour le lointain village de Morwede. Afin de soigner les paysans ? Pas si évident, car dans le secret de son laboratoire le baron vient de découvrir la neige de saint Pierre, un champignon parasite du blé capable d’agir sur les esprits comme une drogue. Et dont il compte bien se servir pour restaurer la ferveur religieuse… et le Saint Empire romain germanique. Mais la drogue, expérimentée sur les paysans de Morwede et l’entourage du baron, les fera brandir le drapeau d’une tout autre religion…

« Chaque parution d'un Perutz est la promesse d'un grand bonheur. Aucun auteur n'a su, comme lui, manier à ce point la science de l'illusion. Perutz est un prestigitateur magnifique, un manipulateur de l'étrange, un maître du récit. Il aime, comme arme suprême, utiliser l'Histoire, l'officielle et la petite. Entendez par là : dans un contexte historique bien précis, il s'insinue à travers une faille obscure dans le monde de la fiction. Là, on retrouve les thèmes privilégiés de Perutz, l'amour, la mort, la fatalité et le destin entrant dans la construction d'un jeu machiavélique de substitution. Autant dire qu'on ne peut raconter un roman de Perutz sans gâcher le plaisir du lecteur. On ne dévoile pas la science d'un magicien. »

Olivier Cena

De qui le grand Léonard de Vinci pourrait-il bien s’inspirer pour représenter le Judas du grand œuvre de sa vie, La Cène ? À bien y réfléchir, une canaille des milieux malfamés de Milan devrait faire l’affaire ! Après avoir arpenté en tous sens les tavernes de la ville, il lui vient une évidence : Jésus aurait absous ces pauvres hères, or à Judas il ne pardonna rien. Et si, plutôt qu’une brebis égarée, Léonard allait voir du côté des « honnêtes gens » ? Un roman haut en couleurs et l’un des plus retors imaginé par Leo Perutz.

Conçu à l'origine comme un scénario de film (tourné en 1935), ce roman de l'auteur du fameux " Maquis de Bolivar " et du " Cavalier suédois " mérite de figurer dans toute anthologie de l'humour qui se respecte.

S'il ne peut en effet se comparer aux romans fantastiques ou historiques de Perutz, ce livre est bien digne d'un Lubitsch voir d'un Leo Mac Carey, tant les aventures d'un prince russe (le cosaque) à la poursuite d'une fantasque cantatrice (le rossignol) qui court théâtres et amants nous entraînent dans une cavalcade débridée et joyeuse : d'Athènes au Caire, de Monte-Carlo en Ukraine et en Russie soviétique.

Esprits sérieux s'abstenir : ici l'on rit !

Depuis une dizaine d'années, et la traduction du Cavalier suédois et de Turlupin, on sait en France l'importance du romancier viennois Leo Perutz (1882-1957) et on se passionne pour ses romans à la fois " historiques " et " policiers ", parfois " fantastiques " (autant d'étiquettes sujettes à caution).

De Borges, de Nabokov, Perutz a le goût des jeux de miroirs, des constructions romanesques sophistiquées, truffées de pièges et de chausse-trappes. Ses romans sont de fascinants labyrinthes littéraires. Dans Le Miracle du manguier (1916), un riche baron viennois est la victime (en partie consentante) des pouvoirs et des sortilèges d'un fakir qu'il a ramené de Ceylan, et l'enquête est menée par un médecin (trop) rationaliste et incurablement naïf.

Le roman est allègre, surprenant, palpitant.

Des suicides à la chaîne. Ahurissants, inexplicables. Et pourtant tous commis dans des circonstances analogues. Dans des lieux clos. Pourquoi ? Quelles sont ces forces obscures, terrifiantes et maléfiques, qui poussent des hommes, apparemment sains d'esprit, à une telle extrémité ?

Le Maître du Jugement dernier.

Et. lui, qui est-il ? Quel est son rôle ? Quelle est la solution de cette énigme incroyable ?

Avec une puissance d'évocation rarement égalée, le grand écrivain autrichien Léo Perutz (1884-1957) a donné avec ce livre, écrit sur le mode du roman policier, un des chefs-d œuvre de la littérature fantastique de langue allemande.

Stanislas Demba est étudiant à Vienne. Après avoir volé trois livres à la bibliothèque, il décide de les revendre. Lors de la vente du troisième, l'acheteur, suspicieux, appelle la police. Demba leur échappe de justesse en sautant par la fenêtre mais avait déjà été menotté. Au fil des vingt-quatre heures et des vingt chapitres qui composent le roman, Stanislas Demba erre dans Vienne, engoncé dans sa pèlerine afin de cacher ces menottes, en quête de secours et d'argent. L'imbroglio dans lequel il se trouve plongé donne lieu à des situations à la fois grotesques et dramatiques tant Demba doit redoubler d'inventivité et d'intelligence tandis que l'urgence et le suspense se densifient. En effet, la police est toujours à ses trousses et le temps passe, symbolisé par le cadran dont le tour aura bientôt été effectué. Au fil des chapitres, Demba se rapproche d'une issue irrémédiablement tragique. Thème cher à Perutz, la fatalité, symbolisée par la thématique de la course vers le néant encadrée d'un faisceau de contraintes, prend le dessus, inéluctable.

« Lire Leo Perutz (1782-1857), c'est retrouver la perfection des fabliaux. Les mots semblent avoir trouvé leur place définitive. Chaque nouvelle paraît dans sa concision avoir atteint l'achèvement. On a l'impression d'avoir affaire à des contes énigmatiques et prenants, tant de fois malaxés par des diseurs qu'ils ont l'aspect définitif des légendes. On y retrouve la verve de l'auteur de Turlupin, son goût pour l'humour désinvolte et son univers baroque qui fait penser à Kafka. »

Daniel Apruz

Nouvelles, Nouvelles

Tancrède Turlupin était un enfant trouvé.

Par un froid matin d'hiver, on l'avait découvert, âgé de deux ans, sur les marches de l'église du couvent des Trinitaires, et il avait été adopté quelques jours plus tard par un vieux vannier nommé Daniel Turlupin. (...) Lorsqu'il eut seize ans, il se trouva des gens qui lui enseignèrent l'art des perruques et des barbiers. C'était un rêveur plein de bizarreries. Contrairement à la coutume de l'époque, il dédaignait de porter une perruque et sortait toujours sans bonnet dans la rue.

" Leo Perutz. Dans la France de Richelieu, agitée par les luttes des clans de la noblesse, le destin tragique de Turlupin, le perruquier bouffon. Mené à la manière d'un roman feuilleton, avec rebondissements incessants, Turlupin combine le picaresque et le burlesque, la fantaisie historique et le suspense, sans délaisser pour autant ce qui fait la force et la singularité de l'œuvre littéraire de Perutz : la méditation sur les sens et non-sens de l'histoire.

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