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Par Joyce le 23 Janvier 2011 Editer
Joyce
Hommage à un prof d'éco qui m'disait: "J'aimerai renaître pour lire à nouveau ce livre comme si c'était la première fois!"
Un des ces bouquins qui marquent des vies.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par bookemixer le 1 Octobre 2010 Editer
bookemixer
Que dire de « Voyage au bout de la nuit » ? Que dire de cette épopée autobiographique ?
Seulement que nous pouvons tous rejoindre aisément les vérités du narrateur car il nous fait part de son expérience, il nous mène sans détour vers un réalisme du monde dans lequel nous vivons.
Oui, j'aime la vie et je pense qu'elle nous donne si nous nous laissons aller à plus d'humanité.
Oui, j'aime l'amour et je pense qu'il est le seul à pouvoir sauver le monde, l'esprit de l'homme et son cheminement.
Seulement, je ne peux penser autrement que CELINE lorsqu'il écrit que « la guerre est le révélateur de la bêtise humaine » ou qu'elle est le « spectacle absurde de cette boucherie héroïque ». Car le ton est donné rapidement, pessimiste devant le monde qui s'ouvre à ses yeux.
Le voyage idéalisé en règle générale dans les romans, ici laisse rapidement place à l'écœurement, à la révolte.
On y découvre avec lui l'Afrique et le colonialisme hideux. Ce colonialisme qui nourrit toujours les pays riches de manière différente aujourd'hui, mais continue à appauvrir, à assécher, à écraser les pays du Sud du globe.
Puis, la découverte de l'Amérique nous relate une grande déshumanisation par la machine capitaliste : asservissement des hommes par les hommes, encore et toujours, comme la vomissure du désir de pouvoir infini.
Nous terminons le voyage en revenant vers l'Europe et sa misère, ses rues remplies de nuit TROP sombre, omniprésente dans tout le roman comme une peur personnifiée.
La critique est acerbe contre ce monde contemporain des années « entre deux guerres », car sur les 3 continents, malgré l'ouverture qu'est le voyage en tant que tel, rien ne changent, tout est obscénité humaine. Le ton d'écriture est très familier, populaire, grossier, d'une franche brutalité pour mieux choquer, interpeller, renverser l'esprit, enseigner. Pour clôturer cet avis, même les réflexions sur l'amour et la vérité foncent droit dans un mur de lamentations. Peut être pour démontrer que nous sommes tous des fine-fleurs, « puceau de l'horreur comme on l'est de la volupté ».
Ce roman est superbe dans l'arrogance tragique, dans le talent d'écriture, dans les vagues de mépris et les flots de dérision. J'aime les ouvrages qui ne ressemblent à aucun autre. Celui-ci est pur. Pessimiste mais « pur » !
Je ne me considère pas « bon conseiller », mais ce livre là est à lire absolument ! A chacun d'y trouver ce qu'il veut bien en extraire...
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par mika1204 le 7 Janvier 2014 Editer
mika1204
La claque!

Des années que je me disais qu'il fallait que je le lise. Des années que j'hésitais à cause du passif de Céline.

Et puis un jour j'ai lu Bukowski. Et Buko aimait Céline... Et j'aimais Buko... Alors j'ai lu Céline. Voyage au bout de la nuit... Et là j'ai pris ma claque!

L'essence même du livre qui te retourne comme une chaussette, qui t’exhibe ta face honteuse comme il étalerait tes tripes sur la place publique!

Ne cherchez pas le bonheur, Bardamu, le "héros", si on peut en parler ainsi, ne le voit pas, ne le trouve pas, ne le cherche pas... Torturé, lâche, idéaliste, populiste, obsédé... Mais le pire c'est que dans cet homme, dans ses pérégrinations, dans ses évolutions au fil de ses voyages, de son voyage au bout de la nuit, ben je me suis retrouvé!

Féru de belles idées, puis écœuré par la moisissure latente de ce monde (même avec 80ans de différence par rapport au récit), lâche dans l'indifférence consciente aux maux des autres, réalistes quant à leur veuleries... Il m'a donné la nausée mais pas par dégoût, tout simplement parce que j'y retrouvais les ingrédients du mal être quotidien, de la détestation de l'autre, de l'égoïsme pernicieux... J'y ai retrouvé ce qui caractérise l'Homme dans ce qu'il y a de plus mauvais !

Et puis ce style! Il écrit comme il parle! ça vous plonge littéralement dans les méandres de la pensée de Bardamu!

J'ai pris ma claque! Sûrement le meilleur livre que j'ai lu jusqu'à aujourd'hui! Je regrette même que le voyage au bout de la nuit finisse par s'arrêter, car même s'il est moche et écœurant, ben on finit par s'y attacher!

Comme à la vie en somme...
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Cacoethes-scribendi le 25 Mai 2018 Editer
Cacoethes-scribendi
« Qu'on n'en parle plus ». Ce sont les derniers mots de ce roman et je les fais miens bien volontiers pour parler de ce monument de la littérature française !
Que ma lecture fut laborieuse... Nous suivons les déambulations de Ferdinand : dans la guerre, dans ses amours, aux colonies africaines, aux États-Unis, en tant que médecin en région parisienne et pour finir dans un asile de fous.
Vous vous demandez comment ces vies peuvent n’en faire qu'une seule ? Moi aussi. J'ai eu du mal à raccrocher les wagons à de nombreuses reprises ; je lisais avec fluidité plusieurs pages et puis pof ! je perdais le fil.
Ça blablate quand même beaucoup pour ne pas dire grand-chose, avec de grands discours ponctués de points de suspension.
Je suis sans doute passée à côté. J’ai lu et apprécié les petits traits provocateurs et quelques critiques de la société de l’époque. J’ai plutôt aimé l’écriture, sans que ce soit une Révélation, ce mélange de beaux mots et d’argot. Mais rien de plus.

Pourquoi je suis allée jusqu'au bout ? Déjà parce que je veux le lire depuis longtemps, sans avoir osé jusque-là (monument littéraire « intellectuel » + personnage de l'auteur). Ensuite parce que tout de même, j'ai lu pas mal de passages avec plaisir, au milieu de tous les autres inaudibles, donc ça me relançait !

Bref, je l'ai fini. « Qu'on n'en parle plus » ; j'ai déjà d'autres lectures en ligne de mire !
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Ertiammot le 5 Septembre 2011 Editer
Ertiammot
Rarement un livre ne m'aura autant donné à penser...
Rarement un livre ne m'aura autant marqué...
Rarement un livre ne m'aura donné autant de matière à lire...
Mais jamais un livre ne m'aura donné tout cela en même temps...

Livre autobiographique, profond, qui fait terriblement réfléchir sur l'être humain...

Il y a un avant et un après "Voyage au bout de la nuit"

A lire ne serait-ce que pour s'en faire sa propre opinion...

j'aime beaucoup le commentaire de Joyce ...
je crois que j'aimerais aussi renaître pour relire ce livre pour la première fois !
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par JadeNienna le 24 Janvier 2013 Editer
JadeNienna
Étudié en classe de première avec une prof absolument passionnante, je l'avais lu l'année d'avant et avais tout de suite accroché. Une écriture qui semble, comme ça, assez banale, avec l'usage du patois, mais pourtant, tellement de travail derrière tout ça ! Composé comme un roman d'apprentissage, dans la tradition picaresque, il ne faut cependant pas être dupe: Céline ne semble pas donner beaucoup de chance dans les évolutions de son personnage, et les apprentissages qu'il fait ne l’amènent pas à l'amélioration de sa vie, de sa situation. Bardamu, en tant que narrateur, tend à repousser le lecteur, je ne pense pas avoir éprouvé de grande sympathie pour sa personne au fil des pages ... cependant, les thématiques abordées m'ont touché, tout comme l'écriture. Un livre qui a réellement été un choc pour moi. Un grand oncle me disait que s'il y avait bien un livre qui l'avait marqué, un livre qu'il voudrait avoir toute sa vie dans sa bibliothèque, quoi qu'il lui en coûte, ça serait Voyage au bout de la nuit ... et, honnêtement, il est possible que je le rejoigne sur cet avis !
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par RMarMat le 28 Mai 2017 Editer
RMarMat
Voyage au bout de la nuit est un livre qui m’aurait presque empêcher de dormir tant il est épuisant. Je finis vide de sentiment.
Spoiler(cliquez pour révéler)
« J'avais beau me retourner et me retourner encore sur le petit plumard je ne pouvais accrocher le plus petit bout de sommeil. Même à se masturber dans ces cas-là on n'éprouve ni réconfort, ni distraction. Alors c'est le vrai désespoir. »
; Banalement, je suis heureux de l’avoir fini ! Maintenant, j’ai besoin de chaleur, de vie… de retrouver le soleil, là dehors ! D’une lecture plus légère !
Voilà 15 jours que j’ai fini ce voyage ! C’est toujours le même spleen quand je repense à cette aventure. Alors même si je m’attaque enfin à la rédaction de mon commentaire, je ne sais toujours pas si je peux affirmer avoir aimer ou détester cette lecture. Quelqu’un le peut-il objectivement ? Ce qui est sur c’est que ce livre ne m’a pas laissé indifférent, ni même indemne. Ma vision de l’humanité n’est pourtant pas des plus optimistes mais là ça me fait même peur de découvrir comment l’on peut descendre si profondément dans les nuits des hommes ; se perdre aussi loin que Céline et ses héros tristes.
A l’instar de Kerouac et Sur la route, c’est le voyage que romance Céline plus que la destination. Mais le voyage de Céline est un négatif sans but, un noir et blanc de la société, une exploration des ombres de la vie, des âmes et des cœurs humains. Bardamus, le héros reflète l’état d’âme de l’auteur, deux êtres écœurés, bouffés, brisés à jamais par les horreurs qu’ils ont vécu pendant la guerre 1914/18. C’est d’ailleurs par les pourritures de la guerre que le roman commence. On y sent poindre le côté antimilitariste de Céline (voir même un certain « tout sauf la guerre »). La suite est une longue fuite en avant, un mélange de pure violence et de lyrisme morbide. Plus de 600 pages à la foi horribles, magnifiquement désabusées et d’une rare lucidité.
Spoiler(cliquez pour révéler)
« Ce qui est pire c'est qu'on se demande comment le lendemain on trouvera assez de forces pour continuer à faire ce qu'on a fait la veille et depuis déjà tellement trop longtemps, où on trouvera la force pour ces démarches imbéciles, ces mille projets qui n'aboutissent à rien, ces tentatives pour sortir de l'accablante nécessité, tentatives qui toujours avortent, et toutes pour aller se convaincre que le destin est insurmontable, qu'il faut retomber au bas de la muraille, chaque soir, sous l'angoisse du lendemain, toujours plus précaire, plus sordide. »

Bardamus, Robinson, Alcide, la famille Henrouille, Madelon, Parapine sont seulement des écorchés vifs qui tentent de vivre avec leur désespoir, leurs contradictions, leur convoitise, leur médiocrité parmi toutes les charognes humaines qui les entourent dans la longue nuit de l’entre-deux-guerres. Ils s’enfoncent dans cette boue. On comprend vite que cette nuit est sans retour. Fatalement, on ne vie plus pareil après avoir connu la guerre et ses effrois, ses horreurs. Bardamus marche-t-il vers la mort. Non ! Il est trop lâche pour ça ! Son cœur a simplement cessé de battre. Encore un plus moins sous les chaleurs et l’exploitation étouffantes des colonies d’Afrique. Toujours moins aux cadences infernales des chaînes de montage de la nouvelle économie capitaliste américaine ou dans les entre-jambes des femmes. Il n’y aura pas plus de lumière à son retour en France, dans cette banlieue ouvrière et misérable de Paris où il exerce la médecine. Écœurante, la vie n’est pas soignable ; elle est dégoûtante… Les hommes non plus ne sont pas guérissables de leur vices…. vaseux !
Spoiler(cliquez pour révéler)
« C'est l'âge aussi qui vient peut-être, le traître, et nous menace du pire. On n'a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie, voilà. Toute la jeunesse est allée mourir déjà au bout du monde dans le silence de vérité. Et où aller dehors, je vous le demande, dès qu'on n'a plus en soi la somme suffisante de délire ? La vérité, c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde c'est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n'ai jamais pu me tuer moi. »

Je ne connaissais pas Céline, c’est donc sans à priori que j’ai découvert son style, son univers. J’ai tout de suite accroché ! La guerre, ses sentiments si particuliers d’absurdité et d’inutilité, ses idées pacifistes… jusqu’à cette lâcheté assumée. J’ai aimé cette envie de fuir, de dire stop à l’horreur qui pousse Bardamus, Robinson et tant d’autres à chercher refuge ailleurs… Et puis les ténèbres envahissent les pages… Ses nuits qui succèdent à des jours toujours plus crépusculaires… Bardamus représente un monde sans idéal… Et cette vision où sourde des pensées pleines de colère, de hargne et d’onanisme m’a paru parfois exaspérante. Les hommes subissent plus qu’ils ne réalisent leurs vies dans cette nuit là. Ce sont des ténèbres grinçantes, cinglantes, cruelles, déprimantes, qui rebutent les vivants. Elles dévoilent des paradigmes à ceux qui voyagent de jours, aux hommes optimistes, confiants et heureux. Du coup, j’avoue que ma lecture est devenu plus lente, moins enthousiaste. Après chaque page, il me fallait un peu de lumière, de repos pour reprendre à tâtons le déchiffrage de tant d’écœurement, de moisissure latente. Des flammes grandioses, magnifiques il y en a pourtant dans chaque page lue mais elle ne réchauffe pas, elle ne guide nul part. Rien n’y faire ! Tout nous ramène à notre incapacité de voire, de sentir…Parce qu’il est clairement là le mal-être quotidien de l’humanité, cette lâche indifférences aux maux des autres, nos égoïsmes pernicieux, nos instincts destructeurs, nos veuleries, nos petits meurtres. Je comprend mieux alors qu’il vaille mieux voyager de nuit pour s’accommoder de tant de laideur, et de tares. On s’y abrite, on s’y cache… parce qu’on n’a plus la force de mourir et (ou) de vivre. Est-on arrivé au bout ? Une fin ? Sans doute que non ! Puisque d’autres hommes viennent « des plus pâles encore, à mesure que le jour monte de partout. ».
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Raphy96 le 30 Août 2015 Editer
Raphy96
Telle la noirceur de la nuit, la nature humaine présentée sous ses atours les plus criants de vérité nous saute au visage, nous agrippe et nous entraîne de plus en plus profond dans la fange, au rythme d'un Bardamu toujours plus désenchanté, mais pas forcément toujours surpris.
C'est violent, c'est passionnant. On n'en finit pas de redécouvrir notre nature, nos sursauts animaux, nos comportements méprisables. Tout est si laid dans ce monde qui est le nôtre. Mais c'est une laideur dont on s'accommode, qui fait partie de nous, et qui ressort même chez le narrateur, qui porte pourtant un regard tristement lucide sur ce qui l'entoure: De la boucherie irrationnelle de 1914 aux écueils mortels de l'Amour, en passant par l'étouffant colonialisme et la fourmilière américaine, les désillusions s'amoncellent. Rien n'est beau, ou si peu. Alors on s'habitue. Comme Bardamu, on ressort secoué, brusqué, bousculé, blasé, de ce voyage au bout de la nuit.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par dibenet le 8 Avril 2012 Editer
dibenet
Le genre de livre qui vous fait dire, si comme moi vous le découvrez sur le tard : mais pourquoi j'ai tant attendu avant de le lire !?
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Koady_smlfangirlgroupe_29 le 14 Mars 2022 Editer
Koady_smlfangirlgroupe_29
Un bon livre avec des réflexions intéressantes! Il y a cependant des passages parfois très longs ce qui fait que ça gâche un peu le plaisir de lecture. Et puis en plus tous les personnages sont odieux et détestables. (à part certains notamment Molly qui est le meilleur perso du livre et puis le passage avec elle est juste magnifique ^^) Ce sont vraiment tous des connards vis-à-vis du perso principal qui essaie d'avancer et de faire de son mieux mais qui est sans cesse bousculé... Il mérite mieux que ça après tout ce qu'il traverse... Certaines scènes avec deux persos particuliers m'a vraiment énervée vers la fin.

Le fait de voyager à travers différents pays et de rencontrer divers persos est plutôt intéressant même si parfois, c'est ennuyeux. C'est un livre auquel il faut s'accrocher même si c'est un pavé de 500 pages! Peut être quelques pages en trop mais dans l'ensemble, j'ai apprécié ma lecture!

Et le personnage de Bardamu... je crois que c'est un de mes héros préférés à ce jour! Je le trouve tellement incompris! C'est un jeune homme de 20 ans, pessimiste et très négatif sur sa vision du monde et sur l'etre humain en général. C'est quelqu'un qui fait de son mieux, qui essaie d'avancer, de se trouver une place dans le monde. Et putain quel voyage et quel avancée! Je l'ai vraiment beaucoup aimé ^^

C'est un roman noir et assez sombre. Il y a des passages durs, compliqués...

Concernant le style est l'écriture c'est de l'argot donc c'est un peu familier, mais cela ne m'a pas interpellée plus que ça.

J'ai beaucoup aimé la fin également!

À lire une fois!!!

D'ailleurs, apparemment, peu de personnes ont réussi à finir ce livre donc je suis fière de pouvoir dire que je l'ai lu en entier!
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par ManonPstrummer le 27 Avril 2019 Editer
ManonPstrummer
Voilà. J'ai lu ce fameux classique, que j'ai trouvé d'une lenteur et d'un pessimisme incroyable malgré quelques critiques intéressantes de notre monde. C'est bien écrit. Mais c'était long, très très long.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Idelma le 28 Juin 2018 Editer
Idelma
Le voyage de Céline est particulier autant par son écriture que par la direction que prend le récit. Très pessimiste, très sombre... Mais j'admet que je n'ai pas trop accroché. Une lecture académique plus que divertissante.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par MagEmyOow le 30 Juillet 2015 Editer
MagEmyOow
Un roman dont le style peut rebuter pas mal de personnes. Pour ma part, il ne m'a pas dérangé, mais j'ai préféré les passages plus construits à ceux où l'auteur emploie un jargon oral peu fluide.
C'est un roman qui fait voyager et plonge dans la vie de l'auteur, mais j'y ai décelé quelque chose de frustrant. Je pense que c'est du au fait que je ne me suis pas attachée particulièrement au narrateur.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Reckless le 22 Avril 2015 Editer
Reckless
Avec le temps, nous pouvons constater que le premier livre de Céline depuis sa parution continue encore et toujours de diviser.
Les raisons de cette discorde sont principalement dues au caractère obscène et grossier, ainsi qu'à cette éternelle noirceur qui est propre à cet auteur tant controversé.
Pourtant, je n'ai pas été particulièrement gêné par tous ces éléments sujets à de nombreuses controverses futiles.
Les longueurs qui sont à signaler ne nous empêchent évidemment pas d'apprécier la qualité du contenu.
En effet, Céline nous entraîne ici dans une violente critique de l'humanité qui en interpellera plus d'un.
Il nous confronte à l'absurdité de la guerre, le dégoût du capitalisme, l'antipatriotisme, l'anticolonialisme, et cetera.
L'auteur profite vraiment de cette occasion pour égratigner du début à la fin tout ce qu'il trouve de déplaisant dans notre monde.
Même si ce livre demeure dense, le voyage reste quant à lui particulièrement saisissant.

A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par fetnat le 2 Juillet 2012 Editer
fetnat
Livre à lire pour le Bac de Français, auquel personne ne reste indifférent. En effet, "Voyage au bout de la nuit" est marquant par son écriture reconnaissable entre toutes et ses idées. Mais c'est un livre que je n'ai pas réussi à finir, malgré tout le mal que je me suis donné. Le mélange de langages argotique, oralisé et soutenu qu'utilise l'auteur, m'a vraiment donné du mal à lire et à comprendre. Je n'ai pas du tout accroché au personnage de Bardamu.
Je vais citer pour finir un extrait de l'article d'André Rousseau intitulé "LE cas Céline" (Figaro 10/12/32) :
« Quoique Voyage au bout de la nuit de M. Louis-Ferdinand Céline n’ait pas eu le prix Goncourt - que tout le monde lui attribuait à l’avance - il passionne l’opinion littéraire plus qu’aucun livre n’avait fait depuis longtemps. On prend violemment parti pour ou contre lui. Pour les uns, ce livre est une ordure : pour les autres, une œuvre de génie. »
Alors lisez-le s'il vous tente mais je vous déconseille de le lire sous la contrainte.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit

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