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Louis-Henri De La Rochefoucauld

Auteur

15 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Louis-Henri de La Rochefoucauld a 24 ans. Les Vies Lewis est son premier roman.

Né en 1985 à Paris, Louis-Henri de La Rochefoucauld est critique de livres à «Paris Match» et de musique aux «Inrockuptibles».

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Note moyenne : 7.33/10
Nombre d'évaluations : 6

0 Citations 8 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Louis-Henri De La Rochefoucauld

Sortie France/Français : 2021-11-25

Les derniers commentaires sur ses livres

Le Club des vieux garçons

Quand un héros et un auteur ont le même âge que moi, je me sens investie de l'obligation de découvrir de quoi ma génération est capable !

Louis-Henri de la Rochefoucauld, de toute sa haute aristocratie, dépeint le portrait d'un jeune fortuné du nom de François de Rupignac. J'ai pensé au début que j'allais avoir à faire à une écriture compliquée à suivre, me prenant de haut car ne baignant pas dans la noblesse mais ce ne fut pas le cas.

Au contraire, l'auteur porte un regard plutôt comique sur la famille de Rupignac. Le jeune François est assez oisif et se laisse volontiers porter par ses parents et / ou surtout par sa grand-mère. Une duchesse qui a un caractère de jeune dame toute pimpante. Elle lui laissera faire beaucoup de choses et notamment la plus incroyable de toute sa vie : créer le club des vieux garçons. Il sera épaulé de son grand-père et puis de son grand oncle ensuite.

Ce club a quelque chose de chic et en même temps de ringard je trouve. Il permet à des jeunes gens de se retrouver et de se décoincer...l'alcool aidant bien sûr ! Mais au lendemain de ces soirées, tout le monde revêt ses bonnes manières et son minois de jeune premier(e).

L'auteur m'a embarqué dans ses nuits spéciales mais par moment j'avais du mal à faire le lien entre son idée de départ et le tournant que cela prenait. Je me suis raccrochée aux idées de Pierre, grand ami de François. Ses idées sont celles d'un jeune homme plein de certitudes et plein de foi en l'avenir !

Tout au long du récit, je me suis dit que j'allais arrêter ma lecture car j'avais parfois du mal à rentrer dans le contexte, où qu'il fallait être comme l'auteur pour comprendre les rouages des vieilles familles nobles. Et puis les mots de l'auteur ont su me garder réceptive car malgré moi j'avais envie de savoir ce qu'il allait advenir de notre vieux garçon et de son ami. J'avais bien un doute sur l'issue de leur expérience mais j'espérais que l'auteur ne prendrait pas le chemin de la facilité!

L'idée de départ est vraiment originale, vouloir changer le monde grâce à ce club était une sorte de pied de nez à ce que nous devrions être dans la société actuelle !

C'est un livre qui se laisse lire et qui permet de faire une pause plus légère entre deux thrillers par exemple !

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Le Club des vieux garçons

Un bon petit moment de lecture.

François de Rupignac fils de bonne famille n'est pas né à la bonne époque. A la naissance il était déjà vieux et inadapté à son époque. Sa famille loufoque attend de lui qu'il perpétue son nom et soit à la hauteur de son patronyme hérité de nombreuses générations. Mais comment briller à notre époque ? François ne se sent pas l'âme d'un conquérant plutôt celle d'un vieux garçon. Mais sa rencontre avec Pierre va lui ouvrir les yeux et ensemble ils vont décider de mener "une révolution en pantoufles, souriante, pacifique et courtoise, sans aucune brutalité. Une révolution de vieux garçon, en somme".

Vous l'aurez compris le point fort de ce livre est l'humour anglais que j'aime beaucoup avec son ironie et le second degré que le personnage principal porte sur lui-même. Il ne prend pas la vie au sérieux et mène une révolution au champagne contre les gensdelettres et les autres... Mais finalement comme lui on s'ennuie et la désinvolture ça va bien un petit moment mais à la longue sa "révolution" lui échappe et il se perd avant de trouver sa voie à la fin du récit.

A lire pour le second degré, l'originalité et l'ironie.

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La Prophétie de John Lennon

Un récit surprenant pour moi : au début j'ai été déboussolée, ne me sentant pas assez de culture du rock pour continuer la lecture, puis peu à peu j'ai été emportée par l'humour et j'ai suivi les péripéties du personnage, Louis, et sa vision cynique du monde du spectacle et de la musique…

Un récit instructif à l'humour décapant.

http://passeuredelivres.over-blog.com/2019/01/la-prophetie-selon-john-lennon-stock.html

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La Prophétie de John Lennon

Je n'ai pas été déçue par ce livre qui est à la fois pop et mystique, comme sa couverture le promettait ! Le narrateur, un jeune musicien bourgeois en panne d'inspiration, a l'idée d'aller creuser dans le domaine du religieux pour composer ses nouveaux titres. C'est loufoque et profond à la fois, et ça ne se prend heureusement jamais au sérieux. L'auteur, dont le style est vif et drôle, dresse un portrait acide de l'univers musical en vogue actuellement, nourri par les différentes rencontres qu'il a pu faire en tant que critique rock. J'ai été parfois gênée par le portrait peu flatteur que LHDLR fait de certains musiciens que j'aime bien... mais le tout est fait tellement brillamment que je lui pardonne !

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La Prophétie de John Lennon

Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=46564

J'ai mis la note de : 08/20

Mon avis : La prophétie de John Lennon constitue un roman particulier sur la musique et sur son évolution au fil du temps. Plus qu’une réflexion, bien plus qu’un roman historique, ce récit élabore une véritable critique, notamment envers certains genres qui fonctionnent très bien aujourd’hui, comme la pop ou l’électro. Le narrateur, effectivement davantage porté vers les univers du rock’n’roll, n’hésite pas à dénigrer ce qu’il considère comme des styles outrageants, essentiels pour ceux qui ne peuvent rien comprendre aux paroles intelligentes ou aux rythmes travaillés. L’auteur offre un pamphlet plutôt insultant pour les lecteurs appartenant aux communs des mortels, c’est-à-dire à ceux n’évoluant pas dans sa classe sociale, qui semble ne pas écouter la même musique, ou vivre dans notre monde.

Le roman oublie de nombreux genres musicaux, comme le métal, le zouk, ou le reggae. Il traite principalement de l’apologie de la musique « religieuse », celle qui se situe au plus proche du divin, qui se joue d’abord dans les églises. Cette portée chrétienne, bien qu’expliquée par de nombreux témoignages d’artistes célèbres, et justifiée par l’ambition première de la musique qui, à l’époque, aurait apparemment voulu aborder les cieux, perturbera les lecteurs athées, comme les croyants, voire simplement ceux convaincus que la musique permettrait avant tout de s’évader et de rêver. Ce qui constitue un objectif bien assez louable à tout point de vue.

L’idée d’une musique religieuse nécessaire au bien de l’humanité aurait pu s’approcher d’une autre manière, sans ces critiques malsaines qui rabaissent tous les autres genres musicaux et qui les cantonnent à des configurations stupides. Pourquoi est-ce que prier Dieu serait-il plus intelligent, plus utile, que de porter un message d’espoir à ceux vivant en banlieue, par exemple ? Que l’on apprécie un genre ou non, reste bien évidemment une chose compréhensible. Ce qui l’est moins est le fait d’abominer tout ce que l’on n’aime pas écouter, sans parvenir à fournir des arguments objectifs.

La conclusion du roman n’apporte pas de solutions satisfaisantes, et reste en suspens. Les dialogues de ce roman se construisent de manière bien particulière, en omettant toute indication de ton ou d’identité de l’interlocuteur, s’enchaînant simplement par l’accumulation de tirets. Ces passages restent heureusement plutôt faciles à suivre, étant donné que le personnage principal parle peu, reste effacé devant les figures qu’il rencontre ou qu’il interview dans le cadre de sa profession. Le héros de l’histoire apparaît comme une personne très influençable, qui a du mal à réfléchir par lui-même et qui ressent le besoin de connaître les avis de tous avant de décider. L’image qu’il renvoie reste plutôt décevante, et cela n’aide pas les lecteurs à s’attacher à cette personnalité en retrait.

Les artistes mis en scène dans cette histoire ont tous existé, et vivent encore pour la plupart. Leur parler énergique et leurs mots efficaces sont bien trouvés, permettent des dialogues énergiques, qu’il est agréable de suivre. Ils constituent d’ailleurs la force du récit : ils dévoilent des instants de vie de stars que l’on connaît, ou disparues de la scène, et nous offrent des analyses plus ou moins pertinentes sur certains modes de vie, magazines célèbres, ou genres musicaux. Ces rencontres apportent de quoi réfléchir à notre héros, et nous embarquent dans un monde caché, que l’on ne soupçonne pas forcément. Les célébrités se livrent, et certains mots sont touchants.

Les messages portés par ces personnalités constituent cependant principalement des réflexions négatives sur l’évolution de la musique, ainsi que sur leur propre vie, à présent bien terne, après un succès mondial effervescent. Le ton du roman est déprimant, tout du long, et ne trouve qu’un ton optimiste dès qu’il est fait question de religion, comme si Dieu constituait la solution à tous les problèmes des protagonistes du roman, ce qui apparaît comme quelque peu réducteur, et peu séducteur pour nombre de lecteurs.

La prophétie de John Lennon, du nom de celui qui disait se prendre pour Dieu, en insultant ce dernier, selon le personnage principal de ce roman, est un récit qui dénonce une évolution tragique de la musique, la fin d’un rock ancien, aux paroles engagées, qui signifiaient quelque chose, et qui fait l’apologie du « C’était mieux avant ». Pourtant, la musique reste un art vivant, qui change, qui s’émancipe de son passé ou qui y revient, qui est en perpétuel mouvement. Ainsi, il est difficile de croire complètement à ce message attristant, qui voudrait nous faire remonter le temps, jusqu’aux Anciens qui composaient pour les rois et les règnes fastes, c’est-à-dire qui créaient une musique « de bobo », dont les paroles ne parlaient pas à tous.

Tous les styles et genres ont leur place, même si on ne les apprécie pas tous, et il est dommage que ce roman l’oublie, comme le fait que tous les artistes ne sont pas aussi malheureux que ceux interviewés pour ce récit.

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Le Club des vieux garçons

Ce livre de Louis-Henri de la Rochefoucauld part d'un postulat fort sympathique qu'il développe de bien belle maniére...

François de Rupignac descend d'une lignée de duc reconnu. Mais peu enclin aux grandes études, ni à l'amour, et avec un esprit un rien rebelle, il décide de créer le Club des vieux garçons dans lequel se regroupe tout type de personnalité... mais ou tout contact physique homme-femme est proscrit.

Il est difficile de résumer ce livre car il retrace la vie d'un homme, François de Rupignac, sur plusieurs décennies. On le voir devenir ami avec Pierre, créer le Club, puis s'en éloigner et revenir. Intéressant par le portrait qu'il dresse de ses personnages, avec leur parlé "vieillot" mais trés sympa à lire, le livre ajoute une bonne dose d'humour. Il se lit donc assez vite et sans déplaisir même si certains chapitres m'ont parus un peu trop long. Mais le personnage de François, on apprend vite à l'apprécier, autant qu'on peut le détester par moment tant on souhaiterait qu'enfin il évolue. Il est d'ailleurs étonnant de constater à quel point on refuse de le voir stagner, et finalement faire ce qui lui plait.

Une trés bonne lecture donc que je vous conseille !

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On parle de Louis-Henri De La Rochefoucauld ici :

Dédicaces de Louis-Henri De La Rochefoucauld
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Editions Léo Scheer : 2 livres

Stock : 2 livres

Robert Laffont : 2 livres

Pocket : 1 livre

Julliard : 1 livre

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