Luc Brahy
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Note moyenne : 7.45/10Nombre d'évaluations : 137
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Les derniers commentaires sur ses livres

Le troisième tome de la série se maintient à la hauteur des précédents : ennuyeux et dénué d'intérêt à mes yeux. Cette série a été abordée dans le cadre d'un challenge, mais je n'ai ni apprécié l'intrigue ni les personnages.
Afficher en entier![Sharko et Henebelle, Tome 1 : Le Syndrome [E]](https://cdn1.booknode.com/book_cover/1402/mod11/sharko_et_henebelle_tome_1_le_syndrome_e-1402203-264-432.jpg)
J'ai beaucoup apprécié la version BD de ce roman!
J'ai préféré lire le roman avant, et au final j'ai adoré la BD. J'adore le style de dessins, c'est exactement ce que j'aime. On est pas trop dans le glauque, mais on a un peu de sanglant quand même... Le mélange parfait!
Malgré quelques raccourcis (nécessaires j'imagine pour se faire au format BD!) l'histoire est très fidèle à celle de base!
Et les représentations de Hennebelle et Sharko représentent bien ce que j'avais en tête!
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Le Tome 3 de Destins est le début du chemin où Ellen ne se dénonce pas. Elle garde malgré tout un fort sentiment de culpabilité, qui est bien retranscris dans ce tome.
Il y a 2 dessinateurs différents dans ce tome, différents aussi du dessinateur du tome 1, mais on reconnait bien les personnages.
L'histoire est palpitante, on a hâte de connaître la suite.
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N'ayant pas lu le roman, je ne ferai pas de comparatif et je jugerai seulement sur la BD. J'ai beaucoup aimé l'intrigue de base surtout au niveau des thématiques de la reconstruction de soi et du regard des autres. Toutefois, je trouve que l'enquête était un peu tirée par les cheveux à certains moments. Je ne me suis pas attachée aux personnages. C'était un bon moment de lecture, mais sans plus.
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Un bon résumé en BD d’un thriller lu il y a plusieurs années et dont j’avais oublié une bonne partie du contenu. Les grandes lignes sont abordées
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La BD est fidèle au très bon roman d’Olivier Norek. Le suspens et l’humour sont au rendez-vous. Je la recommande vivement
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Autant j'avais aimé le roman d'Olivier Norek, "Surface", autant la bande dessinée m'a laissé indifférente.
La raison principale est que je connaissais le récit et donc RIEN ne m'a surprise.
Je voulais lire une adaptation d'un roman en BD, c'est fait, mais je ne le ferai plus.
Je lirai un des deux formats seulement... Parce que, quoi qu'on en dise, ce n'est qu'une répétition, en images certes, mais une répétition tout de même.
Bonne lecture.
Afficher en entier![Sharko et Henebelle, Tome 4 : [Angor]](https://cdn1.booknode.com/book_cover/5555/mod11/sharko_et_henebelle_tome_4_angor-5554896-264-432.jpg)
Très contente de retrouver ce duo d'enquêteurs. Je dois dire que je suis tombée sur la BD totalement par hasard car je n'avais vu nul part que la suite allait être adaptée en BD vu que les 3 premiers avaient été regroupés en une intégrale nommée "La Trilogie de la violence".
Mais très contente et j'ai adoré cette enquête tout aussi lugubre et gore comme les autres. Ca me donne de plus en plus envie de lire les livres pour me faire une idée plus complète de l'histoire.
Les dessins sont toujours aussi chouettes, ils donnent une certaine ambiance à l'histoire qui colle parfaitement avec le sujet.
Bref, j'ai adoré cette enquête et hâte de découvrir les autres tomes.
Afficher en entier![Sharko et Henebelle, Tome 4 : [Angor]](https://cdn1.booknode.com/book_cover/5555/mod11/sharko_et_henebelle_tome_4_angor-5554896-264-432.jpg)
Après avoir récemment lu "La trilogie de la Violence" en bande-dessinée, je suis ravie de continuer la série de Franck Sharko et Lucie Hennebelle en version graphique, d'autant plus que je n'ai pas encore lu "Angor" en roman. C'est un plaisir de retrouver les mêmes auteurs au scénario et aux dessins puisque l'on conserve ces pattes caractéristiques de cette série illustrée. Ne connaissant pas l'histoire, c'est donc une découverte en tant que novice, et j'ai beaucoup aimé comment l'histoire était mise en scène. On retrouve des encarts spécifiant le lieu et la date afin de se situer parfaitement dans l'intrigue et ses différents angles et personnages. On ne se perd jamais et passer entre les divers pans de l'intrigue dynamise parfaitement l'histoire. Les auteurs ont fait en sorte que l'on prend parfois le temps d'exposer les choses, sans être dans l'urgence et en maintenant en place cette tension croissante. L'équilibre trouvé est parfait puisque l'on n'a pas cette sensation que tout va trop vite. J'ai donc passé un excellent moment de lecture et j'ai tout de même hâte en envie de découvrir le roman!
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Version BD est tout aussi bien que le roman. Les planches sont exceptionnelles très colorée. Le coup de crayon n'était pas mon style de base mais je l'ai vite oublié. C'est vraiment une belle adaptation. Il y a quand-même quelques dialogues qui m'ont manqué, ça serait chipoter. Je le recommande en roman à tous, je vais faire de même avec la BD.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Luc Brahy
et autres évènements
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Editeurs
Dargaud : 10 livres
Delcourt : 7 livres
Glénat : 4 livres
Phileas : 4 livres
Dupuis : 3 livres
EP Média : 2 livres
Le Lombard : 1 livre
Michel Lafon : 1 livre
Biographie
Il est de ceux dont les bios peuvent débuter par " Déjà tout petit...", ce qui est au monde de la b.d. ce que "il était une fois..." est aux contes pour enfants. Cette histoire-ci commence à Istres, où Luc Brahy est né en 1964.
Le dessin l'a toujours passionné : la publicité et le dessin de presse lui permettent d'être publié - un encouragement salutaire pour les artistes du crayon. Il n'a pas trente ans quand un éditeur (Vent d'Ouest) publie son premier album : "Zoltan", sur un scénario de Frank Giroud (1993).
Il mettra sept ans avant de voir concrétisé un projet plus personnel, "Ynfinis", en deux tomes (" Mayrim " et " Duel ", aux éditions Clair de Lune), qu'il signe seul, mais sous le pseudonyme de Dust. On y voit une évolution vers un style de plus en plus personnel, se réclamant à la fois du réalisme classique et d'une modernité avant tout efficace.
Une rencontre va décider de son avenir : avec Eric Corbeyran ("Le Cadet des Soupetard" et "Lie de Vin" chez Dargaud) va naître une solide amitié. Plusieurs projets sont mis en chantier. Le premier paraît en 2003, "Imago Mundi", pour lequel un autre ami, Achille Braquelaire, apporte la caution scientifique.
(Source : Éditions Dupuis)
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