Lydie Blaizot

Une lecture rapide et agréable, cependant je l'ai trouvé assez prévisible.

Cependant, les personnages m'ont permis de passer outre ces prévisibilité, les liens qu'ils vont créer sont intéressant et permettent d'entrer dans l'histoire et de vivre leur aventures avec eux !

La diversités des caractères des IA, la technologie développé dans l'histoire, la manière dont l'auteur a développé l'histoire sont intéressants. Il y a pas mal de passages de voyages dans l'espace ou intra-monde dans cette histoire. Tout est fluide, agréable à lire. Une fois fini, on a du mal à quitter les personnages ainsi que l'histoire qui est vraiment très intéressante.

J'ai adoré cette histoire, bien que je trouve que la fin va un peu vite.

Depuis la Tempête, des villes côtières du Nord de la France, en partie dévastées, sont devenues le théâtre de phénomènes étranges. Des créatures monstrueuses peuplent désormais les zones ravagées par l'océan et certaines machines paraissent désormais douées de vie...

Nayeli Morin, orpheline, survit tant bien que mal au Havre. Son rêve: trouver son maître et devenir officiellement un Corbeau et aussi lui éviter la mort. Car les Corbeaux ont des dons. Ils peuvent communiquer avec les morts mais aussi prendre leurs contrôles. Seulement ils doivent être formés par le maître qui leur est destiné sans quoi ils risquent la mort, ou pire. Reynard Bonniface, habitant à Cherbourg, où il officie comme enquêteur «spécialisé» auprès des autorités, est le maître de Nayeli. Elle part le retrouver. Dès son arrivée, ils se voient confier une mission. Un cadavre a été retrouvé avec la clef de l'Arsenal, lieu interdit et extrêmement dangereux, territoire des machines. Voulant interroger le mort, ils ne trouvent aucun esprit. Ils doivent vite enquêter avant que les choses empirent.

Très bonne lecture. L'univers est passionnant et l'histoire haletante. J'ai adoré suivre l'enquête et le mélange des genres magie et steampunk. J'espère que c'est un tome 1, car il reste beaucoup à découvrir non seulement sur le don de Nayeli, les Cordeaux mais aussi sur le mystère de la Tempête. Cet univers est peu développé mais cela n'empêche pas une agréable lecture, au contraire, on n'en veut plus.

Imaginez une partie de la France sous les eaux, défigurée par une terrible tempête. Des milliers de disparus et une vie qui ne ressemble qu’à de la survie.

Nayeli a tout perdu. Ses parents et récemment sa tante. Son quotidien se résume à des petits larcins et un don qu’elle tente de contrôler. Elle peut voir les fantômes et les influencer à dire où se cachent leurs trésors. Nayeli est une drôle de jeune femme. Têtue mais craintive, elle a un bon sens pratique. Accompagnée de son irréductible ami, Thomas, Nayeli a un regain d’espoir lorsqu’elle trouve son maître. Enfin elle va pouvoir apprendre toutes les ficelles du métier de Corbeaux et se forger un nouvel avenir bien plus serein.

Du Havre à Cherbourg, elle découvre une nouvelle ville tout aussi décimée que la précédente. Les machines sont davantage présentes, dans le ciel, sur terre et surtout dans cet endroit lugubre l’Arsenal, figure emblématique et militaire de Cherbourg. Un lieu mystérieux où la mort semble régner.

Aussitôt arrivée chez son « maître Corbeau », Nayeli n’a plus une minute à elle et doit se plonger au cœur d’une enquête trépidante et dangereuse. Reynard Bonniface est un homme qui a plus d’un atout dans sa poche, disons plutôt dans son sac sur patte. Méticuleux et d’une gentillesse remarquable, cette enquête lui pose beaucoup de problèmes. Aider de ces acolytes, un fonctionnaire taiseux et un militaire défiguré, et de quelques fantômes, les vestiges de l’Arsenal font les engouffrer dans la plus sombre des aventures.

Cela faisait très longtemps que je n’avais pas lu de steampunk. Pour rappel : Le Steampunk est un courant présent dans les œuvres artistiques et le monde de la création, et qui renvoie à l’époque de la révolution industrielle en jouant sur une vision fantasmée de la place de l’Homme au sein d’une société automatisée. (linternaute.fr). La présence des machines reste à mon goût discret malgré le final tonitruant. Le côté fantastique est par ailleurs un atout considérable tout au long de l’histoire. Les personnages sont assez hétéroclites et offrent de nombreux moments d’ententes et de mésententes.

Cette découverte me laisse un goût mitigé. J’ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cet univers et à me saisir de tous les éléments. Si les actions sont omniprésentes, je n’ai pas réussi à trouver le rythme et à aller de l’avant. Les personnages sont sympathiques mais j’ai eu beaucoup de mal à ressentir de l’empathie envers eux. Il y a beaucoup de protagonistes dans l’histoire et le récit s’alterne entre leurs points de vues. L’association entre le fantastique et le steampunk me laisse ni pantoise ni charmée.

En bref :

– Un univers de machines et de fantômes

– Un monde apocalyptique

– Un enquête mouvementée

– De nombreux rebondissements

– Un lieu mythique mis en avant

Lisez-vous du steampunk ?

Une France ravagée par les eaux, le personnage principal qui voit les fantômes, qui est malheureusement très peu exploité, et un livre Steampunk tout ce que j’aime en somme, Sauf que les machines sont très peu présentes je trouve. Excepté à la fin. Un univers complexe qui ne m’a pas emballé qui n’a pas donné de facilité de compréhension. Des personnages sympas, mais avec lesquelles je n’ai rien ressenti. Beaucoup de rebondissements qui ne laissent pas le temps de se poser 2 min ce qui peut être positif Car on ne devrait pas avoir le temps de s’ennuyer, mais aussi négatif, car on ne prend pas le temps d'avoir plus d’explications claires sur ce qui se passe.

 En résumé, je ressors très très mitigée par cette lecture ou malgré les actions sur action, je me suis ennuyé, je n'ai pas suivi tous les aboutissants.

Un bon moment de lecture, qui se lit très bien et un bon mélange de fantastique et de steampunk.

Nous voici dans un monde, l'aventure se situera entre l'Angleterre et essentiellement la France et Cherbourg, qui a été ravagé par une mystérieuse Tempête. Ce sont surtout les côtes et les ports qui ont essuyé le plus gros des dégâts. Suite à cela des choses étranges se sont passées dans les ports et arsenaux abandonnés : des machines fonctionneraient d'elles-même... Ce qui a entraîné une certaine aversion envers tout engin ou technologie plus avancé. Nous sommes revenus à l'ère des chariots, des chevaux et des bougies. Mais ce n'est pas tout : certains êtres humains ont acquis la capacité de parler aux fantômes, voire plus. C'est le cas de Nayeli, jeune femme naît dans les quartiers pauvres de Londres, et qui cherche à tout prix à s'en sortir. On a affublé ces personnes du nom de Corbeaux et il n'est pas rare que la police ou le gouvernement en place fassent appel à eux pour démêler certaines situations. Ils doivent aussi se trouver un Maître qui les initiera et leur apprendra à utiliser leurs pouvoirs. Nayeli découvre que le sien, Reynard Bonniface, habite à Cherbourg et le rejoint rapidement là-bas. Bientôt, Maître et élève vont se retrouver embarqués dans une aventure dont ils ne mesurent d'abord pas les enjeux et les conséquences.

J'ai bien aimé ce roman dans lequel il y a de l'action, des intrigues, de la magie, de la technologie, qui fait plus peur qu'elle ne rassure, et de l'humour à chaque détour de pages. Il faut dire que la galerie de personnages est truculente entre une apprentie suivie par un fantôme, un maître légèrement doux-dingue, une jeune fille de bonne famille, un fonctionnaire pas très plaisant (ah ! Les fonctionnaires !), un soldat qui a vu l'enfer, un scientifique aussi génial qu'il est fou, et des fantômes qui errent encore dans notre monde sans savoir pourquoi. L'intrigue est très bien construite et mystérieuse à souhait entre soupçon de société secrète, manipulation des esprits mais aussi de cette technologie laissée à l'abandon et qui semble vouloir s'éveiller et vivre d'elle-même. Mais quelqu'un semble agir dans l'ombre et nos héros vont faire d'incroyables découvertes.

Je ne sais pas si ce sera un premier tome car l'histoire a bien une fin. En tout cas, ce serait avec plaisir que je retrouverai les personnages des "Vestiges de l'arsenal" et puis, il y a quelques questions que je me pose encore et toutes les réponses n'ont pas été apportées, pour moi, concernant ce nouvel et mystérieux univers.

Dès les premières pages, j’ai accroché à la plume de l’autrice, une plume immersive, travaillée et imagée, mais naturellement accessible. Tout comme son univers d’ailleurs, qui joue à merveille entre le réel et la fiction, Lydie Blaizot nous immergeant dans la ville du Havre, puis de Cherbourg, toutes les deux grandement affectées par la Tempête.

Une catastrophe dont, finalement, nous ne saurons pas grand-chose, mais dont nous saisirons pleinement les conséquences, 80% des villes côtières du Nord-Ouest étant en partie inondées. L’intrigue se déroule donc en France, mais dans une France de fiction dont certains territoires ont été redessinés par l’eau, un élément omniprésent qui prend ici une tournure des plus menaçantes. Il faut dire qu’en plus d’avoir inondé des infrastructures, rendu certains lieux difficilement accessibles et avoir contraint les autorités à repenser les règles de déplacement, l’eau semble cacher dans ses profondeurs des dangers aux contours flous et effrayants…

Nous ne sommes pas dans un livre d’horreur, mais l’autrice instaure une ambiance parfois inquiétante qui atteint son apogée en un lieu évité de tous, l’Arsenal. Mais un cadavre non identifié, ayant en sa possession un objet qu’il n’aurait jamais dû avoir, va contraindre le Corbeau Reynard Bonniface et sa toute nouvelle apprentie, Nayeli Morin, à mener l’enquête sur place. Ils vont malheureusement découvrir très vite que la réputation sulfureuse de l’Arsenal n’est pas usurpée, cet endroit de malheur étant habité, si ce n’est hanté, par des machines un peu trop vivantes et vindicatives à leur goût.

De fil en aiguille, ce qui s’annonçait être une enquête délicate va se révéler être un piège mortel nécessitant la bonne volonté de tous pour espérer mettre un coup d’arrêt à une menace de grande ampleur. Une menace qui, à mesure que l’on découvre ses pourtours et son principal protagoniste, m’a donné quelques frissons de dégoût, en même temps que d’inattendus élans de compassion. Les deux Corbeaux pourront heureusement compter sur le sergent et l’agent territorial les ayant impliqués dans toute cette histoire, un fantôme très attaché à Nayeli, une femme courageuse impliquée pour des raisons très personnelles, et un professeur excentrique. La galerie de personnages est plutôt savoureuse et les personnalités de chacun parfaitement dessinées et plutôt complémentaires…

J’ai développé une affection particulière pour notre professeur, un homme brillant et étrangement touchant qui semble vivre sur sa propre planète, mais j’ai pris plaisir à suivre chaque protagoniste. Même un homme qui, au début, m’a agacée par sa couardise doublée d’un sens de l’opportunisme exacerbé a fini par agréablement me surprendre, et à agir un peu plus pour le bien commun, un peu moins pour le sien. Le sergent évolue également, ce militaire touché physiquement et psychologiquement par une précédente visite à l’Arsenal se dévoilant de plus en plus humain, sans jamais perdre en efficacité et en sens pratique !

Quant aux deux Corbeaux, je ne saurais dire lequel j’ai préféré, d’autant qu’ils développent rapidement une belle synergie et une entente certaine. Je reconnais néanmoins avoir été impressionnée par Nayeli qui, à peine a-t-elle trouvé son maître d’apprentissage, est lancée dans le grand bain sans connaître encore toute l’étendue de ses capacités, ni même la manière de les mobiliser. Un passage à la pratique sans théorie qui semble néanmoins lui réussir, la jeune fille se révélant un atout précieux dans l’enquête.

En plus de son courage et d’une certaine intuition et intelligence des situations, l’apprentie Corbeau pourra s’appuyer sur son grand ami Thomas, un fantôme qu’elle a, sans le vouloir, créé. La relation d’amitié unissant les deux personnages est touchante, mais se révélera aussi particulièrement utile, Thomas ayant la capacité fort pratique de pouvoir naviguer entre le monde des vivants et celui des morts. Courageux, attentif au bien-être de son amie et prêt à prendre des risques pour celle-ci, ce fantôme m’a impressionnée et beaucoup plu. Peut-être un peu plus difficile à saisir, mais tout aussi sympathique et courageux, Reynard Bonniface est un personnage que j’ai également pris plaisir à suivre.

Très bon dans son domaine, ce Corbeau qui, de par sa fonction, est capable de parler avec les fantômes et de les ramener à de meilleurs sentiments en cas d’hostilité de leur part, ne reculera jamais devant le danger, prenant parfois des risques importants tout en veillant à la sécurité de son apprentie. À la fin du roman, j’ai néanmoins eu le sentiment qu’il ne nous avait pas révélé toute sa puissance et ses capacités. Je croise donc les doigts pour une autre aventure l’impliquant lui, son apprentie, et les autres membres d’une équipe atypique et redoutable réunie par des circonstances étonnantes.

L’enquête est passionnante, l’autrice nous dévoilant un morceau du puzzle après l’autre à un rythme mesuré, mais assez élevé pour tenir en éveil l’intérêt des lecteurs. Mais le charme de ce roman réside également dans la nature inattendue et originale des dangers et des antagonistes. Ainsi, alors que des fantômes hantent les pages, ils nous apparaissent finalement comme négligeables face à la véritable menace, des machines animées à l’aura malveillante dont on désespère de connaître les motivations et les mécanismes les activant…

La place des machines en tout genre, certaines amusantes comme le fidèle bagage mécanisé de Bonniface qui le suit comme son ombre, d’autres carrément effrayantes, ravira les amateurs d’ambiance steampunk. Pour ma part, j’ai vraiment apprécié le cadre, l’ambiance et l’originalité du récit, voir les héros se faire poursuivre et attaquer par des grues n’étant pas commun ! Et puis, vous verrez que l’autrice va encore plus loin dans l’inattendu en intégrant des dangers dont la nature hybride, et toute la souffrance qu’elle implique, ne devrait pas manquer de vous soulever le cœur…

En conclusion, d’une plume imagée et assurée, Lydie Blaizot nous plonge dans une enquête en eaux troubles où des machines animées et hostiles semblent suivre leur propre dessein, reste à savoir lequel avant que la découverte d’un mystérieux cadavre ne soit suivie de bien d’autres ! Empli d’action, de dangers, de découvertes étonnantes, parfois peu ragoûtantes, de personnages divers et variés possédant tous une identité propre, et de machines aux intentions peu amicales, Les vestiges de l’Arsenal est un roman rythmé, original et percutant qui mêle avec brio enquête, fantastique et steampunk.

https://lightandsmell.wordpress.com/2022/05/02/les-corbeaux-les-vestiges-de-larsenal-lydie-blaizot/

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[SERVICE PRESSE]

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Légendes urbaines, recueil de nouvelles publié chez @erminbooks.

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Je remercie la maison d’édition et Jeanne pour l’envoi de ce nouveau service presse.

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Mon résumé :

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7 nouvelles écrites sur le thème des légendes urbaines dont on entend peu parler.

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𝐿𝑒 𝒸𝑜𝓂𝓂𝑜𝒹𝑜𝓇𝑒 : un petit garçon qui croit en la légende du commodore, lui fait des offrandes pour lui porter chance.

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𝐿𝒶 𝓂𝒶𝒾𝓈𝑜𝓃 𝒹𝑒 𝓂𝒶𝒹𝒶𝓂𝑒 𝑀𝑒𝓊𝓃𝒾𝑒𝓇 : un groupe de 3 amis partis randonner trouve refus dans une maison habitée par une vieille femme solitaire

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𝒥𝑒𝓊𝓍 𝒹𝑒 𝓅𝒾𝓈𝓉𝑒 𝓂𝑜𝓇𝓉𝑒𝓁: trois amis doivent résoudre une énigme sensée indiquer l’endroit, l’heure et une personne en danger de mort

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𝒮𝒶𝒾𝓈𝑜𝓃 𝒻𝓇𝑜𝒾𝒹𝑒 : un Bogeyman enlève les enfants et leur coupe le nez et les doigts

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𝐿𝒶 𝓅𝓁𝑒𝓊𝓇𝑒𝓊𝓈𝑒 : trois ados se retrouvent aux prises d’une banshee

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𝐿𝒶 𝒻𝒶𝒸𝑒 𝒸𝒶𝒸𝒽𝑒́𝑒 𝒹𝑒𝓈 𝓂𝓊𝓈𝑒𝓈 : une jeune poétesse sans talent signe avec l’acte avec le diable

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𝐿𝑒𝓈 𝑜𝑔𝓇𝑒𝓈 𝒹𝑒 𝓈𝒶𝒾𝓃𝓉-𝓅𝑒́𝓇𝑒́𝑔𝓇𝒾𝓃𝑒 : une gamine s’improvise détective privée.

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Mon ressenti final :

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Moi qui aime les recueils, j’ai adoré celui-ci !

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Déjà, la première chose qui m’a marqué, c’est le fait qu’il s’agisse de légendes urbaines que je ne connaissaient pas. En cela, j’ai trouvé que c’était plutôt original et j’ai pris plaisir à découvrir chaque texte.

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Le commodore m’a beaucoup touché, de par le fait que les protagonistes sont une famille très pauvre, avec une maman qui fait le maximum pour ses fils et des enfants qui tentent d’améliorer leur quotidien en vendant des trouvailles au ferrailleur du village. Cette nouveau, ainsi que les deux suivantes, ont une qualité d’écriture indéniable. Le vocabulaire est relevé, l’écriture est pompeuse et j’ai trouvé ma lecture très agréable.

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Saison froide fait froid dans le dos. Les disparitions d’enfants ainsi que les mutilations toucheront sans aucun doute le cœur du lecteur. Le suspens est assez lourd et l’atmosphère est pesante, dans cette nouvelle bien narrée.

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Les deux suivantes sont également bien écrites et nous rappelle que la curiosité et l’orgueil sont de très vilains défauts. Également bien écrites, je les lues avec attention.

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La dernière était aussi très sympa à lire, quoique le fin m’a laissée un peu sur ma faim.

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Si vous aimer les histoires d’horreur, issues du folklore urbain, c’est par là : https://amzn.to/43tmXPT

J’ai tout simplement adoré ces des nouvelles que j’ai pu lire dans cette anthologie !

Les auteurs jouent avec les légendes urbaines que nous connaissons déjà, ou que nous découvrons au fil de la lecture, et c’est toujours très agréable de découvrir ces réécritures horrifiques !

J’ai peut-être eu des coups de cœur plus important que d’autres pour certaines nouvelles, mais je dois également avouer que l’ensemble des écrits m’a transporté au cœur de ces sombres et angoissantes légendes.

Je recommande vraiment cette anthologie sur « les légendes urbaines », car vous serez aussi surpris qu’horrifiés en découvrant certaines d’entre elles !

Dans cette anthologie, 7 auteurs et autrices se sont emparés du vaste thème des légendes urbaines. Ogres, banshees, meurtriers, fantômes, fées... De quoi frissonner, s'interroger, et lire sans s'arrêter. Les nouvelles ne sont pas toutes abouties à mes yeux, mais certains valent la peine de découvrir ce recueil (surtout la dernière !).