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Tous les livres de Maggie Nelson

Les Argonautes, c'est d'abord une histoire d'amour. Deux êtres qui se rencontrent et tombent éperdument amoureux. Deux corps de femmes. Mais pas deux identités de femmes. Harriet-Harry Dodge est transgenre - né dans un corps féminin, il se sent emprisonné. Alors qu'il décide de prendre de la "T", de la testostérone pour enfin se sentir lui-même, Maggie Nelson, elle, attend un enfant. Leur amour grandit, leurs deux corps se transforment, et avec leurs mutations, d'autres grandes questions résonnent : qu'est-ce que l'identité ? Qu'est-ce que le sexe ? Qu'est-ce que le genre ? Comment vivre et penser la marge tout en rentrant dans la norme, en construisant une famille ? Un classique de la littérature féministe.

2004. Maggie Nelson travaille à un recueil de poésie, Jane : A Murder, livre qui revisite l'histoire de sa tante Jane Mixer, assassinée en 1969 dans le Michigan. Trente-cinq ans plus tard, l'affaire est encore irrésolue. Tout va basculer lorsque l'auteur reçoit un appel de sa mère lui annonçant que la police a trouvé un nouveau suspect, un certain Leiterman, sexagénaire et infirmier à la retraite. Un procès aura lieu. Nelson va y assister avec sa mère et son grand-père, contraints de se confronter à nouveau aux images choquantes du meurtre et à un passé enfoui dans la mémoire familiale. Nelson n'oublie pas. Celle que son grand-père ne peut s'empêcher d'appeler "Jane' par mégarde se reconnaît dans cette femme qu'elle n'a pourtant jamais rencontrée, dont la vie et le destin font écho à ses propres questionnements. Avec Une Partie rouge, Maggie Nelson nous offre une méditation sur ces fantômes qui peuplent nos vies et que l'on tait. L'auteur crée une forme hybride et poétique qui impose une réalité brutale au silence pesant, la juge, la confronte et la fait plier par l'écriture.

Dans le sillage des Pensées de Pascal citées en exergue, Bleuets est un objet hybride quelque part entre l'essai, le récit, le poème. Deux cent quarante fragments composent cette méditation poétique, intime et obsessionnelle autour d'une couleur, le bleu. Le deuil, le sentiment amoureux, la mélancolie sont autant de thèmes chers à Maggie Nelson ici abordés dans une maïeutique convoquant l'art et la beauté entre deux digressions introspectives ou savantes, des fantasmes de l'auteure à des approfondissements autour de la pensée de Platon ou de Goethe, en passant par l'oeuvre d'un Warhol ou d'un Klein ou la musique de Leonard Cohen. Laissons-nous séduire par cette déclaration d'amour fou à une couleur, un livre à ranger précieusement entre les Fragments d'un discours amoureux de Roland Barthes et Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman.

« Et si je commençais en disant que je suis tombée amoureuse d'une couleur. Et si je le racontais comme une confession ; et si je déchiquetais ma serviette en papier pendant que nous discutons. C'est venu petit à petit. Par estime, affinité. Jusqu'au jour où (les yeux rivés sur une tasse vide, le fond taché par un excrément brun et délicat enroulé sur lui-même pareil un hippocampe), je ne sais comment, ça a pris un tour personnel. »

Traduit de l'anglais (États-Unis) par Céline Leroy.

(Source : Sous-Sol)

Avec l'audace qui la caractérise, Maggie Nelson raconte l'histoire d'un fantôme familial, Jane, sa tante, morte assassinée en 1969, alors étudiante en droit à l'université du Michigan.

À travers une série de collages de poèmes, sources documentaires, fragments du journal intime de sa tante, brèves dans des journaux et enquête sur les traces de la disparue, Maggie Nelson explore la nature de ce fait divers, le dernier en date d'une macabre série d'assassinats perpétrés dans la région. Dans cette grande œuvre écrite sous forme de long poème, l'autrice éclaire l'ombre portée sur son passé, et interroge ces fantômes qui peuplent nos vies et que l'on tait. Elle crée une forme hybride et poétique qui impose une réalité brutale au silence pesant, la juge, la confronte et la fait plier par l'écriture. L'ouvrage présent réunit deux livres de Maggie Nelson dans un volume tête-bêche. Jane, un meurtre, enquête poétique sur la disparue. Une partie rouge, au verso, démarre à l'instant où la police annonce l'arrestation d'un suspect et la tenue d'un procès.

Cet ensemble que l'on pourrait nommer "Le livre de Jane' est un document littéraire unique sur un féminicide et sur la violence à l'œuvre dans nos sociétés.

Reality and entertainment crowd our fields of vision with brutal imagery. The pervasiveness of images of torture, horror and war has all but demolished the twentieth-century hope that such imagery might shock us into a less alienated state or aid in the creation of a just social order. Maggie Nelson brilliantly navigates the contemporary predicament, with an eye to the question of whether or not focusing on representations of cruelty makes us cruel. In a journey through high and low culture (Kafka to reality TV), the visual to the verbal (Paul McCarthy to Brian Evenson), and the apolitical to the political (Francis Bacon to Kara Walker), Nelson offers a model of how one might balance strong ethical convictions with an equally strong appreciation for work that tests the limits of taste, taboo and permissibility.

“Pourquoi ne pas accepter que la longue et glorieuse carrière de la liberté touche à sa fin, que notre obsession continuelle à son égard reflète plutôt une pulsion de mort ? ‘Ta liberté me tue !’ proclament les pancartes des manifestants pendant la pandémie ; ‘Ta santé n’est pas plus importante que ma liberté !’ s’égosillent en retour les militants anti-masques.”.

Dès l’ouverture de son livre, Maggie Nelson souligne cette contradiction au centre de tous les débats actuels entre le soin (care) et la liberté. Quelle notion...

In this electrifying and raw debut anthology, Maggie Nelson unpicks the everyday with the quick alchemy and precision of her later modern classics The Argonauts and Bluets. The poems of Shiner experiment with a variety of styles-syllabic verse, sonnets, macaronic translation, Zen poems, walking poems-to express love, bewilderment, grief, and beauty. This book, Nelson's first, heralded the arrival of a fully formed, virtuoso voice.

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