Margaret Atwood

Enfin une suite à la servante écarlate je l'ai longtemps attendu et je ne suis pas déçu c'est extrêmement bien écrit tout aussi addictif que le premier tome j'ai apprécié retrouver certains personnages et quelle a était ma surprise de constater la complicité de certains d'entre eux dans la résistance franchement chapeau car je m'en doutais mais alors pas du tout

C'était une excellente lecture vraiment la plume de Margaret Atwood est exceptionnelle c'est dommage que ça soit fini.

J'ai parfois eu du mal a bien comprendre le roman, il y a eu des moments un peu mou et que je n'ai pas spécialement su apprécié. Je pense relire ce roman une autre fois, avec je pense, plus de concentration afin de mieux assimilé toutes les subtilités. Cependant cela a quand même un très bon roman que j'ai apprécié, qui m'a donné des nausées a certains moment et une peur bleue qu'un jour on soit de retour dans ce genre de monde. Une très belle plûme, inspirante et tellement réaliste. En bref une petite pépite.

J'ai trouvé que le récit traînait en longueur, avec de nombreuses répétitions et des digressions qui n'apportaient pas grand-chose à l'histoire. À mon avis, l'intrigue aurait pu être bouclée en un tiers du livre, ce qui aurait rendu la lecture plus dynamique et captivante.

Malgré l'originalité du concept de la ville de Consilience, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Leurs motivations m'ont semblé floues et leurs réactions parfois incohérentes.

J'ai abandonné au bout de 125 pages, après m'être forcée à poursuivre une lecture pénible.

C'est le deuxième ouvrage de cette auteure que j'abandonne très rapidement.

Le style est soporifique, le récit est lent, on a l'impression d'être dans l'absence totale de mouvement, et dans la contemplation en permanence.

Après deux pages sur la définition du pain sec, j'ai abandonné!!!

Le 4ème de couverture m'avait séduite, mais au bout de 125 pages, on n'est toujours pas entré dans le sujet.

Décidément, je n'adhère pas du tout au style de l'auteure.

Une dystopie où la condition des femmes est revue à la place d’objet à féconder. Je n’ai pas été déçue par la construction de l’histoire. J’ai apprécié les dessins et le choix du peu de couleurs. J’ai aimé l’histoire sous-jacente de l’enfant séparé de sa mère. Et j’ai trouvé que le contexte dystopique était bien expliqué. Par contre les termes inventés ne sont pas foufous.

Je n'ai pas trop aimé le style de l'autrice, très journal intime.

En revanche, son univers est vraiment riche, beaucoup de trouvailles, et une vraie réflexion politique autour du corps des femmes et leur instrumentalisation.

L'adaptation en série surpasse de loin le roman, avec une June bien plus combative et audacieuse malgré le monde catastrophique dans lequel elle évolue.

On entraperçoitSpoiler(cliquez pour révéler) la fin programmée de Galaad, deo gracias ! Mais on n'en voit rien, tout est suggéré, et l'auteure nous laisse face à l'effondrement sans nous le raconter.

Ceci dit, j'ai plutôt apprécié de pouvoir l'imaginer par moi même.

L'écriture est encore sous la forme journal intime mais cette fois-ci, il y a 4 personnages qui vont avoir un but commun et qui vont se retrouver au fil des pages. J'ai hâte de voir comment la série va en finir, car elle est bien plus fouillée.

C’est un roman pas simple à lire pour de multiples raisons : assez contemplatif, l’autrice mise plus sur les faits que sur les personnages, des codes d’écriture que je n’apprécie pas vraiment, des longueurs avant qu’on obtienne des informations importantes, la condition de la femme qui est remisée au ras du sol, les trigger warning, l’époque qui peut nous faire l’effet d’un futur proche …

Tout un tas de raisons et pourtant je l’ai apprécié. A aucun moment je n’ai songé à l’abandonner. Je crois que c’est surtout l’histoire de Defred (dans le roman on ne connait pas son prénom) qui m’a intriguée, intéressée.

J’avais besoin d’aller au bout pour savoir si elle s’en sortait, comment elle avait fait pour encaisser toutes ces humiliations.

D’ailleurs toutes les femmes sont concernées, elles sont soit « mère porteuse » (pour garder un terme assez soft), soit « bonne à tout faire », soit « fille de joie » et enfin « femme au foyer » où elle n’a son mot à dire sur rien … ah si peut être sur les repas !

Un roman qui te révolte amie Booksta. Où tu te demandes si toi tu accepterais de telles conditions humaines. Est ce qu’elles ont vraiment le choix? Elles ne peuvent même pas choisir leurs idéaux politiques et encore moins leur tendance sexuelle au risque de se faire éliminer.

Une rébellion est nécessaire mais compliquée à mettre en place et surtout il faut du temps, des gens et des moyens.

Je regarde la série actuellement et si le roman ne compte qu’un tome, elle a l’avantage de montrer un après assez intéressant

J'avais craqué en regardant la série avant de lire le roman ce que j'essaie de ne pas faire en temps normal. Du coup j'ai pu voir que la série est quand même très fidèle au roman et tout ce que j'ai aimé chez l'un je l'ai retrouvé chez l'autre avec les même sensation.

Cette dystopie est terrifiante sur ce que cela engendre. C'est brutal, froid et ces femmes ne sont plus que des outils. Je n'aime pas faire une critique en ayant vu plusieurs supports, trop de comparaisons, et cela biaise le ressenti quand on s'attends déjà à l'intrigue. Je pense que c'est une œuvre qui mérite son succès, qui est nécessaire sur tellement de sujets importants. Elle reste abordable pour les plus jeunes et cela m'étonne que ce ne soit pas plus abordé au lycée?

Mais cette fin c'est pas possible ahah !! Heureusement que j'avais vu la suite de la série, les fins ouvertes comme ca grr .. Et en même temps du coup j'ai apprécié que ce soit différent. La clôture de cette période permets de finir sur un espoir, que tout ce qu'elles ont vécu n'était pas vain ... bref bravo à l'autrice. C'est d'ailleurs intéressant que cela se finisse dans une salle de conférence mixte. Je ne savais pas que le roman était si vieux d'ailleurs il date des années 1984 et c'est navrant que le sujet de la place de la femme soit encore si d'actualité.

Cette suite était tout aussi bien que le précédent. Ici on se détourne complètement de la série, et c'était très plaisant !

J'ai aimé suivre des personnages détestable dans la série qui ici sont beaucoup plus nuancés, on en apprends plus sur le passé de Tante Lydia qui n'est pas le monstre dépeint de la serie. Les trois points de vue avec les trois personnages feminins totalement différents donnaient un rythme intéressant à la lecture et nous permettaient d'aborder ce régime dystopique de plusieurs front : celui d'une Tante endoctrinée de force, celui d'une jeune canadienne révoltée par ce régime, et celui d'une jeune fille élevée dans ce régime et complètement adhérente à ce dernier n'ayant connu que cela.

C'est indéniablement les passages de Tante Lydia qui m'ont captivée. C'est très percutant de voir comment une femme juge famillial, se retrouve des années plus tard en train d'intriguer pour la réussite de ce régime. Après tout c'est facile de la détester, de la juger ... mais c'est intéressant de se poser la question sur ce que l'on aurait fait soit même. La collaboration sous torture ou menace de mort, offre t'elle un réel choix? L'endoctrinement est il plus puissant que ces convictions? L'autrice le fait brillamment et on ne peut s'empêcher de comparer à des faits réels (bonjour le regime de Vichy)

J'ai trouvé ce roman plus "féministe" que le tome 1 (ou la série) où c'était un peu chacun pour soit. Ici on retrouve des gueguerres de pouvoir entre les Tantes mais aussi une certaine forme de sororité, une volonté d'espoir et d'entraide qui m'ont plus touchée. L'ambiance était moins froide, glaçante que dans le premier ou finalement les femmes étaient très "passives", subissaient. On nous décrivait l'impensable, l'inacceptable. Ici place a cet élan d'espoir et de révolte ! Attention tout de même, il faut nuancer mon propos, pour les âmes sensibles sachez qu'on a un (un seul?) commandant qui aime bien les petites filles ! On va quand même être confronté aux dérives de ce régime qui se veut vertueux mais qui est gangrené par le vice !

Bref on referme les pages de cet dystopie avec nostalgie. Bravo à l'autrice ^^