Commentaires sur ses livres

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Ce roman est un troisième tome puisqu'il va mettre en avant la benjamine de la famille Averette, Elizabeth. Je n'avais pas lu les précédent tomes et cela ne m'a pas gêné outre mesure car il peut se lire comme un one-shot.

J'ai pris plaisir à me plonger dans cette romance historique qui se déroule au XIIIe siècle ! J'ai apprécié l'idée des 2 personnages qui décident d'agir sous couverture. Chacun a son propre objectif au départ et cela va les réunir ! En permanence au contact l'un de l'autre et ce, dans un contexte risqué, ils vont bien entendu se rapprocher.

Ces 2 personnages m'ont beaucoup plu ! Certes, au départ Elizabeth semblait être une lady un peu guindée mais c'est surtout son éducation et la volonté de garder une certaine distance avec celui qui pourrait faire battre son cœur malgré ses résolutions. De plus, elle a un côté plutôt tête brûlée. C'est assez ambivalent mais cela lui permet d'être en avance sur son temps.
Oliver/Finn est un voleur avec du cœur, je trouve ! Il a beaucoup à cacher et cela donne du suspens à l'intrigue !

En bref, j'ai passé un très agréable moment avec cette lecture grâce à ses personnages attachants !

J’avais lu à l’époque “Le Pacte secret" bien avoir de lire "Le Mariage du Viking". Je ne savais pas en fait qu’il s’agissait de la suite de l’histoire avec Adelar, le fils du thane saxon enlevé par Einar et de sa fille, Endredi. Elle se prénomme Endera dans ce premier tome. Je ne cache pas que ce changement de prénom est perturbant ! J’avais d’abord pensé qu’il s’agissait d’une autre personne. Je n'en comprends toujours pas la raison... Mystère, mystère... Je préférais (et de loin) Endera…

L’histoire se déroule en 902 dans le Wessex. Pour sceller une paix durable entre les Danois, installés sur le territoire de la Danelaw et les Saxons, Endredi, la veuve du frère de Dagfinn, un chef de clan danois, est promise à Bayard.

Endredi ne s’attendait pas à recroiser un jour la route d’Adelar. Il avait quitté son foyer et était venu à Oakenbook dans le burh de Bayard. Il est le cousin, l’ami de confiance de son époux.

Alors qu’Adelar était retenu captif dans son village viking et qu’il pleurait la perte de sa soeur, Endredi l’avait réconforté et ils s’étaient petit à petit rapprochés l’un de l’autre. La jeune fille d’autrefois était tombée éperdument amoureuse de lui et avait cru que son amour était partagé. Il l’avait abandonnée. Elle l’avait attendu en vain mais il n’était jamais venu la chercher dans son village.

Lorsqu’Adelar avait revu Endredi, il l’avait reconnue sur-le-champ. Ils avaient autrefois éprouvé un vif penchant l’un pour l’autre. Pourtant, elle en avait épousé un autre et aujourd’hui elle s’unissait à son ami.

La loyauté d’Endredi va à son époux. Elle est incapable de regarder Bayard sans songer qu’il se trouve entre elle et l’homme qu’elle désire réellement. Elle doit se montrer forte, résolue. Elle ne peut jeter le déshonneur sur Bayard.

Bayard se sait mourant. Adelar refuse de reprendre le commandement du burh. Bayard a besoin d'un héritier pour empêcher son neveu Ranulf d'hériter. Petit à petit, Bayard échafaude un plan…

Je suis heureuse d’être remontée dans le temps et d’avoir ainsi pu recoller les pièces manquantes du puzzle lorsqu’Endredi avait été retenue captive par Kendric, le père d'Adelar dans sa forteresse saxonne, et qu’elle s’était échappée avec les autres femmes vikings ainsi que leurs enfants.

L’histoire d’amour est émouvante. J’ai trouvé le concept de pacte original. J’ai aimé la manière dont Adelar et Endredi parviennent à ménager la fierté de Bayard…

Les références historiques sont nombreuses. Après avoir fait quelques recherches sur Internet, j’y ai vu plus clair :mrgreen:

C’est avec énormément de plaisir que j’ai relu "Le mariage d’un Viking".

Après un raid sur son village saxon, Einar un guerrier viking a enlevé Meredyce ainsi que Adelar et Betha les deux enfants du thane afin d’être rançonnés.

J’ai aimé la façon dont notre héroïne n’a pas une seule seconde hésité à se battre comme une tigresse pour protéger ce jeune garçon et cette petite fille. Qui pourrait douter un seul instant que ces enfants ne sont pas les siens ? Elle donnerait sa vie pour les sauver. Mais face à ce combattant aguerri, Meredyce n’est pas de taille à remporter le combat.

Extrait :
Alors qu’il avançait d’un pas, il vit, à sa plus grande surprise, la femme lever l’épée haut devant elle, avant de la rabaisser. Malgré les paroles de menace qu’elle prononça, Einar sourit et fit un autre pas vers elle. Il devinait à présent de qui le jeune garçon tenait son courage.
La femme poussa doucement derrière un coffre l’enfant accroché à sa jupe puis, les doigts violemment crispés sur la poignée de l’épée, porta sur Einar un regard vibrant de terreur et de détermination mêlées.
Vu le courage dont elle témoignait, Einar ne doutait pas un seul instant qu’elle s’apprêtait à le frapper.
De nouveau, il avança vers elle, brûlant d’envie de découvrir le visage de son adversaire qui restait à demi caché derrière une masse de cheveux noirs. Mais soudain, la tigresse trouva la force de brandir son épée et se rua sur lui.
D’un pas de côté, Einar l’évita sans peine. Entraînée par le poids de son arme, son assaillante trébucha, puis se retourna vers lui, la pointe de l’épée appuyée sur le sol, sous le regard médusé de Lars et de Hamar qui les observaient depuis l’entrée de la salle.

La traversée à bord du drakkar est éprouvante. Meredyce est terrifiée. Elle sait le sort que les Vikings réservent à leurs captives… Mais elle doit se montrer forte pour Adelar et Betha. Elle ne peut pas s’avouer vaincue. Coûte que coûte, elle doit trouver un moyen de s’échapper et de ramener les enfants auprès de leurs parents.

Meredyce est pleine de compassion. Elle ne pourrait garder sous silence ses talents de sage-femme alors qu’elle est à même d’apporter son aide. Elle n’a d’ailleurs pas son pareil pour mettre des enfants au monde et ne ménage pas ses efforts. Trois mois plus tôt, Helsa, la sage-femme du village est décédée sans avoir transmis ses connaissances.

Extrait :
– Les femmes sont grandement soulagées de votre arrivée au village. Depuis la mort d’Helsa, elles redoutaient toutes de devoir mettre un enfant au monde sans assistance.
– Je serai heureuse de les aider, si je le peux, dit Meradyce avant de se lever.

Cette femme d’une très grande beauté va se retrouver au centre de toutes les convoitises. Les hommes la désirent, les femmes la jalousent… Svend, le chef viking, va la placer sous la protection d’Einar, un des fils qu’il a eu avec Olva, une esclave saxonne.

Extrait :
– Tu seras responsable d’elle, Einar. Une femme d’une telle beauté aura besoin de protection. Je t’aurais bien demandé de l’épouser, mais je sais que tu préférerais te trancher la gorge plutôt que de te remarier. En attendant, assure-toi que personne ne porte la main sur elle sans son consentement. Nous avons besoin d’elle, ici.

Au fil des jours, même si elle reste en marge de la vie du village, Meradyce va peu à peu s’intégrer à la communauté viking. Elle soigne les femmes qui ont besoin d’elle ou s’affaire à diverses tâches dans la maison d’Olva.

J’ai été étonnée qu’Einar ait pris le fils du chef saxon sous son aile, un peu comme si c’était son propre fils. Désormais Adelar passe de plus en plus de temps à ses côtés alors que Betha, sa petite sœur, reste près de Meradyce ou s’aventure à l’extérieur sous la garde d’Endera, la fille d’Einar.

Comment ne pas avoir un pincement au cœur pour Adelar ? Meradyce est l’amour de sa vie… Et il voit en Einar son rival !

Extrait :
– Meradyce ! lança soudain Adelar sur un ton grave. Je suis même meilleur que lui ! Meradyce, tu m’entends ?
– Oui, Adelar, je t’entends, répondit-elle distraitement. Et je suis fière de toi.
Malgré cette affirmation, Adelar demeura rongé par un sentiment de frustration, de plus en plus conscient que ce Viking accaparait un peu trop les pensées de la jeune femme.
Et pourtant, il n’était pas digne d’elle, songeait l’adolescent, la rage au cœur. Meradyce restait une Saxonne, après tout ! D’une beauté altière qui compensait largement son manque de noblesse. Et elle représentait l’amour de sa vie.

J’ai adoré les joutes verbales entre Einar et Meradyce ;-) Notre fière Saxonne ne s’en laisse pas compter…

Extrait :
– Il vous faut d’autres vêtements, ajouta-t-il avec brusquerie. Cette robe est indécente.
– A qui la faute ? répliqua-t-elle avec hardiesse. Que je sache, vous ne m’avez pas laissé le temps de réunir mes effets avant de m’enlever.

Margaret Moore nous fait découvrir la culture viking en nous plongeant dans la vie quotidienne d’un village nordique.

J’ai adoré nos deux héros. Meradyce est douce, gentille, loyale, pleine de compassion. Alors que Meradyce voudrait ignorer Einar, elle se sent attirée par cet homme froid et arrogant.

Einar se montre attentionné, protecteur à l’égard de Meradyce. Elle ne le laisse pas indifférent. Elle lui a ravi son cœur mais il ne le sait pas encore… Ils viennent de deux mondes différents et pourtant ils sont faits l’un pour l’autre…

L’histoire est addictive. Les pages défilent à toute allure. On a qu’une seule hâte, connaître le dénouement final tout en ayant les pires craintes…

Certains passages sont émouvants, d’autres poignants. Margaret Moore nous offre des scènes de combats d’une extrême violence.

J’aurais aimé que certains personnages auxquels je m’étais attachée n’aient pas eu à connaître une fin aussi tragique… C’était trop cruel… Mais leur souvenir restera à jamais gravé dans le cœur de ceux qui les ont aimés…

C’est avec regret que je referme ce livre…

Premier tome de la série qui nous emmène en Ecosse au XIIIème siècle, et la cohabitation des Normands avec les Écossais. Fraîchement débarquée de sa Normandie natale et du couvent où elle a passé une bonne partie de sa vie, Marianne doit s’intégrer dans la nouvelle vie de son frère. Loin sans faut, elle découvre que son frère l’a promise à un vieux Highlander. L’arrivée de Normand sur les terres des Highlands ne plaît pas à tout le monde, lors d’une visite de leur voisin, Marianne fait la connaissance d’Adair, pure Highlander. Entre eux les malentendus et les situations compromettantes vont les contraindre à se marier. l’histoire débute vraiment quand Marianne arrive au sein du clan d’Adair, entre complot, machination, indifférence, le couple va avoir du mal à s’attacher et pourtant malgré tout au fil du tome une véritable histoire d’amour va éclore.

La base était hyper intéressante avec Constance fiancée depuis sa naissance à Merrick qui est parti quand il a eu 10 ans parfaire sa formation de chevalier et qui revient 15 ans plus tard pour prendre possession de son château et épouser sa promise.
Là j'étais contente parce que je me suis dit que ça allait me plaire ! Constance est belle, intelligente, avisée, elle a subi les colères et les humeurs du père de Merrick, un homme mauvais et détesté de tous.
Elle pense que Merrick sera comme son père et craint le pire. Et quand le chevalier se présente aux portes du château tout de noir vêtu, les cheveux longs, le visage fermé, elle se dit qu'il sera comme son père si ce n'est pire. Il n'en est rien ! Merrick est affable, courtois, bienveillant, soucieux de ses gens et tente de charmer Constance. Au final ça manquait de réparties, le mariage n'a lieu qu'à moitié du roman et même si quelques échanges sont savoureux on retombe dans les mêmes travers avec des longueurs ! Et puis la fin m'a définitivement vaccinée avec des éléments de narration qui tombent comme un cheveu sur la soupe et des révélations cousues de fil blanc, j'étais un peu déçue.

L'histoire démarre assez fort et on a un rythme très plaisant. Riona a un caractère affirmé et est une châtelaine accomplie qui songe à rester vieille fille en veillant sur son oncle et son cousin. Mais son oncle, un personnage hyper agréable, haut en couleur, et vraiment attachant et drôle, estime qu'elle doit se marier et être heureuse. Alors quand le seigneur Nicolas dit qu'il cherche une épouse, l'oncle de Riona l'emmène dans le château dudit seigneur où elle se retrouve en concurrence avec 10 autres demoiselles.
Donc en gros c'est le bachelor du XIlleme siècle Les personnages sont vraiment géniaux et l'histoire ne semble pas être à la hauteur enfin du moins est-ce mon ressenti ! L'écriture est très bien également mais le rythme de l'histoire ne m'a pas convenu tout comme dans le premier on stagne un peu ! Et à la fin tout se bouscule ! Je n'ai pas non plus aimé la façon dont la relation se nouait et avançait entre Riona et Nicolas.

Je commence par dire que les noces n’avaient absolument rien de secrètes mais étaient plutôt connues de tous et n’enchantaient personne pas même les concernés 🤣
C’est une histoire vraiment mignonne, pas un coup de cœur parce que j’ai trouvé certains passages longuets, l’écriture est très bien mais l’histoire progressait peu, tout est lent à se mettre en place et à part dans les 20 derniers % du roman il ne s’est rien passé de notable (mais ça en RH c’est presque un code)
J’ai adoré Adair, le héros, guerrier puissant mais surtout chevalier servant, héros de ces dames, défenseur de la veuve et de l’orphelin et de notre demoiselle en détresse, et surtout vraiment romantique ! Il tombe sous le charme de Marianne au premier regard et il y a une vraie passion entre eux. Quand ils se fâchent ils se réconcilient sur l’oreiller.
Quant à Marianne, la normande, elle a un sacré caractère, coriace, têtue, qui n’a pas froid aux yeux mais sans devenir agaçante. Puis c’est aussi une sacrée coquine. Sa nuit de noces a l’air d’avoir ouvert son appétit 🤪 Elle sort du couvent et je n’ai pas pu m’empêcher de penser mais celles qui sortent du couvent c’est les pire en fait 🤣
Une jolie histoire mais un peu longuette à mon goût.
Je tente la suite car j’ai vu 5 volumes, et c’est dans l’abonnement Kindle si ça vous tente !

https://my-bo0ks.over-blog.com/2023/04/inconvenant-desir-margaret-moore.html

Me voilà partie pour une nouvelle époque, XIIIe siècle pour faire la rencontre de Lady Elizabeth et Sir Oliver (ou presque). Alors que cette dernière est sur le chemin pour rentrer chez elle, sous bonne escorte, elle va faire deux rencontres. Une bande de brigands qui va les attaquer et un homme, se faisant appeler Sir Oliver. Un brin chevaleresque, il proposera à Elizabeth de l'escorter chez elle avant que celle-ci ne se rendent compte qu'ils pourraient tous les deux y gagner quelque chose en se faisant passer pour un couple. Obtenir des informations pour elle et libérer son frère retenu prisonnier pour lui.

J'ai plutôt bien accroché au début de l'histoire. Le trope du faux-couple n'y est pas pour rien. Pourtant, ici, cela pourrait causer bien des problèmes à nos personnages. Car c'est en tant que couple qu'ils sont se présenter à l'ennemi mais en prime, sous une identité qu'ils vont "emprunter" et autant dire que ce n'est que le début des petits secrets. Pour le coup, la romance n'est pas trop rapide. Ce que je trouve chouette. Malgré une proximité forcée pour nos deux personnages.

Nos deux personnages sont tout deux intéressants. Sir Oliver n'est pas un preux chevalier, bien qu'il sauve quand même Elizabeth du pire. En réalité, c'est un voleur du nom de Finn. Un voleur qui a tout de même une morale et pas mal de limites. Des actes, et surtout un comportement plus que gentleman qui jouera en sa faveur. Et jouer au petit couple avec notre héroine ne sera pas de tout repos. Mais c'est le seul moyen de sauver son frère. J'ai beaucoup apprécié le passif de notre héros, sa relation avec son frère mais également la vie qu'il mène depuis. Je n'aurais d'ailleurs pas dit non à plus de développement.

De son côté, Elizabeth vient d'une famille assez noble. Au début, on est assez sceptique sur son comportement et son côté inaccessible de jeune femme riche qui use de ses privilèges. Mais au fil des discussions avec Finn, on se rend compte qu'elle a, à cœur sa famille, ses sœurs et surtout, elle n'hésitera pas à venir en aide aux autres. On apprend donc à l'apprécier au fil des pages et j'ai apprécié son courage.

La romance entre ces deux-là est donc très sympa à suivre bien que clairement compliquée par Wimarc, celui qui retient le frère de Finn et détient pas mal de pouvoirs. A tel point que le petit jeu dans lequel ils se sont lancés pourraient bien être le dernier. Car pour obtenir des informations, tout deux vont devoir faire croire que leur mariage n'est qu'une façade et chacun de leur côté, vont devoir séduire leur hôte et la domestique de celui-ci. Et c'est sans doute là que je suis un peu moins emballée par ma lecture. Les machinations sont bien présentes mais j'ai trouvé cette partie un peu longue et franchement, j'ai bien cru que leurs mensonges allaient aller trop loin. Mais heureusement, non.

En conclusion, une histoire chouette et avec une bonne dose de suspense (même si cela reste prévisible) j'ai trouvé l'intrigue intéressante. Quelques longueurs par-ci par-là mais j'ai passé un bon moment.

Nell s'est sauvé de chez son employeur qui a essayait de la violer et prend une diligence. Elle y rencontre un homme mais lui ment sur son identité. Celui ci lui propose son aide et l'emmène chez ses parents. Petit à petit ils se rapprochent et vont tomber amoureux

J'ai lu ce livre sans savoir qu'il s'agissait d'une série mais cela ne dérange pas la lecture car chaque tome suit un personnage différent, on évoque les autres protagonistes mais cela ne perturbe pas la lecture.
Je ressors globalement conquise par ma lecture, les personnages principaux sont attachants (un peu moins les personnages secondaires, très effacés), Mathilde a un caractère affirmé, répondant peu au code de l'époque, mais qui nous permet de nous y attacher. Forte et touchante, elle forme un beau duo avec Henry, aussi très attachant. Toutefois, leur relation m'a un peu moins intéressée une fois les sentiments avoués.
Lecture rapide qui n'en reste pas moins agréable sous un plaid avec un thé chaud !

Les romances historique de cette époque ne m'emballent jamais vraiment et ça se confirme ici. Un roman sans mais l'intrique apporte un peu un petit plus.

C'était assez long et pas forcément passionnant. J'aime juste à croire que les allusions historiques étaient vraies ?

Une lecture en dents de scie où les bons passages étaient moyens et les mauvais bien pénibles. D'après mon expérience, dans ce genre de série les tomes peuvent être lus séparément sans que le lecteur se retrouve trop perdu ou qu'il lui manque de gros éléments du passé des personnages. J'ai donc commencé - pour être honnête il s'agissait d'une promotion - par le tome 3. Peut-être était-ce une erreur...
Je n'ai vraiment pas adhéré au personnage de Constance. Par moment puérile, un tantinet rancunière voire hypocrite. Vraiment, je ne la porte pas dans mon cœur. Si encore on avait eu dès le début une anecdote ou un flashback afin d'expliquer ses angoisses et sa méfiance, peut-être aurais-je eu plus de sympathie pour elle, mais l'anecdote en question n'arrivera pas avant la moitié du récit. C'est bien trop tard à mon avis.
Le même manque de profondeur pourrait être reproché à Merrick mais son caractère est, d'une part plus agréable, d'autre part cohérent avec son "grand secret inavouable" - qu'il ne m'aura pas fallu longtemps à deviner. Cela explique peut-être ma tolérance à son égard.
À moins d'une centaine de pages de la fin, je me demandais vraiment ce qu'il allait bien pouvoir advenir pour assurer le happy end attendu des éditions Harlequin. La réponse étant que pendant que les personnages principaux se prenaient le chignon, les autres protagonistes ont fait tout le boulot dans l'ombre. Ça sert d'avoir des amis ! Le couple n'aura pas eu grand chose à faire et je n'aurais pas pu être moins investie que cela, le lecteur n'ayant pas beaucoup plus d'informations que les PP.
En bref, il aurait fallu encore quelques centaines de pages pour convenablement développer l'intrigue.

Deux histoires en une mais qui sont parfois un peu trop gnangnan. Mais c'est amusant à lire pour se détendre.

Une lecture agréable, des personnages attachants, mais un style d'écriture un peu lourd pour moi. Il m'a manqué quelque chose. Toutefois, l'intrigue est rondement menée. J'ai aimé découvrir la romance historique à travers ce roman.