Maria Angels Anglada

Ce livre nous plonge au cœur des camps, là où même la musique n'adoucit pas toujours les mœurs.

Ce livre est une pure merveille! On se retrouve plonger pendant la Seconde Guerre Mondiale, dans un camp de concentration. Pour sauver sa peau, Daniel, un facteur de violons (comme le dit le livre), doit fabriquer un violon comme un Stradivarius.

Ce livre est chargé en émotions. On découvre les horreurs commis dans ces camps. Je trouve que ce livre est une bonne leçon de vie.

Super livre que j'ai lu plus jeune... un livre très touchant, sur la seconde guerre mondiale, ce n'est pas les larmes aux yeux que je l'ai lu mais pas loin... Une super découverte que je recommande !!

Je n'ai malheureusement pas réussi à apprécier ce roman. Et pourtant il a des qualités : une plongée dans l'horreur des camps, adoucie par la musique. Mais... non je n'ai vraiment pas su apprécier ce roman. J'ai été perdue dans la lecture par les différents retours en arrières, par des passages que je n'ai pas réussi à relier avec l'histoire. C'est bien dommage du coup car je n'ai pas réussi à accrocher pour la suite.

L'écriture de l'autrice transporte bien dans l'atmosphère glaciale et glaçante de l'horreur des camps.

je n’ai pas accroché avec cette lecture...

On se retrouve plongé au coeur des camps de concentration pendant la Seconde Guerre Mondiale où on suit Daniel, un facteur de violons. Pour suivre, il doit fabriquer un violon comme un Stradivarius.

Ça aurait pu être sympa mais je n’ai pas été transportée... je n’ai rien appris et j’ai trouvé le récit pénible plus qu’autre chose. Je me suis perdue dans les retours en arrière, le côté musique m’a profondément ennuyé (pourtant c’est une de mes passions). Je n’ai pas ressenti l’émotion que je pensais ressentir ... Même si beaucoup ont aimé ce livre, à aucun moment j’ai réussi à accrocher et à me mettre dedans. Le livre est court mais je me suis ennuyée tout du long en ne retenant rien de ce que je lisais ...

J’ai apprécié ma lecture de ce roman qui est très émouvant.

Nous plongeons dans l’univers des camps de concentration pendant la seconde guerre mondiale et suivons les journées de Daniel, luthier de métier.

Daniel est un jeune homme qui se retrouve emprisonné, dans une condition d’esclave et qui subit la malnutrition avec la faim qu’elle entraîne et qui subit également les violences des soldats qui les gardent.

« Chanceux » il n’aura pas à expérimenté certaines expériences (ou tortures) racontés par des camarades à lui. Malheureusement, les concernés, eux ne sont plus là pour en parler.

Malgré les conditions de vie, Daniel trouve des amis sur qui se reposer et surtout le commandant du camp lui donne un but : fabriquer un violon digne d’un stradivarius. Et malheur à lui, s’il n’y parvient pas.

Nous enchaînons entre des passages de durs labeurs, de désespoir ou la fatigue et la faim semble terrasser le personnage principal et des passages ou le souvenir de son métier et de ses doigts sur le bois lui donnent la force de continuer.

Le livre alterne entre les chapitres du roman et des passages historiques avec des extraits de documents de l’époque. Ce qui rend le livre plus intéressant et … plus choquant aussi.

Ce livre était plutôt original pour le contexte historique.

Un très bon livre sur les camps de concentration. J'ai éprouvé beaucoup de compassion pour le personnage dont l'histoire est contée, car Spoiler(cliquez pour révéler)il ne trouve pas son réconfort dans la survie de ses proches mais dans l'exercice de son art : la fabrication de violon !

C'était un livre intéressant sur les camps de concentration. J'ai beaucoup aimé le processus de construction du violon