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Maria Treben est née à Saaz, une ville houblonnière des Sudettes. Son père était imprimeur et éditeur, sa mère femme au foyer. Elle perdit son père à dix ans à la suite d’un accident de la circulation et deux ans plus tard elle déménagea à Prague avec sa mère et sa sœur cadette. Après avoir terminé sa scolarité au lycée, elle entra comme stagiaire à la rédaction du journal « Praguer Tageblatt ». Après 14 ans d’activité professionnelle – elle était également la secrétaire de l’écrivain connu Max Brod – elle épousa Ernest Treben, qui était ingénieur à la Société d’Electricité de Haute Autriche et de ce jour n’exerça plus d’activité plus d’activité professionnelle. Le jeune couple s’installa à Kaplitz en Bohême ; leur fils unique y vint au monde et en 1946, après la guerre, les Treben furent déplacés. Après une équipée qui duré toute une année dans différents camps d’Allemagne, ils s’installèrent en Autriche et à partir de 1954 vécurent à Grieskirchen, une petite ville de Haute Autriche. La famille s’agrandit avec la naissance de trois petits enfants, construisit une maison, vivant des années heureuses en parfaite harmonie.
Depuis sa prime jeunesse Maria Treben s’était toujours intéressée à la nature et connaissait bien les plantes. Mais ce n’est qu’au contact du biologiste Richard Willfort, qui lui ouvrit les yeux sur l’efficacité des plantes qu’elle connaissait bien, que Maria Treben étudia intensivement les vertus thérapeutiques des plantes médicinales et rassembla connaissances et expériences parmi les vieilles personnes de la campagne. En 1971 elle donna sa première conférence en petit comité. Mais son auditoire ne fit que s’accroître. Jusqu’en 1977 elle voyagea dans toute l’Autriche et tint des conférences devant un public de plus en plus nombreux. Et c’est en 1977 qu’elle fut invitée à venir en RFA pour la première fois. La simple maîtresse de maison qu’elle était entraîna de plus en plus de personne dans son sillage. Les salles de conférences n’étaient jamais assez grandes. Deux à trois mille personnes assistait déjà à ses conférences lorsque l’éditeur Wilhelm Ennsthaler la persuada de publier ses exposés sous forme de livre. Le résultat nous le connaissons, à savoir le best mondial « la santé à la pharmacie du bon Dieu ». Presque dix ans après sa parution Maria Treben termina son second livre « Les simples du jardin de Dieu ». Un livre exhaustif, précieux et clair, dont elle dit simplement « Tout ce que je sais, se trouve dans ce livre ! ».
A l’occasion du dixième anniversaire de sa mort, on a érigé à Schlüsslberg, près de Grieskirchen, au lieu-dit Aigendorf, une fontaine de souvenir au nom de Maria Treben, qui est alimentée par une source près de Bad Schallerbach. Tout autour, on a planté un jardin où poussent de nombreuses plantes recommandées par Maria Treben. L’association Maria Treben veille à ce que le nom soit protégé. La redécouverte de la « Liqueur du Suédois » est à mettre au compte des publications de Maria Treben. Maria Treben a gagné ses galons de pionnière de la science des simples. Depuis 1977 sa popularité et celle de ses œuvres ne se sont jamais démenties au fil des années. Grâce à l’application d’une médecine alternative qui progresse, ses livres sont plus que jamais d’actualité.
Un livre incontournable lorsqu'on désire se soigner autrement que par la médecine moderne. Depuis que je possède ce livre, je soigne toute ma famille à l'aide des simples et nous sommes tous en excellente santé grâce à cela.
Biographie
Maria Treben est née à Saaz, une ville houblonnière des Sudettes. Son père était imprimeur et éditeur, sa mère femme au foyer. Elle perdit son père à dix ans à la suite d’un accident de la circulation et deux ans plus tard elle déménagea à Prague avec sa mère et sa sœur cadette. Après avoir terminé sa scolarité au lycée, elle entra comme stagiaire à la rédaction du journal « Praguer Tageblatt ». Après 14 ans d’activité professionnelle – elle était également la secrétaire de l’écrivain connu Max Brod – elle épousa Ernest Treben, qui était ingénieur à la Société d’Electricité de Haute Autriche et de ce jour n’exerça plus d’activité plus d’activité professionnelle. Le jeune couple s’installa à Kaplitz en Bohême ; leur fils unique y vint au monde et en 1946, après la guerre, les Treben furent déplacés. Après une équipée qui duré toute une année dans différents camps d’Allemagne, ils s’installèrent en Autriche et à partir de 1954 vécurent à Grieskirchen, une petite ville de Haute Autriche. La famille s’agrandit avec la naissance de trois petits enfants, construisit une maison, vivant des années heureuses en parfaite harmonie.
Depuis sa prime jeunesse Maria Treben s’était toujours intéressée à la nature et connaissait bien les plantes. Mais ce n’est qu’au contact du biologiste Richard Willfort, qui lui ouvrit les yeux sur l’efficacité des plantes qu’elle connaissait bien, que Maria Treben étudia intensivement les vertus thérapeutiques des plantes médicinales et rassembla connaissances et expériences parmi les vieilles personnes de la campagne. En 1971 elle donna sa première conférence en petit comité. Mais son auditoire ne fit que s’accroître. Jusqu’en 1977 elle voyagea dans toute l’Autriche et tint des conférences devant un public de plus en plus nombreux. Et c’est en 1977 qu’elle fut invitée à venir en RFA pour la première fois. La simple maîtresse de maison qu’elle était entraîna de plus en plus de personne dans son sillage. Les salles de conférences n’étaient jamais assez grandes. Deux à trois mille personnes assistait déjà à ses conférences lorsque l’éditeur Wilhelm Ennsthaler la persuada de publier ses exposés sous forme de livre. Le résultat nous le connaissons, à savoir le best mondial « la santé à la pharmacie du bon Dieu ». Presque dix ans après sa parution Maria Treben termina son second livre « Les simples du jardin de Dieu ». Un livre exhaustif, précieux et clair, dont elle dit simplement « Tout ce que je sais, se trouve dans ce livre ! ».
A l’occasion du dixième anniversaire de sa mort, on a érigé à Schlüsslberg, près de Grieskirchen, au lieu-dit Aigendorf, une fontaine de souvenir au nom de Maria Treben, qui est alimentée par une source près de Bad Schallerbach. Tout autour, on a planté un jardin où poussent de nombreuses plantes recommandées par Maria Treben. L’association Maria Treben veille à ce que le nom soit protégé. La redécouverte de la « Liqueur du Suédois » est à mettre au compte des publications de Maria Treben. Maria Treben a gagné ses galons de pionnière de la science des simples. Depuis 1977 sa popularité et celle de ses œuvres ne se sont jamais démenties au fil des années. Grâce à l’application d’une médecine alternative qui progresse, ses livres sont plus que jamais d’actualité.
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