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Tous les livres de Marie Frances

Lui, sa façade de mari discret, d’amant attentionné. Ses fleurs et ses bijoux. Ses manipulations malveillantes. Et sa culpabilité, à elle. Provoquée, calculée au millimètre près. La distribution des rôles lui revient, la direction d’acteurs est parfaite: il excelle en parfait marionnettiste, froid et cruel. Et pourtant, ils se sont tant aimés… peut-être. Souffrir, jouer le jeu, craquer? Elle perdra tout, à soixante ans, un 31 décembre. Un nouveau chapitre, peuplé d’absence, de néant. Une chute libre inexorable…

Autour du portrait saisissant d’un pervers narcissique, Marie Frances observe la déliquescence d’un couple dans tous ses non-dits, ses mensonges, ses apparences. Victime et bourreau, trahison et désamour: l’autopsie d’un mariage et une plongée dans la folie qui vous glacent le sang tout en collant au plus près au quotidien. Une virée en enfer d’autant plus réussie.

Pourquoi Anna a-t-elle accepté ce voyage au Burkina Faso dans le cadre de l’association Chercheurs toujours? Parce qu’elle veut combler le vide qui l’étreint depuis les drames qui l’ont touchée? Parce qu’elle souhaite poursuivre le travail de Philippe auprès des Burkinabés? Ou pour passer quelques moments avec son fils? Dans la tête de cette élégante retraitée qui dissimule sa maladie, les interrogations se bousculent. Et les sensations aussi: la peur, le doute, la joie d’être avec Guillaume. Et si la préparation du voyage est déjà l’occasion de quelques pointes d’énervement, la découverte de la réalité africaine portera les sentiments d’Anna à leur paroxysme. Car l’Afrique est avant tout désarmante, troublante, autant source de bonheurs que de colères…

À travers Anna, puis Marie (figure de la nouvelle Il faut jeter la pendule qui est une réflexion sur l’euthanasie), Marie Frances soulève les questions du possible et du réalisable dans notre monde moderne en proie à l’hypocrisie ou à la résignation. En pointant les relations que nous entretenons avec l’Afrique ou l’agonie, l’auteur met ainsi en évidence ces limites et frontières, épineuses, paralysantes, rageantes, qui se dressent face au désir de faire au mieux. C’est ainsi toute la problématique des fossés face auxquels nous reculons, des liens et des habitudes qui nous entravent, de notre balancement entre égoïsme et altruisme, que posent ces deux textes dont les portées philosophiques et sociales s’avèrent subtiles.

Marie approche de la soixantaine et a le sentiment d’être inutile. Elle a consacré sa vie à son mari, désormais indifférent à ses attentions. Un soir, elle pianote 3615 CUM sur le minitel, afin de pousser une amie solitaire à faire des rencontres par ce biais. Mais elle se prend elle-même au jeu, et répond à l’annonce d’un homme de son âge, Roland. Ils se rencontrent et s’apprécient immédiatement…

La solitude n’est pas une fatalité. Marie et Roland, sexagénaires déçus par leur vie sentimentale, le comprennent grâce à un minitel ! Le récit, finement écrit, capte les incertitudes et les craintes de manipulation qui agitent les protagonistes, réticences balayées par la franchise et l’honnêteté de la première rencontre. Histoire d’une amitié amoureuse ou histoire d’amour avortée ? Le roman n’offre qu’une réponse en filigrane, allant jusqu’à opérer un brouillage entre rêve et réalité, au moment de la mort de Marie, atteinte d’une maladie neurologique. Quoi qu’il en soit, « les histoires d’amour ne sont jamais tristes », elles sont « en dehors du temps », et le cœur à jamais incertain…

"Marie regardait la pendule. Une simple pendule ordinaire, ronde, avec un cadre de bois et des aiguilles noires sur un fond crème. Une pendule achetée par elle à La Redoute et offerte à son père lorsque celui-ci avait rénové sa cuisine. Il était tout fier, alors, de montrer à Marie les transformations qu'il avait fait réaliser dans sa maison, pour augmenter le confort des vacances de ses enfants et petits-enfants. Un mois par an... Tous ces travaux pour un mois par an!"

"Il faut jeter la pendule" est en fait une réflexion poussée sur l'euthanasie, abordée par le biais de l'histoire personnelle de l'auteur. Cette histoire, terriblement humaine, dévoile les nombreuses problématiques auxquelles est confrontée la famille du malade, mais cette vérité dure, cruelle, est noyée, étouffée dans une prose chatoyante, qui nous plonge dans l'atmosphère rustique et chaude de cette famille où la religion, l'amour et la solidarité sont restés des valeurs respectées. Le texte est tout bonnement superbe, mettant au jour, avec une certaine grâce, un sujet grave et récurrent dans notre société.

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