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Toutes les séries de Marie-Madeleine Davy

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Tous les livres de Marie-Madeleine Davy

Le mot « création » est en général appliqué à une oeuvre que l'homme a sorti de lui-même. Ici, Marie-Madeleine Davy parle de la création de l'homme par lui-même, non pas pour faire de lui un chef-d'oeuvre qu'il contemplerait dans le miroir de Narcisse, mais pour conquérir sa condition d'homme total. Spécialiste de la pensée cistercienne et proche de la spiritualité orientale, l'auteur nous invite à découvrir l'histoire de toute personne qui, refusant d être le jouet des événements dans un monde où les valeurs s'effondrent, tente de découvrir le fond de son être.

Cette nouvelle édition est complétée par Un itinéraire, biographie spirituelle entreprise après avoir frôlé la mort, et qui illustre de façon éclatante comment Marie-Madeleine Davy a mis en oeuvre concrètement le programme de L Homme intérieur et ses métamorphoses.

Marie-Madeleine Davy, l'une des figures les plus originales de la pensée française au XXe siècle, a été l'initiatrice de toute une génération à qui elle a fait découvrir, entre autres, la spiritualité cistercienne. Dans cette autobiographie singulière, elle nous ouvre des fenêtres sur les moments décisifs de son existence.

Engagée dans la vie intellectuelle et politique (elle participa activement à la Résistance), elle a rencontré Mircea Eliade, G.-I. Gurdjieff, Henry Corbin, Simone Weil, Nicolas Berdiaev (auquel elle a consacré une biographie dans la présente collection, Nicolas Berdiaev ou la révolution de l'esprit)...

Fascinée par l'Orient, elle a su marier dans son oeuvre les enseignements les plus profonds des différentes traditions. Elle a choisi dans les dernières année de sa vie une solitude qui l'a menée vers une religion de l'Esprit faite d'amour et de liberté.

La postface de cette nouvelle édition constitue son ultime témoignage écrit.

« La dimension humaine est une conquête : l'art d'être un Homme s'apprend L'homme qui se connaît est un homme vivant. »

Mais est-il possible de parvenir à la connaissance de soi ? Éternelle question de Socrate : « Qui es-tu toi qui sais ? » à nos modernes interrogations passant parfois par le divan freudien, sans oublier les innombrables journaux intimes pour tenter de comprendre notre humaine condition, la quête du moi débouche sur celle de l'homme et du sens de la vie. M.-M. Davy y ajoute une autre réponse qui transcende la philosophie, une recherche spirituelle impliquant l'être entier.

Spécialiste de la mystique médiévale, Marie-Madeleine Davy propose ici l'une des plus brillantes études sur le moine cistercien Bernard de Clairvaux, figure majeure du XIIe siècle.

Réformateur de l'ordre de Cîteaux, Bernard de Clairvaux dispensa un enseignement où l'humanité est sans cesse reliée à la dimension divine, le temps à l'éternité. Fasciné par l'intériorité, privilégiant les vertus monastiques que sont l'oubli de soi, la prière et la pauvreté, il propagea une spiritualité entièrement tournée vers l'amour : amour de Dieu, des hommes et des idées. Ce chantre de la <> exerça non seulement une grande influence au sein de l'Eglise, mais aussi dans le monde politique et culturel. Il prêcha, notamment, la seconde croisade à Vézelay, et tenta de faire cesser les pogroms contre les Juifs. C'est ce double itinéraire, d'homme de foi et d'action, que nous présente avec une grande acuité Marie-Madeleine Davy

« Cet homme avait reçu, dès l’enfance, la marque indélébile du divin. Il était habité par une présence et son regard, sa pensée, sa voix elle-même en témoignaient. » – Ainsi parlait Marie-Madeleine Davy d’un des plus grands penseurs orthodoxes du XXe siècle, Nicolas Berdiaev (1874-1948). Cet aristocrate russe, emprisonné à plusieurs reprises pour ses idées révolutionnaires par le régime tsariste, puis expulsé de Russie en 1922 par le régime communiste, participa activement, dans les années trente, à l’émergence de ce que l’on a appelé l’existentialisme chrétien. Sa spiritualité, réfractaire à toute emprise confessionnelle, fondée sur une théologie de la liberté, en a fait un compagnon critique de tous les mouvements d’émancipation sociale de son temps. Prophète d’une révolution de l’Esprit, Berdiaev a su faire fructifier, au coeur de la pensée moderne, l’héritage qu’il avait reçu de la mystique chrétienne orientale. – Marie-Madeleine Davy, auteur de nombreux essais de spiritualité parus aux éditions Albin Michel, témoigne ici de l’homme qu’elle a longtemps côtoyé dans les cercles oecuméniques du Paris d’avant-guerre, et nous offre une synthèse lumineuse de cette oeuvre hors du commun.

En 1948, Henri Le Saux (1910-1973), moine bénédictin de l'abbaye de Kergonan, rejoint en Inde le père Jules Monchanin. Ensemble, ils fondent l'âshram du Shantivanam. Venu en Inde pour faire connaître le christianisme, il est bouleversé et séduit par la métaphysique indienne. Il va poursuivre une expérience unique d'union entre l'advaita (non-dualité) indienne et la mystique chrétienne.

Le douzième siècle, cette Renaissance médiévale, est le grand âge de l'art roman. L'homme de ce temps possède une exacte connaissance de sa situation : il est pèlerin de la Jérusalem céleste et, de ce fait, voué à une marche ascendante. Relié à un monde invisible dans lequel il se meut, il sait d'où il vient et où il va. Sa certitude relève de sa foi. Que cette foi se développe à l'intérieur de l'Eglise ou qu'elle soit hétérodoxe, elle demeure vivante. Le moine y répond à l'intérieur de son cloître, le professeur dans son enseignement ; l'artiste en témoigne sur la pierre ou par la couleur. Le monde est un, du macrocosme au microcosme, et il est signe de l'Invisible. L'art et ses symboles l'enseignent. Du portail de Cluny à la littérature du Graal, Marie Madeleine Davy nous donne accès à l'extraordinaire richesse symbolique du douzième siècle.

Le désert a toujours fasciné les hommes épris d'absolu. Les sables d'Egypte ont eu leurs ermites et le peuple juif est passé par l'épreuve du désert.

Le désert géographique symbolise celui du dedans, qui n'est pas un lieu mais un état d'écoute, de vision, de rencontre. Après avoir été le creuset de décantation où l'or a pu se dégager de sa gangue de plomb, le désert appelle l'alliance, l'unité. Mais les revêtements arrachés entraînent parfois avec eux des lambeaux de chair vive, des options, voire des certitudes. Tout est remis en question.

Abandonner le monde, c'est se quitter soi-même. S'éloigner de la foule, c'est rompre avec la conscience grégaire où l'on menace de s'endormir.

Par la nudité qu'il exige, le désert provoque un éveil qu'il convient de couver dans la solitude. L'habitant du désert se doit d'y consentir. Si, conduit par l'Esprit, il pénètre silencieusement dans son fond, il fait sien le conseil donné par Hésyclius de Jérusalem : "Emerveille-toi, alors tu comprendras !"

Devant la crise qui ébranle métaphysiques, religions et valeurs, le désert intérieur n'est pas un refuge et n'offre aucun abri : il invite aux métamorphoses.

Amie des mystères divins, femme d'action, de réflexion et de sagesse, Marie-Madeleine Davy fut une grande dame qui allait toujours au coeur des choses et des êtres.

Ma première rencontre avec Marie-Madeleine Davy eut lieu dans un amphithéâtre de la Sorbonne où elle donnait une conférence, dans les années soixante-dix. L'impression qui demeure dans mon souvenir est celle d'un discours incantatoire qui prenait l'assistance aux tripes, l'emmenant dans une sorte de voyage à la fois culturel et initiatique qui faisait que l'on n'en sortait ni indemne, ni le même. Elle ne mâchait pas ses mots, irradiait de lucidité et de bon sens, et parlait de spiritualité avec une ardeur de hussard : ses conférences étaient de véritables charges de cavalerie qui amenaient l'auditeur à éprouver le sens de sa propre voie en s'interrogeant sur l'essentiel. Vous retrouverez d'ailleurs son ton inimitable de véracité dans certains des textes réunis dans ce numéro, tels ceux sur la méditation qui sont issus des transcriptions de ses vibrantes paroles lors de deux colloques que j'avais organisés sur ce thème à la Sainte-Baume puis à l'abbaye de Sénanque, alors centre culturel.

"Le philosophe du XIIe siècle puise sa connaissance dans l'ordre du cosmos, la beauté de la nature et plus encore dans le livre « du dedans ». Mais le philosophe est aussi un voyant. Inspiré, il prophétise. Philosopher, c'est avant tout imiter le Christ philosophe, mener une vie d'ascèse qui, à son sommet, rejoint l'état angélique. Il ne s'agit pas d'envisager la philosophie comme une spéculation ou un savoir, mais de l'introduire dans l'existence quotidienne. Idéal que l'on voit s'épanouir avec les ordres monastiques, notamment cistercien ou chartreux et avec les ermites. Rien d'étonnant donc, à ce que tout le XIIe siècle soit illuminé par la personnalité d'un moine : Bernard de Clairvaux. Ce livre est le couronnement des travaux de Marie-Madeleine Davy sur la mystique et la symbolique médiévale."

Ouvrage qui regroupe les conférences données lors de deux colloques en 1986 et 1988 sur le thème de la méditation et de l'action au monastère de la Sainte Baume et à l'abbaye de Sénanque.

Ces colloques posaient la question suivante : Comment paix et équilibre intérieur peuvent-ils coexister avec les impératifs d'une vie active ?

Au sommaire :

- Jacques Laccarière : Multiplier nos sens

- Kenneth White : Les anarchistes de l'aurore

- Marie-Madeleine Davy : Ouverture sur la méditation

- Faouzi Skali : Dissiper les voiles

- Bernard Rérolle : Nuages et eau

- Hari Prasad Shastri : Les principes de la méditation

- Yvan Amar : Territoire de chasse et royaume des cieux

- Sogyal Rimpoché : Le plus grand miracle

- Michel Cazenave : Méditer c'est aimer

- Arnaud Desjardins : Une transformation définitive

- Jean-Louis Servan-Schreiber : Le silence et le profit

- Marc de Smedt : Le dénominateur commun

- Gilles Farcet : La prière du mot

- Jacob Needleman : La souris Sauteusen

- Jacques Deperne : Au-delà des mots

- Jean-Yves Leloup : La méthode hésychaste

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