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Toutes les séries de Marie-Pierre Rey

108 livres
28 lecteurs

Comment un petit militaire corse a-t-il pu devenir Napoléon Ier, empereur des Français de 1804 à 1815 ? Général, consul puis empereur, cet enfant de l’Ancien ­Régime, élevé dans la République, fut un réformateur pressé, fondateur de l’Etat moderne autant que génie militaire qui domina, un temps, les monarchies européennes.

(Source : Le Monde)

20 livres
23 lecteurs

La croyance aux revenants semble de tous les temps ; elle a pourtant aussi son histoire. Que signifiait au Moyen Âge cette «croyance» et comment la saisir ?Les dix siècles qui vont de l'Antiquité tardive à la veille de la Renaissance ont vu se succéder et se combiner les vieilles croyances païennes et les rituels lentement christianisés. Ils sont contenus dans la notion de memoria, de «mémoire des morts», faite de liturgie, de larmes et de prières ; une mémoire en réalité destinée à aider la séparation des vivants et du défunt, à régler le fonctionnement social de l'oubli.Les revenants médiévaux, c'étaient les rares morts qui, obstinément, pendant une durée assez brève, tenaient en échec le fonctionnement réglé de la memoria chrétienne, faisant obstacle au déroulement nécessaire du «travail du deuil». Revenants pitoyables ou terrifiants, le plus souvent solitaires, surgissant de leur tombe pour hanter la conscience des proches et des parents, coupable ou douloureuse.On saisit immédiatement l'ampleur des problèmes que fait surgir l'analyse rigoureuse de cette moisson de textes et d'images qui racontent l'apparition des morts, et où le spirituel se mêle au corporel, l'individuel au collectif, la personne à la parenté, le jour à la nuit, le merveilleux à l'ordre social. Ce livre ouvre à l'histoire sociale un secteur nouveau : la science des rêves.

46 livres
7 lecteurs

Au sommaire de ce numéro:

_ Echos de l'Histoire: Cléopâtre

_ Un 350e anniversaire: La Rochefoucauld amoureux de Mme de Longueville

_ Les dernières heures de Dien Bien Phu

_ Comment Louis XIV administrait la France

_ Les villages lacustres

_ Un beau ratage des "services spéciaux" en 1945

_ Les guerres de Vendée

_ Une célèbre actrice anglaise: Margaret Woffington

_ Les dangereuses "Vacances romaines" d'un espion

_ Au coeur du problème des Noirs: le Mississippi

_ Madame Clovis Hugues a tué Morin!

_ Les joyeux réveillons du Premier Empire

Tous les livres de Marie-Pierre Rey

Du tsar Alexandre Ier, son éternel rival, Napoléon en exil disait à Las Cases: "Il peut aller loin. Si je meurs ici, ce sera mon véritable héritier en Europe." Napoléon est bien mort à Sainte-Hélène, en 1821 ; mais Alexandre le suivit dans la tombe dès 1825, à l'âge de quarante-huit ans. Et sa disparition brutale, survenue dans des circonstances troublantes, ajouta encore au mystère de celui que ses contemporains appelaient le "sphinx ". S'appuyant sur des archives jusque-là négligées et sur des documents inédits, cette biographie éclaire d'une lumière nouvelle le destin complexe d'Alexandre. Marie-Pierre Rey peint ainsi l'enfance du grand-duc, né en 1777, une enfance couvée et régie par sa grand-mère, Catherine II ; elle décrit son accession au trône en 1801, à la mort de son père, le tsar Paul Ier, assassiné sauvagement par des officiers dont Alexandre fut le complice. Cette note tragique qui ensanglante le début de son règne est vite oubliée, tant le bel empereur sait se faire aimer de sa Cour et de son peuple. Mais la volonté de réforme dont témoigne Alexandre est bientôt occultée par son duel avec Napoléon, qui culmine avec l'invasion de la Russie par la Grande Armée et l'incendie de Moscou en 1812. Sur cet échiquier titanesque qu'est alors l'Europe tout entière, le jeune tsar, d'abord craintif face à "Buonaparte", devient une pièce centrale, il est au coeur des manoeuvres diplomatiques qui se succèdent parallèlement au fracas des batailles... et peut ainsi entrer dans Paris, vainqueur, au printemps 1814. La gloire, pourtant, Alexandre en est las : à mesure que les années passent, c'est son salut qui préoccupe toujours plus le tsar, une obsession qui prend d'étranges chemins, puisqu'il envoie à Rome, peu de temps avant de mourir, un émissaire secret chargé de sonder le pape sur le rapprochement des Églises d'Orient et d'Occident. L'enquête de sa biographe dons les archives du Vatican notamment montre que la tentation catholique a bien effleuré le tsar Alexandre... Est-il vraiment mort, d'ailleurs, en 1825 ? Le doute subsiste...

A l'occasion du bicentenaire de la campagne de Russie (1812), cet essai s'appuie sur des correspondances, des journaux intimes et des mémoires aussi bien russes que français, et fait la part de la légende pour se rapprocher au plus près de la réalité des faits d'une campagne qui fut un tournant décisif des guerres napoléoniennes et de l'histoire de l'Europe.

Quatrième de couverture

L'effroyable tragédie

« Notre division était anéantie ; ne pouvant avancer par la route, je passais par les champs où s'entassaient derrière moi des hommes et des chevaux blessés et mutilés, dans un état des plus horribles. Décrire ces horreurs est au-dessus de mes forces. » Sous la plume du lieutenant Andreev, qui en 1812 combattait, tout jeune homme, dans les rangs de l'armée russe, l'atroce bataille de la Moskova se dérobe. Comment saisir ce que fut la campagne de Russie pour ceux qui la vécurent ?

Proposer pour la première fois une histoire humaine, totale, de la guerre qui opposa l'Empire français à l'Empire russe, en s'appuyant sur des sources jusque-là négligées et des matériaux d'archives inexplorés : tel est l'objet de ce livre. Les sans-grade, civils ou simples soldats, y tiennent le même rang que les héros de guerre ; la voix du peuple russe s'y mêle à celle des grognards de la Grande Armée, pour éclairer d'un jour nouveau l'affrontement des deux géants qui déchira l'Europe.

Le 31 mars 1814, à l'issue d'une bataille féroce qui a fait quinze mille morts en moins de vingt-quatre heures, le tsar Alexandre Ier entre triomphalement dans les rues de Paris. C'est la fin de la campagne de France menée par les Russes et leurs alliés, et l'effondrement de l'Empire napoléonien. L'occupation russe durera le temps d'un printemps. Cette brève période, méconnue, est pourtant cruciale dans notre histoire. D'abord, politiquement, le pouvoir change de mains : Napoléon abdique à Fontainebleau et part pour l'île d'Elbe, cependant que Louis XVIII, revenu d'Angleterre, accède au trône. Sur le plan géographique, ensuite: le traité de Paris fixe les nouvelles frontières de la France, prélude au congrès de Vienne qui, quelques mois plus tard, redessinera la carte de l'Europe. Culturellement enfin, les Cosaques, qu'on croise en bonnets de fourrure dans les allées des Tuileries, laisseront des traces durables dans les mémoires, à commencer par le mot même de "bistrot". En s'appuyant sur de très nombreuses sources, tant françaises que russes, Marie-Pierre Rey fait toute la lumière sur cet épisode, et notamment sur le rôle clé d'Alexandre Ier, défenseur du libéralisme, dans l'infléchissement des Bourbons vers le respect des libertés individuelles et l'octroi de la charte constitutionnelle qui restera en vigueur jusqu'en 1830. Sans les Russes, en somme, la face de la Restauration eût été bien différente.

La Russie est-elle européenne ? Qu'est-ce qu'être russe ? Depuis le XVIe siècle, la Russie entretient un lien complexe et ambigu avec l'Europe occidentale. A la tête d'un véritable Etat-continent s'étendant de l'Europe à l'Asie, les tsars de Russie puis les leaders soviétiques n'ont cessé de s'interroger sur l'identité de leur pays et les relations à nouer avec l'Europe, tour à tour perçue comme modèle de modernité et d'efficacité ou comme source de danger et de subversion. D'Ivan le Terrible à Vladimir Poutine, les décideurs russes ont été confrontés à ce «dilemme» : fallait-il imiter l'Europe pour mieux la dépasser, ou bien s'en protéger. D'une plume alerte, en s'appuyant sur un vaste ensemble documentaire, Marie-Pierre Rey explore les tourments de l'identité russe, à la croisée de l'histoire des relations internationales et de l'histoire des représentations.

Favorisée par la décentralisation et la construction européenne, la mise en œuvre d'une véritable politique en faveur de la coopération transfrontalière s'avère indispensable. Multisectorielle et diversifiée, cette politique devra faire de la coopération un enjeu de la politique d'aménagement du territoire. Elle pourrait porter principalement sur les questions d'urbanisme, d'environnement et de transports.

La Russie est-elle européenne ? A la tête d'un véritable État continent s'étendant en Europe et en Asie depuis le XVIe siècle, les tsars de Russie puis les leaders soviétiques n'ont cessé de s'interroger sur l'identité de leur pays et de se heurter à la question des relations qu'il convenait de nouer avec l'Europe occidentale, tour à tour perçue comme un modèle de modernité et d'efficacité et comme une source de danger et de subversion. Fallait-il l'imiter pour mieux la dépasser ? Ou bien céder au désir de s'en protéger ? Durant quatre siècles, les décideurs russes ont été confrontés à un véritable « dilemme » qui a lourdement pesé sur leurs pratiques diplomatiques et influencé leurs perceptions des réalités européennes. C'est l'histoire de ce dilemme que cet ouvrage, à la croisée de l'histoire des relations internationales et de l'histoire des représentations, a choisi d'explorer en s'appuyant sur un vaste ensemble documentaire et des archives accessibles depuis peu.

Qu'il soir tsariste, soviétique ou "républicain" le pouvoir en Russie se conjugue toujours au singulier et demeure d'essence autocratique. De ce constat est né cet ouvrage collectif de prestige réunissant les meilleurs spécialistes et écrivains d'histoire actuels sous la direction d'Emmanuel Hecht.

Chacun dépeint, analyse et explique l'un des dix-huit chefs emblématiques qui ont façonné la "troisième Rome", d'Ivan le Terrible à Vladimir Poutine en passant par Pierre le Grand, Catherine II, les trois Alexandre, les deux Nicolas, Lénine, Staline, Brejenev, Gorbatchev... Et les autres.

Autant de figures de proue, secrètes et souvent sulfureuses, qui permettent de raconter par son sommet l'histoire tumultueuse d'un Empire paradoxal, fondé sur la puissance, mais miné par ses faiblesses, sa violence et ses complots ; bref, de déchiffrer ce "rébus enveloppé de mystère au sein d'une énigme", selon la célèbre formule de Winston Churchill.

Embrasser toute l'histoire russe dégage des lignes de force et des permanences structurelles, en dévoilant les réalités complexes d'un État-continent.

Plus de 90 cartes et infographies inédites présentent l'histoire de la Russie, mettant l'accent sur les différentes régions d'un territoire immense et sur les modalités de son contrôle par l'État.

• La Russie impériale, puissance en expansion depuis le XVe siècle, est fragilisée par une modernisation tardive et la guerre ; elle est mise à terre par la Révolution de février 1917

• La Russie soviétique se forge dans une immense violence politique et sociale tout en donnant naissance à un monde nouveau, urbain et industriel

• La période postsoviétique voit la Russie, après un temps de repli et d'incertitudes, tenter de renouer avec sa grandeur passée.

D'Ivan III, «grand-prince de Moscou et de toute la Russie» au XVe siècle, à Vladimir Poutine, président d'un pouvoir central de retour sur la scène internationale, le territoire de la Russie a ainsi connu de nombreuses évolutions.

L'histoire d'Antonin Carême est saisissante : à l'instar de Bonaparte, son idole, sorti de l'anonymat par la seule force de son intelligence, de son charisme et de son courage, le "roi des cuisiniers" a lui aussi connu une éblouissante trajectoire au XIXᵉ siècle. Moins de quinze années séparent le jeune garçon analphabète et chétif, abandonné par un père trop pauvre pour le nourrir, du pâtissier en vogue, régalant le Tout-Paris de ses exquis croquembouches aux couleurs pastel et aux formes architecturales les plus extravagantes ; et moins de cinq ans auront suffi à transformer le pâtissier débutant en chef adulé des plus grandes cours d'Europe. La liste des personnalités qui firent appel à son talent parle d'elle-même : Talleyrand, Caroline Bonaparte et Joachim Murat, Napoléon, le tsar Alexandre Ier, le futur George IV, le baron et la baronne de Rothschild...Puisant dans des archives inédites, cet essai retrace la vie trépidante de ce praticien de génie, tout en offrant un éclairage neuf sur l'essor de la gastronomie française et l'invention d'une véritable modernité culinaire.