Mario Ropp
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Note moyenne : 7/10Nombre d'évaluations : 2
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Quelque part dans le Pacifique, un navire pris dans une terrible tempête fait naufrage et coule corps et biens. Seul rescapé du drame, François Ripert, un flic veuf en partance pour rejoindre un poste à Tahiti, se retrouve à bord d'un canot de sauvetage. Il repêche le jeune Hubert Landreau, une sorte de hippy joueur de guitare aux cheveux longs avec qui il va devoir partager cet étroit espace et tenter de gagner la côte. Ils finissent par débarquer dans une île perdue des Galapagos où ils commencent à essayer de survivre à la manière de Robinsons. Un jour, ils croient avoir aperçu au loin une femme blonde. L'île n'est donc pas déserte comme ils le pensaient au début. Le drame n'est pas loin...
« Douce haine », paru en 1968 dans la collection « Spécial Police » du « Fleuve noir » sous le pseudonyme de Mario Ropp (Mario pour faire macho italien et Ropp comme allusion à une certaine marque de pipes célèbre à l'époque), a en fait été écrit par une romancière, Maïa ou Marie-Anne Devillers (1917-2007), auteur relativement prolifique qui fit partie d'une fine équipe de noircisseurs de papiers dont seul un petit nombre s'éleva du lot comme Léo Malet, Georges-J. Arnaud et surtout Frédéric Dard qui signait San Antonio. Ropp fait partie des oubliés et des sans-grades et quand on lit ce livre on comprend mieux pourquoi. Le style est plat, très quelconque, sans aucune originalité, à peine travaillé. Les personnages sont stéréotypés voire caricaturaux. Le flic désabusé, le jeune chevelu nihiliste, l'Allemand paranoïaque et totalitaire comme un nazi d'opérette et les personnages féminins soumis ou nymphomanes ! Si au moins il avait profité d'une bonne intrigue, le lecteur aurait trouvé son bonheur même dans ce genre de roman de gare qui cartonnait en ces temps lointains. Mais il n'en est rien. Ca part dans un style pur roman d'aventures et s'éternise jusqu'aux trois quart du bouquin sur l'affrontement entre les deux naufragés pour déboucher sur un meurtre résolu en quelques pages dès la découverte d'une douille de balle. Qui voulait faire fonctionner ses petites cellules grises en sera pour ses frais. Lisez ou relisez plutôt de l'Agatha Christie, du Maurice Leblanc ou du Conan Doyle que cette daube juste bonne pour le classement vertical !
Afficher en entierUn père qui trompe son épouse avec une jeune femme de 20 ans. Son fils le découvre et essaie de sauver les apparences mais peu de temps après cette jeune femme est retrouvée morte, avec un pistolet dans sa main...
Le livre est long à se mettre en place, et l'enquête est trop rapide, j'ai réussi à savoir qui était le coupable bien avant la fin
Afficher en entierUn bon livre agréable à lire mais la fin est ouverte ce qui gâche tout.
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Fleuve Noir : 98 livres
Biographie
Mario Ropp est le pseudonyme d'une écrivaine. De son vrai nom Maïa, ou Marie-Anne, Devillers elle est née le 18 décembre 1917 à Héricourt (Haute Saône), elle est décédée le 20 décembre 2007 à Tonnerre (Yonne).
Elle a également écrit sous le pseudonyme de : Dominique Dorn, Maïa Walbert, Michèle Vaudois et Maïa de Villers
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