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Commençons par le style : certains tournures moyenâgeuses, des phrases trop longues (en lien avec des choix en termes de ponctuation) et parfois des doubles ou triples négations alourdissent le texte et empêchent d'y entrer. Je déplore aussi des pages entières de récit et de dialogues rapportés, sans rien pour briser leur monotonie. Enfin, quelques passages restent flous : on est énormément dans l'implicite, ça aurait mérité de plus longues explications.
Rien à redire au niveau de la quête, dans un style héroic fantasy à la Tolkien. Des éléments s'inspirent d'ailleurs largement des adaptations cinématographiques du Hobbit (trésor souterrain perdu sur un territoire de Nains et dont l'entrée est dans une montagne-statue, dragon de garde, énorme opale blanchâtre au pouvoir de fascination...). L'unique passage réellement dérangeant se situe chez les essimiens.
Terminons avec le titre, un peu trompeur. De la licorne, on voit à peine l'ombre de la corne. Par contre, le "rêve" est présent : l'auteure s'engage parfois dans de longues séquences sont psychédéliques et il faut s'accrocher à ses neurones pour l'y suivre. Pas déplaisant en soi, il faut juste en être averti.
Le rêve de la licorne
Grâce à la jolie plume de cette auteure à l’imagination fertile, j’ai traversé des mondes et croisé des personnages avec la douce et surprenante impression d’être en visite chez des amis de longue date. J’ai vu à travers leur regard, des forêts, des palais comme je n’en verrai probablement jamais « en vrai », mais qui peuplent encore mes rêves depuis l’enfance.
Martine Hermant nous entraîne ici, à travers ses deux personnages principaux, Marianne et Esteban, dans une quête initiatique rafraîchissante et passionnante, car enfin, découvrir son (ou ses) monde(s) intérieur(s), prendre conscience de sa vraie nature, n’est-ce pas là ce que peut souhaiter tout un chacun ?
Le choix d'esteban
Les bénéfices du livre vont directement à l'association.
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