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Toutes les séries de Mary Shelley

5 livres
32 lecteurs

La loi de la jungle est sans appel, et chaque habitant se doit de la suivre. Mowgli, le petit d’homme adopté par les loups, va en faire la douloureuse expérience en étant banni de son clan, tout en menant de front une guerre personnelle contre Shere Khan le tigre boiteux qui a juré sa perte. Kotick, le phoque blanc, va partir en quête d’un endroit sûr pour son peuple après avoir été témoin du massacre de ses semblables. Quant à Rikki- Tikki-Tavi, la mangouste, elle va chasser les serpents du jardin afin de protéger sa nouvelle famille...

3 livres
50 lecteurs

Lors d’une expédition vers le Pôle Nord, le capitaine Robert Walton recueille à bord de son bateau un homme esseulé sur la banquise. Il s’agit de Victor Frankenstein, un scientifique genevois. Mal en point, il finit par se confier à Walton…

Écrit en 1817 par l’anglaise Mary Shelley, Frankenstein ou le Prométhée moderne est un classique de la littérature fantastique. Rédigé à l’époque des révolutions scientifique et industrielle, l’ouvrage s’inspira de le vie d’un alchimiste allemand, Johann Conrad Dippel, dont les expériences étaient très contestées.

Marion Mousse reste très fidèle au phrasé du roman et ce premier tome est plus romantique que fantastique. Victor Frankenstein prend conscience que « Dieu n’existait plus, depuis ce jour, où sa mère mourut ». Il comprend que « le secret de la vie n’est pas au ciel mais sous nos yeux. C’est dans la terre que tout se crée ! » La foi le quitte au profit d’une folie créatrice.

Marie Galopin pose ses aplats de couleur dans le trait gras et presque naïf de Marion Mousse, un trait qui joue du contraste et de l’obscurité pour illustrer la noirceur du récit. La seule petite déception de cet album portera sur la taille inadaptée de certaines bulles : soit le texte se retrouve à l’étroit, soit le ballon empiète trop sur le dessin.

Le tonnerre a grondé. La "créature" a pris forme. Elle devrait au prochain épisode resurgir de la menaçante obscurité qui achève ce premier volume. Brr…

Tous les livres de Mary Shelley

Quatrième de couverture

Le plus sûr ennemi de la peur - la peur du surnaturel - n'est pas le héros que l'homme, en ses rêves, délègue pour l'affronter ; c'est la connaissance dont la marche ininterrompue repousse toujours plus loin les frontières de l'inexplicable. Alors que, de siècle en siècle, l'homme perd sa capacité de s'effrayer de l'inexplicable, la peur elle aussi se civilise et les auteurs qui la manipulent en renouvellent les artifices. Ann Radcliffe soumet le cortège des événements terrifiants des Mystères du château d'Udolphe à l'usage de ce qu'on appelle aujourd'hui le suspense. En déchaînant le monstre créé par Frankenstein (1818), Mary Shelley remplace le surnaturel par la science dévoyée. Carmilla (1871) et Dracula (1897) concilient classicisme et modernisme en introduisant un redoutable passager clandestin, le vampire, dans les fissures de la mythologie chrétienne. Inspiré à Gustav Meyrink par une légende effrayante du ghetto juif de Prague, Le Golem (1915) introduit ou renouvelle, sous le signe de la connaissance interdite, les thèmes du double et du transfert de personnalité. En mettant les puissances infinies de l'ésotérisme au service de la peur, ce roman génial clôture par un véritable feu d'artifice la série d'explosions culturelles que ces cinq chefs-d'oeuvre ont provoquées dans les arsenaux vétustes de l'épouvante.

Si Mary Shelley apparaît de nos jours comme l’auteur d’une seule œuvre, Frankenstein, (1816), elle ne cessa d’écrire et ses autres romans, en particulier Lodore (1835) et Falkner (1837), loués en leur temps pour leur vérité psychologique, furent mieux accueillis que son premier roman ou que The Last Man (1826).

Pourtant, si elle fut attirée, après la mort du poète Percy Shelley, son mari, par une littérature plus sentimentale, elle resta dans une certaine mesure fidèle à l’idéalisme romantique et aux idées de ses illustres parents, Mary Wollstonecraft, l’auteur de Défense des droits de la femme, et de William Godwin, l’auteur de Saint Léon et de Caleb Williams. Ses courts écrits en témoignent. De 1829 à 1839, parallèlement aux romans, Mary Shelley compose des histoires, contes et récits, pour le magazine Keepsake. L’ensemble de ces textes, rassemblés par Richard Garnett en un recueil Tales and Stories (London, 1891) fit, en 1975, l’objet d’une réédition en fac similé (Folcroft Library Editions).

Tirés de cet ouvrage, inédit en France, les quatre récits traduits sont représentatifs de l’inspiration de Mary Shelley. Le pacte avec le Diable, le philtre d’immortalité, les rêves prémonitoires, les souterrains… sont autant de matériaux, empruntés à la littérature gothique, et marqués au sceau de sa sensibilité douloureuse.

L’Endeuillée (1830), Transformation (1831), Le Rêve (1832) et L’Immortel mortel (1834), parcourus par les thèmes obsédants de la mort et du deuil impossible, évoquent, chacun sous une forme différente, à l’opposé de Frankenstein et pourtant dans la même veine, un Prométhée humain, peut-être trop tristement humain.

Un seul roman : il n’en faut pas plus à Horace Walpole pour conduire la sensibilité romanesque de son temps sur de nouvelles voies. Le Château d’Otrante (1764) inaugure le genre du récit gothique, où le passé tient le présent à la gorge et où un Moyen Âge angoissant empiète sur les Lumières. La mixité générique de ce livre fondateur, où le sublime coexiste avec le grotesque en vertu d’un hiatus emprunté à Shakespeare, va essaimer pendant près d’un siècle. Les romanciers gothiques anglais tirent parti de la passion la plus invasive et la mieux ancrée dans la psyché : la peur. Macabres et spectaculaires, situées au cœur de demeures hantées ou de souterrains parsemés d’ossements, leurs histoires doivent produire des émotions extrêmes, en premier lieu la terreur et la pitié. Confronté à la noirceur d’âme de «héros» monomaniaques et déviants prêts à briser tous les tabous (inceste, matricide, viol), le lecteur va de frayeur en horreur avant de compatir aux malheurs des victimes – de sexe féminin pour la plupart. En 1796, Le Moine de M. G. Lewis atteint les sommets en matière de sensationnalisme, avec une forte dimension érotique et mortifère qui fit beaucoup pour le succès de ce roman, toujours actif aujourd’hui. En 1818, la jeune Mary Shelley parachève cette tradition en donnant naissance à une créature monstrueuse qui se nourrit des mythes de Prométhée et de Faust. Elle met en discours un concept inouï : l'assemblage, à partir de morceaux de chair morte, d’un être humain, par le docteur Victor Frankenstein, qui fait fi de la sexualité et de la reproduction biologique. Féconde invention…

Horace Walpole : Le Château d'Otrante. William Beckford : Vathek. Matthew Gregory Lewis : Le Moine. Ann Radcliffe : L'Italien ou Le Confessionnal des pénitents noirs. Mary Shelley : Frankenstein ou Le Prométhée moderne.

En 1820, deux ans après la parution de Frankenstein, Mary Shelley traverse une profonde dépression : depuis son arrivée en Italie avec Shelley, elle a perdu trois de ses quatre enfants et la situation matérielle du couple est difficile. C'est alors qu'elle rencontre à Pise la petite Laurette, fille de son amie Lady Mountcashell, exilée comme elle. Pour le onzième anniversaire de la fillette, elle lui offre un petit conte intitulé Maurice or the Fisher's Cot. Elle envoie également un exemplaire à son père, l'éditeur londonien William Godwin, mais ce dernier le juge trop bref pour la publication. Depuis, on croyait le manuscrit perdu...

C'est seulement en 1997, dans un vieux palais de San Marcello Pistoiese, en Toscane, que Cristina Dazzi, qui n'est autre que l'arrière-arrière-arrière-petite-nièce de Laurette, retrouvera tout à fait par hasard ce conte romantique. Maurice, l'histoire émouvante d'une enfance volée, est donc publiée pour la première fois en langue française, avec une postface de Claire Tomalin qui donne un éclairage littéraire, psychologique et historique du texte.

Oeuvres majeures qui permettent de s'interroger sur l'idée de progrès scientifique et posent la question des rapports entre les sciences et la littérature, ces textes incontournables, présentés par Bernard Werber, mettent en valeur les singularités des récits de science-fiction et d'anticipation, et en proposent une représentation claire et vivante.

Italie, été 1822. Le poète Percy Shelley traverse le golfe de Livourne à bord de l’Ariel, un petit voilier qu’il vient d’acheter. La mer est agitée, fait chavirer l’embarcation et emporte le jeune écrivain. Sa veuve, Mary Shelley, auteur du mystérieux « Frankenstein », n’a pas encore vingt-cinq ans.

La douleur soudaine, brutale, anéantit la jeune femme qui entame alors l’écriture d’un journal, son « Journal d’affliction », qu’elle tiendra jusqu’en 1844. C’est une œuvre bouleversante, élégiaque et exaltée, écrite par une femme brisée qui consigne au jour le jour les souvenirs de son amour, sa souffrance et sa solitude. Ces pages, mi-journal de deuil mi-lettres d’amour, sont parmi les plus belles de la littérature romantique.

Cette confession est celle d’une jeune fille, Mathilda, qui, jusqu’à l’âge de seize ans, vit dans la plus grande solitude, élevée par une tante peu aimante. Sa mère étant morte en lui donnant le jour, son père s’est en effet désintéressé de son sort. Il réapparaît cependant, et c’est alors que Mathilda « commence à vivre ». Pour peu de temps : jusqu’à ce que son père lui fasse l’aveu de sa passion pour elle, brisant leur vie à tous deux.

Dans ce texte, Mary Shelley explore le fantasme de l’inceste, qui, tout comme celui du monstre dans Frankenstein, a pour noyau la mort initiale de la mère. Qu’il s’agisse du duel meurtrier entre le créateur et sa créature, ou de l’exclusive passion père-fille, chaque fois un tiers semble manquer : celui, ou celle qui assurerait la transmission du vivant, tout autant que le devenir d’un sujet féminin et maternel.

Le chef-d'oeuvre de l'un des maîtres incontestés de l'art fantastique !

Cet ouvrage culte publié pour la première fois en 1983 a marqué une génération entière de lecteurs et d'artistes.

Ce beau livre d'exception, alliance de la plume romantique de Mary Shelley et du dessin gothique de Bernie Wrightson, regroupe le texte intégral du roman et des dizaines d'illustrations à la beauté unique et stupéfiante.

Dans ce roman situé à la fin de la guerre des Deux-Roses, Mary Shelley relate les aventures de Richard d’York, qui, forcé de prendre le nom de Perkin Warbeck pour fuir son ennemi Henri VII, tente de conquérir le trône d’Angleterre. Ce roman méconnu est traduit ici pour la première fois en français.

As a six-year-old orphan, Elizabeth Raby prevents Rupert Falkner from committing suicide; Falkner then adopts her and brings her up to be a model of virtue. However, she falls in love with Gerald Neville, whose mother Falkner had unintentionally driven to her death years before. When Falkner is finally acquitted of murdering Neville's mother, Elizabeth's female values subdue the destructive impulses of the two men she loves, who are reconciled and unite with Elizabeth in domestic harmony.

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"Proserpine and Midas", composed in 1820 while the Shelley’s were living in Italy, is a collection of two plays written by famous writer Mary Shelley and her husband Percy Bysshe Shelley for children.

Mary wrote the blank verse drama and Percy contributed with lyric poems to the work. Whether the plays were ever intended to be staged is a point of debate among scholars.

The drama is based on Ovid's tale of the abduction of Proserpine by Pluto, which itself was based on the Greek myth of Demeter and Persephone. Mary Shelley's version focuses on the female characters. In a largely feminist retelling from Ceres's point of view, Shelley emphasizes the separation of mother and daughter and the strength offered by a community of women. Percy contributed in the lyric verse form traditionally dominated by men; Mary created a drama with elements common to early nineteenth-century women's writing: details of everyday life and empathetic dialogue.

Histoire d'amour dont la profondeur psychologique étonne pour l'époque, non sans évoquer Romeo et Juliette ; histoire de guerre au temps des Gibelins et des Guelfes en conflit dans l'Italie moyenâgeuse, Valperga est aussi un extraordinaire roman d'aventures.

On pense au Décaméron de Boccace dont certains épisodes et jusqu'aux patronymes des héros semblent faire référence.

Le héros de Valperga, Castruccio Castracani del Antelminelli, seigneur de Lucca, apparaît déjà en 1532 sous la plume fantaisiste de Machiavel. Sismondi racontera plus sérieusement cette histoire médiévale en Italie. Les références de Mary Shelley sont nombreuses.

Le lecteur sera sensible à la beauté de l'Italie, terre de régénération de bien des Anglais de l'époque des Shelley : Byron, l'ami de toujours, Keats, Shelley. Les nuits italiennes sont devant nos yeux, après les journées chaudes de Toscane. Mary Shelley est imprégnée de cette Italie et de la lecture de Dante, de Virgile et du Tasse.

Mary Shelley écrivait Valperga, Percy Shelley composait The Cenci : c'était en 1820, à Bagni di Lucca puis à Pise. Le dialogue entre les deux œuvres est sensible. Le dialogue entre les deux êtres de génie dont la vie fut une succession de drames est plus subtil.

Valperga sera publié en 1823, l'année qui suivit la mort de Shelley dans la baie de Lerici et le retour de Mary en Angleterre avec leur quatrième et seul enfant vivant.

Mary Shelley n'est connue du grand public que comme l'auteur de Frankenstein, qu'elle écrivit à Genève à l'âge de 18 ans. A l'heure où l'Angleterre réédite toute son œuvre, il aura fallu attendre le bicentenaire de sa naissance (1797) pour que paraisse, en langue française, ce prodigieux roman à la fois rigoureusement historique et follement romantique.

« Il était déjà une heure du matin ; une pluie morne battait les vitres et ma chandelle presque consumée dispensait une lueur vacillante grâce à laquelle je vis s'ouvrir l'œil jaune et terne de la créature : elle respirait avec peine et un mouvement convulsif agitait son corps. »

Le 1er août 17.., alors qu'il effectue un voyage d'exploration dans l'océan Arctique, le capitaine R. Walton, commandant l'« Albatros », recueille à son bord un naufragé à demi mort de froid, dérivant sur un banc de glace. Se prenant d'amitié pour le capitaine, le rescapé lui fait le récit de sa vie et lui confie son terrible secret : homme de science, il a créé un être à l'apparence humaine mais, habité de passions animales, le monstre s'est révolté contre son créateur, le docteur Frankenstein...

Lionel Verney est le dernier homme.

Accablé par la mort de son père, ancien ami du roi d'Angleterre, tombé en disgrâce et réduit à la pauvreté, Verney abandonne sa jeunesse à l'esprit de revanche et à la violence, avec, tendrement enfouie, une lueur d'amour pour sa sœur Perdita.

Arrivent dans le voisinage, au château de Windsor, les enfants royaux, Idris et Adrian. Leur rencontre préside au bouleversement de leurs vies, chacun révélant à l'autre sa véritable nature...

Puis, survient la terrible nouvelle : la peste a fait son apparition et progresse. Exacerbant passions et sagesse, le fléau met chaque homme en face de son destin.

Le cauchemar d’un monstre. La folie d’un homme.

Dans ce XIXe siècle d’innovations techniques et de révolution industrielle, la littérature anglaise a produit des figures fantastiques iconiques qui sont toujours vivantes aujourd’hui. C’est le cas du Frankenstein de Mary Shelley et de son héros au destin tragique. Un proscrit rejeté de tous et en premier lieu par celui qui le façonna. De son délire narcissique est né un être colossal et effrayant qui témoigne de sa capacité à aimer, de son besoin de se relier et qui est condamné à la solitude, à la souffrance, à l’incompréhension et au rejet. Car cette « chose » innommable, cette monstruosité, à qui la postérité donnera le nom de son créateur, est un agglomérat de cadavres auquel Victor Frankenstein a donné la vie. Dans la lignée de son magistral Dracula, Georges Bess signe une adaptation somptueuse du Frankenstein de Mary Shelley. On y retrouve la magie de son noir et blanc profond et élégant qui sublime la dramaturgie du récit. Une œuvre grandiose, où le trait acéré et l’encrage puissant de l'auteur expriment dans chaque case le souffle romantique de cette histoire. Celle du cauchemar d’un monstre et de la folie d’un homme. Une pépite graphique incontournable.

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