Mathilde Tamae-Bouhon

Une ode à la lecture et aux pouvoirs des livres. De jolies réflexions pleines de sens qui vous feront voyager au pays des lettres grâce à un chat un peu particulier. Douceur et philosophie au programme !

Coup de cœur pour ce tome 2. J'avais adoré le premier tome mais je trouve que celui ci me surpasse. En tout cas, j'ai versé plus de larmes...

Sans trop en dire, nous allons retrouver des personnages du premier tome et en apprendre encore plus sur leurs histoires. Toujours avec cette femme, ce fantôme, assise à la place tant convoitée.

Chacun des voyages que nous allons suivre m'a profondement touché. Au delà des regrets, ou des remords des personnages, ce livre n'est qu'amour.

L'amour d'un ami, l'amour d'un parent, d'un frère. Les amours perdus, ceux pour qui tout ne tiens qu'à un fil.

C'est doux, on entre dans ce café avec eux, on sent les odeurs, on est réchauffé par l'ambiance. On s'y sent bien, et on y pleur beaucoup.

C'est merveilleusement bien écrit, et contrairement au premier tome, je suis assez fière de dire que je n'ai confondu aucun personnages 😁

J'ai hâte de lire le tome 3.

Ce livre m'a donné l'impression d'être le script d'un film de Hayao Miyazaki ou de Makoto Shinkai.

Le récit est d'un onirisme fou marqué par son personnage éponyme, un chat qui parle, où se mélangent poésie, philosophie, rhétorique, sociologie et le deuil.

Le chat qui voulait sauver les livres est un livre grandiose.

Un conte philosophique moderne à lire de toute urgence.

C'est avec bonheur que je retrouve ce café enchanteur où il est possible de remonter le temps. Le style de l'auteur est fluide et tendre, on s'attache à chaque personnage, et c'est avec beaucoup d'émotion que j'ai suivi chaque histoire. Cela reste frustrant qu'il soit impossible de modifier le passé, mais l'auteur parvient, dans son style bienveillant, à nous le faire accepter finalement. J'ai hâte de lire le prochain tome !

Après avoir été plutôt enchantée à la lecture du premier tome de la trilogie Tant que le café est encore chaud, je me réjouissais de retrouver la petite famille et les habitués du Funiculi Funicula en ouvrant Le café du Temps Retrouvé.

Découvrir ce qu'étaient devenus Kazu Tokita, la gentille serveuse d'apparence impassible, Nagaré Tokita, son patron et cousin, Miki, 6 ans : fille de ce dernier, et bien entendu, la dame en blanc le fantôme assis sur sa sempiternelle chaise au centre du café.

Ce volume se présente encore une fois tel un recueil de nouvelles.

Il en contient quatre :

- Le meilleur ami

- Mère et fils

- Les amants

- Le couple marié.

La saveur du premier opus s'est estompée, mais je me souviens très bien des règles incontournables à respecter pour voyager dans le temps.

L'auteur doit néanmoins me prendre pour une crétine (oui, vous aussi), puisque lesdites règles sont répétées sans cesse, jusqu'à plusieurs fois par nouvelle.

Beaucoup trop de redondances en général, d'ailleurs, puisqu'il éprouve aussi le besoin de rappeler à plusieurs reprises pourquoi le client effectue le voyage.

Je l'avais déjà constaté dans le tome précédent, mais là c'est encore pire.

Difficilement supportable.

Par contre, entre deux répétitions de paragraphes ou de situation, les histoires sont émouvantes et j'avoue avoir presque eu les larmes aux yeux.

Mais bon voilà, le style ça compte aussi et les montagnes russes en cours de lecture, ça gâche tout.

Déjà que les phrases sont bancales, ce qu'on pourrait éventuellement attribuer à la traduction, le reste vient de l'auteur. Du moins je le suppose.

Alors je ne sais pas, on va dire qu'une petite centaine de pages auraient suffi, une fois le texte dégraissé.

Cette fois, je suis sûre de ne pas lire le troisième volume.

Aucun conseil à donner, dépatouillez-vous avec ça. J'ai dit que j'avais été émue quand même... :)

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N'étant pas habitué à ce genre d'écriture j'ai trouvé ce livre difficile à lire mais néanmoins passionnant. Et comme l'a dit Rintarô : " Si la lecture t'en a paru difficile, c'est qu'il contenait des choses nouvelles pour toi. Rencontrer un texte difficile, c'est une chance. "

Un livre aux allures de conte.

L'histoire est calme, nous donne à réfléchir.

Un moment en dehors du temps.

C’est une suite de nouvelles charmantes reliées entre elles par un fil conducteur (la vie des cafetiers). Parfois le procédé semble répétitif mais l’impression générale est celle d’une grande douceur baignée des traditions et du bien vivre japonais.

Les sujets abordés dans ce tome sont lourds, émotionnellement parlant, mais pourtant ils sont traités de manière douce, presque poétique. On en ressort chamboulé mais pas traumatisé en somme ^^

Un sentiment de déculpabilisation plane sur ce volume. Ce n'est pas grave de continuer et d'être heureux, au contraire, c'est normal et même nécessaire. Belle leçon de vie, même si si dans la pratique ça peut s'avérer plus long pour certains que pour d'autres.

Par contre, avec tous les personnages et aller-retour dans le temps, il faudrait une frise / listing pour ne pas se perdre >.<

J'ai beaucoup apprécié cette petite lecture sympathique faite pour les amoureux des livres et des chats. Le livre soulève des questionnements littéraires essentiels, tout en restant léger dans son approche. Le comportement du chat m'a fait rire, c'est bien un matou caractériel ! Et si le héros m'a parfois agacée avec son comportement lâche et passif, j'ai apprécié son duo avec Sayo, qui le sort de sa carapace.