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Tous les livres de Matsuo Bashô

Ses journaux de voyage poétiques sont composés en prose rythmée parsemée, de-ci de-là, de hokku dans lesquels se cristallise une impression fugitive, longuement préparée par la description d'un paysage, par une méditation devant un vestige du passé, devant un site illustre. Et il faut se souvenir que ces versets perdent une grande partie de leur résonance lorsqu'ils sont détachés du texte dans lequel ils sont normalement sertis.

Ce recueil comprend l'intégralité des Journaux de voyage de Bashô.

Renouer le lien primordial avec la nature, cultiver la modestie et la simplicité, rechercher la spontanéité : L'Art du Haïku nous entraîne sur le chemin de cette sagesse qui nous a laissé les textes les plus étonnants de la littérature japonaise et nous démontre toute la modernité de son enseignement. L'enquête de Pascale Senk nous fait découvrir comment la pratique du haïku inspire aujourd'hui, à des adeptes venus de tous horizons, une nouvelle approche de la vie. En introduction aux haïkus les plus emblématiques, la présentation de Vincent Brochard n'apporte pas seulement un éclairage historique et littéraire, elle est aussi une véritable initiation à la visée spirituelle qui est au cœur de cet usage de l'écriture. A la fois essai, guide pratique et anthologie, L'Art du Haïku montre la voie d'un authentique art de vivre.

Auteur d'environ 2 000 haïkus, influencé par Akira Kisaï, Bashō rompt avec les formes de comique vulgaire du haïkaï-renga du XVIe de Sōkan en proposant un type de baroque qui fonde le genre au XVIIe en détournant ses conventions de base pour en faire une poésie plus subtile qui crée l'émotion par ce que suggère le contraste ambigu ou spectaculaire d'éléments naturels simples opposés ou juxtaposés.

Propos recueillis par les disciples de Matsuo Bashô.

Par un des grands maîtres du genre. Cette oeuvre est un sarumino dont la charpente serait les hokku.

Après les Haïkus des quatre saisons illustrés par Hokusai, ce nouveau volume des "Classiques en images" renoue avec la tradition du poème court : 67 haïkus de Basho, choisis pour égrainer le temps qui passe... Une journée, une année, une vie sous le pinceau d'Hokusai. Un recueil qui nous invite à penser le temps autrement.

Depuis plusieurs années, les cahiers Arfuyen se sont consacrés à la publication de poètes et mystiques de toutes traditions. Au cours de cette recherche – et l’édition peut s’apparenter parfois à une véritable quête spirituelle –, ils ne pouvaient manquer de rencontrer le haiku, court poème de 17 syllabes qui est depuis trois cents ans au coeur de la tradition poétique japonaise, et qui a fasciné une partie de la poésie occidentale de ces cinquante dernières années, d’Ezra Pound à Yves Bonnefoy et Philippe Jaccottet. Arfuyen présente au public français trois parmi les plus grands « haikuïstes » japonais, Bashô, Buson et Issa, dans des traductions fort belles. Celles-ci sont, de l’avis des spécialistes, fidèles à l’esprit de l’original et, autant que faire se peut, à sa forme.

Bashô (1644-1694), père du haiku, célèbre entre tous et pour cette raison le plus traduit, n’est sans doute pas le plus directement abordable pour un lecteur occidental. Plus encore que d’autres son ceuvre réfère à toute la culture japonaise – ses admirables Journaux de Voyages en témoignent –, et particulièrement aux courants esthétiques et spirituels inspirés du bouddhisme. A des degrés divers, cela est d’ailleurs vrai de tous ces poètes, dont il est aussi absurde de faire des auteurs « mystiques » que de les laïciser suivant des catégories occidentales inapplicables en Extrême-Orient. Les critiques et traducteurs français n’ont pas toujours résisté à ce petit jeu.

Bashô est l’homme du voyage, géographique mais aussi spirituel et poétique (« Cela me fait sourire / un printemps à nouveau / sous le ciel du voyage »). Parfois cela l’angoisse (« Cloches muettes / que fait donc ce village / soir de printemps »), mais la route est aussi l’occasion d’émerveillements nouveaux (« Epuisé / je cherchais une auberge quand / ces fleurs de glycine »). C’est de ces émerveillements que vont naitre les poèmes, émerveillement qui est éveil (« Nées du dégel / pour mon pinceau recueillies / quelques gouttes d’eau pure »), c’est par l’écriture que la sensation encore obscure va se muer en expérience tangible, offerte à tous (« Que jaillisse un poème / différent de moi / premier cerisier »).

Bashô (1644-1694), voyageur infatigable, poète parmi les plus célèbres du Japon, est considéré comme le père du haïku et l'un des plus grands maîtres. Imprégné de sa pratique méditative zen, il lui donne sa structure et surtout son esprit : un tercet très court qui saisit l'essence de l'instant présent.

Ce carnet de voyage, qui associe prose poétique et haïkus d'une touchante intensité, est sans doute le plus abouti de l'oeuvre du poète. Il n'achèvera de le rédiger que quelques mois avant sa mort. Son périple de cinq mois dans le Nord du Japon, de la fin du printemps aux profondeurs de l'automne, invite Bashô à célébrer la légèreté et la beauté infinie de l'instant, les richesses de l'homme et du monde et à méditer sur l'impermanence de toutes choses.

Les superbes haïga de Manda nous accompagnent dans ce voyage au coeur du Japon éternel et de la plus intime aventure humaine.

Dans son ouvrage Oku No Hosomichi, ou La Sente des Contrées secrètes, Mastuo Bashô consigne son dernier voyage vers les confins du grand nord japonais. Maître incontesté du haïku et adepte de la philo­sophie bouddhique zen, ce moine-poète japonais a entrepris, à la fin de l'année 1689, une longue pérégrination à travers ce qui était alors une terra incognita pour la plupart des Japonais. Il en a rapporté ce journal de voyage, sous forme de courts textes en prose, ponctués de ses fameux haïkus.

Le présent ouvrage est en quelque sorte une intro­duction à l'oeuvre de Bashô.

L'auteur, Jean Marc Chounavelle, permet au lecteur, par des commentaires éclairés, de goûter au plus près à cette écriture subtile et épurée. Après un bref rappel histo­rique, il propose une biographie du poète, puis présente quel­ques-uns des sages qui furent ses disciples les plus proches et qui partagèrent la même passion pour la poésie. Puis, au rythme du carnet de voyage de Bashô, Jean Marc Chounavelle donne les clefs littéraires et historiques néces­saires à une approche sensible de cette forme d'écriture éminemment poétique, à ce joyau de la culture nippone et ses rapports avec les grands courants philo­sophiques de la Chine ancienne ou de la Corée.

Fils de samouraï, Basho (1644-1694) a vécu de son art et pour son art dans un dénuement choisi. A l'âge de treize ans, il apprend d'un maître du haïku les rudiments du genre puis fonde l'école de Shomon. Ses pérégrinations et ses longs séjours dans des ermitages inspireront son oeuvre. Il meurt à Osaka après avoir confié à ses disciples : "La fleur du haïkaï est dans la nouveauté". Ce recueil regroupe l'intégrale des haïkus de Basho en version bilingue.

Beau livre, avec reliure chinoise, d'Haïkus classiques de la littérature japonaise.

Portrait, illustré par ses haïkus et journaux de voyage, de Bashô (1644-1694), génie spirituel du haïku, disciple laïc du zen, poète-pèlerin.

Basho est l’une des figures majeures de la poésie classique japonaise. Par la force de son œuvre, il a imposé dans sa forme l’art du haiku, mais il en a surtout défini la manière, l’esprit : légèreté, recherche de la simplicité et du détachement vont de pair avec une extrême attention à la nature. Le haiku naît donc au bord du vide, de cette intuition soudaine, qui illumine le poème, c’est l’instant révélé dans sa pureté.

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