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Pourtant, surtout sur la fin, s'émane une sensation de flottement, le texte a été écrit pour guider son lecteur, lui éviter, à moins d'énormes efforts de l'analyser. Et finalement, si on lit ça en laissant de côté l'idée que le texte signifie quelque chose d'exact, on découvre quelques fulgurances inexplicables, notamment quand il s'agit de communiquer avec son amour(euse ici, Nathalie) ou de communiquer son amour tout court. Les mots sont remis en question, les espaces retranchés. Bref, c'est peut-être l'une des lectures les plus exigeantes qu'il m'ait été donné de lire, le caractère jubilatoire étant inexistant, mais c'est aussi une perception de la littérature fascinante, cryptée, assez riche et foisonnante pour qu'on demande à y revenir. C'est donc un livre à relire.
L'arrêt de mort
Ces chroniques parfois très courtes, deux à trois pages, sont de beaux billets à savourer en marge des lectures de grands classiques, mais aussi des auteurs qui publiaient leurs œuvres pendant cette période. Comme l'indique le bandeau de l'éditeur, l'œil de Blanchot est « éblouissant »... de justesse, je rajouterais. Il y a, à titre d'exemple, ces paragraphes sur Marcel Bealu, p. 594-595 (chronique du 20 avril 1944), une véritable invitation à la lecture de « Mémoires de l'ombre ».
Chroniques littéraires du Journal des débats : avril 1941 - août 1944
L'arrêt de mort
Lautréamont et Sade
L'essai littéraire est un genre qui a émergé au XXe sicle, lorsque la littérature a commencé à devenir autoréflexive et à s'allier à des sciences auxiliaires telles que la philosophie et la psychanalyse.
La part du feu
Faux pas