Maxence Fermine

Certains aspects m'ont plu et d'autres m'ont profondément ennuyée et plongée dans une incompréhension et une confusion totale. Cela étant dit, un passage en particulier m'a beaucoup touchée, concernant une certaine rencontre au détour d'une rue de Paris… Ce moment-là fait prendre conscience de beaucoup de choses, même si là encore ça n'a pas grand rapport avec l'histoire principale du roman. J'ai eu l'impression qu'on s'égarait régulièrement sur tout un tas de choses différentes sans grand rapport les unes avec les autres. Je suis assez déçue de m’être lancée dans la découverte du style de l'auteur avec ce roman-là, si j'avais su je me serais abstenue, car maintenant je freine un peu pour découvrir d'autres de ses ouvrages et cela me peine un peu. Je ne peux pas vous conseiller ce roman aveuglément, mais juste de le découvrir si le cœur vous en dit

belle histoire j'ai apprécié les personnages les details sur la ville d'aigue morte et la camargue.

Ce livre est d'une pureté de l'écriture, un précieux flocon de neige laissant une trace dans notre coeur. L'histoire est si touchante, la manière dont la poésie, les haikus et la neige entre en jeu est éblouissante. Tout est lié quand on y refléchit.

Spoiler(cliquez pour révéler)Je m'attendais presque pas à la fin, à la fille de Neige.

Les personnages attachants et la relation Yuko et Soseki est si belle et si liée. Ils se complètent l'un et l'autre s'aident mutuellement.

Un imaginaire très sympathique, une plume agréable à lire, cependant j'ai trouvé dommage que l'intrigue principale ne débute qu'à la moitié du livre d'autant plus qu'il est court (cependant pas de longueur avant pour autant), et par la suite un peu trop de répétition dans la trame à mon goût qui fait se sentir dans un conte pour enfant (une quête qui passe par la visite à plusieurs personnages les uns après les autres).

C'est donc une lecture courte et sympathique mais qui manque un peu de profondeur, il manque un petit quelque chose pour que l'alchimie opère. Je vais néanmoins lire la suite dans la foulée.

Une suite dans la même lignée que le premier livre.

Une lecture agréable mais pas transcendante. Un peu simple mais écriture et univers sympathiques.

J'ai découvert une très jolie histoire. Livre qui n'est pas long ou compliqué à lire, il n'en reste pas moins très bien écrit et touchant. Il est vrai que le fait de vouloir atteindre ou trouver le chemin du bonheur est une question à laquelle chacun peut être amené à se poser. L'auteur rappelle à quel point ce n'est pas les possessions matérielles qui nous rendre plus heureux qu'untel. J'ai trouvé la rencontre des différents personnages très émouvante. J'espère aussi que chacun des lecteurs de ce livre trouvera, petit-à-petit, son propre chemin vers le bonheur :) !

Bon livre , cependant un peu court . Un bon univers avec de bon personnages avec un peu de poésie . Un joli mélange !

Je penses que j'aurais pu adoré cette lecture, si il n'y avait pas eu ce malaise ambiance tout au long du livre. On a une écriture magnifique et épurée, inspiré du haïku. Mais malgré ça je n'adhère absolument pas la manière dont on parle des femmes dans ce roman, ici elle ne sont que sexualisée, on ne connaît d'elle pratiquement que leur beauté. Spoiler(cliquez pour révéler)Mais surtout on se trouves face à l'esthétisation d'une femme morte ! Un cadavre nous ai présenter comme object de désir, ça n'a aucun sens et légitimité à mon avis. Je comprends que la plume séduise car objectivement elle est sublime mais le sujet ou du moins la manière dont il est aborder l'est beaucoup moins.

Ce livre se lit bien et vite, mais il m’a manqué un peu de sens sur le dénouement et les dernières étapes

Je pense ne pas avoir besoin de présenter Nordahl Lelandais, « l’homme aux chiens »… La France entière sait qui c’est et ce qu’il a commis.

Ce livre documentaire enquête revient sur les faits, et notamment sur le meurtre de la petite Maëlys et sur celui du caporal Arthur Noyer.

Je suis assez documentée sur cet homme, ce monstre, sur ces affaires. Le livre ne m’a rien appris en particulier, mais je l’ai plus apprécié que le livre « Rapport sur Nordahl L. » écrit par Michel Moatti, dit « le livre que Nordahl a voulu faire interdire ». L’approche et la plume de Maxime Fermine m’ont bien plus captivée.

Si vous souhaitez lire un livre qui parle de Nordahl Lelandais, et qui revient sur les faits, je conseillerai vivement celui-ci car il est complet, les chapitres sont courts et la plume glaçante mais entraînante.

Maxime dresse un portrait de Nordahl Lelandais sans jugement, en étant impartial. Il revient sur l’enfant qu’il était avant d’être un meurtrier, sur sa personnalité... sur cette énigme qu’est cet homme, sur ses addictions à l’alcool et à la drogue…

Avec sensibilité et empathie, Maxime Fermine raconte la douleur des familles des victimes, mais aussi la douleur de la famille de Nordahl.

J’ai vraiment apprécié cette lecture, même si l’on n'apprend rien de plus que ce que l’on sait déjà.