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C'est un crossover avec "Manhattan Carnage" d'Orcus Morrigan.
L'histoire se situe entre le tome 2 et le tome 3
Felicity Atcock, Tome 3 ½ : Les anges ont la mort aux trousses
Et je ne suis pas déçue, au contraire, j'ai même adoré. J'aime commencer un livre à 21h30 et le finir 2h plus tard avec le sourire aux lèvres. Voilà l'effet Morrigan ! Bon je vous cache pas, c'est gore, crade, dénué de toute morale, mais c'est aussi bourré d'humour et totalement disjoncté.
Un livre qui sort des sentiers battus et qui n'a pas peur de prendre à contre pieds ses lecteurs, les déstabilisant sans aucun remords sur certaines situations. Un livre rafraîchissant dans cette marée littéraire de bouquins parfois un peu trop culcul la praline et bon sang que ça fait du bien !
L'histoire en elle-même est très bien trouvée, intrigante et prenante, un monde carrément unique.
Comment ne pas aimer la plume fluide de l'auteur, quand grâce à elle, j'ai pu avaler les pages aussi rapidement qu'un verre d'eau fraîche en plein désert ?
Écrit la plupart du temps à la première personne, nous découvrons un personnage principal lui aussi malmené, adieu syndrome du héros, bonjour méchant assumé, et là encore j'applaudis car l'auteur suit sa ligne de conduite quitte à désarçonner son lecteur. Nous retrouvons aussi le point de vue d’un ou deux personnages secondaires, histoire de nous montrer l’autre coté du miroir, et beurk c’est plutôt dégueulasse quand même… Bon en fait c’est toujours dégueulasse mais bon c’est Orcus quoi !
En bref, un livre complètement hors-norme, qui vous fera sûrement mal au bide mais vous ne saurez pas si c’est parce que vous riez trop ou si c’est parce que vous avez envie de gerber, les deux à la fois pour moi m'ssieurs dames !
Bonne lecture :D
Mon avis complet, c'est par là ^_^
http://angebleue13.blogspot.fr/2015/10/manhattan-carnage-orcus-morrigan.html
Orcus Morrigan, Tome 1 : Manhattan Carnage
Thérapie du crime
On sait très vite comment toute cette histoire va se passer, pas de surprise de ce côté là. Le style des 2 auteurs est fluide, agréable, la lecture est très agréable pas de surprise non plus à ce niveau.
J'ai quand même passé un bon moment avec Alice, Xavier et tout les autres personnages qui gravitent autour d'eux. Il m'a juste manqué la petite étincelle que j'attendais un peu trop peut-être.
Thérapie du crime
Les auteurs nous présentent une fin assez originale qui ouvre des possibilités pour le prochain tome que je n'aurai jamais envisagé.
Un intermède en attendant la suite qui fait du bien.
Felicity Atcock, Tome 3 ½ : Les anges ont la mort aux trousses
Felicity Atcock, Tome 3 ½ : Les anges ont la mort aux trousses
Apparemment il faut aller jusqu’au 6 pour savoir. Nous y retrouverons sûrement les protagonistes que nous y avons trouvés.
Même s’il ne contient que 11 chapitres et moult épilogues, j’ai fini par le lire en diagonale.
Je passe au tome 4, mais me dire qu’il me reste encore 3 tomes à lire me décourage.
Peut-être vais-je lire autre chose et reviendrai finir cette lecture plus tard.
Je conseille donc de passer le 3 1/2, et de le lire juste avant le 6 de manière à ne pas être ralenti dans le suspens...
Felicity Atcock, Tome 3 ½ : Les anges ont la mort aux trousses
Thérapie du crime
J'aime bien les écritures tragido comique, mais la c'était too much.
Bref, je ne sais pas si je relirai un roman de cet écrivain.
http://mcchipie.over-blog.com/2020/05/les-disparus-de-l-a16-maxime-gillio.html
Les Disparus de l'A16
Felicity Atcock, Tome 3 ½ : Les anges ont la mort aux trousses
J'ai mis la note de : 13.5/20
Mon avis : Sophie Jomain et Maxime Gillio réitèrent l’expérience d’une écriture à quatre mains, et le pari en demeure plutôt réussi. En 2016, pour la série géniale de Sophie Jomain, intitulée Felicity Atcock, et dont les critiques des tomes cinq et six sont présentes sur le site, les deux écrivains avaient collaboré dans l’écriture d’une nouvelle rafraîchissante. Avec le ton déjà humoristique de la série, et l’apport cru et croustillant du personnage interprété par Maxime Gillio, un zombie déluré et dégoutant, la nouvelle avait marqué les esprits par son côté comique unique et ses actions complètement dingues.
Thérapie du crime, bien que reprenant cette idée opposant deux personnages aux visions complètement différentes, reste malheureusement bien moins drôle. Le lecteur se rappelant la nouvelle fantastique Les anges ont la mort aux trousses d’il y a trois ans, se verra ainsi déçu par la tournure du roman. Les personnages de Xavier Capelle et d’Alice Rivière constituent des personnalités certes complexes, intéressantes à suivre et en proie aux conflits, mais restent plus sérieux que ce à quoi les auteurs nous avaient habitués auparavant.
Les tons employés reprennent en effet les codes des enquêtes policières, comme les descriptions plus pointilleuses des cadavres qui se veulent détaillées, ou les enchaînements de pensées agités qui cherchent à dégager le vrai du faux en usant de logique et de raisonnements concrets. L’histoire est cohérente, plausible et s’ancre pleinement dans la réalité. Les côtés humoristiques et absurdes sont mis de côté, au profit d’une enquête haletante et efficace, qui nous offre à découvrir la ville de Lille d’une nouvelle manière.
Malgré un ton plus à même de plaire aux lecteurs de thrillers, certains points amusants rappellent tout de même le talent que les deux écrivains possèdent pour créer des situations aussi étranges qu’improbables. Par exemple, les clients de la sexologue Alice Rivière apportent quelques portraits et situations incongrus, voire étonnants. Les surnoms que la jeune femme affuble à ses patients sont accrocheurs et permettent de s’imaginer à loisir leurs différents passe-temps coquins. Du côté de Xavier, on retrouve l’usage de quelques termes crus at abrupts, qui lui vont bien, et qui donnent de l’ampleur au personnage, qui lui donnent de la crédibilité.
De plus, le lien qui unit les deux personnages principaux s’avère original, amenant avec lui son lot de souffrances passées et futures. Thérapie du crime constitue un thriller passionnant, duquel il est difficile de décrocher, même si le ton proposé peut décevoir les habitués, au départ. Les choix scénaristiques qui se dessinent apportent des passages durs, douloureux et délicats. Les notes positives se font finalement rares. Les deux héros possèdent chacun leur lot de soucis, tant au niveau familial que personnel, qui troubleront les lecteurs aux vies similaires.
Xavier et Alice semblent ne rien avoir en commun, et pourtant. Leur passé trouble remonte rapidement à la surface, quand un des patients d’Alice se retrouve dans la ligne de mire de la police. La jeune femme se prend alors à douter de ses capacités psychanalytiques, de ses dons de thérapeute et perd confiance en elle. Comment peut-elle ne rien avoir vu ? De l’autre côté, Xavier reste persuadé, au grand damne de ses collègues policiers, que cette affaire n’est pas isolée et qu’il peut la relier à d’autres. Un homme persévérant et têtu, contre une femme encore plus tête de mule, et qui ne souhaite pas se laisser faire.
Leur relation, aussi bien professionnelle qu’intime, s’avère électrique et donne toute sa force au récit. Le lecteur s’attache à ces deux héros meurtris par la vie, qui se cherchent désespérément et qui espèrent élucider cette sinistre histoire à tout prix. Leur environnement proche ressent toute l’animosité qui existe entre eux et pâtit de leur nouveau passe-temps de détectives à plein temps. L’enquête avance à un rythme régulier et satisfaisant, et la vie personnelle palpitante des héros évolue dans le même temps. L’écriture à quatre mains ne se ressent pas du tout, et les pensées féminines, comme masculines, apparaissent comme réalistes, crédibles et cohérentes. Les personnages prennent littéralement vie sous nos yeux, grâce aux points de vue des deux auteurs sur la question.
La fin, comme les différentes phases de la mission, manquent de surprise. C’est dommage. Le coupable, plutôt vite identifié, ne change pas par la suite de l’histoire, et le lecteur a du mal à croire qu’il ne soit finalement pas impliqué, étant donné toutes les preuves qui finissent par tomber contre lui. Le suspense reste ainsi peu présent, notamment dans la seconde partie. Heureusement, les héros se retrouvent dans des situations compliquées, ce qui permet à de la tension de s’installer. Par ailleurs, l’histoire d’amour que le lecteur sent venir à des kilomètres, est bien écrite et tombe loin des clichés.
Thérapie du crime nous fait passer un excellent moment, grâce à une histoire plaisante et à des personnages attachants. L’enquête et les péripéties associées faillissent quelque peu dans leur originalité, mais captivent assez pour que l’on ait envie de terminer le livre. Le duo fonctionne à merveille, aussi bien sur le terrain que dans leur intimité. Plus d’humour aurait été cependant bienvenue.
Thérapie du crime
Thérapie du crime
Thérapie du crime
Cette comédie policière écrite à quatre mains est tout simplement excellente, le texte est fluide, simple, les échanges piquants, l’intrigue intéressante et les personnages attachants. J’ai aimé le duo formé par Alice et Xavier d’ailleurs je me demande si les auteurs ne seraient pas d’accord pour nous faire un second tome. À bon entendeur ….
Thérapie du crime
Felicity et Daphnée vont devoir collaborer avec un... zombie! Chargé de la protéger contre son ex Greg qui plus est! Les chapitres sont alternés: ceux du point de vue de Felicity écrit par Sophie Jomain et ceux de Orcus le zombie, écrit par Maxime Gillio. Et la différence est frappante! Le flegme britannique disparaît dès qu'il s'agit d'Orcus pour prends un style horrifique et franchement sanguinolent!
J'ai vraiment adoré, tant par le rythme déchaîné que par l'humour que l'on retrouve au fil des pages. Les piques entre nos trois héros (oui, même Daphnée à la part belle ici!) et les petites interactions entre les auteurs que l'on lit en notes de pages sont vraiment drôles et l'univers zombiesque créé par Maxime Gillio (dont je découvre la plume) rendent cette histoire vraiment géniale!
Et je ne vous parle même pas des zombies célèbres que l'on croise, c'est super drôle (et flippant quand même un peu)!!!!
Quant à savoir comment Felicity se retrouve encore une fois mêlée à une histoire dingue, je vous laisse le soin de le découvrir, la surprise est totale!
Felicity Atcock, Tome 3 ½ : Les anges ont la mort aux trousses