Meriel Fuller a passé sa petite enfance avec le nez plongé dans les livres. Après l'école, elle marchait jusqu'à la bibliothèque municipale où sa mère était le bibliothécaire en chef. Son amour du passé vient de son père, un historien amateur intelligent qui a pris Meriel et sa sœur sur de longues randonnées cherchant des châteaux ruinés et des villages médiévaux.
Meriel a continué à étudier la littérature anglaise à l'Université D’Édimbourg où elle a rencontré son mari qui était, littéralement, son chevalier en armure brillante. Elle c'était cassé la cheville à un parti, son futur mari l'a galamment porté à l'hôpital et resté avec elle quand son pied a été mis dans le plâtre. Huit ans après, ils se sont mariés dans Dorset rural. Bien que Meriel ait écrit comme un hobby tout le temps durant dans sa vie, c'est seulement quand son enfant le plus jeune était un bambin qu'elle a décidé d'écrire un roman historique. Elle a été exaltée quand les éditions Harlequin lui ont dit que son manuscrit serait publié : c'était un rêve qui se matérialisait