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Toutes les séries de Michel Vergé-Franceschi

11 livres
3 lecteurs

Une synthèse pédagogique pour comprendre la Seconde Guerre mondiale : comment et pourquoi ce conflit a pu mobiliser plus de 100 millions de combattants de 61 nations et faire plus de 50 millions de morts, dont 6 millions de victimes juives exterminées dans les camps.

À la fin des années 1930, les Français assistent, inquiets et impuissants, à l'implacable montée du nazisme. Les accords de Munich, signés en 1938, octroient à l'Europe un répit précaire. Mais, le 1er septembre 1939, l'Allemagne envahit la Pologne. C'est le début d'un conflit qui embrasera le monde entier et qui mobilisera plus de 100 millions de combattants et fera près de 50 millions de morts. Richement illustré, clair, pédagogique et passionnant, cet ouvrage permet de comprendre pourquoi et comment la Seconde Guerre mondiale constitue le conflit le plus terrible que l'Humanité ait connu.

Tous les livres de Michel Vergé-Franceschi

Statufié et mythifié, Jean-Baptiste Colbert (1619-1683) est surement l'un des ministre de la France qui a le plus marqué la postérité. Apprécié de Louis XIV, qui en fit son homme de confiance, détesté de Fouquet, dont il causa la perte, et de Mme de Sévigné, qui le surnommait "le Nord" en raison de son attitude glaciale, il fut érigé en modèle de travail et de vertu par le XIX siècle républicain qui a vu en lui la probité récompensé et le labeur incarné.

Toute l'originalité de ce livre réside dans l'analyse du succès de ce tout puissant serviteur de l'état qui assez peu religieux et fort tolérant à l'égard des autres confessions, eut à affronter vingt ans durant une cavale de dévots, composée de chevaliers de Malte, d'ecclésiastiques et d'amis de Fouquet. Héritiers des frondeurs, voire des ligueurs, ils tentèrent d'entraîner le Roi très Chrétien dans une nouvelle guerre sainte contre les turcs à laquelle Colbert opposa une politique de conciliation héritée des derniers Valois.

La société de l'Ancien Régime - et particulièrement celle du XVIIe siècle - nous est aujourd'hui à peu près aussi exotique que celle de l'Antiquité classique ou de l'Amérique précolombienne... Nous avons d'elle une vision figée par les trois siècles qui nous en séparent, et longtemps une lecture idéologique du passé de la France a stérilisé les recherches des historiens. Il n'en va heureusement plus ainsi de nos jours, car de nombreux travaux d'érudition ont fait "bouger les lignes": les synthèses deviennent possibles. De cette "société d'ordres" - et en aucun cas de classes! - Michel Vergé-Franceschi dresse ici un tableau complet et vivant, l'analysant sous un triple prisme: celui de la tradition (avec ses charges de grand veneur, grand louvetier, grand fauconnier, etc.) ; celui de l'innovation (avec par exemple ses chirurgiens qui ne sont plus barbiers, ses ingénieurs, ses officiers de marine...), enfin celui de l'ouverture, car, sous louis XIV, et contrairement aux idées reçues, un fils de pêcheur illettré peut devenir officier général (Jean Bart), le descendant de simples artisans champenois ministre (Colbert), le rejeton de grenetiers au grenier à sel chanceliers de France et gardes des Sceaux (les d'Aligre père et fils), etc. Pour reposer sur des fondements radicalement différents de ceux que nous connaissons, la société française du XVIIe siècle n'en a pas moins été, à sa manière, une société ouverte.

L'affaire du "masque de fer" fait partie de ces dix ou douze énigmes qui défraient la chronique, génération d'historiens (les uns fantaisistes, les autres rigoureux) après génération d'historiens. Sans parler du roman historique. Comment trouver, comment dire du nouveau sur un sujet battu et rebattu? Y a-t-il des documents inédits ou faut-il attendre la lumière de nouvelles interprétations ou "lectures"? Recensant, la plupart des hypothèses recevables sur la véritable identité de l'" homme au masque de fer ", Michel Vergé-Franceschi, en une approche convaincante, rend cette vieille histoire aussi vivante qu'une intrigue politico-policière survenue de nos jours.

C'est en allant à la recherche de ses propres ancêtres cap corsins que Michel Vergé-Franceschi a constitué dans cet ouvrage - fruit de trente-cinq années de recherches archivistiques - une base de données composée de plusieurs milliers d'insulaires. connus, fichés,étudiés, de 1286 à 1914, à travers leurs destins, personnel ou collectif.

À une époque où la généalogie s'assimile à une véritable quête effrénée de ses "racines", il nous est apparu opportun de publier ces recherches sur les descendants de l'ancienne seigneurie Da Mare qui, presque tous, pourront se rattacher à tel ou tel aïeul cité dans l'ouvrage.

Cet ouvrage cherche à tirer de l'oubli nombre de personnages en évoquant leurs parcours et leurs destins.

Sampiero de Bastelica (v.1498-1567) - dit Sampiero Corso ou Sampieru Corsu - est, avec Paoli et Napoléon, le plus célèbre des Corses. Beaucoup de choses ont été écrites sur lui. Sérieuses ou inventées. Aucune publication cependant n'est allée aussi loin dans la quête et l'exploitation scientifique des documents d'archives. Pour la première fois, une biographie replace Sampiero dans sa famille d'origine jusqu'alors inconnue. Pour la première fois, ce livre répond à des questions jusqu'alors pendantes : en 1536, François Jet voulait-il user de Sampiero pour assassiner Charles Quint ? En 1564, Catherine de Médicis a-t-elle ordonné le meurtre de Vannina d'Ornano par son vieil époux Sampiero ? Mercenaire au service des Médicis, de l'Empereur puis des Valois, capitaine, colonel, colonel-général, Sampiero fut - avant tout un soldat. Ambassadeur auprès de Soliman le Magnifique, présent au couronnement du pape Léon X, aux noces d'Henri II comme à la cour du sultan, connu de Rabelais, de Du Bellay, de Brantôme ou Montluc, Sampiero est beaucoup plus que le légendaire "roi des Corses" (ainsi l'appelait-on de son vivant à Alger). Il est l'une des figures les plus troublantes du "beau XVIe siècle". Troublante, parce qu'en ces temps où "l'incroyance" semblait ne pouvoir exister, il servit le Très Chrétien, allié à Barberousse, cherchant à mettre au service de son épée le Turc comme le Chrétien, le Corse catholique, comme les Luthériens ou les Vaudois. Neveu de mercenaires, père et grand-père de maréchaux de France - les maréchaux d'Ornano -, Sampiero est un personnage hors du commun. Ce livre a pris le parti, difficile mais réussi, de substituer au "mythe" Sampiero un autre portrait du "héros" : celui d'un homme de chair et de sang, celui d'un " chef " moins insulaire qu'on ne le croit et, finalement, beaucoup plus européen.

En 1678, la France signe la glorieuse paix de Nimègue. La guerre de Hollande s'achève. Paris donne à Louis XIV son surnom : Louis le Grand. Pour la première fois dans l'histoire du règne, et peut-être dans l'histoire de la France, la marine vient de remporter au cours d'un conflit des succès décisifs. Louis XIV doit son surnom autant au maréchal de Turenne qu'au vieux Duquesne, vainqueur de Ruyter en Méditerranée. Colbert commande alors en Ponant et en Levant de véritables albums iconographiques représentant les divers types de bâtiments : barques de pêche, navires de commerce, vaisseaux de guerre et galères levantines. Ceux-ci, réalisés au lavis, ont un triple objectif : montrer au roi ce qu'est la flotte de France (un peu comme la flotte miniature réalisée sur le Grand Canal de Versailles) ; faire le point des connaissances en matière de construction navale ; instruire Seignelay - le propre fils du grand Colbert et bientôt son successeur. Pour la première fois sont ici réunis les Albums dits de Jouve (marine de commerce) et de Colbert (marine de guerre). Réalisé grâce au fonds du Service historique de la Marine (château de Vincennes) et du musée de la Marine (palais de Chaillot), cet ouvrage constitue un véritable inédit rassemblant les voiles et voiliers du temps du Roi-Soleil.

Aussi célèbre que ses amies Marion de Lorme et madame de Maintenon, Ninon de Lenclos (1620-1705) est une courtisane de légende, dont la liste des amants est longue, quoique parfois invérifiable tant la rumeur est forte mais souvent incertaine : on ne prête qu'aux riches ! Sa liberté de moeurs et de langage dérange les dévots, qui l'accusent d’impiété et l'envoient deux ans au couvent - ce qui, a l’évidence, ne suffit pas a l'assagir. Libre, elle tient salon - ses cinq a neuf réunissent le Tout-Paris littéraire (Perrault, Molière, Voltaire...) et les grands seigneurs de la cour. En femme avisée, elle amasse une petite fortune en profitant des relations qu'elle a réussi a nouer. Pour autant, Ninon n'est pas cette femme de lettres que ses précédents biographes ont dépeinte. C'est une bonne épistolière et une remarquable musicienne, qui excelle au luth et au clavecin. C'est surtout une femme affranchie de toute convention sociale et de toute contrainte religieuse, qui ne vécut que pour le plaisir - y compris homosexuel - et ne se maria point. Une femme épicurienne revendiquée unique en son temps. Sa figure demeure marquée par son indéniable liberté, si longtemps fustigée, et domine une période en pleine mutation. Elle est même l'un des symboles et l'un des signes avant-coureurs de toutes les contestations que va connaitre le siècle des Lumières.

Versailles, lieu de pouvoir ? Oui, mais aussi lieu de plaisir, de désir et de débauche. Du modeste pavillon de chasse de Louis XIII, le jeune Louis XIV fait une garçonnière pour y abriter ses premières amours avec la timide Louise de La Vallière, puis décide, au grand dam de Colbert, d'aménager le lupanar de ses jeunes années. De la pulpeuse Mme de Montespan à l'ardente Mme de Maintenon, maîtresses, favorites ou passades d'un soir se succèdent alors en un tourbillon mutin. On y lutine avec ardeur dans les alcôves accueillantes des appartements de Le Brun ou derrière les bosquets propices des jardins de Le Nôtre. Après les mignons de Monsieur et les orgies du Régent, les demoiselles du Parc-aux-cerfs choisies par la Pompadour se disputent l'honneur d être troussées par l'insatiable Louis XV. Las, Louis XVI le Mou peine à honorer Marie-Antoinette et, à la veille de la Révolution, la « petite Sodome » aux moeurs débridées a jeté ses derniers feux.

A la fin du XIVe siècle, l'Europe ne connaissait du reste du monde qu'un Orient exploré par voie de terre. Au-delà des mer commençait l'inconnu : des régions que la géographie chrétienne peuplait de dangers mortels.

La découverte du monde n'a pas commencé avec Christophe Colomb, mais quelques années auparavant par un exploit collectif que l'on peut considérer comme un prototype de l'exploration moderne. Sous l'impulsion d'un homme volontaire et visionnaire : Henri le Navigateur, prince portugais, né à Porto en 1394, il y a six cent ans.

A partir des meilleures sources, Michel Vergé-Franceschi fait revivre la vie d'un découvreur qui fut "l'expression d'un siècle et d'un peuple, et même d'une époque de l'humanité". Il nous fait partager son extraordinaire aventure.

Michel Vergé-Franceschi, professeur d'histoire à l'université de Savoie, membre du Laboratoire d'histoire maritime à l'université de Paris-Sorbonne, vice-président de la Commission française d'histoire maritime, est l'auteur de nombreux ouvrages. Lauréat de l'Académie de marine et de l'Académie française, ses travaux ont été couronnés en 1993 par une triple consécration: prix de l'Acoram, Meurand et Neptunia.

La mer a longtemps été perçue par les hommes comme un milieu hostile et dangereux, peuplée de créatures mythiques ou fantastiques tels que le Léviathan, le Kraken et autres calmars géants. Dans le même temps, source de vie, elle a suscité la curiosité et fut longtemps synonyme d’aventures. Ce livre la célèbre en quatre chapitres thématiques : la mer entre Dieu et l’homme, le domaine des dieux et des déesses, le domaine des monstres et des superstitions, la peur et l’aventure, au cours desquels Michel Vergé-Franceschi nous invite à la découverte des grands mythes et symboles de la matrice primordiale.

Napoléon passe pour être le fils d'une famille modeste qui, à force d'efforts, aurait accédé aux plus hautes fonctions. Cette légende digne d'un roman devait être corrigée. Voici la vérité enfin révélée grâce à cette biographie événement, fruit de longues années de recherche dans les archives, consacrée à Charles Bonaparte, père du plus célèbre des empereurs. En réalité, Napoléon était issu d'une lignée de notables, aisés et instruits. Son père, dont la noblesse avait été confirmée par Louis XV, avait l'ambition pour principe et le travail pour devoir. De l'Italie, où il a étudié le droit, à la cour de Versailles, où il a rencontré Louis XVI, il a mené une vie tambour battant. Propriétaire avisé, physiocrate, proche de ses enfants, les conduisant lui-même à Autun, Brienne ou Saint-Cyr, leur achetant lui-même leurs vêtements, il fut un «?père-citoyen?», très à la mode de la fin du xviiie siècle. En leur inculquant le goût du dépassement de soi tout en leur donnant les moyens de réussir, il ne pouvait qu'engendrer «?l'homme nouveau?», issu de 1789, créateur des lycées, de l'Université, du Code civil. Cette odyssée, entre luttes de clans et vendetta, de Pise à Ajaccio en passant par Paris, lève enfin le voile sur l'enfance de Napoléon Bonaparte. Soit un petit garçon formé dès son plus jeune âge à conquérir un monde qui allait s'ouvrir à lui grâce à la Révolution française.

Comment l'essor de la marine a joué un rôle moteur dans l'émergence de la France moderne.

L'identité maritime de la France s'est façonnée au fur et à mesure que la monarchie capétienne portait ses limites vers le littoral de l'Atlantique et de la Méditerranée. Des provinces telles que la Bretagne ou la Provence ne sont pas intégrées à la France avant le XVIe siècle, voire le milieu du XVIIe siècle dans le cas de la Flandre et du Roussillon. Le long règne de Louis XIV (1643-1715) représente à cet égard une époque de mutation du vieux royaume terrien. C'est le siècle du développement de la marine royale qui tient tête aux puissances maritimes de l'Europe du Nord-Ouest, de l'essor des pêches lointaines vers les bancs de Terre-Neuve, des exploits réalisés par les corsaires de Saint-Malo et de Dunkerque, de l'expansion du commerce vers le Levant et les Antilles, des premiers voyages dans la mer du Sud (le Pacifique). Les portes de la mer s'ouvrent à coups de décisions politiques et de grands projets portuaires, comme à Lorient, Rochefort ou Sète, autant de ports qui sont fondés au cours des années 1670, tandis que Brest, Toulon, Dunkerque et Marseille sont remodelés par des architectes et des ingénieurs de talent, tels Vauban.

Une grande synthèse qui offre aussi une histoire de la vie quotidienne des marins du Grand Siècle.

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