Mo Gadarr

Une histoire qui commence fort en rigolade mais qui se termine encore plus fort car elle est pleine de bonheur ! Je continue de recommander la plume de l'auteure tant elle est engagée et positive.

J'ai vraiment passé un très bon moment avec cette lecture et ces personnages à tel point que j'avais envie de la prolonger pour ne pas les quitter !

Dans cette romance, on fait la rencontre de Slim. Cette jeune femme a, semble-t-il, tout pour être heureuse. Mais dès les premières pages, sa vie éclate en morceaux quand son compagnon la quitte.

Mal dans sa peau depuis plusieurs années et avec les commentaires toxiques de son entourage, Slim se persuade que cette rupture est uniquement due à ses kilos en trop.

Mais perdre du poids est plus facile à dire qu’à faire, surtout quand on est addicte aux grignotages en tout genre, et pas forcément sportive.

Alors quand on lui propose d’intégrer un programme type boot camp, elle accepte. Slim est déterminée et motivée.

Malheureusement, ses bonnes résolutions vont être mise à mal par son coach, Ulrich.

Ulrich est détestable avec elle. Il est dur, ne mâche pas ses mots, méchant et pour couronner le tout, grossophobe.

Ente eux, la guerre est déclarée. Slim n’a pas sa langue dans sa poche et la carapace qu’elle s’est créée est couverte d’épines et de sarcasmes.

À mesure du temps passé ensemble, la tension haineuse qui les habite va peu à peu se transformer.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Slim. C’est une femme forte, abîmée par la vie, qui s’est forgée avec les remarques continuelles sur son poids, son corps. Elle est persuadée que son bonheur dépend de ses kilos.

En même temps, comment la blâmer quand son entourage et la société ne cessent de lui renvoyer son image de femme obèse au visage. On peut se reconnaître dans ce personnage. Qui n’a jamais pensé qu’il serait plus heureux en étant comme ci ou comme ça ?

Malgré son armure, elle cache une grande sensibilité. Et un profond sentiment de ne pas être aimé par ses proches.

Ulrich, quant à lui, est détestable. Du moins, au premier abord. Sous ses remarques acerbes, on comprend que se cachent de profonds traumatismes. Son besoin irrépressible de contrôler toute sa vie, au millimètre, compense un mental à l’équilibre précaire.

L’auteure arrive à nous distiller petit à petit des infos sur son passé.

Sa plume est fluide et addictive, très agréable à lire. Je vous recommande cette lecture.

Mon avis :

Je remercie mo gadarr pour ce service presse.

La plume de mo gadarr est très belle, fluide et très agréable à lire.

La couverture est simple, mais jolie et totalement raccord a l'histoire, le titre va avec l'histoire et le résumé donne envie.

Les chapitres sont moyennement longs, mais ne nous perdent pas et sont sur les deux personnages principaux ce que j'apprécie ainsi que certains personnages secondaires.

Dannah est une femme qui n'est pas très sûr d'elle, mais qui fera tout pour ces enfants et on reconnaît le côté maman. Je l'ai trouvé douce attachante et perdu. J'ai aimé la découvrir.

Gabriel est un homme qui peut être attachant, mais qui a aussi pu m'énerver par moment, mais son côté sexy peu que nous plaire.

Les personnages secondaires Léonie j'ai adoré ainsi que les loulous, mais par contre la maman alias Ophélia ma parfois saoulée lol et alors là Julia et le Collin argh ceux-là mamamia j'avais envie de les claqué lol.

Nous faisons la connaissance de Dannah, une maman célibataire de deux loulous. Elle travaille dans un camping familial en tant qu'animatrice, seulement ce camping devient vieillot et ayant plusieurs soucis.

Gabriel lui ben s'est tout le contraire, il est l'héritier du camping très luxuriant qui appartient a la grande famille le Valois.

Entre eux une attirance, une romance va naître seulement elle va être basé sur des non-dits.

Comment cela va se passer quand tous les non-dits vont être révélé ?

Une très belle romance à lire sur le sable serais le top ou du moins au soleil bon, il m'en a manqué beaucoup heureusement ce livre nous en apporte un peu lol.

Rien que les titres des chapitres nous fais voyager, mais seulement pas le même voyage celui-là est dans les chansons.

J'ai passé un très bon moment comme toujours avec les histoires de mo gadarr elle nous fait voyager, nous transmet les émotions nous fait tout simplement transportée dans ses écrits.

Je vous souhaite une bonne lecture profitez en les beaux jours arrivent.

Bonne lecture !

Mon avis :

Je remercie mo gadarr pour ce service presse.

La plume de mo gadarr est captivante, fluide et agréable à lire.

La couverture est simple, mais jolie et totalement raccord a l'histoire, le titre va avec l'histoire et le résumé donne envie.

Les chapitres sont moyennement longs, mais ne nous perdent pas et sont sur les deux personnages principaux ainsi qu'un peu d'un personnage secondaire.

Flora j'ai aimé cette femme cette mère qui fera tout pour sa fille. Son passé m'a touché. Elle est autant sensible, douce avec un grand cœur, mais aussi une battante. Je l'es beaucoup aimé.

Léo assez souvent il m'a énervé même si on c'est pourquoi il a fait tout ça, il m'a énervé assez souvent jusqu'à qu'il ouvre enfin les yeux.

Les personnages secondaires j'ai été ravie de retrouver Dannah, Gabriel, Léonie ainsi que les enfants qu'on adore, la petite Olivia j'ai adoré dans l'histoire elle est le petit rayon de soleil par moment elle m'a fait penser a mes filles, alors le père et Janelle m'ont souvent énervé jusqu'à une bonne grosse partie du livre. Un certain personnage qu'on voit qu'un petit moment qui m'a énervé de mon côté maman.

Flora est jeune maman célibataire tout comme sa cousine seulement celle-ci ce n'est que d'un enfant.

Le rêve de Flora est de lancer sa culture de fleurs et dans vivre, pour cela il lui faut un lieu celui-ci elle va le trouver dans une petite ville où elle va atterrir seulement pour arriver a finalisé ce rêve, elle va devoir être gérante remplaçante dans une maison d'hôtes.

Léo lui il a tout perdu, il avait des vignes où il cultivait de ce fait il se retrouve a tout recommencer depuis le début et va aller travailler pour son père.

Mais tout les deux intéressés par un lieu cela sera à celui qui sera le mieux rusé.

Celui de Léo sera de faire craquer Flora, mais attention à ne pas se brûler a ce jeu dangereux !

J'adore les petites romances comme celle-ci ou on peut dire histoire doudou avec des petits rebondissements.

Une belle histoire qui nous fait voyager qu'on aurait aimé sentir toutes ses bonnes odeurs de fleur. C'est sûr que les petites villes où ils vivent ou tout le monde sait tout sur tout le monde où vive les ragots je ne pourrais pas y vivre lol.

Je dois dire que d'un côté l'histoire de Flora est ma préférence par rapport a celle de Dannah je ne sais pas pourquoi, pourtant le camping me parle plus avec mon enfance, mais a mon avis le côté romantique de Flora m'a touché et beaucoup plu.

Avec celle-ci on passe par quelque émotions et surtout si vous êtes maman vous serez en tout cas touché par une certaine scène.

Dans tous les cas je vous conseille cette histoire !

Bonne lecture !

Je suis ravie de retrouver Mo Gadarr dans cette romance et nouvelle saga. Elle m'intriguait beaucoup avec le côté flic et l'attrait de l'uniforme et je dois dire que ce premier tome est une véritable surprise parce que je ne m'attendais pas, au départ, à ce que notre beau gosse soit du mauvais côté de la frontière. Mais par la suite, certains éléments font sens avec le titre de la saga.

Comme toujours, la plume de l'autrice est légère et additive. Elle a sa façon à elle de m'entraîner à travers ses histoires, avec une certaine douceur qui fait mouche à chaque fois malgré les péripéties que vivent ses personnages. Honnêtement, même si ce n'est pas le premier roman de Mo que je lis, je ne m'attendais pas à entrer aussi vite dans l'histoire et ça a été une très belle surprise parce qu'une fois commencé, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher.

Nous partons donc à la rencontre de Will Hunter, le benjamin d'une fratrie de quatre frères. Dans sa famille, on est flic de père en fils. Sauf Will. Lui, c'est le mouton noir des Hunter. A tel point qu'il se fait appeler par le nom de sa mère. Lui, ce qui le botte, c'est l'interdit et le danger. Il gère une boîte de nuit, il consomme de la C, et il a en horreur la loi. Autant dire tout de suite que Will est déterminé à profiter de la vie plutôt que de finir dans une petite vie bien tranquille et bien rangée.

En parallèle, nous faisons la connaissance d'Esperanza, dite Ranza, qui se retrouve soudainement seule à devoir élever sa petite sœur. Pour elle, la jeune femme est prête à faire tous les sacrifices du monde, quitte à travailler comme danseuse sexy dans la plus grande boîte de nuit de la ville afin de pouvoir lui offrir une vie confortable et lui assurer un avenir. Et lorsqu'elle passe le casting, elle ne s'attend pas à ce que le patron des lieux soit l'imbécile avec qui elle a eu un accrochage quelques jours auparavant avant d'être virée de son ancien boulot.

Autant le dire tout de suite, la rencontre entre Will et Ranza est électrique et ne se fait pas sous les meilleurs hospices. Avec elle, il est imbuvable, grossier et irrespectueux. Pourtant, il va bien être obligé de l'embaucher car Ranza se révèle être une danseuse hors pair sous ses airs de sainte-nitouche. Ranza, quant à elle, fait preuve de beaucoup de caractère et n'hésite pas à l'envoyer promener et à le remettre à sa place lorsqu'il dépasse un peu trop les bornes.

Outre la romance, j'ai beaucoup apprécié toute l'intrigue à suspense que Mo Gadarr a construite derrière. Parce que si Will ne veut pas se l'avouer, il se passe des choses en sous-terrain de sa boîte de nuit qu'il va bien devoir gérer. Et quand la situation devient incontrôlable, il est obligé de faire appel à des alliés qu'il tentait de renier corps et âme. Ranza et lui vont se retrouver plongés malgré eux au beau milieu d'un cartel et ni l'un, ni l'autre ne souhaite réellement être mêlés à tout cela. Tout le long du roman, l'autrice nous tient en haleine avec un scénario semé d'embûches et dont les héros ne ressortent pas toujours victorieux à 100%. J'aime quand tout ne se résout pas d'un claquement de doigts et, même si on sait déjà comment ça va terminer, il y a quand même un petit doute qui subsiste parce que le happy end n'est pas aussi facile à atteindre qu'on ne le pense.

Will est un personnage complexe. On sait tous que derrière une image de bad boy se cache un personnage au cœur tendre, et notre beau gosse ne fait absolument pas exception à la règle. Il souffre de sa différence avec les membres de sa famille, il n'a jamais su où était réellement sa place, et le cheminement pour y arriver va s'avérer relativement difficile. Avec lui, Ranza doit user de patience pour aller à la découverte du véritable William Hunter, et lorsqu'elle y arrive, on entrevoit un personnage soucieux des autres, taquin et attachant à sa manière. J'ai beaucoup aimé la façon dont Mo Gadarr le fait progressivement évoluer. Will ne change pas en un claquement de doigts. Les habitudes ont la vie dure. Rien n'est tout blanc ou tout noir, je retrouve ce nuancé de gris qui me plaît lorsque je lis un roman.

Il me tarde dorénavant d'aller à la rencontre de Noah Hunter, le frère aîné de la fratrie qui fait quand même beaucoup parler de lui dans ce premier tome. Mo Gadarr ne nous laisse pas franchement de surprise sur le prochain personnage masculin de la saga ; en revanche, elle titille notre curiosité parce que Noah n'a pas la vie aussi parfaite que Will veut bien nous dépeindre et quand on a commencé à y goûter, on veut absolument continuer.

A nouveau, je remercie Mo Gadarr pour l'envoi de son roman en Service Presse. Après avoir découvert Will Hunter, aller faire la connaissance de Noah, l'aîné de la fratrie, était plus que nécessaire - surtout après la lecture du chapitre bonus qui introduisait son personnage.

A l'image du tome précédent, ce second tome est tout aussi additif. L'autrice a toujours sa façon à elle de m'entraîner à travers les pages de son livre et sa plume dégage ce je ne sais quoi qui me donne envie de toujours plus et me happe suffisamment pour que j'ai du mal à lâcher l'histoire sans en connaître le dénouement final. Encore une fois, je n'ai eu aucun mal à rentrer dans l'histoire et à plonger dans cette romance à suspense. J’ai passé un excellent moment lecture hors du temps.

Bien qu'on croise Noah à quelques occasions clés dans le premier tome, cette fois-ci, nous faisons pleinement sa connaissance. Suite à des événements vécus dans l'opus centré sur Will, Noah n'est plus le même. Il est l'ombre de ce qu'il a un jour été, et à cause de cela, il perd absolument tout ce qu'il a construit ces dernières années : sa carrière dans la police, mais aussi son mariage et sa famille. Remonter la pente est douloureux, mais pourtant nécessaire. Changer radicalement de voie professionnelle tout en essayant de se faire à sa nouvelle vie de père divorcé semble être la solution toute trouvée et en un rien de temps, le voilà en train de faire la rentrée scolaire en tant que professeur de littérature pour une classe dit "de la dernière chance".

Cette classe est composée de jeunes qui, pour des raisons diverses, sont un jour sortie du système scolaire. Trop âgés pour être de nouveau considérés comme des lycées, cette classe de la dernière chance est un moyen pour eux d'obtenir leur diplôme de fin d'études afin de pouvoir accéder à un avenir bien meilleur que le milieu dans lequel ils évoluent. Parmi ces élèves, on rencontre Raven, dite El Perla, princesse de la Calle Ocho, un gang qui sévie dans la ville. Raven est aussi mystérieuse qu'envoutante. C'est une femme forte mais qui possède une fragilité touchante. Malgré son statut, elle est contrainte de se soumettre à Jùan, son petit ami, qui contrôle la Calle Ocho depuis quelques temps. Raven rêve d'un meilleur avenir, mais pour les gamins issus de milieu comme elle, les portes sont vites fermées.

La rencontre entre Noah et Raven ne se fait pas sous les meilleurs hospices. Face à ce public difficile, il est contraint de s'imposer et de maintenir ses positions dans le but d'être respecté par ses élèves. Raven, quant à elle, refuse d'être appelée par son prénom de naissance mais par le surnom qui assure sa position dans la Calle Ocho, alors lorsque Noah se refuse à l'appeler autrement, il s'attire les foudres de ses élèves et surtout de Jùan. Les choses semblent mal partie, et pourtant, élève et professeur finissent petit à petit par s'apprivoiser et à apprendre à se connaître pour lentement s'engager dans une relation aussi sensuelle et sexy que dangereuse et interdite.

A côté de la romance, Mo Gadarr nous offre une nouvelle intrigue à suspense construite autour de l'image qu'on se fait d'un gang majoritairement composé de latino et d'afro-américain. Une nouvelle drogue circule dans la ville et commence à faire des dégâts. La Calle Ocho n'est pas étrangère à tout cela, et faire tomber le gang va s'avérer bien plus difficile qu'escompter. C'est autour de cette intrigue qu'on va pouvoir voir Noah évoluer et reprendre progressivement confiance en lui. Les chapitres courts donnent un bon rythme à la lecture, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Mo Gadarr nous maintient en haleine, nous donne envie d'en savoir toujours plus afin de savoir comment est-ce que les choses vont bien pouvoir se terminer, aussi bien pour la Calle Ocho que pour la relation entre Noah et Raven qui est semée d'embûches. Au fil de ma lecture, j’ai réussi à deviner quelles étaient les personnes à l’origine du trafic, outre celles dont on a déjà connaissance. Je pense que l’autrice a voulu maintenir le suspense sans pour autant nous plonger totalement dans le flou.

Le thème de la famille est très présent dans ce second tome. Plus que jamais, les frères Hunter vont devoir se montrer souder pour pouvoir résoudre toute cette affaire, mais aussi pour aider Noah dans sa nouvelle vie. J’ai beaucoup aimé voir l’aîné de la fratrie évoluer au milieu de ses enfants, nous offrant ainsi un aspect autre que le professeur ou l’ancien flic. Ce dernier n’est d’ailleurs pas le seul concerné par la notion de fratrie. Raven apporte elle aussi sa définition. Les apparences sont trompeuses et Mo Gadarr s’amuse à nous conduire dans une direction pour nous offrir un petit plot twist qui donne une nouvelle perspective et une nouvelle vision à son histoire.

Tout comme le premier tome, ce second opus nous ouvre aussi la voie vers le prochain frère Hunter que nous aurons le plaisir de découvrir prochainement. Un très gros indice est donné quant au futur love interest, et j’ai hâte que ce roman sorte afin de continuer à faire connaissance avec le reste de la fratrie.

Ce roman est aussi doux que les pétales d’une rose, on va suivre l’histoire d’une jeune mère célibataire qui se voit enfin la possibilité de vivre son rêve. Un rêve de pouvoir cultiver sa propre variété de rose et ainsi en extraire cette fragrance si douce et sucrée permettant de faire une nouvelle gamme de produit de beauté. Cette perte a été douloureuse pour elle, la perte autant d’un pilier mais surtout d’un homme qui a été le père qu’elle n’a pas eu la chance d’avoir. Le dernier cadeau qu’il lui a fait c’est de lui léguer un héritage qui va pouvoir contribuer à l’achat de ce terrain si convoité.

Tout quitter, gérer ce gîte en attendant le retour de ce vendeur qui détient entre ses mains son plus grand rêve est le pari que se lance Flora, accompagnée de sa fille, elle va devoir dans un premier temps remettre en état ce lieu et accueillir ses premiers clients.

Heureusement pour elle, elle pourra compter sur ses amis qui sont aussi sa famille, ils les aideront à remettre en état ce gîte, lui donneront des conseils sur ce nouveau venu qui semble sorti de nulle part.

Leo a tout perdu lors de la dernière saison, il a perdu ses récoltes, ses pieds de vignes et depuis il vit chez son père avec qui la communication n’est pas des plus fluide. Alors quand il a su que ce terrain très fertile était en vente il a tout de suite mis une option dessus, mais quand il découvre cette femme sur les lieux, il va se comporter comme le dernier des imbéciles. Et ses nerfs seront encore plus à vif quand elle lui dira qu’elle est la future propriétaire. Alors lorsqu’il rapportera les faits à son géniteur, ce dernier va l’inciter, presque lui ordonner de jouer le joli cœur pour séduire la jeune femme, puis lui briser le cœur juste avant le retour du vendeur et ainsi lui voler le bien. C’est une tactique fourbe, d’un égoïsme sans nom et pas très réfléchi à mon sens.

On va donc voir Leo se faire passer pour un homme en conflit avec son père qui a besoin d’un nouveau toit, cependant il va devoir la jouer fine car notre mère célibataire n’est pas si naïve que ça, ce n’est pas parce qu’elle aime les fleurs qu’elle soit fleur bleue pour autant. Non pour elle pas question de tomber dans le piège du bourreau des cœurs de service. Même si il est beau, que son attitude est avenante et si il s’entend bien avec la petite, approcher la nouvelle gérante ne sera pas sans accro.

Au fil des jours une certaine relation va se construire entre nos deux protagonistes, Leo va doucement abattre les défenses de notre future fleuriste, et pour ça quoi de mieux que lui rendre le quotidien plus facile et de se lier avec sa petite fille. Effectivement il va devenir presque indispensable pour le jeune Olivia, il sera pour elle comme le petit prince de l’histoire.

J’ai trouvé l’histoire fluide, on n’a pas vraiment de vrai rebondissement, on n’attend qu’une chose c’est que la supercherie soit dévoilée et voir comment notre cher Leo rattrapera le coup, on sent que quelque chose va clocher avec ce fameux personnage secondaire qui agira avec russe et venin. Les fleurs auront une place essentielle dans le roman apportant ainsi fraicheur et beauté.

C’est une romance sympathique à lire, un message sur la confiance et la loyauté mais aussi le bonheur des uns pourra faire celui des autres.

Je retrouve encore une fois avec plaisir la plume de Mo Gadarr dans sa dernière romance de l’été qui se savoure tout aussi bien hors saison et qui nous donne encore plus hâte de voir les beaux jours arriver. Sur le sable nous entraîne dans de vraies vacances estivales au camping qui sentent bon le sel de la mer et qui nous enveloppe dans un cocon de chaleur à tel point qu’on se croit vraiment installé dans un transat en train de prendre un bain de soleil. Pour ma part, après cette lecture, je suis prête pour l’été.

On fait la rencontre de Dannah, une jeune maman célibataire de 2 enfants, qui s’apprête à commencer son job de l’été au camping Le Paradise. Tous les ans, elle y travaille en tant qu’animatrice pour enfants, et en parallèle, cela lui permet d’emmener ses enfants en vacances ; sauf que cette année, l’été ne commence pas sous les meilleurs hospices car Le Paradise est malheureusement en faillite et va fort probablement être racheté par la concurrence : le camping de luxe d’à côté. La mission de cette année va être rude car pour chaque personne qui travaille dans ce petit camping familial, il va falloir donner le meilleur de soi pour faire une excellente impression. Si Dannah est fidèle à 2000% à Monsieur Frédéric et à son camping, c’est au cours d’une visite à sa meilleure amie Léonie, installée pour ses vacances au camping luxueux d’à côté, qu’elle va faire la rencontre d’un petit garçon, mais surtout de son père célibataire : Gabriel Le Valois, le propriétaire de la concurrence.

Entre Dannah et Gabriel, l’attraction mutuelle est immédiate. Seulement voilà, par un malheureux concours de circonstance et parce qu’elle est entrée en douce, elle prend une fausse identité en se présentant comme étant Hélène, venue passer des vacances avec sa meilleure amie. Et si, au départ, cette rencontre était censée ne mener à rien, le lien qui se tisse entre ces deux parents célibataires devient de plus en plus fort. J’ai beaucoup aimé suivre la trope fake identity que Mo Gadarr a choisi de placer dans son roman qui se combine avec celle rich / poor. Car si Dannah est persuadée que Gabriel ne l’aurait jamais regardée si elle ne s’était pas faite passer pour Hélène, elle s’embourbe aussi dans sa fausse identité et ne trouve plus le moyen de lui dire la vérité. Au fil des pages, on retient notre souffle. On attend avec impatience le moment où elle réussira à lui dévoiler la vérité. On sait déjà comment Gabriel va réagir. Et quand fatalement, le moment arrive, c’est rude.

Pourtant, la romance entre nos deux personnages est belle et douce, malgré les non-dits. Gabriel est charmant et doux. C’est précisément ce dont Dannah a besoin après deux relations infructueuses avec les pères de ses enfants. Et ce dont lui-même a besoin après le divorce avec la mère de son fils. Ils ont tous les deux espoirs d’un beau lendemain, mais les mensonges pèsent douloureusement sur la balance. Surtout que la vérité se distille progressivement et que Dannah se sent de plus en plus au pied du mur.

Les personnages secondaires ont aussi leur importance dans cette histoire. Tout d’abord, il y a les enfants de Dannah et de Gabriel qui permettent leur rencontre. Ils apportent un vent de légèreté et d’innocence touchante qui me plaît toujours. Je suis assez souvent conquise dès qu’il y a un enfant dans l’histoire, surtout que Mo Gadarr sait leur donner un rôle clé dans ses histoires. Ensuite, nous avons Léonie, la meilleure amie de Dannah, qui va être l’entremetteuse majeure des rendez-vous entre nos deux amoureux. Je l’ai trouvé parfaite dans ce rôle et nul doute qu’on aimerait toutes avoir cette meilleure amie qui nous met des coups de pied aux fesses pour nous pousser à oser, et qui prend soin de nous pour s’assurer qu’on soit 100% à notre avantage. Il me tarde d’ailleurs de découvrir le tome compagnon que Mo Gadarr est en train de préparer où elle sera l’objet principal de la romance. Et puis, il y a Ophélia, la mère de Dannah. Grand-mère par excellence, elle est celle sur qui Dannah peut compter à n’importe quel moment pour garder ses enfants lorsqu’elle en a besoin, mais elle ne peut pas s’empêcher de faire le transfère de son vécu sur sa fille et elle peut se montrer à la fois méchante et dure. Pourtant, cela ne fait pas d’elle l’ennemie de l’histoire. Bien au contraire. Ophélia est inquiète pour Dannah, aussi bien pour sa vie de tous les jours que pour son cœur. Alors, même si elle est parfois agaçante, je pense qu’on aimerait aussi avoir une maman aussi dévouée dans sa vie pour nous aider et nous soulager.

Les chapitres sont tous relativement courts, ce qui permet de donner du rythme à la lecture. On n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer. Et l’alternance entre les points de vue des deux personnages principaux nous permet d’avoir une vision plus large de l’histoire et de comprendre leurs psychologies. Mo Gadarr va à l’essentiel de son histoire. On sent que c’est une romance faite pour passer un moment chill où on pose son cerveau dans un coin et on oublie un peu le quotidien. Alors si on est amateur de romance qui prend son temps, où les personnages se tournent autour pendant des jours avant de franchir le pas, ce n’est pas le cas de Sur le sable. On est plus sur un fast burn, mais ça ne m’a pas dérangé outre mesure parce que je connais la plume de l’autrice et que je lui fais confiance. Je sais que, quoi qu’elle décide, je vais être conquise d’une manière ou d’une autre. Et que dire de la manière sexy dont Mo Gadarr nous régale de ses scènes spicy… elles ne sont pas nombreuses, ni outrageuses, mais vraiment chouette à lire.

Du coup, après avoir dévoré ce roman, il me tarde d’aller lire Dans les fleurs, le tome compagnon qui est sorti pour la St Valentin.

Je remercie grandement Mo Gadarr pour l’envoi de son roman sorti à l’occasion de la St Valentin mais qu’on peut tout aussi bien savourer à n’importe quel moment de l’année, mais surtout en cette période de printemps. J’avais très hâte de le lire et je pense que ça s’est ressenti car je l’ai dévoré en un temps record. A l’image des autres romans de l’autrice, c’est tellement additif et fluide qu’on enchaîne les pages avec une aisance et une vitesse très particulière.

Dans les fleurs est un tome compagnon qui se déroule après les événements de Sur le sable, mais qui peut se lire indépendamment. La seule chose que cela spoile, c’est le couple précédent, mais pas l’histoire. Ainsi donc, je suis partie à la rencontre de Flora, la cousine de Dannah (le personnage féminin de Sur le sable) qui est en route pour son nouvel avenir, en compagnie de sa fille Olivia. Elle a quitté sa vie pour aller s’installer à la campagne en vue d’acheter un terrain laissé en jachère pour pouvoir concrétiser son rêve. En attendant cet achat, elle a prévu de travailler dans un gîte en tant que gérante. Bref, tout est calculé à la perfection pour que chaque élément rentre dans les cases prévues et ainsi voir ses rêves d’avenir accomplis. Après un nettoyage de fond en comble du gîte un peu laissé à désirer, Flora accueille son tout premier client pour six semaines : Léo Legnac. Et que dire de Léo si ce n’est qu’il est parfait, prévenant, et séducteur au possible. Difficile de résister à cet homme qui semble tout droit sorti d’un conte de fées…

Seulement voilà, Léo n’est pas venu loger dans ce gîte pour rien. Sous l’influence et l’idée de son père, Léo va tout faire pour séduire Flora afin d’obtenir l’achat du terrain qu’elle convoite autant que lui. Après avoir fait faillite, Léo a tout perdu : ses récoltes et ses vignes auxquelles il tenait tant. Il a été obligé de revenir vivre chez son père, mais la perspective de reprendre l’entreprise familiale ne l’intéresse pas, alors lorsqu’il a su qu’il y avait un terrain à vendre, il s’est décidé à tout reprendre à zéro. Et son plan aurait pu fonctionner si Flora n’avait pas débarqué de la ville pour vivre, elle aussi, ses rêves.

Pendant six semaines, on va suivre leur quotidien. La relation entre Flora et Léo va se construire petit à petit. Si au départ elle va se montrer méfiante vis-à-vis de cet homme qui est désireux de lui faire plaisir et de l’aider, Flora va finalement accepter de le laisser rentrer dans son cercle. Surtout lorsqu’elle voit comment Léo s’occupe d’Olivia et prend à cœur chaque chose qui concerne la fillette. Quant à Léo, on le voit s’attacher petit à petit à cette femme, qui finalement se révèle être bien moins naïve que prévu, et à sa fille. Son plan est très vite relégué au second plan, bien qu’il reste lattant. L’histoire est très fluide, et à l’image de Sur le sable, Mo Gadarr ne s’embarrasse pas de longueurs inutiles. Elle va à l’essentiel de son récit, et à nouveau, ça fonctionne totalement car je n’ai pas été dérangée dans ma lecture, ni avoir eu la sensation que les choses allaient trop vite. La romance qui s’installe est très douce et se poursuit presque sur un long fleuve tranquille. On n’a pas de francs rebondissements pour nous tenir en haleine. Je pense que l’ambiance cosy et romantique suffit amplement à faire défiler les pages. On attend le moment où fatalement, la vérité va éclater et celui où Léo va devoir mettre les bouchées doubles pour rattraper sa bévue.

J’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Dannah, Gabriel et Léonie, qui auront un petit rôle à jouer dans l’histoire. Et bien évidemment, gros + avec la présence de la petite Olivia. C’est un véritable petit rayon de soleil qui apporte une touche de légèreté et d’innocence à l’histoire. Je sais que je suis toujours bon public dès qu’il y a un enfant dans le lot, et surtout si celui-ci est bien exploité et non uniquement présent pour faire joli.

J’ai donc passé un bon moment lecture où j’ai tout simplement pu poser mon cerveau dans un coin et me laisser emporter par cette histoire à la fois cosy, romantique et chill. Je l’ai dévorée sans modération et il me tarde désormais que le prochain roman dans la même veine de Mo Gadarr sorte pour aller à découverte de l’histoire de Léonie, un personnage qui se fait emblématique.