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C’est ce paradoxe qu’explore le livre de Mona Ozouf, en cherchant à écouter et à faire entendre « les mots des femmes », ceux qu’elles ont choisis elle-mêmes pour décrire la féminité. Ainsi se succèdent les figures et les voix de Madame du Deffand, Madame de Charrière, Madame Roland, Madame de Staël, Madame de Rémuat, George Sand, Hubertine Auclert, Colette, Simone Weil, Simone de Beauvoir.
La traversée de cette galerie fait découvrir la diversité inventive des cheminements féminins. Elle met en valeur une singularité française dont l’essai qui clôt cet ouvrage restitue l’histoire et les contours.
Mon avis : Ce livre brosse le portrait de dix femmes qui ont été contraintes de se battre pour se faire entendre. Certes, il parle de femmes, mais ce n’est pas un livre de féminisme « politique » ; il souligne la difficulté des femmes, selon les époques, à revendiquer leurs droits.
Cet essai a le mérite de mettre en lumière ces femmes exceptionnelles. Il souligne leurs idées, leurs combats.
Même si vous n’êtes pas féministes, que vous soyez homme ou femme, ces petites biographies et l’essai en dernière partie ne devraient pas vous laisser insensible.
C’est très bien écrit, c’est simple, encore d’actualité. Cet essai peut être lu comme une curiosité sur l’Histoire, un point de vue sur les femmes dans l’Histoire.
À lire en ayant une pensée pour les femmes de votre vie, en grignotant des boudoirs et en buvant du thé.
Les mots des femmes
Peut-être me figurais-je que le propos serait foncièrement autre, peut-être que mes attentes n'étaient pas bonnes ; le fait est que de mon point de vue, l'association « histoire et littérature », ou plutôt « histoire par la littérature », n'a pas fonctionné. J'ai le goût d'un à-moitié fade, qui rate la littérature sans réussir à rentrer dans l'Histoire, et j'en suis déçu : j'avais beaucoup d'espoirs à ce propos...
Les Aveux du roman
Mona Ozouf ne livre pas ici une autobiographie classique, mais elle se sert plutôt de son parcours pour revenir sur des thèmes qu'elle a exploré durant toute sa carrière de chercheuse sur la Révolution française, l'identité, le communautarisme, le particularisme, la place des femmes, le rôle des croyances et des prêtres.
Mais comme elle revient sur son enfance, c'est aussi un hommage à la culture, à la littérature et à la langue bretonnes - j'ai d'ailleurs pensé plusieurs fois au Cheval d'orgueil de Pierre Jakez Elias, à la force des femmes de sa famille. C'est aussi une déclaration d'amour à son père qu'elle a peu connu et qu'elle essaye de retrouver, mêlant ses souvenirs personnels et la démarche historique ; son père qui lui a fait découvrir l'amour de la littérature, quelque soit la langue finalement.
Composition française : retour sur une enfance bretonne
La Plus Belle Histoire de l'amour
+ 29 juillet 2006 à Limogne en Quercy.
Historien Français. Agrégation histoire en 1954 à la Sorbonne.
Neveu du résistant Pierre Brossolette.
La République des instituteurs
Bibliographie.
Nous les maîtres d'école.
Lire et écrire.
La République des instituteurs
Très beaux et honnêtes témoignages.
Les témoins de cette enquête ne sont pas contentés de répondre au questionnaire; ils ont collectivement inventé une mémoire.
La République des instituteurs
http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2012/02/le-flou-du-roi.html
Varennes : La mort de la royauté (21 juin 1791)
La Plus Belle Histoire de l'amour