N. A. Illigan

Voici bien longtemps que je n'avais pas eu si peur en lisant ! C'est une nouvelle horrifique exceptionnelle, écrite de mains de maître ! Cet auteur a gagné une nouvelle fan !!

Dévorée en quelques heures à peine ! 😍

Cette histoire horrifique se déroule dans un asile psychiatrique et est haletante du début à la fin, la plume est fluide… les détails flippants, sanglants et dérangeants… j’adore !

J’ai hâte de découvrir les prochaines histoires qui se dérouleront dans cet asile

La force de cette nouvelle tient dans sa virée en hôpital psychiatrique particulièrement convaincante, exposant en détail la routine du personnel, notamment à travers les manquements du système. Oui mais, Unité 6 n’est pas qu’une solide fresque sociale, c’est aussi et surtout un récit d’horreur.

Ainsi, au beau milieu de la nuit, Niklas, infirmier, devra assumer l’admission de Mme Lili, que la police a trouvé à son domicile en compagnie du cadavre de sa mère. S’en suivra une descente cauchemardesque, malheureusement découpée en diverses altercations. Malheureusement, car la narration à la première personne peine à se renouveler dans les moments cruciaux, et on aura dès lors l’impression de parcourir les mêmes sensations mixtes (colère et effroi) et tentatives de rationalisation au fil des pages. En résulte une verve pas vraiment à la hauteur lorsqu’elle le devrait, en dépit de bonnes idées.

Pour autant, ce premier essai de N.A. Illigan dans l’épouvante reste à mes yeux une lecture rapide et intéressante, valant le détour pour les amateurs du genre. Auteur à suivre.

Ce petit récit est un huis-clos qui se passe dans une unité d’un hôpital psychiatrique.

J’ai beaucoup aimé cette œuvre où se mêle horreur et paranormal. Le livre se découpe en dix chapitres, 10 heures de descente aux enfers où l'ambiance devient de plus en plus pesante et bien glauque.

Seul bémol, je pense qu’il est un peu trop court. Il y avait possibilité de faire plus long tout en restant captivant. Sinon, c’est un bon petit récit du genre.

Les premières pages sont un peu longues et ensuite les chapitres s'enchaînent et l'angoisse monte au fur et à mesure. On suit les heures et parfois les minutes avec Niklas. Les événements paranormaux sont un peu gros pour que celui reste crédible, dommage. Le fait que l'action se passe en huis clos et dans un asile psychiatrique rend l'atmosphère pesante et angoissante. Je trouve que la fin est un eu trop rapide et bâclée et que tout s'arrête d'un coup sans que l'on comprenne ce qui s'est passé

Mon premier coup de flippe de l'année. Ce n'est pas peu dire, quand on vit une soirée pas comme les autres dans l'unité 6… Petite mention spéciale à l'auteur qui prend le temps de nous expliquer la signification de sigles qu'on retrouve en psychiatrie et à sa magnifique mise en place de l'univers !

Alors moi et mes bonnes idées pour me détendre. J'ai lu cette nouvelle d'une traite, durant un instant où je me disais que j'avais besoin de faire une pause. Quelle merveilleuse idée ! C'est vrai que ce livre est totalement reposant !

Nous suivons une nuit de travail pour Niklas, infirmier en hôpital psychiatrique. Tout semble se passer comme d'habitude lorsqu'une nouvelle patiente arrive en isolement. Une jeune femme presque normale, si l'on omet qu'elle a vécu plusieurs mois avec le cadavre de sa mère dans leur appartement.

Durant les dix heures de service de Niklas, nous allons nous enliser dans cette histoire glauque au possible. La femme ne parle presque pas, et lorsqu'elle ouvre la bouche, ça fait froid dans le dos. Plusieurs évènements inexplicables se produisent autour d'elle. Puis, peu à peu, ces évènements vont déborder dans tout l'hôpital en lui-même.

Entre les autres patients tout aussi « originaux », le monde complètement chaotique et Niklas dont la santé mentale semble diminuer au fur et à mesure, jusqu'à avoir des réactions plutôt surprenantes, on ne saura pas sur quel pied danser.

Des régurgitations telles que celles que font les chats, une alarme de chambre qui s'actionne seule, le paysage et le décor qui n'a pas compris la définition de « réalité » dans son fonctionnement… Tout est fait pour nous mettre mal à l'aise. Et ça marche.

C'est un huis clos terrifiant, rapide, car il ne dure qu'une nuit, que j'ai trouvé construit comme un film d'horreur ou d'épouvante. Les scènes sanglantes ne seront pas pour tout le monde. Et pas seulement. Je l'ai lu en pleine journée et j'ai eu peur, c'est vous dire (certains diront que je suis peut-être un peu peureuse, effectivement, c'est à prendre en compte).

j'ai adoré, angoisse assurée !!!! le point négatif "pas assez de page"

Petit livre , lecture rapide , par contre jai plus ou moin apprecier , par bout ses repetitif et certain truc son pas trop clair , la fin est simple j’aurais aimer avoir un opeut plus d’elaboration sur la sorti de l’unite ( fin de l’histoire ) avoir la version vue des autres collegues arriver au matin…

Il s'agit de la première nouvelle d'une série de trois consacrée à la psychiatrie.

Cela démarre très fort, l'ambiance tendue et bizarre génère ce climat d'inquiétude que tout lecteur attend de ce genre de littérature.

Étant moi-même infirmier en psychiatrie, ce que décrit l'auteur m'a de suite plongé dans ce secteur d'activité injustement stigmatisé de part la méconnaissance, la peur, et donc le rejet qu'il suscite.

En dehors de ces aspects, l'histoire est franchement addictive et peut aisément se lire d'une traite.

Quelques rares maladresses se glissent parfois, notamment quand l'auteur dénonce le délitement de l'hôpital public, et les manques de moyen ne permettant pas toujours de prodiguer les soins de qualité attendus. Alors certes, il a complètement raison de le souligner une nouvelle fois, mais à la première lecture certains passages pourraient faire croire à des négligences volontaires de la part des soignants, que l'on pourrait facilement associer à de la maltraitance, alors que ce n'est sans doute pas ce qu'il souhaite exprimer.

J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre cette nuit cauchemardesque vécue par Niklas, et je félicite l'auteur pour cet écrit en attendant les suivants...