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Tous les livres de Nathalie Azoulai

"Je voudrais jouer Phèdre avant de mourir. Elle a envie d'ajouter, je veux vivre plusieurs vies avant qu'il ne soit trop tard. Plusieurs vies. Elle ne veut rien défaire de ce qu'elle a bâti, elle ne veut ni adultère, ni crise existentielle, elle veut tout garder, le mari, les enfants, la pharmacie, l'appartement, la maison de campagne, les cadeaux de Noël et même les visites au cimetière de Belney. Elle ne veut rien jeter mais à côté, à mains nues, elle se sent capable de creuser un petit sillon, le sien, secret, insoupçonné, où elle ira vivre ses vies comme d'autres vont au bordel ou à la chorale. Elle ira. Elle s'est entendue dire "plusieurs vies" comme elle ne s'entendra jamais dire plusieurs orgasmes à la suite." Pourquoi Odile, quarante-quatre ans, pharmacienne, tout pour être heureuse, décroche-t-elle un jour son téléphone pour prendre rendez-vous avec un... professeur de théâtre? Pourquoi, elle qui n'a jamais joué une ligne de sa vie, va-t-elle soudain jouer sa vie? D'un œil infiniment subtil et aiguisé, Nathalie Azoulai déploie une à une les strates fragiles de cette rébellion intime mais irréversible.

Comment vivent les adolescents ? A quoi ressemblent leurs joies et leurs déboires ? Quel lien entre mère et fille ? Confidence et guerre mêlées.

102 courts récits percutants dans lesquels Nathalie Azoulai décrit la vie des jeunes filles à l'instant présent. Chez le médecin, au cinéma, à Noël, en vacances. En visite au Sacré-Cœur pour la première fois ou en Angleterre. En plein flirt ou après un chagrin d'amour.

Une mère passe son temps à répondre aux appels de ses enfants. Elle est heureuse le plus souvent mais elle aimerait aussi, parfois, pouvoir rester seule, sans ces questions auxquelles elle ne peut pas toujours répondre...

C'est une mère comme tant d'autres, qu'on n'avait prévenue de rien. Entre biberons, boulot, copines et mari, elle se cherche et s'agite, explore les sentiments ambigus qui la traversent, fouille cet amour infini qui la dévore...

Mad Men ou la Madmenia, une nouvelle folie venue de Hollywood qui est en train de gagner le monde entier. Une série créée en 2007, 4 saisons déjà diffusées aux Etats-Unis, d’autres en cours d’écriture, 3 saisons diffusées en France, des records d’audience, des personnages devenus des icônes de mode qui inspirent les plus grandes marques de la Haute-couture. On n’avait jamais vu ça. Une époque, les années 60 à New York. Un univers, Madison Avenue, les agences de publicité. Et surtout une esthétique, des costumes et une déco qui célèbrent l’esprit vintage. Si cette folie vous a gagnés, ce livre vous en racontera l’histoire, les coulisses et les secrets de fabrication. De la conception des scénarios à la recherche des costumes, de la documentation historique à la mise en scène des campagnes publicitaires qui traversent la série, vous saurez tout sur l’univers de ces Mad Men. Don Draper, Peggy Olson, Joan Holloway, Betty Draper, Roger Sterling, tous les personnages révèlent ici leurs multiples visages, leur garde-robe, leurs accessoires. Un album graphique sur une série pas comme les autres, un hymne au style vintage, un art de vivre à la Mad Men.

Quand on parle d'amour en France, Racine arrive toujours dans la conversation, à un moment ou à un autre, surtout quand il est question de chagrin, d'abandon. On ne cite pas Corneille, on cite Racine. Les gens déclament ses vers même sans les comprendre pour vous signifier une empathie, une émotion commune, une langue qui vous rapproche. Racine, c'est à la fois le patrimoine, mais quand on l'écoute bien, quand on s'y penche, c'est aussi du mystère, beaucoup de mystère. Autour de ce marbre classique et blanc, des ombres rôdent. Alors Nathalie Azoulai a eu envie d'aller y voir de plus près. Elle a imaginé un chagrin d'amour contemporain, Titus et Bérénice aujourd'hui, avec une Bérénice quittée, abandonnée, qui cherche à adoucir sa peine en remontant à la source, la Bérénice de Racine, et au-delà, Racine lui-même, sa vie, ses contradictions, sa langue. La Bérénice de Nathalie Azoulai veut comprendre comment un homme de sa condition, dans son siècle, coincé entre Port-Royal et Versailles, entre le rigorisme janséniste et le faste de Louis XIV, a réussi à écrire des vers aussi justes et puissants sur la passion amoureuse, principalement du point de vue féminin. En un mot, elle ne cesse de se demander comment un homme comme lui peut avoir écrit des choses comme ça. C'est l'intention de ce roman où l'auteur a tout de même pris certaines libertés avec l'exactitude historique et biographique pour pouvoir raconter une histoire qui n'existe nulle part déjà consignée, à savoir celle d'une langue, d'un imaginaire, d'une topographie intime. Il ne reste que peu d'écrits de Racine, quelques lettres à son fils, à Boileau mais rien qui relate ses tiraillements intimes. On dit que le reste a été brûlé. Ce roman passe certes par les faits et les dates mais ce ne sont que des portes, comme dans un slalom, entre lesquelles, on glane, on imagine, on écrit et qu'on bouscule sans pénalités.

Perrault, c'est ce dont on hérite au plus jeune âge et que l'on transmet parce qu'il s'adresse à tous. Vibrant hommage aux contes de la tradition orale, ses Histoires ou contes du temps passéavaient pour fin selon ses dires " moins de plaire que d'instruire ". A l'heure où la question de l'instruction se pose plus que jamais, il nous semblait fondamental d'interroger Perrault en invitant 11 écrivains à le réinterpréter dans la collection " Remake ". Subversifs, burlesques, pleins de sagesse et de dérision, leurs contes de Perrault dressent un panorama de la littérature contemporaine dans toute sa diversité. De Hervé Le Tellier à Christine Montalbetti en passant par Cécile Coulon et Fabienne Jacob, l'écriture va de la gouaille à la poésie comme un ruisseau qui chanterait sur des pierres, en n'omettant pas de bousculer au passage une société qui en a bien besoin. Un nouvel éloge de la sagesse populaire.

C'est l'histoire d'une fille qui a un grand frère dont elle s'est sentie très proche parce qu'ils ont vécu comme des jumeaux. Pourtant, à mesure qu'il revêt ses habits d'adulte, le jeune homme s'enlise dans les méandres de l'histoire familiale, adopte une vie qu'on lui choisit et leurs chemins se séparent. Alors sa sur cherche pour lui, d'abord ce qu'il est, ce qu'il pourrait être, puis, peu à peu, ce qu'il aurait dû être. De quel droit ?

Commence l'histoire d'une petite sur qui se débat pour devenir uné femme, pour tuer le frère en elle. On lui dit que la féminité se construit sous le regard du père. Mais si c'était plutôt sous celui du frère, du grand frère ?

Après Mère agitée (Seuil, 2002), dans lequel elle fouillait la part d'ombre de sa maternité, Nathalie Azoulai poursuit ici l'exploration des ambiguïtés familiales.

Anne, Virginie et Emmanuel se rencontrent au lycée. Ils ne viennent pas du même monde mais leur amitié dépasse les différences. Ils se retrouvent dans les grandes manifestations des années 80, celles du peuple de gauche et de l'antiracisme absolu. Rien ne peut les séparer. Les années passent. Anne, Virginie et Emmanuel prennent des chemins différents. Dans les rues de Paris, les manifestations ont changé, les slogans se font plus ambigus. Les trois amis ne fréquentent plus les mêmes cortèges. Face à la violence de l'Histoire, l'amitié suffira-t-elle ? Avec une détermination sans faille, Nathalie Azoulai prend sa génération à bras-le-corps, bien décidée à lui faire cracher le morceau : sur l'amitié, le sexe, la famille, l'antisémitisme. Et le reste.

(Source : Gallimard)

Dans le salon d'un petit appartement, un enfant de 13 ans, sa petite soeur et ses parents regardent la télévision. Le général de Gaulle, président de la République, y donne une conférence de presse qui les sidère. Celle du 27 novembre 1967. L'enfant comprend en direct qu'on peut avoir à quitter son pays natal, comme ses parents chassés de chez eux quelques années plus tôt.

Bouleversé, il veut savoir comment ça s'est passé et questionne ce premier exil. Il leur demande quand et comment on décide de partir, ce qu'on emporte dans ses valises, ce qu'on laisse derrière soi mais, à toutes ses questions, personne ne répond vraiment, comme si on lui cachait quelque chose. Le soir même de la conférence, sa mère se confie à sa voisine Maria, une couturière qui lui confectionne toutes ses robes d'après celles que portaient les stars hollywoodiennes des années 40. Rita Hayworth, Lana Turner, Gene Tierney, des figures qui accompagnent sa vie et qu'elle invoque à tout bout de champ. De l'autre côté du mur, l'enfant reconstitue les menaces, le départ, les adieux, et parvient à recoudre les différents pans d'une histoire qui entrelace l'amour et le secret, l'exil et le cinéma, l'Orient et l'Occident.....

« Chaque matin, devant sa glace, Laure déplorait les effets de l’âge sur sa peau, ses cheveux, sa silhouette, et ce, malgré tous les efforts et le sport qu’elle pratiquait assidûment. Elle songeait aussi invariablement au corps parfait de Juvena Biel qui s’exhibait dans les films où elle se produisait et dont Pierre, son ex-mari, profitait avantageusement depuis qu’il avait épousé la jeune trentenaire.

Jusqu'au matin du 27 janvier où l’on annonça le vote de la nouvelle loi à la majorité parlementaire et où, en un instant, devant sa glace, Laure crut devenir la reine à laquelle le chasseur vient d’annoncer qu’il a tué Blanche-Neige dans la forêt. Un immense sourire lui mangea le visage. Et, comme dans une bulle de BD ou un néon dans la nuit, elle put lire l’énoncé qui motivait ce sourire : ENFIN VENGÉE. »

Cette loi du 27 janvier interdit aux hommes de la République de Juvenia de vivre avec des femmes de plus de vingt ans leurs cadettes : un raz-de-marée dans la vie des six personnages que Nathalie Azoulai fait se croiser dans une ronde drolatique et diabolique. Une jeune femme va-t-elle se retrouver hors-la-loi parce que le père du bébé dont elle est enceinte a le double de son âge ? Les ricanements des hommes envers les femmes qui vieillissent inexorablement vont-ils enfin cesser ? Et permettre à celles-ci de retrouver la confiance et le sens de l’avenir ? Les hommes de plus de cinquante ans s’en remettront-ils ? Et si cette loi réveillait un érotisme nouveau ?

Révolutions sentimentales, revirements cocasses, aventures ébouriffantes, déceptions en chaîne, guerre des sexes : cette satire est portée ici par un style voltairien aussi rapide qu’inventif.

Nathalie Azoulai observe notre société, s’amuse avec les codes du libertinage, joue avec nos craintes et nos fantasmes en romancière virtuose.

Entrez dans l'univers des grandes maisons qui ont animé la mode depuis ses débuts. Découvrez les parcours et les sources d'inspiration des plus célèbres créateurs et partagez le quotidien de leurs égéries. En un mot : entrez dans le monde privilégié de la mode avec cet ouvrage très carnet de tendances.

A partir de 8 ans.

27 x 30 cm.

C’est moi qu’on a appelée. Sans doute que mon nom apparaît souvent dans ses contacts, son agenda, ses notes. Ou que mon prénom rime avec le sien. Ou je ne sais pas. Toujours est-il que le flic m’a demandé si j’étais bien qui j’étais et m’a balancé la nouvelle. Il n’y a pas d’autre mot, il a dit « pendue », et j’ai failli tomber sous son poids, un sac de jute rempli de plomb en pleine face n’aurait pas mieux fait.

Adèle, pendue.

Adèle pendue comme un homme.

Les hommes se pendent, moins les femmes. Enfin de nos jours, car autrefois, au Moyen Âge, elles se pendaient aussi, les paysannes, dans les forêts, les fermes. Il faut des arbres, des branches, des granges pour se pendre, il faut l’odeur du fumier, du purin, une corde humide et noire de crasse. Quand on se pend, on se rate rarement, or il paraît que le suicide est moins fatal chez les femmes, qu’elles appellent plus souvent à l’aide qu’à la mort. Bon, je n’ai pas fait une étude non plus, j’ai seulement regardé deux ou trois sites vite fait sur mon téléphone une fois dans le taxi. J’ai vu que chez les Mayas, il y avait une déesse du suicide et qu’elle s’appelait Ixtab, que le suicide était plus noble s’il était pratiqué par pendaison.

Je ne pleurais pas. Je constatais seulement que je n’avais pas envie de vomir en regardant l’écran de mon téléphone, que d’habitude je tiens une minute avant que la nausée ne me prenne, mais là, bizarrement, mon estomac était aussi raide que ma nuque, inflexible comme jamais.

C’est Vera qui l’a trouvée, sa gardienne. Pas seulement celle de son immeuble mais la sienne. Adèle ne pouvait pas vivre sans sa gardienne, elle l’adorait, elle s’en remettait à elle pour tout. Même pour ça. Elle disait toujours, mon malheur, ce serait que Vera s’en aille, qu’elle quitte l’immeuble, j’en mourrais, mais non, chut, chut, je ne t’ai rien dit, rien commencé à dire, pas un mot, pas une syllabe de ce malheur qui pourrait arriver, que Vera divorce, déménage, change de vie. Voilà, je t’en ai trop dit, je n’aurais pas dû, voilà, ça va arriver et je serai perdue.

Les machines du monde tournent grâce à des programmes informatiques qu'on appelle le code. J'ai passé l'âge mais je veux apprendre à coder. En Python, à cause du nom, mais surtout pour comprendre ce qui se passe sous les doigts des codeurs qui pianotent jour et nuit. Car les codeurs sont optimistes, à défaut d'aimer la vie, ils aiment le futur, l'avenir commence ici. -¿Très bien, alors écris un biopic, l'histoire d'un codeur qui fait fortune, ce sera romanesque, les gens aiment ça. -¿Non, je veux comprendre comment ça marche. Par où commencer ? Je ne sais pas, je me noie, mais Python m'obsède alors je m'obstine. Je prends des cours, je me faufile parmi des bataillons de geeks. Python devient le nom d'une initiation, de cette soute où je descends pour mieux voir vivre entre eux les garçons.

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