Nicolas Cartelet

Un livre passionnant qui nous en apprend beaucoup sur les pratiques pédérastiques de la Grèce antique à travers différents couples historiques célèbres ou issus des mythes grecs. Il est intéressant de constater que le monde grec était rempli de codes et de règles même au sein des relations entre ses citoyens. C'est un sujet que nous n'avons pas souvent l'occasion d'étudier en Histoire et ce livre nous fourni toutes les bases et les explications nécessaires pour comprendre ce qu'est la pédérastie. Véritable puit de connaissance qui redéfinit complétement notre perception du système et du mode de vie de ce monde hellénistique.

Je n'ai pas trop aimé ce livre. J'ai eu du mal à comprendre Albert. En revanche, j'aime bien la façon dont l'auteur écrit.

Joliment écris mais aucune émotion ressentie surement lié au fait que je n'ai eu aucune empathie pour les personnages.

Livre rapide à lire également, car l'auteur va droit au but et ainsi nous sommes quand même happé par l'histoire.

En bref :

Livre d’aventure, de philosophie, d’ésotérisme, de religion, d’humour satirique : "Le Livre de Nathan" est tout cela à la fois, à travers les époques, les évolutions humaines. C’est un condensé d’ironie : sur le monde de l’édition, la culture, les effets de mode (le « faux » ésotérisme), les courants de pensées/de religion manipulateurs qui empêchent de penser par soi-même, la notion de liberté, tant individuelle que collective… Piquant et autodérisoire, il dresse le portrait d’une humanité désespérante qui, avec ou sans culture, pense superficiel et pouvoir.

Roman au ton léger et railleur, je lui aurais préféré de la profondeur, mais ce n’est que mon goût et mes préférences littéraires, car "Le Livre de Nathan" se veut avant tout divertissant, enlevé. Une lecture parfaite pour vous accompagner un week-end ou en vacances !

>> Chronique complète : http://maude-elyther.over-blog.com/2023/05/nicolas-cartelet-le-livre-de-nathan-editions-mnemos-label-mu-7-juin-2023.html <<

Dès le début j'ai adoré le ton adopté par l'auteur, c'est piquant et subtil, la dynamique du roman est tout de suite mise en place.

La plume est efficacité, mais niveau fluidité de lecture j'aurais bien aimé que les dialogues soient présentés de manière plus classique.

Avec une introduction critique des métiers de l'édition et la mise en lumière de ses failles, on rencontre Nathan, relecteur/correcteur freelance qui tente de savoir si l'éditeur pour lequel il bosse serait partant pour publier son livre.

Sur fond d'apocalypse humide, le livre de Nathan, malgré sa médiocrité, devient le héros de cette épopée à travers les siècles, et j'ai adoré suivre son aventure.

Tout en sachant que ce n'était pas le but, j'ai été un peu frustrée de ne pas suivre un peu plus la destinées des protagonistes des différents âges post-apocalypse et en savoir plus sur la reconstruction d'une nouvelle humanité devant vivre sur l'eau.

J'ai aussi trouvé très chouette le côté évolution de la langue et les prénoms tout en consonnes.

J'ai tout simplement adoré la manière dont un bouquin qui aurait dû rester au fond d'un tiroir se retrouve porté comme la base d'un culte religieux, délicieuse critique de la religion et ses dérives.

En bref: Quand Waterworld rencontre l'obscurantisme religieux, ça donne "Le livre de Nathan".

Excellente lecture qui permet de prendre du recul, d'une part sur notre vision de la temporalité et de ce qui est important ou non, d'autre part sur le sacré et les systèmes de croyances. L'auteur met à l'épreuve l'absurdité des Vérités écrites et c'est pépite !

Je n’ai pas l’habitude de lire un livre sans aucune romance mais là, je peux dire que ça ne pas tant gênait que ça.

L’univers que décrit Nicolas Cartelet est un monde dystopique unique (et peut-être pas si loin d’une future réalité ?). Alors je ne peux pas dire que les personnages m’ont beaucoup touché et ce n’est pas grâce à eux que j’ai pu finir ce livre. Non, c’est le monde (et le thème qu’aborde l’écrivain) dans lequel je suis entré, qui m’a beaucoup intrigué et, qui a permit que je termine ce livre.

Sinon, c’est un livre très facile et rapide à lire. La plume de l’auteur est agréable et originale.

Donc, c’est dommage que les personnages ne m’ont pas ému plus que ça.

Voici ce petit Roman écrit par Nicolas Cartelet, il s'agit de ' Dernières fleurs avant la fin du monde '

Il s'agit de l'histoire de Albert qui vit dans un Monde apocalyptique, les abeilles et autres pollinisateurs ont disparu de la surface de la surface de la Terre...

Les journées sont rythmées par travail, salaire sous forme de patates et dormir...

Mais c'est sans compter sur Madame Apolline la fille autiste du Boss !

A partir de ce moment là, toute la Vie de Albert bascule...

Je vous laisse découvrir l'histoire de cette petite nouvelle...

Je suis persuadé que notre Monde et ses peuples devraient réfléchir aux conséquences désastreuses de ses propres Actes...

Même si la fin pourrait sembler déchirante, j'aurais Envie de croire en l'humanité 😌

La lecture est fluide et rapide, mais seul le sommeil te fait décrocher... 😍🫣

Bel et beau weekend les Amis 😘

Un conte tragique et onirique très bien maîtrisé, j'ai pris beaucoup de plaisir à m'y plonger. J'ai eu la sensation d'être oppressée comme le narrateur tout au long du récit, je n'y étais pas préparée mais l'effet est réussi et invite à la réflexion sur le deuil et les espoirs que l'on se construit après une telle perte. Quitte à sombrer dans une douce folie où l'absurde et l'imaginaire côtoient le réel. Les messages délivrés sont forts et relayés par des personnages intéressants, dont le merveilleux duo Arona / Siwane.

Bref, une très belle lecture, une peu trop noire pour moi en ce moment mais qui me donne envie de découvrir l’œuvre de l'auteur !

Je ne sais pas trop quoi en dire. Ce n'était pas ce à quoi je m'attendais. C'est bien écrit, ça se lit vite et facilement mais après le premier chapitre, je n'avais plus envie de le lire. Je n'ai pas vraiment accroché, j'ai attendu quelque chose mais rien n'est venu.