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Commentaires sur ses livres

Nicolas Mathieu

Par Cleonomatobel le 21 Novembre 2018 Editer
Cleonomatobel
Honnêtement, je n'ai jamais autant détesté un livre de toute ma vie. Et pourtant je suis bonne lectrice et bon public. Mais je n'arrive pas à comprendre comment ce roman a pu arriver jusqu'au prix Goncourt ! Je l'ai lu dans le cadre du Goncourt des lycéens, et jamais je n'aurais imaginé qu'il arriverait jusque là. Ce roman n'est ni plus ni moins qu'un gros pâté de clichés très mal écrits. Des garçons qui ne pensent qu’au sexe aux filles qui les enchaînent, des enfants de quatorze ans qui fument des joints à l’inévitable Arabe dealeur qui brûle des motos, tout y passe. Et l'histoire, parlons-en. Ce livre est vendu comme une histoire d'amour et une réflexion politique, mais pour l'avoir lu jusqu'au bout, je ne vois ni l'histoire d'amour, ni la réflexion politique ! Je n'ai vu qu'un garçon qui voit une fille avec un beau cul et qui rêve de la baiser pendant presque 500 pages. Pardonnez-moi l'expression, mais je ne fais que reprendre les mots du livre. Quand je dis que c'est mal écrit... Et pour ce qui est de la politique, on m'a dit que le roman est une réflexion sur la situation des personnes vivant dans des régions isolées et qui souffrent du déclassement. Soit, je suis d'accord qu'il faut en parler, mais dans ce roman, cela ne va pas plus loin qu'un simple constat. La situation est expliquée, répétée en long en large et en travers, et c'est tout. J'ai l'impression que l'auteur a introduit cet élément juste pour pouvoir dire que son roman avait une dimension politique. En bref, cette histoire est ennuyeuse, mal écrite et débordante de clichés : au bout d’une vingtaine de pages, cela devient lassant. Jetez Leurs Enfants après eux à la poubelle et donnez le Goncourt à Frère d'âme !
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Serablabla le 28 Avril 2020 Editer
Serablabla
Ces derniers temps les lauréats du Goncourt sont déroutants et celui-ci ne fait exception. Je ne saurais pas dire si j'ai aimé ou non ! C'est là toute la magie de la littérature, nous laisser perplexe quelques fois...
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Plassans le 1 Mars 2019 Editer
Plassans
Ce roman m’a pris par surprise. Le style de Nicolas Matthieu est incisif, avec des images d’une clarté éblouissante. Il apporte quelque chose de frais dans la littérature française, souvent ennuyante de phrases à rallonges et de styles peu prononcés, sans risque. Si certains se plaignent ici de vulgarité, c’est parce qu’il n’ont pas été adolescents à cette époque, dans les milieux sociaux dépeints dans ce livre. La justesse du vocabulaire m’a à plusieurs reprises ému. S’offusquer du vocabulaire employé et disqualifier le livre pour cette raison est le symptôme d’un mépris de classe sûrement inconscient. Cette France a le droit d’exister dans le paysage littéraire telle qu’elle, sans filtre.
Ce roman mérite-t-il le prix Goncourt ? On en a débattu. L’écriture est belle et fraîche, le sujet est abordé avec une finesse et une maîtrise incroyable. J’en suis sorti léger.Une très bonne lecture car c'est un roman bien construit qui nous fait vivre au rythme d'une après-midi un peu molle la France de l'Est, la vie désoeuvrée de plusieurs ados qui grandissent. on voit le temps passer de façon inégale, les sorts cruels, les ambitions fluctuantes. Un Goncourt "différent" qui s'est construit à l'abri de l'air du temps ...C'est un livre que j'aurai aimé avoir écris. Il sonne juste et respire le vécu.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par mariebae le 26 Février 2019 Editer
mariebae
J'étais très intéressée par ce livre était donnée qu'il a gagné le prix Goncourt et que je suis Spinalienne comme l'auteur, on m'a offert ce livre pour Noël et j'ai choisis de le lire dans le cadre d'un travail en français, je n'aurais jamais du! Je ne l'ai même pas encore terminé alors que je suis une grande lectrice et que je m'intéresse à tous les styles. Dés la première page, on s'ennuie et la lecture est plus que désagréable: on peut compter au moins deux ou trois mots vulgaires par page! Il pourrait y en avoir de temps en temps ou dans les dialogues ça ne gênerait pas, mais là c'est même dans la narration. En plus de cela, il ne se passe RIEN du tout, et on y va cliché sur cliché: garçons de 14 ans qui fument des joints et rêvent de "sauter" tout ce qui bouge, des jeunes filles que enchaînent les coups d'un soir à 15 ans, un arabe voleur de moto... Franchement! Je veux bien qu'on décrive ce qui puisse se passer dans une cité dans des années antérieures mais là ce n'est pas possible... Et tout ça pendant 500 pages? Je me demande encore où est la pseudo histoire d'amour et la "dimension politique" qu'on nous promet dans le résumé... Et ce n'est pas la plume de l'auteur qui va rattraper le coup... Et CA, ça a gagné le prix Goncourt... Je suis horriblement déçue.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par ceaime2B le 21 Février 2024 Editer
ceaime2B
Voici un Prix Goncourt que j'ai vraiment aimé.
L'auteur a su m'émouvoir en dépeignant le quotidien d'une population où se croisent et coexistent différentes strates sociales; misère, précarité, violence, acculturation....sont au premier plan et les miracles n'existent pas.
Le titre quant à lui n'autorise aucune échappatoire.
Un grand et beau roman.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Gregor_Karje le 13 Mai 2023 Editer
Gregor_Karje
Sentir à ce point la mort des territoires ruraux, des banlieues, des petites villes de province, à travers des personnages attachant. Un livre de prolétaire pour les prolétaires, qui en dit long sur la décadence de la petite bourgeoisie de province.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Encresympathique le 3 Mars 2023 Editer
Encresympathique
Un regard analytique et d'une grande pertinence sur la France délaissée, début des années 1990. L'écriture subtile dépeint merveilleusement les ambiances, les personnages incarnés avec beaucoup de finesse. Très belles métaphores et un style admirable qui nous fait vivre la pesanteur, l'ennui qu'éprouve cette jeunesse. D'un point de vue sociologique, les lieux, le contexte de l'époque, les personnages sont finement étudiés. Pour autant ce regard n'exclut pas les émotions, les affects et l'attachement aux personnages. Magnifique !
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Mayoune le 26 Janvier 2023 Editer
Mayoune
J'ai mis longtemps à finir ce livre. Un peu de mal avec l'écriture, avec l'histoire aussi. Les personnages sont pourtant très bien retranscrits dans leur justesse et leur banalité. Comme eux, on attend quelque chose (mais quoi ?) sans que cela n'arrive jamais.
A propos du livre :
Connemara
Connemara
Par julienraynaud le 6 Novembre 2022 Editer
julienraynaud
La critique d'un Prix Goncourt ne se fait pas à la légère, surtout quand on trouve l'auteur sympathique et qu'on sait qu'il traîne sur les réseaux sociaux, et pourrait donc lire cette critique…
Commençons par la fin du roman : il n'y a justement pas vraiment de fin, c'est un peu dommage. Au lecteur d'imaginer. Est-ce pour faire une suite ? Ou pour qu'un producteur fasse une série qui imaginerait la suite ?
Pour le reste, et bien nous avons là une oeuvre type L'assommoir moderne. J'ai pensé à Zola tout au long du livre. D'abord car c'est bien un roman sur le peuple, sur une classe. L'opposition des classes y est décrite. Mais surtout, j'ai reconnu le style de Zola, à peine modernisé, et le style des Enfants me semble bien la grande affaire de ce roman de Nicolas Mathieu. L'auteur a travaillé son écriture, pour un rendu qui devrait ravir les adeptes de l'auteur des Rougon-Macquart et les professeurs de français nés dans les années 40. C'est un compliment attention, et il doit expliquer l'attribution du prix Goncourt, enfin j'imagine.
Comme chez Zola, le description du décor participe au récit, explique la marche des événements. Les lieux semblent parfois comme décrits par les personnages eux-mêmes, on entendrait presque leurs intonations. Ainsi à la Zup : « le ciel était pris dans la mâchoire que dessinaient les tours (…) les fenêtres creusaient des yeux étroits, des bouches malades ». On est chez Zola encore lorsque nous est décrit un enterrement, puis la fiesta qui va avec ; on reverrait presque le repas de mariage de Gervaise. Les mots de Nicolas Mathieu pour décrire les scènes prennent le langage de ses personnages (quand le père lave son fils au jet d'eau : « le père insista sur la nuque, la tête, que ça lui éclaircisse les idées »).
On imagine aisément un cours de français sur les types de discours (indirect libre, etc…), avec distribution d'un extrait comme celui-ci :
Elles rirent. Est-ce que Steph comptait le voir ?
— Jamais de la vie.
On aimerait être dans la salle pour indiquer que cette intervention finale au style direct fait penser pour le coup aux Microfictions de Jauffret. Nicolas Mathieu n'a pas oublié d'être moderne !
Sinon, pour faire découvrir le livre à un jeune public, il faut peut-être chercher du côté du chapitre 7 de la deuxième partie, quand Steph découvre comment s'en sortir via les études, qu'on découvre ses techniques de révision et que la narration emprunte le discours de la jeune fille : « Dans sa filière, toutes les matières comptaient, même la philo. La République de Platon, sérieux ? Mais qui étaient les instigateurs de ces programmes lunaires ? ». Personnellement, je suis sous le charme d'une telle écriture, et même tellement admiratif que je conseille aux autres auteurs d'arrêter d'écrire. Nicolas Mathieu peut désormais suffire à la littérature !
Un dernier mot sur l'objet livre lui-même. En format poche, Babel, l'ouvrage de 550 pages est vendu 9.90 euros. Il y a là un abus évident pour un livre de poche. Les 1000 pages des Microfictions de Jauffret sont vendues 12.50 euros chez Folio…
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Kiki1744 le 10 Août 2022 Editer
Kiki1744
"Les enfants après eux" c'est l'histoire d'adolescents qui passent de l'âge d'enfant à l'age adulte avec tout ce qui est paumant, perturbant, indignant quand on est ado.Ces adolescents vivent à Heillange, ville industrielle de Lorraine imaginée par l'auteur.Ils habitent une zone pavillonnaire, une ZAC, les quartiers, la cambrousse et rien n'y fera : ils deviendront ce que leurs parents ont été.
Pour étayer son propos, l'auteur nous les raconte sur quatre étés : 1992,1994,1996,1998.Pour tromper l'ennui, ils matent les filles ou les garçons, entretiennent des relations versatiles , proches par le corps mais distantes par le cœur.D’ailleurs, ils ne se parlent pas : les dialogues sont très pauvres, presqu' inexistants et l'écriture de l'auteur fait le reste : nous livrer leur ressenti, leurs illusions perdus, leurs envies sexuelles, violentes, fugaces et soudaines...
Les parents ne valent pas mieux. Anciens ouvriers des hauts fourneaux, les pères connaissent le chômage, la misère sociale, la relégation et les petits boulots que seuls les fêtes comme le feu d'artifice, l'alcool et les cuites, le retour au bled,le fatalisme et l'avenir bouché tempèrent.Les femmes sont fanées à vingt ans lorsqu'elles deviennent mères et même si certaines essaient de s’émanciper en fuyant ou en couchant, la ville et sa désindustrialisation les rattrapent. Même le notable ment à lui même en voulant transformer cette ancienne cité ouvrière en ville touristique. Il y a le lac, boueux, gluant et de tout danger. Il y aura un complexe aquatique pour faire venir les gens et un musée pour se rappeler.
L'école n'a pas joué pour eux son rôle d'ascenseur social : les arabes ou les noirs restent les plus bas dans l'échelle sociale, au dessus les ouvriers blancs puis les chefs enfin les décideurs.On se souvient,nostalgiques,de cette période où on travaillait à l'usine de générations en générations ; on se la raconte au point de désespérer au plus haut point les jeunes.
L'école ne joue pas son rôle pour les jeunes aussi qui vivent dans le désœuvrement et attendent que ça se passe.Il y a des exceptions : Stéphanie Clém,Victor.... : des bourgeois qui ont compris que leur réussite scolaire leur permettra de quitter cette vallée sinistre.Car ils en rêvent tous de la quitter. A commencer par Hacine, écarté entre les deux rives de la Méditerranée, qui rêve que le business de la drogue lui procurera richesse et reconnaissance et lui permettra de partir mais où ? Pas au Maroc, où il se sent à l'étroit dans les traditions même si là-bas, les jeunes zonent comme lui.Pas en France, qui ne lui fait pas de place : même avec sa femme Coralie et sa belle famille qui l'ont adopté....Anthony s'engagera 2 ans dans l'armée et reviendra au point de départ. "Le cousin" s'en sortirait-il mieux en faisant construire dans la ZAC toute proche, en attendant un enfant à venir et que sa femme se repose.
C'est cette vérité dérangeante que Nicolas MATHIEU expose, fait exploser dans un style brut avec tendresse, humour, finesse. La trame est sombre : la vie d'hommes usés au travail, leur vie par défaut, le malaise, le son de la télé monté au maximum , les factures , l'odeur des gauloises , les bêtises des jeunes, l'ennui , l'échec, les faux départs, la nostalgie et le déclin, les désirs sexuels, la rage de vivre,les questionnements, l'alcool, la drogue, la violence... : tous rêvent de partir mais la plupart de ces jeunes sont condamnés à mener une existence semblable à celle de leurs pères.
Par sa construction en 4 grands chapitres pour chacune des années avec en entête une chanson de l'époque, le texte emporte le lecteur par son acuité et son extraordinaire sensibilité.Le récit est bouleversant , déchirant , énergique, rageur, nous prend aux tripes....et de toute évidence, nous envoie cette leçon de vie intemporelle.Chacun hérite de son milieu et voilà un auteur qui parle des plus "taiseux" mais des plus nombreux : ce peuple déboussolé, trompé et errant mais qui entonne la Marseillaise lorsque l'équipe de France de football est en finale de la coupe du monde.On oublie, un temps, qu'on est noir, arabe, pauvre, on est français(les autres aussi) et c'est cette France qui est décrite et expliquée, coincée entre les gauloises qu'on fume, les bières qu'on ingurgite et qu'on pisse,les "pets" qui aident à être heureux, la télévision qui braille, les cafés qui débordent de ces spectateurs, ces routes qui s'embouteillent, inondés de klaxons.
Un livre pessimiste mais réaliste ; une véritable satire sociale car
"Il en est dont il n'y a plus souvenir,
Ils ont péri comme s'ils n'avaient jamais existé :
Ils sont devenus comme s'ils n'étaient jamais nés,
Et, de même leurs enfants après eux."(Siracide, 44,9).
C'est aussi un peu mon histoire, fils d'ouvrier qui a été un des rares que l'école a sauvé et qui a essayé sans grande réussite mais avec conviction que l'école en sauve d'autres pour ne pas répéter l'héritage social.
J'ai adoré et j'ai vu que Nicolas MATHIEU a écrit d'autres livres que je vais m'empresser de lire.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par dacotine le 3 Juillet 2022 Editer
dacotine
Une fresque sociale des années 80 très réaliste, tellement que l'ennui vécu par les personnages se répercute vers la fin de l'ouvrage sur le lecteur . L'ensemble est bien écrit, bien documenté et saisit parfaitement l'ambiance de l'époque.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par Steph_P le 1 Avril 2022 Editer
Steph_P
Au début de ma lecture, j'ai été happée par ce roman : le sujet tout d'abord, deux quadragénaires, ayant grandit dans les années 80-90, se retrouvent et entament une relation. Un peu l'impression d'être la "cible", les nombreux flashbacks qui expliquent la vie des personnages me rappelant inévitablement mon adolescence, jusqu'aux matches de hockey le samedi soir !
Mais l'intrigue se développant, mon intérêt s'est un peu dissipé. Et quand au début de l'histoire, je trouvais de la poésie dans de nombreux passages, admirant le style de l'auteur, j'avoue que j'ai parfois été tentée de sauter des paragraphes entier par la suite. Des développements absolument inutiles à l'intrigue sur le fonctionnement par exemple des sociétés de consulting en RH m'ont semblé d'une longueur à fuir.
Le résultat pour moi est donc inégal, et je n'ai pas accroché à ces descriptions des habitants des Vosges : j'ai entendu en interview que l'on ventait la tendresse de l'auteur pour ces habitants de province, j'y ai vu pour ma part de la condescendance. Et même s'il n'est pas plus tendre avec les arrivistes parisiens, je n'ai ressenti aucun bienveillance dans cette histoire. Qui se termine un peu tristement.
A propos du livre :
Connemara
Connemara
Par BleuennMoana le 1 Juillet 2020 Editer
BleuennMoana
J'ai rapidement laissé tomber. Je ne demande pas à un auteur d'être Victor Hugo ou Racine mais le langage familier (pour un prix Goncourt qui plus est) très peu pour moi. Je veux bien que les personnages aient quatorze ans mais je ne connais personne qui parle aussi mal dans la vraie vie et cela m'aurait écorché la bouche de le faire à leur âge. D'autant que l'histoire est sans intérêt.
A propos du livre :
Leurs enfants après eux
Leurs enfants après eux
Par josarag le 26 Février 2020 Editer
josarag
L'édition de cette année est très triste je trouve. C'est dommage car le voyage aurait pu inspirer le rêve, l'espoir, les jeux, l'enfance... Et pourtant presque tous les auteurs ont été d'humeur plutôt noire. Acheté et lu sans regret car il s'agit d'une bonne action, mais pas vraiment mémorable. Espérons que le thème de l'an prochain sera plus gai!
A propos du livre :
13 à table ! 2020
13 à table ! 2020
Par gribouille le 24 Février 2020 Editer
gribouille
Une lecture sympathique et parfois surprenante comme tous les ans. Quelques bonnes surprises.
A propos du livre :
13 à table ! 2020
13 à table ! 2020

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