Nicolas Rey
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Note moyenne : 5.98/10Nombre d'évaluations : 49
0 Citations 35 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un livre étrangement écrit, celle de plusieurs hommes un peu perdus dans leurs vies, j'ai moyennement apprécié.
Afficher en entierJ'ai bien aimé la narration dans cette histoire d'un homme entre deux temps de sa vie, j'aime cet auteur.
Afficher en entierJe n'ai pas trouvé le titre vraiment bien adapté au roman, je le trouve très généraliste ou c'est moi qui n'ai pas saisi la subtilité du truc. L'histoire est assez banale, elle aborde un peu tous les sujets qui font l'actualité aujourd'hui, la politique, la laïcité, la fonction publique, le sexe. Le roman est assez spécial, pas repoussant mais pas sensationnel non plus. Le piège, c'est que les chapitres sont courts et qu'on est tenté de se dire « allez encore un », et l'avantage c'est qu'on le finira vite.
Que peut-on retenir de cette histoire ? Rien d'inoubliable, des personnages olé olé qui s'éclatent à leur manière dans leur histoire de cul, pas mal de provoc, un style cru, simple.
C'est l'histoire de Gabriel qui vient d'être largué par sa nana. A la réunion des parents d'élèves, il tombe en admiration devant Catherine, l'instit de son fils. Il a 40 ans, elle en a 50. Mais voilà, Gabriel est de gauche et l'instit milite au Parti National. C'est très mal vu. Mais il y a une chose à laquelle Gabriel est incapable de résister, c'est le cul de Catherine. Ah le cul de Catherine !!! Il fascine Gabriel. Les deux gus vont s'épanouir dans une sexualité dépravée tout en échangeant quelques idées qui volent un peu moins bas.
Afficher en entierC'est un livre très facile et rapide à lire, ce qui lui permet d'être addictif. Il est bien écrit, efficace, et évoque l'amour comme une des plus grandes drogues positive et négative de notre vie. C'est une oeuvre originale qui évoque différentes formes d'amour: celle qui unit le fils au narrateur, la relation passionnelle, physique et immorale entre Maud et le narrateur, jeune femme énigmatique, pleine de vie, de paradoxes et d'amour à donner. Puis, finalement, la relation entre le narrateur et son agent Kleber, d'amour, de haine et déséquilibrée. Le fils rassure, Maud ravive un homme détruit de l'intérieur et Kleber donne une force supplémentaire au narrateur pour avancer dans sa vie. J'ai beaucoup aimé ce livre court, facile à lire, et accessible à tous. C'est une très belle histoire d'amour, en plusieurs petits chapitres écrits sur un ton humoristique et divertissant.
Afficher en entierMeme si le fond est toujours un peu le meme (drogue, sexe et fêtes) j'ai bien aimé ce livre qui se lit d'une traite.
Afficher en entierDos au mur, Nicolas Rey
Nicolas Rey frôle la mort, et décide alors de se mettre à nu. D’avouer. De dire toute la vérité.
« Parce qu’on gagne un temps fou et que l’on se sent beaucoup mieux après. »
Cela fait plusieurs années qu’il se drogue, ne paie pas de pension alimentaire pour son fils, triche, ment.
Ses addictions lui ont coûté son couple, la garde alternée, ses hanches, sa santé, son travail, son interdiction bancaire, et maintenant son toit.
Refusant que son fils Hippolyte se retrouve face à une épave ou une pierre tombale, il refuse de retomber dans la drogue et l’alcool.
Pour sa soeur, ses parents, et son amour, Joséphine.
Si ce livre de près de 300 pages se lit d’une traite, on s’arrête à certains passages tant il est vif et poignant de sincérité.
Il ne faut pas attendre d’avoir (trop vite) tourné la dernière page pour souffrir avec lui, notamment d’avoir perdu l’amour de sa vie, Joséphine.
Comment faire?
Son médecin semble lui avoir trouvé la seule solution pour qu’il puisse la récupérer un jour : rester vivant.
On lui donne tout le courage nécessaire pour tenir bon, et se libérer enfin de ses démons.
En 2019 il sera en tournée accompagné de Mathieu Saikaly, avec « Les Garçons Manqués ».
Et le 10 janvier paraîtra « Lettres à Joséphine », l’ultime roman du chagrin d’amour.
Edité par Au diable vauvert, 15 mars 2018
18 € – avec Nicolas Rey.
Afficher en entierJ'ai reçu ce livre dans un box et il a longtemps trainé dans ma PAL. Honnêtement, je comprends pourquoi, ce n'est pas du tout mon style de livre, et du coup je n'ai pas trop aimé. Je ne suis rentrée dans aucune histoire et les j'ai souvent trouvé les chutes décevantes.
Je pense que les amateurs de Polars aimeront sans doute plus que moi.
Afficher en entierDiego Lambert la cinquantaine, ruiné, se tourne contraint et forcé vers son père pour obtenir l'aide financière qui lui permettrait de sortir du gouffre abyssal dans lequel il est tombé. Cela revient pour lui a signer un pacte avec le diable, il ne s'attendait assurément pas à l'offre manipulatrice imaginée par son père en échange de 50000 euros. Diego accepte de remplacer au pied levé la DRH d'une des entreprises de son père partie en dépression. Le challenge a relevé étant un plan social permettant le licenciement d'une quinzaine de salariés. Heureusement tout ne se passe pas comme on aurait pu l'imaginer. Une lecture jubilatoire tout au long du récit, on suit les efforts de Diego pour comprendre et tenter d'inverser la vapeur. Le rapport entre le père et le fils suscite immanquablement l'apparition d'Oedipe dans notre inconscient collectif. Dans ce roman qui trouve sa place entre tragédie et satire sociale, on ne s'attend pas à rire, pourtant l'auteur sur bien des sujets abscons en ce qui me concerne sur l'économie, le capitalisme, est arrivé à me faire cruellement sourire. Un style actuel, des chapitres courts, il n'en fallait pas plus pour ce laisser aller à tourner les pages sans s'en rendre compte. La galerie des personnages formée par les employés futurs sacrifiés sur l'autel de la rentabilité de l'entreprise, sont pour la plupart attachants dans leur simplicité et leur loyauté à la dite entreprise. Enfin le personnage de Diego est délicieusement brossé, un anti-héros qui sort des schémas habituels pour entrer dans l'interdit et le dépassement des limites, sortir du cadre est tout bonnement jubilatoire. Sans oublié son côté romantique et son rapport avec sa psychanalyste qui donne une autre couleur au personnage le rendant sympathique. Une nouvelle version du crime parfait nous est proposée et on y adhère à 100%. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2022/07/19/39564127.html
Afficher en entierCe roman noir compte 224 pages et pourtant, vous ne les verrez pas passer. Il s’agit d’une critique du monde entrepreneurial capitaliste qui pique tant elle est semble factuelle et vorace.
Diego Lambert est un anti-héros comme je les aime : 49 ans, et pourtant bien loin d’être mature, aimant l’alcool et la drogue mais surtout désargenté. Son père lui offre un deal simple : il recevra les 50.000 euros qu’il a besoin s’il endosse le costume de DRH pour licencier quinze salariés de l’une des boîtes familiales (en l’occurrence une coopérative agricole) située dans le Nord de la France. Bien entendu, tout ne va pas se passer si facilement….
La façon dont l’auteur a de critiquer le monde du travail est parfois déjantée mais en même temps, criant de vérité. Le lecteur ne peut s’empêcher d’avoir le sourire aux lèvres par la présence d’un florilège de personnages, certains attachants, d’autres par contre, de parfaites têtes à claques.
Si vous n’adhérez pas à l’humour noir ou au cynisme, passez votre chemin alors car la plume de Nicolas Rey en regorge et son anti-héros pratique l’auto-dérision avec brio. Parfois, le récit est un peu confus mais le côté totalement décalé m’a tenue sous le charme. J’en redemande!
Afficher en entierUne satire cinglante, provocatrice du milieu des affaires et richissimes personnes qui les dirigent. Quelques situations et réflexions cocasses au début du roman m'ont fait sourire, puis on tombe vite dans quelque chose de plus noir, de plus trivial et ça devient beaucoup moins risible.... La provocation est là, et on finit ce livre avec un sentiment terrible d'injustice. Le pouvoir de l'argent....
Afficher en entierOn parle de Nicolas Rey ici :
2011-03-19T13:21:12+01:00
2011-01-25T23:13:57+01:00
2010-01-12T20:21:21+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Nicolas Rey
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Au Diable Vauvert : 11 livres
J'ai lu : 6 livres
Grasset : 1 livre
LGF - Le Livre de Poche : 1 livre
Sarbacane : 1 livre
VSD : 1 livre
La Martinière : 1 livre
Incipit : 1 livre
Biographie
Ecrivain et journaliste français
[Littérature française]
Né à Evreux le 08 mai 1973
Ses parents étant soucieux de son avenir, Nicolas Rey entame un cursus qui est loin de lui plaire. Prépa HEC, école de commerce, il aspire néanmoins à devenir scénariste ou réalisateur. Il se résigne compte tenu des difficultés qu'il rencontre à intégrer le milieu cinématographique. Son romantisme inextinguible lui permet de s'adonner à l'écriture. Son second livre 'Mémoire courte' reçoit d'ailleurs le Prix de Flore, il en devient dès lors membre du jury. Souvent affublé de termes peu dithyrambiques, tel 'branché non audacieux', Nicolas Rey n'a de cesse de s'essayer à différentes disciplines. Débutant sur France 3, il écrit quelques bandes annonces, il sera également chroniqueur pour 'Tecknikart' avant d'être reconnu comme journaliste. Depuis, il travaille pour quelques émissions et magazines de renom : 'Culture et dépendances', 'Zurban'...
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