Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 051

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Livres - Bibliographie

Nicolas Rey


Ajouter un livre manquant

Toutes les séries de Nicolas Rey

5 livres
2 lecteurs

Pourquoi Bordel ? Parce que c'est une interjection que poussent les gens énervés. Parce que Le monde a fait de moi une putain ; je veux faire du monde un bordel (Friedrich Dürrenmatt). Parce que cet ouvrage collectif milite pour la réouverture des maisons closes. Parce que les auteurs qui y participent n'ont rien à voir entre eux, sinon leur âge (la trentaine). Parce que mélanger tous ces écrivains et leur laisser toute liberté est une initiative assez bordélique. Parce que Baudelaire a dit que l'art c'est de la prostitution. La lecture de Bordel numéro un offre une promenade vigoureuse et décapante dans les étages de l'écriture d'aujourd'hui : réalisme trash, satire destroy, pamphlets nihilistes, poésie désabusée, exhibitionnisme froid, autofictions mythomanes, imagination narcissique...

Tous les livres de Nicolas Rey

Frank, Vincent, Jean, Marc et Louis, tous trentenaires, courent après leur jeunesse. Certains, plus que d'autres, courent après les femmes, fuient l'engagement et la routine conjugale : mais où se dirigent-ils?. Empêtrés dans leurs déboires amoureux, ils s'interrogent sur le couple, la fidélité, les enfants, l'amitié... Des interrogations fortes, qui les conduisent parfois à se séparer, à changer de vie, à perdre la raison. Dans ce roman, Nicolas Rey décrit avec lucidité une génération d'hommes en quête d'identité.

Tout commence par une femme et tout s'achève par elle : Arianne Backer. Ce n'est pas tant sa beauté qui la rend différente mais sa maladresse de toxicomane amoureuse, les hommes qu'elle collectionne et qu'elle n'aime pas, celui qu'elle aime en vain et qui n'est pas tout à fait son genre. Le temps d'un été qui n'en finit pas de mourir, sur une plage de la Côte d'Azur éternellement frelatée, festival de Cannes et bronzages mazoutés, estivants et parasols, le cercle des prétendants va se refermer autour d'Arianne : le narrateur, Frank Bastide, garçon de restaurant volontiers neurasthénique, n'a rien d'autre à faire de son existence que penser au bonheur d'Arianne. Il partage cette occupation avec un major fort en gueule, un médecin à la chemise bariolée, un emploi-jeune de la SNCF reconverti en plagiste.

Treize minutes, c'est le temps dont va bénéficier Simon pour rater sa vie au sein d'une chambre à l'accueillante obscurité.

Auparavant, le jeune homme aura zappé son avenir professionnel, trinqué à l'horreur économique et navigué en plein mensonge jusqu'au dernier naufrage. Entre une amitié excessive, quelques déviances et lâchetés sans excuse, Simon, déjà fatigué de vieillir, regardera sa chute s'effectuer comme d'autres jettent un oeil sur un film de série B.

Un jour, tu comprendras. Le frigo des filles et tout ça. Celles qui accumulent les Diet Coke, celles qui collectionnent les jus d'orange survitaminés. Tu comprendras les crèmes épilatoires, les salles de bains avec ou sans baignoire, le sérum physiologique pour les lentilles de contact, le petit fil blanc ou bleu qui dépasse quelques jours par mois. Et le frigo des filles, la façon dont elles rangent et cartonnent au jeu des sept familles, jamais, jamais tu m'entends, en six ans de vie commune, je n'ai vu une plaquette de beurre à côté d'une bière ouverte ou d'une confiture périmée dans un frigo. Je vais te dire Henry, dans un frigo de fille, la nonchalance n'existe pas.

Je suis revenu nickel, enfin libre, aérien presque. J'ai jeté un œil autour de la table avec nonchalance. J'ai refusé le trou normand que l'on me proposait. La Normandie commençait à me courir pas mal. Je voulais Paris et mon appartement sur la Butte. Un bar sombre et une touriste hollandaise. Je suis ainsi, une sorte de vautour, le genre de type capable au travers d'une chemise de nuit d'un aller simple pour le reste du monde. " Gabriel, 31 ans, se marie et, dans quinze jours, s'installe avec sa nouvelle femme, Sophie. Ce qui signifie : quitter l'appartement de l'avenue Junot et les retours au petit matin, ralentir la dope, l'alcool, et les conquêtes... Mourir un peu, en somme. Alors Gabriel s'enivre, tombe vaguement amoureux et, dans un bel élan de lâcheté, refuse toujours de grandir. Soutenu par une écriture fluide, Mémoire courte jette un éclairage cru, émouvant et drôle sur un anti-héros férocement contemporain

Camarade lecteur, amie lectrice, heureux de te retrouver. Franchement, si on m'avait dit que l'on se reverrait un jour, toi et moi. Bon, tu sais comment les choses se passent. Je ne vais rien t'apprendre. Entre notre date de naissance et notre date de décès, il y a quelques moments dingues, des mauvaises passes et puis tout le reste. J'ai retiré tout le reste pour t'offrir rien que des moments dingues et des mauvaises passes. Et des moments dingues, aussi. Et des mauvaises passes. Et ainsi de suite. Bien à toi.

« J’avais mis des digues un peu partout. J’avais même verrouillé chaque parcelle d’inattendu. Et puis, Maud a débarqué. » Après le Léger passage à vide que l’on sait et l’héroïque victoire de notre héros sur les addictions liquides, chimiques et médicamenteuses, l’amour, qui semblait avoir enfin déserté sa vie, a pourtant frappé par surprise en la personne de Maud. Mais l’amour n’est-il pas la plus dangereuse des addictions et le plus périlleux des chemins ?Du feuilleton diffusé sur France Inter, Nicolas Rey a donc gardé l’amour.

« Qu'importe la tenue, pourvu d’avoir le geste. Le geste, c’est autre chose. La beauté du geste. À savoir, l’inverse de la perfection. »

Des débuts cultes à Zurban en 2000, aux années France Inter dans l’émission Comme on nous parle auprès de Pascale « the voice » Clarke, Nicolas Rey rassemble ici cinquante chroniques sur des événements ou personnalités, petits et grands, réels ou imaginaires, qui ont marqué la décennie passée jusqu’à l’élection de François Hollande.

Avec une désarmante impertinence et un art irrésistible de la digression inattendue qui fait mouche à tout coup, il déploie dans ce best of l’art de faire court et juste qui lui est propre.

Grâce de dandy infernal et généreux, lucidité sans fard, élégance du désespoir… on admire l’audace, mais aussi l’impertinence et la liberté de ton, la liberté tout court qui confère à ces chroniques, au-delà de leur fantaisie et de leur drôlerie, un effet salvateur, celui du grand air et du panache.

Sacrificion, Honduras. D'ordinaire la vie est paisible, dans ce village où cohabitent Indiens et Noirs " garifunas ". Et puis, tout 's'emballe. Miguel Angel, mercenaire, crashe son avion bourré de coke dans la jungle. Sergio, un petit Indien de douze ans, découvre le trésor, qui devient l'objet de toutes les convoitises. Sur la ligne de départ : deux tueurs aussi bêtes que méchants, un ex-shaman ne jurant que par le dieu Alcool, et le redoutable El Negrito,chef de gang local. Sans oublier Roxana, la Bomba Latina. Et si en plus, les morts s'en mêlent !

Elle s’est rapprochée. Elle a reniflé son cou, sa nuque et ses oreilles. Ses lèvres se sont placées à quelques millimètres des siennes. Elle a chuchoté : «Tu savais que la lubricité est l’invention d’un bourgeois très à droite. Les gens de gauche échangent tellement de théories, qu’ils en oublient de baiser». Gabriel, écrivain quadra précaire épuisé par l’amour et la vie, tombe amoureux de Catherine, institutrice de son fils et membre du Parti National… Toute la grâce et l’impertinence de Nicolas Rey pour ce portrait d’un romantique désenchanté, plus actuel que jamais.

De grands auteurs se prêtent au jeu de la nouvelle polar en laissant libre cours à leur plume, dans un recueil inédit présenté dans un élégant coffret.

Jaloux, psychopathes, crimes passionnels ou vengeurs, des nouvelles délicieusement atroces sont réunies dans un coffret luxueux pour garantir un été de frisons.

De grands auteurs contemporains, à l'écriture originale et talentueuse, nous entraînent dans des histoires criminelles inédites, tour à tour sanglantes, drôles, absurdes ou terrifiantes...

Ils signent un ouvrage dédié au polar composé de douze nouvelles intrigantes et déroutantes.

De Limoges à Hô Chi Minh-Ville, de la place de la République à la Thaïlande, du Père-Lachaise à Babylone... dans ce recueil, Paris est un prétexte à l'écriture d'histoires universelles, à l'esquisse de personnages inattendus.

Ce sont deux vieux camarades qui s'organisent, en l'honneur de leur lointaine jeunesse, une somptueuse fête sur les toits de Paris. Une jeune provinciale qui rencontre sa voisine centenaire, ou encore deux amies de toujours que cette ville sépare.

Neuf acteurs de talent se prêtent ici à autant de variations sur ce thème. Avec humour, tendresse, nostalgie parfois, ils évoquent des instants fugaces et des émotions éternelles où se mêlent habilement passions, désillusions et rêves éveillés.

Nicols Rey a commis un plagiat. Il est malade et les médecins ne sont guère optimistes. Cette fois dos au mur, il décide de tout raconter pour se libérer de ses crimes. Et de ne plus mentir. Car il mentait. Depuis longtemps, à tous et toutes. Voilà donc enfin sa grande catharsis, sa confession, voilà son grand roman rédempteur sur le mensonge. Enfin, il avoue tout et dit la vérité, toute la vérité.

Sur tout : maladie, argent, drogues, inspiration et pannes, plagiat, infidélité, lâcheté masculine, amour et tromperies, travail, amis, famille....On reconnaîtra bien des protagonistes et on s'amusera à découvrir les autres. On rira beaucoup, on sera ému aux larmes. Si le roman c'est le mentir-vrai, Nicolas Rey écrit une désopilante fiction du réel, dans laquelle la vérité devient fiction. Mais de sa vie à ses relations avec les éditeurs, c'est aussi l'envers du décor et la condition d'un auteur du vingt-et-unième siècle qu'on lit.

Gabriel, alcoolique abstinent depuis trois mois, s'enferme chez lui et refuse de mettre un pied dehors. Jusqu'à ce qu'Audrey, une jeune fille à la recherche de son téléphone portable, réussisse à forcer Alcatraz. Ils font connaissance, s'entendent comme une évidence mais, aussi incapables l'un que l'autre d'entreprendre quoi que ce soit de sérieux, ils décident de vivre toute leur histoire d'amour en une seule nuit.

Gabriel Salin, double de Nicolas Rey, apprend à 47 ans qu'il n'a plus que quelques mois à vivre.

Errant comme un fantôme dans un terrain vague depuis que son dernier amour l'a quitté, aveuglé par la dépression, assommé par la télé, il ne trouve plus de sens à son existence, n'a plus aucun désir. Lorsque sa toux persistante se change en arrêt de mort, les dés sont jetés : cancer du poumon.

Que faire de ce compte à rebours ? Affronter la réalité ou s'asseoir dessus ? Revoir une dernière fois toutes celles qu'il a aimées ou s'arranger pour tomber amoureux une dernière fois ?

Entre désinvolture et grâce déchue, autofiction et fantaisie romanesque, La Marge d'erreur fait le portrait hilarant d'un dépressif chronique plein de rage de vivre qui ravira les lecteurs de Nicolas Rey et convaincra tous les autres.

"J'étais devenu un fantôme. Une sorte de mort-vivant. J'ai trouvé un ultime sursaut d'énergie pour avaler une poignée de tranquillisants avec un fond de vodka. Je me suis assis dans mon fauteuil club et j'ai regardé une série sur HBO. Je me suis réveillé en pleine nuit. Non. Le cauchemar était bien réel. Joséphine n'était plus amoureuse de moi."

Si l'amour est la plus forte, la plus dangereuse et la plus répandue des addictions, voici le roman de l'impossible désintoxication, le roman du chagrin d'amour.

Diego Lambert n’a plus le choix. Il doit licencier quinze salariés de l’usine de son père s’il ne veut pas finir sur la paille. Mais rien ne va se dérouler comme prévu, jusqu’à l’irréparable.

Dans cette fiction d’une ironie féroce et d’une beauté nouvelle, Nicolas Rey invente le crime parfait !

Dans ces nouvelles, Nicolas Rey explore tous les visages de l’amour. Le mal vieilli, le fantasmé, le hurlé, le caressant. Ses personnages se passent le relais, de main en main, s’accrochant à ce qui leur permet de ne pas sombrer, à cet unique sentiment : l’amour.

Juin 1936 : Jean, Bernadette et leur fils Marius, 15 ans, partent en train pour Deauville. Même dans les rêves les plus fous, personne n'aurait jamais osé imaginer une telle chose : partir. S'en aller. Avoir le droit de vivre, enfin. Mais qu'y a-t-il derrière ces rêves ? Dès la première semaine de ses congés payés, la France est coupée en deux. Comme elle l'a toujours été. Comme elle le sera toujours.Dans cette fiction jubilatoire, Nicolas Rey reconstitue au gré de son imagination les premières vacances de ses aïeux.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode