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Un panorama sans concessions sur la fin du XIXième.
Très bonne lecture.
Le Journal d'une femme de chambre
Célestine, femme de chambre, donc boniche à tout faire, du ménage aux corvées les plus diverses, même sexuelles ! Bien sûr, une femme de chambre en 1900 est certainement moins bien traitée qu’un animal ; elle fait partie des murs et elle est là pour servir !
Merci Célestine, qui note ses journées dans son journal et nous dépeint de nombreux personnages de diverses classes sociales ; tout le monde y passe, sans concessions ! Non, les pauvres ne sont pas toujours meilleurs que les riches ! Oui, c’est abject parfois, mais après tout l’argent achète tout, même les bonnes consciences.
Mirbeau affirme dans une note que ce livre a vraiment été écrit par Célestine, et qu’il n’y aurait fait que quelques retouches ; vous y croyez vous ?
Bref, quel génie que cet Octave MIRBEAU qui s’est servi d’une femme de basse condition pour dénoncer les dérives de la bourgeoisie et égratigner parfois la politique et l’antisémitisme. Attention toutefois, certaines choses sont encore d’actualité, malheureusement !
À lire près d’une pelle et d’une balayette, confortablement installé(e) sur une serpillère sèche, en dégustant du quatre-quart au citron accompagné d’un verre d’eau gazeuse (ou d’un thé si vos patrons sont généreux). Bonne lecture !
Le Journal d'une femme de chambre
Le Journal d'une femme de chambre
Le Jardin des supplices
Le Journal d'une femme de chambre
Le Journal d'une femme de chambre
Si certains passages sont moins légers, la plupart du temps, la lecture s'avère divertissante. Mais, plus que d'amuser le lecteur, l'auteur y dresse aussi un portrait au vitriol de la bourgeoisie et de la société de l'époque. C'est ça aussi que j'y ai apprécié, ce plongeon dans une autre époque, d'autres moeurs. Bref, une lecture que je vous conseille.
Le Journal d'une femme de chambre
Le Journal d'une femme de chambre
J'avais assez bien apprécié ce regard sur le monde de la servitude vu par Célestine. Une femme qui se débat pour préserver son emploi et sa dignité, mais pas à tout prix !...
(dès la 2nde)
Le Journal d'une femme de chambre
Le Journal d'une femme de chambre
Le Journal d'une femme de chambre
Le Jardin des supplices
Mais Clara voue une passion macabre à la civilisation chinoise, qui s'illustre par un raffinement exceptionnel tant dans l'horticulture, la céramique que dans l'art de "faire mourir". Homme de petite vertu, mais parfait occidental, notre narrateur découvre avec horreur ce qui incarne à ses yeux la quintessence de la barbarie et de la sauvagerie humaine. Le beau appliqué au supplice corporel, ou comment immiscer la mort dans chaque parcelle de chair et de sang d'un corps humain, pour lui faire "savourer" sa mort prochaine. En cela, la mort est aussi puissante que l'amour et elles deviennent indissociables. Elles s'unissent complètement dans l'acte d'amour, générant la pulsion sexuelle, permettant la jouissance des sens. C'est en tout cas ce qui semble bien résumer la perversion de la belle Clara, qui retourne inlassablement au jardin des supplices pour nourrir sa libido et son âme malade.
Le Jardin des supplices
Un roman au vitriol passionnant, addictif, dans lequel Octave Mirbeau n’hésite pas à régler ses comptes avec les riches et les intellectuels de son époque.
A n’en pas douter, ce roman, à sa sortie, fit scandale et Octave Mirbeau ne se fit pas que des amis…
Le Journal d'une femme de chambre
Célestine, femme de chambre, la plupart du temps dans des familles bourgeoises, nous dépeint ces portraits de famille ... Elle ne manque pas d'humour pour nous expliquer sa servitude, son exploitation et ses révoltes contre son statut !
Voici un classique très agréable à lire ...
Le Journal d'une femme de chambre