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Commentaires sur ses livres

Octave Mirbeau

Par Raouldesbois le 5 Mars 2024 Editer
Raouldesbois
Un "journal" très vif, sarcastique, où les mesquineries et coups pendables des maîtres et domestiques en prennent pour leurs grades lors de la dissection. Le style est alerte, acéré et très vivant; Célestine n'a pas froid aux yeux !
Un panorama sans concessions sur la fin du XIXième.
Très bonne lecture.
Par La_cath_a_strophes le 25 Janvier 2024 Editer
La_cath_a_strophes
Aujourd’hui je vous propose de jeter un œil sur la journal de Célestine ; oui je sais, vous ne m’avez certainement pas attendue, depuis le temps qu’il a été écrit !

Célestine, femme de chambre, donc boniche à tout faire, du ménage aux corvées les plus diverses, même sexuelles ! Bien sûr, une femme de chambre en 1900 est certainement moins bien traitée qu’un animal ; elle fait partie des murs et elle est là pour servir !

Merci Célestine, qui note ses journées dans son journal et nous dépeint de nombreux personnages de diverses classes sociales ; tout le monde y passe, sans concessions ! Non, les pauvres ne sont pas toujours meilleurs que les riches ! Oui, c’est abject parfois, mais après tout l’argent achète tout, même les bonnes consciences.

Mirbeau affirme dans une note que ce livre a vraiment été écrit par Célestine, et qu’il n’y aurait fait que quelques retouches ; vous y croyez vous ?

Bref, quel génie que cet Octave MIRBEAU qui s’est servi d’une femme de basse condition pour dénoncer les dérives de la bourgeoisie et égratigner parfois la politique et l’antisémitisme. Attention toutefois, certaines choses sont encore d’actualité, malheureusement !

À lire près d’une pelle et d’une balayette, confortablement installé(e) sur une serpillère sèche, en dégustant du quatre-quart au citron accompagné d’un verre d’eau gazeuse (ou d’un thé si vos patrons sont généreux). Bonne lecture !
Par Corvus_Lusor le 22 Février 2023 Editer
Corvus_Lusor
L'approche était intéressante, mais je pense que c'est un peu un coup manqué pour ce roman. Initialement écrit en épisode indépendants les uns des autres, cela se ressent, malgré une certaine tentative de fil conducteur. Finalement on est un peu le cul entre deux chaises, avec Célestine qui raconte d'un côté ses expériences passées, et d'autre côté sa vie actuelle. L'ensemble est relativement décousu et finalement on ne s'accroche pas à grand-chose. Le point le plus intéressant finalement est le côté satirique où l'on plonge dans la vie des gens avec une mise en exergue de leurs défauts, et même sont exagérés par le prisme de la perception de Célestine (en plus du côté fictionnel), laquelle ne se rend même pas compte qu'elle ne vaut pas tellement mieux qu'eux par moments. C'est assez ironique finalement et illustre bien l'égout qu'est l'esprit humain par moments.
Par cynodon78 le 20 Janvier 2023 Editer
cynodon78
Un récit surprenant qui nous emmène en Chine à une époque où l’on découvre ce pays. On pénètre dans le jardin des supplices avec appréhension et les descriptions hors du commun de toutes les fleurs et plantes ne suffisent pas à nous remettre de la capacité de l’homme à être monstrueux alors que d’autres y voient la perfection du raffinement. On imagine l’esprit torturé…des deux personnages principaux…
A propos du livre :
Le Jardin des supplices
Le Jardin des supplices
Par AngeliqueMartinez le 10 Janvier 2023 Editer
AngeliqueMartinez
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, sans doute quelque chose d'un peu difficile à lire et à aborder. Et finalement, il n'en fut rien. Nous avons donc là le journal de Célestine, lors de sa dernière place en tant que femme de chambre. Elle décrit bien évidemment son quotidien, ses maîtres, le voisinage et de temps en temps, se plonge dans son passé. Son enfance, d'autres maisons, d'autres maîtres, d'autres caprices.Si certains passages sont moins légers, la plupart du temps, la lecture s'avère divertissante. Mais, plus que d'amuser le lecteur, l'auteur y dresse aussi un portrait au vitriol de la bourgeoisie et de la société de l'époque. C'est ça aussi que j'y ai apprécié, ce plongeon dans une autre époque, d'autres moeurs.
Par MargotDeleuze le 9 Décembre 2022 Editer
MargotDeleuze
Je ne connaissais pas Octave Mirbeau. Voilà qui est fait à travers Le Calvaire et Le journal d'une femme de chambre. Le style de Mirbeau est excellent, vif, efficace. En fait, le "journal" est une succession d'histoires mises bout à bout qui permettent de pénétrer, par le biais de la femme de chambre, à l'intérieur de la bourgeoisie, provinciale, parisienne... C'est une critique sociale donc. Merci à Mirbeau pour son courage, et son talent, qui toutefois relève du journaliste en lui, et n'a pas cette sensibilité fouillée et profonde de Maupassant. De la grande littérature tout de même, et engagée dans le bon sens du terme. A lire!
Par Plassans le 16 Octobre 2022 Editer
Plassans
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, sans doute quelque chose d'un peu difficile à lire et à aborder. Et finalement, il n'en fut rien. Nous avons donc là le journal de Célestine, lors de sa dernière place en tant que femme de chambre. Elle décrit bien évidemment son quotidien, ses maîtres, le voisinage et de temps en temps, se plonge dans son passé. Son enfance, d'autres maisons, d'autres maîtres, d'autres caprices.
Si certains passages sont moins légers, la plupart du temps, la lecture s'avère divertissante. Mais, plus que d'amuser le lecteur, l'auteur y dresse aussi un portrait au vitriol de la bourgeoisie et de la société de l'époque. C'est ça aussi que j'y ai apprécié, ce plongeon dans une autre époque, d'autres moeurs. Bref, une lecture que je vous conseille.
Par meli78 le 10 Septembre 2022 Editer
meli78
Un livre intéressant sarcastique et qui nous plonge dans la bourgeoisie du début de 20ème. Mais je me suis sentie mal à l'aise avec l’héroïne.
Par rabanne73 le 4 Août 2022 Editer
rabanne73
Lu lycéenne. Un portrait acéré de la bourgeoise du début du XXème siècle, à travers les différents employeurs d'une bonne, tantôt maltraitants ou tantôt bienveillants à l'égard de leur personnel de maison, réduit parfois au stricte minimum.
J'avais assez bien apprécié ce regard sur le monde de la servitude vu par Célestine. Une femme qui se débat pour préserver son emploi et sa dignité, mais pas à tout prix !...

(dès la 2nde)
Par ALIXALIX le 12 Juillet 2022 Editer
ALIXALIX
Échouée dans un bourg normand, chez les Lanlaire, au patronyme grotesque, qui doivent leur richesse injustifiable aux filouteries de leurs « honorables » parents respectifs, Célestine évoque, au fil de ses souvenirs, toutes les places qu’elle a faites depuis des années, dans les maisons les plus huppées, et en tire une conclusion que le lecteur est invité à faire sienne : Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les honnêtes gens. « Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les honnêtes gens. »C’est dire si Octave Mirbeau éprouve une véritable nausée pour le monde des honnêtes bourgeois qu’il pourfend impitoyablement. Comme Chambrière elle rêvait d’une intimité avec la dame à servir, … de confidences, voire d’amitié même. Elle découvre froideur, mépris, méfiance, manque d’humanité, avarice et asservissement.
Par Louis_w le 1 Janvier 2022 Editer
Louis_w
Pour faire court : Gros coup de coeur.
Par dicambe le 23 Octobre 2021 Editer
dicambe
roman d'une autre époque ,croisement de cultures.Vocabulaire botanique très riche souvent désuet,la curiosité l'emporte sur la torture qui noircit que trop bien les pages .....
A propos du livre :
Le Jardin des supplices
Le Jardin des supplices
Par stcl le 23 Janvier 2021 Editer
stcl
Le "Jardin des supplices" est un livre audacieux qui sent le souffre. Nous suivons les aventures d'un homme de classe sociale aisée, qui suite à un épisode politique calamiteux, exerce un chantage de la dernière chance auprès d'un vieil ami ministre corrompu et sans scrupules, qui a le bras long et les moyens de le sortir de son marasme économique. Son ami l'expédie à Ceylan pour le faire occuper un emploi "fictif" d'embryologiste, afin d'acheter du temps et de le faire taire. Sur la route des Indes, le narrateur rencontre une créature divine, riche et belle, dont il tombe éperdument amoureux et qu'il décide de suivre en Chine, abandonnant ses projets initiaux.
Mais Clara voue une passion macabre à la civilisation chinoise, qui s'illustre par un raffinement exceptionnel tant dans l'horticulture, la céramique que dans l'art de "faire mourir". Homme de petite vertu, mais parfait occidental, notre narrateur découvre avec horreur ce qui incarne à ses yeux la quintessence de la barbarie et de la sauvagerie humaine. Le beau appliqué au supplice corporel, ou comment immiscer la mort dans chaque parcelle de chair et de sang d'un corps humain, pour lui faire "savourer" sa mort prochaine. En cela, la mort est aussi puissante que l'amour et elles deviennent indissociables. Elles s'unissent complètement dans l'acte d'amour, générant la pulsion sexuelle, permettant la jouissance des sens. C'est en tout cas ce qui semble bien résumer la perversion de la belle Clara, qui retourne inlassablement au jardin des supplices pour nourrir sa libido et son âme malade.
A propos du livre :
Le Jardin des supplices
Le Jardin des supplices
Par Belami77 le 28 Octobre 2020 Editer
Belami77
Dans ce roman satirique et subversif, Octave Mirbeau, naturaliste comme Zola, dépeint sans concession l’envers du décor de la bourgeoisie de la fin du XIXème siècle, les zones d’ombre de la soit disant « belle société ». Sur fond de l’affaire Dreyfus, Célestine, dans son journal, dénonce l’état de servitude dont sont victimes les domestiques à la belle époque ainsi que les dessous peu ragoutants, les turpitudes, les bassesses et la laideur de la bourgeoisie, hommes et femmes confondus…
Un roman au vitriol passionnant, addictif, dans lequel Octave Mirbeau n’hésite pas à régler ses comptes avec les riches et les intellectuels de son époque.
A n’en pas douter, ce roman, à sa sortie, fit scandale et Octave Mirbeau ne se fit pas que des amis…
Par jodieM le 8 Septembre 2020 Editer
jodieM
lecture cocasse ^^
Célestine, femme de chambre, la plupart du temps dans des familles bourgeoises, nous dépeint ces portraits de famille ... Elle ne manque pas d'humour pour nous expliquer sa servitude, son exploitation et ses révoltes contre son statut !
Voici un classique très agréable à lire ...
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