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Les plus belles histoires de chats
Webster le chat
Merci, Jeeves
Extrait très amusant :
"Son Altesse disparaît en boudant, ce qui est une nouvelle preuve de son véritable sexe, car les femmes boudent rarement : elles ont trop à dire, en général, sur les sujets qui les contrarient"
Les plus belles histoires de chats
Allez-y, Jeeves
Pas de pitié pour les neveux
Oncle Galahad au château de Blandings
C’est très drôle. Est ce de l’humour britannique ? Chacun jugera. Pour ma part, j’ai eu quelques fous rires inextinguibles.
Oncle dynamite
Des histoires qui font un ou deux chapitres, une sorte de recueil de nouvelles liées les unes aux autres dans le sens où on rappelle souvent un détail de la précédente pour montrer que le temps passe et que les personnages avancent dans la vie…
Si parfois, certaines histoires sont moins intéressantes, la plupart sont bonnes, voire très bonnes.
Jeeves a toujours un atout dans sa manche pour s’en sortir, les situations sont très variées et surtout, il y a toujours la verve de l’auteur, les répliques qui font mouche et sourire, la façon de présenter les situations…
Très bon moment.
L'Inimitable Jeeves
Cocktail time
Mauvaise pioche !!!!!
Ça va, Jeeves ?
Certes les situations où se retrouve Bertram, celui qui écrit, sont drôles mais tout de même un peu répétitives dans le même milieu très fermé. Je suis déjà lassée.C'est censé être de l'humour anglais mais c'est vraiment très démodé !!!
Bonjour, Jeeves
Alors qu'elle est presque séquestrée dans sa propre demeure, Belpher Castle, Maud apprend par les chroniques mondaines des journaux l'arrivée prochaine, à Londres, de Geoffrey. Elle s'arrange alors avec son cousin, Reggie Byng, pour que celui-ci l'amène discrètement dans la capitale, où Reggie doit aller récupérer Percy, le frère de Maud, qui revient à Belpher pour fêter sa majorité.
Mais Maud joue de malchance. Avant d'avoir pris contact avec Geoffrey, elle rencontre justement Percy, qui se promène dans Piccadilly. Pour l'éviter, elle se précipite dans le premier taxi venu et demande à son occupant de veiller à ce que personne ne la remarque. le passager du taxi n'est autre que George Bevan, un célèbre compositeur américain, qui ne demande pas mieux que d'aider Maud, puisqu'il en est déjà follement amoureux...
Quelques jours plus tard, rongé par ce sentiment, George décide de quitter Londres et de se rendre dans le comté de Hampshire, où il loue un logement près de Belpher Castle. Il espère rencontrer Maud dans le village et avoir l'occasion d'aider cette belle demoiselle en détresse.
La pauvre Maud est donc "condamnée" à ne fréquenter que des jeunes gens ayant reçu l'approbation de Lady Caroline et de Percy. Mais malgré cela, on n'arrive pas à plaindre cette jeune fille, tant elle semble pleine de ressources.
Et puis, il faut dire aussi que Percy n'est pas très convaincant en "méchant". Au contraire, Maud fait preuve de plus d'ingéniosité que lui dans bien des situations et ce malheureux grand frère fait donc pâle figure dans le rôle de surveillant attitré des faits et gestes de Lady Maud. A tel point qu'il en devient sympathique! Car malgré son arrogance, Percy fait tellement rire (notamment lorsqu'il se retrouve plongé dans un fossé plein de boue pour suivre sa soeur à distance) que l'on finit par oublier tous ses défauts pour ne voir que le côté grotesque de sa personne. Peut-être d'ailleurs devrait-il en jouer au lieu de se voir déjà à la place de son père? Il aurait sans doute l'air moins stupide s'il acceptait le côté comique de son imposante personne (eh oui, Percy est quelque peu dodu...).
Lord Marshmoreton, de son côté, est l'un des personnages que je préfère. Ce pauvre homme ayant hérité du titre familial par hasard ne demande qu'une chose: pouvoir tranquillement s'occuper de ses roses, qu'il aime par-dessus tout. Mais sa soeur, la terrible Lady Caroline, ne l'entend pas de cette oreille et harcèle littéralement ce pauvre homme. Au fil des pages, on découvre en Lord Marshmoreton un homme d'une extrême simplicité et d'un esprit assez ouvert et l'ascendance de Caroline sur ce brave homme finit par devenir insupportable. Heureusement, une rencontre inopinée réveille Lord Marshmoreton qui prend enfin son avenir en main. Et quel avenir! Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il finit par se marier et que sa douce moitié à de quoi faire mourir Caroline d'apoplexie!
Reggie Byng, le beau-fils de Lady Caroline m'a fait penser, tout au long du roman, à Pike, de Dad's Army. Sans doute à cause de son humour facile et de son côté légèrement écervelé. En tout cas, il est à classer parmi les personnages sympathiques et finit, lui aussi, par se libérer de l'influence de sa belle-mère.
Tout cela grâce à George, finalement, car l'arrivée du compositeur dans le petit village du Hampshire où vivent les Marshmoreton va complètement bouleverser la famille. Romantique dans l'âme, George veut absolument secourir Maud et finit par être confondu avec le fameux Geoffrey. Cette erreur sur la personne est d'ailleurs la bienvenue, puisqu'elle donne lieu à de nombreux quiproquos, tous plus hilarants les uns que les autres. C'est au prix de nombreuses (més)aventures que notre héros va apprendre qu'il n'est pas de tout repos de tomber amoureux. Mais les difficultés rencontrées ne découragent pas vraiment George qui, grâce à sa ténacité, semble beaucoup plus intéressant que Geoffrey, ce goujat qui ne donne même pas de ses nouvelles à Maud!
Les domestiques de Belpher Castle jouent également un rôle assez important dans l'histoire, même s'ils sont plutôt antipathiques. Les manoeuvres de Keggs et d'Albert, tous deux lancés dans une course à la victoire (car ils ont lancés des paris sur l'identité du futur fiancé de Lady Maud), si elles servent le récit, n'en sont pas moins choquantes, tant les deux opposants montrent peu de scrupules à tricher et à tromper l'autre.
Enfin, comme dans Jeeves dans la coulisse, on ne peut que s'émerveiller du talent de P.G. Wodehouse à entremêler les destins de ses différents personnages sans sy' perdre lui-même. le dénouement du triangle amoureux Geoffrey-Maud-George et le futur des autres personnages, entre les mains de ce magicien de l'humour, sont parfois imprévus, mais particulièrement bienvenus. Car, finalement, tout est bien qui finit bien et chacun est parfaitement heureux quand on referme le livre. Sauf peut-être Lady Caroline!
A Damsel in Distress
Avec une préférence pour Black for Luck !
Wikipédia me dit qu'on voit pour la première fois dans "Extracting Young Gussie" le personnage de Bertie Woodster, qui deviendra le deuxième plus célèbre personnage de l'auteur, après son majordome Jeeves...
The Man With Two Left Feet and Other Stories
Jeeves, au secours !