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Toutes les séries de Patrick Cauvin

2 livres
723 lecteurs

A onze ans, Daniel Michon est assez costaud du crâne. Il est pre-mier en tout et ses professeurs de cinquième le suivent difficile-ment. Pour l'anglais c'est normal, il va voir tous les films améri-cains en v.o. Sa grande idole est Robert Redford et son premier amour Jane Russel dans Les hommes préfèrent les blondes. Mais il vit en banlieue et La Garenne c'est pas Hollywoo ! Lauren King, elle non plus, au même âge, n'a pas un Q.I. normal. Elle adore Racine, lit Heidegger et comprend fort bien Einstein. Cette jolie petite Américaine habite les beaux quartiers. Quand un surdoué rencontre une autre surdouée, Bingo, dirait Redford, c'est l'amour fou, même à onze ans. Chacun, tour à tour, va raconter cette merveilleuse expérience et leur escapade à Venise comme tous les vrais amants. Il leur faudra tout de même un chaperon pour passer la frontière. Ce sera Edmond Santorin, un ancien chef de gare à Villeneuve Triage et le plus joyeux menteur de l'univers. Les aventures se succèdent, alertes, tendres ou cocasses. Le rêve prendra fin, comme tous les rêves, les parents ne comprennent jamais rien ! Mais les lecteurs auront beaucoup ri de ces rôles d'adultes joués avec tant d'humour par des enfants hors du commun.

58 livres
91 lecteurs

Napoléon est à la fois le personnage historique le plus admiré et le plus haï de notre histoire. Il est le fondateur de nos institutions modernes et son nom est synonyme de gloire militaire, mais on lui reproche aussi les morts de la Grande armée et le rétablissement de l'esclavage dans nos colonies.

Difficile dans ces conditions d'écrire à son sujet un dictionnaire amoureux sans être accusé de partialité. Pourtant, l'amour ne rend pas obligatoirement aveugle. On peut parler de Napoléon sans dissimuler ses erreurs ou ses faiblesses ; elles ne l'en rendent parfois que plus attachant. Et puis, il faut détruire une certaine légende noire : il n'y eut pas un million de morts dans les guerres napoléoniennes et elles n'ont pas appauvri financièrement la France. Il faut expliquer les conditions dans lesquelles fut exécuté le duc d'Enghien et pourquoi l'Empereur fut battu à Waterloo.

Expliquer pour comprendre et donc mieux juger. Tel est l'objet de ce livre qui se veut objectif, rigoureux et pourtant personnel sur l'un des héros les plus célèbres de notre histoire.

59 livres
30 lecteurs

Tous les livres de Patrick Cauvin

Adrien décrocha une lourde pertuisane et entreprit de monter l'escalier de pierre sur la pointe des pieds. Il se sentit ridicule. Il y avait de quoi : être un grand éditeur parisien et se retrouver dans sa vieille demeure ancestrale avec, à la main, une arme du XVIe siècle dont il ne savait pas se servir, était risible. Il ignorait alors que commençait pour lui une histoire qui bouleverserait sa vie... Il allait découvrir le secret de Belange.

Dans un immeuble de la Plaine Monceau, un oisif richissime s'aperçoit que le vieux locataire qu'il avait pour tâche de déloger a découvert l'immortalité... Et aussi qu'il a une nièce ravissante, Cécilia.

Dans un appartement du passage des Panoramas, André Berthold, "nègre" littéraire de son état, découvre des lettres d'amour oubliées, et part à la recherche de la femme mystérieuse, M., qui les a écrites.

Deux arnaques énormes, monstrueuses. Mais aussi deux histoires d'amour, et deux femmes, de ces "croqueuses de diamants et de coeurs" qui savent emmener les hommes sur de merveilleuses galères...

Source : Le Livre de Poche

Entre Bezons (banlieue de Paris) et le Machupicchu, entre la France et le Pérou, il y a plus de dix mille kilomètres.

Quatre hommes, aussi différents que l'on puisse être, vont les franchir le temps des vacances. Leur rencontre, dans une voiture bringuebalante cheminant entre 3000 et 5 500 mètres d'altitude sur la route des Andes, va non seulement les entraîner dans d'abracadabrantes aventures, mais aussi changer à jamais leur vie.

Elle a de la tendresse et de l'humour, lui se réveille d'un long cauchemar. Ils vont se parler, s'aimer, s'entendre sur le dos du malheur : car ils sont handicapés, chacun assis pour toujours dans un fauteuil roulant. Mais tant pis si c'est fou, ils vont faire cette croisière sur le Nil dont elle a toujours rêvé.

Un voyage drôle et pathétique pour cet insolite couple d'amoureux.

Une balade dont il faudra bien revenir...

Patrick Cauvin, dont tous les livres sont de très grands succès, nous donne, avec Dans les bras du vent, un extraordinaire roman, plein de pudeur et d'émotion. Aucun lecteur n'oubliera la vision ample et profonde du monde des handicapés, ni l'humour employé comme arme contre la détresse, ni la croisière sur le Nil.

Toute sa vie les vacances de Jean-François Varnier furent un bagne. Enfant, pendant la guerre, il restait jouer dans les rues de la Porte Champerret. Pour lui, pas de grand-mère dans le Loir-et-Cher. Marié, il emmène sa famille camper à l'océan et passe son mois d'août coincé entre les caravanes avec sa femme et deux de ses enfants. Ils ne s'ennuient pas; Simone a ses magazines, Monique son transistor et Sylvestre ses haltères perfectionnés. Seul Jean-François se sent prisonnier, le seul prisonnier de l'après-guerre.

A peine installé sur sa place de parking, résigné, il reçoit un télégramme de son fils ainé. Louis, le vagabond qui envoie des cartes postales du Népal ou de Karachi, l'appelle au secours de l'Hôtel-Dieu où il est couché. Ravi de quitter le délicieux bord de mer, le père rentre à Paris pour apprendre de son fils qu'il doit se rendre aux Indes pour demander la main d'une jeune fille a sa famille. Il partira pour ce pays lointain émerveillé par ce coup du sort. La jeune fille, Sanandra, l'accueillera a Benares. Belle et intelligente, elle saura initier l'Europeen aux charmes de l'Inde. Elle lui donnera toutes les couleurs, toutes les odeurs de l'Orient, odeur de crasse et de musc, d’urine et de santal, tous les mystères aussi de cette ville saint où des milliers de pèlerins, affluent pour se purifier dans le Gange et mourir. Elle lui donnera huit d’une fête intense, l'aventure et l'amour, et toute sa vie sera illuminée.

Ce roman de Patrick Cauvin est le plus fascinant des récits de voyage où l'amour de Sanandra et de Jean-François, les discussions sur les beautés et les malheurs de l’Inde et l’humour du narrateur font un extraordinaire mélange.

Source : Le Livre de Poche, LGF

La réunion de deux personnages extrêmes, Adrien le braqueur de banques et Werner ex-mercenaire, n'est pas fortuite. Ceux qui les commanditent sont bien conscients d'engager deux hommes physiquement au bout du rouleau, le premier atteint de maladie incurable proche de la phase terminale, le deuxième suicidaire enthousiaste et déterminé.

La mission qu'on leur assigne dans la Russie profonde semble plausible aux deux tueurs, car elle devrait mettre fin à leurs vies de morts en sursis. Et l'argent à la clé n'est pas négligeable, ce qui convient tout particulièrement aux deux malfrats qui se préoccupent sincèrement de ceux qu'ils laisseront derrière eux.

Tout ne sera pas vraiment comme prévu et, Werner et Adrien, ironie suprême, devront compter sur leur instinct de professionnels s'ils ne veulent pas finir dans les geôles de la mère Russie.

Mais pourra-t-il y avoir une fin heureuse pour deux personnages qui appartiennent déjà à la mort...?

Ce bref roman de Klotz frappe par sa noirceur un peu délibérée qui découle de la situation de départ des deux personnages principaux. Cependant, la construction assez soignée et le style concis et efficace de l'auteur contribuent à faire accepter les failles d'une histoire dans laquelle les coïncidences sont un peu trop souvent sollicitées.

Iaroslav, récit noir et violent, sec comme un bruit de culasse d'acier, reste toutefois prenant grâce à l'écriture (faussement) simple de l'auteur.

Alan Falken, directeur de recherches dans une unité de biologie végétale travaillant pour une multinationale, Rexmond, jusqu’ici époux comblé d’Hélène et père affectueux d’un petit Max-Max avait une vie tranquille et heureuse, avant que l’expérience conduite par un de ses adjoints, Antoine Bergaud, petit-fils de Nimbus mais chercheur de génie n’introduise chez lui l’épouvante de phénomènes inexpliqués. Antoine a confié à Alan plusieurs rosiers avec consigne de vaporiser sur l’un d’entre eux une mystérieuse mixture de sa composition. Et voilà qu’au bout de quelques jours se produisent dans la plante des modifications au niveau des racines et puis un beau jour le rosier disparaît. Commence alors une série d’incidents étranges : d’abord des oiseaux morts, étranglés ou décapité, puis le chat Olibrius y passe. Max-Max se réveille en hurlant, le cou strié et sanguinolent. Il faut se rendre à l’évidence : l’expérience de l’apprenti-sorcier tourne au cauchemar. Les modifications génétiques imposées au rosier ne l’ont pas seulement doué du don de se déplacer, mais on fait de lui une sorte de tueur vert devenu hautement agressif.

Par quel extraordinaire hasard deux enfants, l'un palestinien mêlé à une guerre sanglante, et l'autre, paisible petit maghrébin parisien, vont-ils se retrouver séquestrés au dix-huitième étage d'une tour de banlieue ? Pourront-ils tous les deux échapper à la folie des hommes qui les a entraînés dans un tourbillon infernal ?

Les réponses se trouvent dans ce troublant thriller, où la violence terroriste côtoie l'émotion, et souvent même, l'humour.

Cet étonnant roman de Claude Klotz (alias Patrick Cauvin), raconté selon le point de vue de deux jeunes héros malmenés par les soubresauts de l'Histoire, est idéal pour évoquer, en classe, les conflits qui ébranlent le Proche-Orient. La trame originale de ce récit à deux voix favorisera, en outre, la compréhension immédiate des différentes variantes du processus narratif. Le riche appareil pédagogique, proposé en complément du texte intégral, est suivi d'une interview exclusive de l'auteur.

“ Il souleva l’automatique et la lueur faible du ciel joua sur le canon terne. Il appuya sur la détente. Il n’aimait pas ce travail. En fait, il n’avait jamais rien aimé. Ni un pays, ni une femme, ni un chien. Après les frénésies meurtrières de Reiner, après le destin ecarlate de Darakan, voici le dernier héros de Klotz : Kobar, le plus sombre, le plus silencieux, le plus inoubliable “

Lorsqu'elle rencontra le romancier Michel Blazier, la très belle Laura Brams lui révéla qu'ils s'étaient connus autrefois, trois mille cinq cents ans plus tôt, en Haute-Egypte. Michel Blazier n'était pas homme à croire ces histoires. Mais il l'aimait déjà trop pour contrarier son obsession. Et Laura n'avait rien d'une folle, elle irradiait au contraire la bonne humeur, la sécurité aussi. Simplement, elle croyait à la réincarnation. Alors Michel allait se mettre à courir avec elle, de Montmartre en Hollande, de Finlande jusqu'en Haute-Egypte, courir derrière leurs propres fantômes jusqu'à une fin hallucinante. Une bouleversante histoire d'amour écrite avec un humour, une sensibilité et une maîtrise qui font sans doute de Laura Brams le meilleur Cauvin.

Antoine Bertier, le narrateur, est dans la salle d'attente d'un grand cardiologue. Il flippe le Berthier, il s'imagine le pire. Alors pour ne pas trop angoisser, il décide de se rappeler les moments forts de sa vie, de faire un bilan. “Menteur” est donc l'autobiographie fictive de ce personnage. Et fictive, elle l'est à plusieurs titres, puisque Antoine a autant fantasmé sa vie qu'il l'a vécue. C'est un roman drôle et caustique. Pourtant, contrairement à ce que j'ai pu lire, je ne le conseillerais pas à des lecteurs débutants. En effet, la construction très particulière du récit, pourrait être un frein. Tout d'abord vous avez les flashes back et retours sans préavis entre les souvenirs et l'attente chez le médecin. Mais surtout, on croirait entendre ma grand-mère qui raconte une histoire. Car Antoine ne peut pas s'empêcher de digresser. De vraies poupées russes... Par contre, pour tous ceux qui sont habitués à lire, n'hésitez pas, c'est un très bon moment d'humour.

« Moi, je préfère Franck. »

Celui qui fait cette déclaration péremptoire c'est Laurent, dix ans, et Franck, c'est son père

D'ailleurs quand sa Mère a quitté la maison pour vivre avec un Américain, çà ne lui a rien fait.

« C'est plus simple avec Franck, c'est plus simple pour la cuisine, pour rire, pour tout.

Mais Laurent doit passer ses vacances en Ardèche avec sa maman.

Quant à Franck, il ira à Bangkok.

Là, Laurent n'est pas du tout d'accord.

Il veut, lui aussi, partir pour Bangkok et, surtout, ne pas quitter son grand copain de père.

Pour parvenir à ses fins, Laurent emploiera tous les moyens, des plus drôles, aux plus désespérés.

Source : Le Livre de Poche, LGF

En 1944, la propagande nazie fit tourner un film destiné principalement aux représentants de la Croix-Rouge internationale, intitulé le Führer offre un village aux Juifs. On y voyait, dans une atmosphère de joie et de travail, évoluer des juifs " heureux " dont la plupart furent exécutés après le tournage. Ce fut sans doute par l'intermédiaire du cinéma, l'acte de mystification le plus cynique et le plus tragique qui ait été commis. Cet épisode historique a inspiré à Patrick Cauvin un roman bouleversant. Parmi les romans de Patrick Cauvin, qui sont tous des succés mondiaux et la plupart portés à l'écran : L'Amour aveugle, Monsieur Papa, E = mc2, mon amour, Huit jours en été, Nous allions vers les beaux jours est le plus grave, le plus poignant. Ses héros, Paul Levin et Victoria Shemin, dont l'amour est broyé par l'histoire, sont inoubliables.

Quatrième de couverture

"Jacqueline Puisset. Célibataire. 40 ans. Libraire à Perpignan. Cultivée. Dotée d'un strabisme divergent qui lui donne un air rêveur. S'occupe du ciné-club et du troisième âge. Vie amoureuse : néant.

Philippe Lipinsky. Catcheur. Nom de ring: Méphisto King. 125 kilos. Vit à Montmartre. Pratique l'aquarelle. Egalement célibataire. Bon fils. Via moureuse : néant.

Signe particulier commun : ils se considèrent laids.

Jacqueline et Philippe étaient faits pour la solitude. patrick Cauvin les réunit. Jamais personne avant lui n'avait abordé un tel sujet avec une telle tendresse, d'autant d'humour, de délicatesse et d'émotion."

Quatrième de couverture

" J'avais onze ans dans l'été 43. C'était la guerre. J'en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c'est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d'hôpital, c'est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l'ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. " Patrick Cauvin n'a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l'enfance. Et sa vision du monde " adulte ", dans un futur qui s'approche dangereusement, est d'une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.

Résumé : Les Américains l'appellent Sibérie les Russes Alaska. Sa garde-robe va de l'anthracite le plus extrême au ferreux le plus soutenu, en passant par toutes les nuances de la cendre froide. Elle a fait plier devant ses volontés les chefs d'Etats les plus puissants et même leurs ministres des Finances. Cette dame de fer est la Présidente de l'Europe. Jeremy Brookers, lui, fête ses cinquante ans mélancolique dans un de ces grands hôtels où il parvient encore à distraire les dames riches et seules, et tente d'oublier qu'il fut naguère l'acteur-vedette d'une série TV à succès, le Baroudeur. Une rencontre, un regard, et l'Europe déjà en crise

Même le plafond de la cellule était carrelé. Les trois gardiens entrèrent et Reiner s'adossa au mur froid et lisse.Le plus costaud marcha vers lui : 110 kg de muscle, à vue de nez, il était torse nu, sentait la sueur et ses pectoraux roulaient à chaque pas. Les deux autres attendaient près de la porte, la mèche de leur fouet de cuir serpentant sur le sol. Le costaud saisit Reiner à la gorge et celui-ci se rappela la phrase du gros mathématicien : «On ne sort pas vivant des prisons de Torquada.» Reiner respira une courte bouffée et décida de sortir quand même...

En cet été 1922, le soleil ruisselle sur Marseille. La foule se presse parmi les palais hindous de l'Exposition coloniale. C'est là, sur un manège, que se rencontrent Pascal et Séraphine. Ils ont huit ans.

Ils grandissent, s'aiment, se quittent, se retrouvent. La guerre surgit, l'Occupation déchire la France, collaboration, trafics, destructions. Un monde s'achève, un autre commence, mais il reste au couple le refuge de toujours, la vieille rue au centre de la cité meurtrie : la rue des Bons-Enfants.

Cet hymne tendre et coloré à la ville de son enfance a valu le prix des Maisons de la Presse 1990 au romancier de E = MC2, mon amour et de Werther, ce soir ...

Entre la Canebière et Plan de Cuque, on se souvient encore d'Antoine : dégainant en sept centièmes, ses tirs groupés dessoudaient en ribambelles des gringos aux colts effervescents. Il fermait l'oeil gauche et les tombes s'ouvraient seules. Près de lui, Barbara, dactylo et cheyenne, Ma Clayton, bistrotière et spécialiste en Winchester, et la mémé Sentibelli, tireuse à l'are. Tout cela à Marseille, la ville-soleil qui coule jusqu'aux premières vagues de la mer ses heures douces, jusqu'à ce qu'attaquant la diligence de Gardanne puis le ranch de la rue Saint-Ferréol, Antoine déchaîne dans la nuit provençale toutes les fureurs de l'Old West. C'est un western. Mais marseillais. Un des premiers et meilleurs romans du célèbre auteur de E = me, mon amour et de Paris-Vampire !

Au fond d'un hôpital, non loin de Paris, se niche un mystérieux théâtre. La jeune Elisa Marin aime s'y réfugier. Là, parmi les ors et les velours, elle rêve d'un avenir que la maladie rend incertain.

Un jour de 1937, le théâtre s'anime. Sur scène, une troupe de comédiens répète. Parmi eux, Sylvain Kaplan. Entre le jeune acteur et Elisa, le coup de foudre est total, absolu. Plus tard, dans la tourmente des années quarante, les amants partagerons les dangers avec d'autres clandestins résistant au nazisme.

A l'abri du théâtre protecteur, ils vivront prisonniers d'un univers de toiles peintes et de décors en trompe-l'oeil où rien ne semble pouvoir tenir leur amour. Mais le bonheur en ces temps troubles est chose trop précieuse

La vie ne va pas toujours comme on voudrait. On n'aime pas voir son menton de profil, on est moins musclé que Mel Gibson, et la belle Yasmine se laisse embrasser par l'odieux Benamou... Reste l'écriture. Joseph, onze ans, élève de sixième, écrit tout le temps. Un journal intime. Des lettres, à sa correspondante anglaise, à Eugénie Grandet. Ou alors il compose des romans, du théâtre. Une suite de Cyrano. Un scénario de film d'horreur intitulé " Le Secret de la grand-mère ". Il a de l'imagination à revendre, Joseph. On trouvera ici tout ce qui est sorti de sa plume durant l'année 1993. A l'évidence, Patrick Cauvin s'est énormément amusé en sa compagnie. Nous aussi. On en redemande !

Ils étaient fiers, arrogants, passionnés.

Ils étaient les maîtres de Madagascar, l'île rouge. Villa Vanille ou Palembang, leurs domaines, s'étendaient sur des milliers d'hectares au pied de l'Ankaratra. La tourmente de la Deuxième Guerre mondiale les avait épargnés. Ils pensaient que rien ne changerait dans ce paradis. Et pourtant, un matin de printemps 1947, dans les rayons d'un soleil qui ne reviendrait plus, les premiers feux de la révolte éclataient.

Leur univers allait basculer. A jamais. Une fresque flamboyante et sensuelle où, dans la fournaise d'une violence longtemps cachée par l'Histoire, se joue le destin d'hommes et de femmes aux passions tumultueuses. Dans ce climat exacerbé de haines sourdes, de peurs, de chaleurs tropicales, Patrick Cauvin nous offre l'Autant en emporte le vent des colonies françaises. Un roman de chair, de sang, de fièvre, une tourmente furieuse au coeur d'un cyclone dévastateur.

En cette fin des années 80, Orlando Natale est le meilleur ténor du monde.

Du Metropolitan de New York à la Scala de Milan, de Covent Garden au Palais-Garnier, les foules se pressent pour l'entendre.

De tous les rôles qu'il interprète, celui qu'il préfère est Werther...

Et un soir, au théâtre de Mannheim, sous des tempêtes d'applaudissements, il rencontre Carola K.

A partir de cet instant, l'Opéra et la Vie commencent à se ressembler étrangement... Des coïncidences se produisent à Munich, à Vienne, jusqu'à ce qu'arrive enfin la nuit de Venise où tout s'embrase dans le déferlement de l'orchestre et où théâtre et réalité se confondent.

Depuis vingt-cinq ans, Patrick Cauvin passe tous ses étés dans une bâtisse de tuffeau et d'ardoise, en pays troglodytique, entre Angers et Saumur. Un parc, des grottes, des fantômes : l'achat de l'immense maison fut d'abord un grand moment de panique. Puis, au fil des étés, le lieu a vécu, les amis s'y sont succédé, sont revenus. On y a beaucoup mangé, bu, écouté, chanté, discuté... Patrick Cauvin nous raconte avec plaisir ses balades à vélo à travers le Maine-et-Loire, la douceur des matins, l'amitié des voisins, les vignobles de l'Anjou, les châteaux tout proches.Patrick Cauvin écrit ici son récit le plus intime... Un livre pour transmettre la joie, les rires, l'amitié, les souvenirs du bonheur, imprégné de la fameuse douceur angevine.La Maison de l'été poursuit le travail d'une collection qui, dès son premier titre, multiplie succès publics et succès d'estime. Traduisant ainsi un appétit croissant des lecteurs pour ces instants de vie, ces moments d'éternité qu'abritent les demeures de leurs écrivains.

À 84 ans, Julien Pétrard, ancien professeur de mathématiques, mène une vie tranquille et solitaire. Mais un matin, alors qu'il achète des cigarettes, un épicier lui annonce une drôle de nouvelle : il ne lui resterait plus que 14 paquets à fumer. Canular ou machination ? Avec beaucoup d'humour, Patrick Cauvin se glisse dans la peau d'un vieil homme attendrissant.

Jacques Bernier, 45 ans, professeur de français, part plein d'espoir rejoindre sa fille et ses amis en Provence pour les vacances. Mais ils sont jeunes et, très vite, il se sent complètement dépassé, hors circuit. Le miracle survient alors. Il tombe amoureux fou de Laura. Lui n'est pas Clark Gable, elle est aveugle. Ils mettront dans cet amour toute leur énergie et leur volonté de bonheur.

De l'infirmité de son héroïne, l'auteur fait une richesse et nous offre un festival de sensations tactiles, de sons et d'odeurs. Poésie, humour et tendresse, mais aussi gravité et tristesse, tout est réuni dans cette bouleversante histoire d'amour.

Marc et Marah s'étaient rencontrés à Vienne, près du tombeau des archiducs.

Il l'avait entraînée jusqu'en Afrique où tout avait flambé avec le retour de Toramba, le dictateur déchu. L'Afrique où les destins s'entrecroisent dans la folie des guerres. Un ballet sinistre où enfants assassins, trafiquants, services secrets, casques bleus, foules entassées dans les camps écrivent l'histoire la plus tragique de la fin du XXe siècle. Un Spécial Suspense tout de fureur, de volupté et de mort par l'auteur du Sang des roses.

" Un cadeau royal, le tourde force d'un génial auteur de polars et de sagas criminelles. " Denis Jeambar, L'Express.

" Une histoire passionnée et cruelle. Diaboliquement habile. " Gylles Pudlowski, Le Point.

" Un livre sauvage, passionnant de bout en bout, si haletant que l'on est, presque tenté de le lire en courant ! " Alain Spira, Paris-Match

Lorsque Mona pousse la porte de l'école de danse du vieux Roméo, elle ne sait pas encore qu'elle vient de pénétrer dans le palais des rêves et des mensonges... Qui sont ces gens qui valsent, virevoltent, tanguent ? Ceux qu'ils prétendent être ou d'autres personnes ? Sont-ils là pour apprendre rumba et samba ou pour vivre une autre vie ? ... Et Mona, qu'est-elle venue chercher ? Elle-même ou le secret d'Héloïse, qui fut sans doute la compagne de Roméo, le maître de cet étrange lieu ?

Il s'appelle Ronald Dunand et est un écrivain connu. Ou tout au moins il l'était car, depuis deux ans, c'est la panne, et la plus sèche des pannes. Pas une seule idée, pas même un embryon, le néant. Le temps de la dépression ne va plus tarder, il le sent. C'est alors qu'un après-midi, alors qu'il attend pour un rendez-vous d'affaires dans un grand hôtel parisien, il aperçoit, alors qu'elle aurait dû se trouver à 200 kilomètres, sa femme dans le bar. Il se pense cocu, ce qui ne le ravit pas outre mesure, et se met à l'épier. Il va éprouver le choc de sa vie : la tête couverte d'un chapeau haut de forme bleu, un étrange personnage vers qui tous les regards se tournent s'approche d'elle et lui transmet une mallette. Ronald, éberlué, se lance à sa poursuite et là commence une aventure où se mêlent terroristes, kidnappings en série, tabassages, sectes boliviennes, indépendantistes kurdes, fondamentalistes afghans...

C'est Ram, l'enfant de l'Inde, qui, du fond de sa fabrique de tapis, a donné l'alerte. Un trafic d'enfants esclaves, au fin fond du Pakistan. Reiner avait quitté le manoir et ses roses. Agnès l'avait suivi.

Dans les montagnes les plus hautes du monde, piégés par un ennemi plus dangereux que les démons qui hantent, l'hiver, les sommets du Karakorum, ils vont tous les trois tenter d'échapper à la mort et remonter la filière de l'horreur.

Mais la vérité qui les attend est peut-être pire qu'ils ne le pensaient.

Un événement: le grand romancier Patrick Cauvin fait son entrée en Spécial Suspense.

Terrible, romantique, bouleversant, un formidable thriller dans la lignée de Jean-Christophe Grangé: Un sommet du suspense à ne manquer sous aucun prétexte !

Jusqu'à présent, tout a roulé pour Zéphyrin. Le petit appartement à Montmartre avec sa mère, les copains, le lycée. Dans l'ensemble, la vie est belle et sans secousses. Jusqu'à ce que Supertanker, le prof d'art, organise une visite au louvre. Zéphyrin, que les primitifs italiens ne passionnent guère, quitte le groupe, entre au hasard dans une salle et, là, sa vie bascule. Est-il possible qu'un garçon né en 1995 tombe raide amoureux d'une fille ayant vécue au XVIIe siècle, et dont le portrait se trouve devant lui ? Et surtout, qu'est-ce qui explique cette blessure soudaine, ce sang qui coule à son bras ? Zéphyrin va alors mettre en pratique une maxime de son invention : ce n'est pas parce qu'un problème est insoluble qu'il ne faut pas tenter de le résoudre. Qui est cette fille peinte il y a quatre siècles ? Il se lance à sa recherche... Avec l'aide d'un photographe d'Angers, d'un flic perplexe et d'un expert en physique quantique, amateur de philosophie indienne relative à la réincarnation, le mystère s'éclaircit.

C'était impossible. Ça ne pouvait pas être vrai. Une fillette de 4 ans, qui ne pourrait jamais parler, ne pouvait pas écrire une phrase semblable. Et pourtant, il l'avait vue, de ses yeux, tracer les mots. Ils étaient là, devant lui en ce moment, les lettres s'alignaient : 'Nous ne franchirons pas la Kobik River. Il est sur l'autre rive. Il a tué trois chiens ...'. Et c'était daté du 15 novembre 2102. Quel était ce mystère ? Quelle main invisible avait guidé celle de Clara ? Il y avait, pour un père, de quoi devenir fou... Une histoire fascinante où l'hypnose, la réincarnation et la métempsycose prennent des vérités, des images troublantes qui saisissent les lecteurs, même les plus rationnels.

Une enfance, une adolescence à huis clos dans l'ombre étouffante d'une mère rescapée de la déportation et qui ressasse inlassablement ses souvenirs : la dénonciation, l'horreur des camps de concentration, la disparition de son époux... Un suspense surprenant où Cauvin jongle brillamment avec le pire jusqu'au dénouement inattendu, inexorable.

Qui est vraiment Michel Caroni et pourquoi s'insinue-t-il dans la vie du psychiatre Paul Valenti ? A chaque séance, le présumé patient raconte un de ses rêves où apparaissent un détail et des personnages qui ont occupé une place importante dans la vie du psychiatre. Ces éléments troublants ravivent une histoire qui a bouleversé son existence : celle d'une authentique passion amoureuse.

description

Patrick Cauvin

La forteresse de porcelaine

La Chine, début du XXe siècle. Bandes armées de petits potentats locaux, triades, Occidentaux craignant l'unité de la Chine, communistes de Mao... Une combinaison volatile qui va s'embraser, s'enflammer et éclater en une violence d'une beauté inouïe autour d'un homme et une femme qui tentent de s'inventer un autre monde.

Un homme, une femme et un enfant surdoué s'installent pour quatre saisons qui s'annoncent merveilleuses dans un vieux manoir, Haute-Pierre.

Après un été splendide, l'automne se referme sur Haute-Pierre où d'étranges phénomènes se produisent soudain. Mais, aujourd'hui, qui peut encore croire aux maisons hantées ?

Vous serez envoûté par ce roman de Patrick Cauvin, qui conjugue romantisme et humour avec un fantastique sens du suspense.

De rebondissement en rebondissement, le lecteur n'a pas le temps de souffler.

Jacques Duquesne, Le Point.

Tendresse, imagination, coup de théâtre final - je ne le révélerai pas -, c'est savamment mené. Le genre de livre que l'on voudrait avoir écrit. Et qui donne envie d'écrire.

Pierre Tchernia, Atouts.

« Lorsque je me suis trouvé devant une centaine de portraits, certains en pied, d'autres en buste, quelques-uns en couple, j'ai eu le sentiment que s'ils étaient tous différents, ils avaient quelque chose de commun et que je devais savoir ce qui les reliait d'assez inexplicable façon. Après examen, je pense avoir résolu le mystère : tous ces gens habitaient dans le même immeuble. Rien de bien rationnel dans tout cela mais il m'a vraiment semblé que ces personnages devaient se croiser à un moment ou à un autre, dans l'ascenseur, chez les commerçants du quartier, dans le hall... Et à partir de leurs visages, de leurs silhouettes, il me fallait reconstituer la vie qu'avait été la leur, leur histoire, raconter une existence, un parcours... Cela fut facile pour certains, l'image me renseignait sur l'âge, un trait de caractère, un milieu social, d'autres étaient plus hermétiques et il me fallait avoir recours à d'avantage d'invention... Percer en même temps un secret et imaginer une vie à partir de ces étranges locataires dont les uns devaient certainement occuper les quelques mètres carré d'une chambre de bonne sous les toits avec WC sur le palier et d'autres 200 mètres carré sur la rue... Certains heureux, amoureux, furieusement vivants, d'autres traînant leur destin comme un sac trop lourd, rigolos, pitoyables, attendrissants, cinglés, bref, ce condensé urbain d'une société d'aujourd'hui que l'on appelle un immeuble ».

Deux frères : un flic, un truand. Chacun a choisi sa voie. Le duo se retrouve, après vingt ans de silence, au soir de leur vie pour la finir comme ils l’ont commencée : ensemble. L’un et l’autre aimeraient terminer leur carrière en beauté avant de couler des jours paisibles.

L’inspecteur bourru et grincheux est en charge des affaires impliquant des personnalités politiques. On lui rapporte justement une conversation douteuse au sujet d’un homme en passe de devenir ministre des Affaires étrangères. Imbroglios, manœuvres politiques, coïncidences, cette affaire sera sa dernière.

Le frère, lui, se laisse persuader par son acolyte et ami de toujours d’accomplir un ultime larcin qui leur assurera une retraité dorée au soleil. Mais bien sûr rien ne se déroulera comme prévu…

Voici l'un des personnages les plus fracassants du XVIIe siècle, en même temps que l'une des plus grandes énigmes de son époque. Destin exceptionnel que celui de cet homme dont il fut décidé qu'il devait sombrer dans le silence le plus total, Francisco Torrentera, aventurier, peintre, séducteur, musicien, justicier, philosophe et poète, sur lequel fut refermée, durant plus de trois siècles, la tombe de l'oubli. Une tombe qui s'ouvre aujourd'hui et laisse échapper le portrait mystérieux d'un personnage parmi les plus étonnants de l'histoire de l'humanité.

" Lui un peu voyou, elle un peu bêcheuse, ces deux bambins qui totalisent moins de vingt-trois printemps vont se rencontrer, se flairer, se reconnaître et vivre dans l'incompréhension générale ce qu'il est légitime d'appeler un grand amour. J

La suite de ce roman a paru sous le titre : "Pythagore, je t'adore" .

Un joueur incollable : du jamais vu à la télévision ! Mais le budget du sponsor a ses limites et Jimmy Storm les a largement dépassées... Un formidable suspense où l'on retrouve le talent et l'humour noir de l'auteur de Jardin Fatal.

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