Patrick Cothias
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Note moyenne : 7.05/10Nombre d'évaluations : 305
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- Cothias
Les derniers commentaires sur ses livres
La place plus importante prise par Barnabé et les révélation sur son identité amène quelques rebondissements et un regain d'intérêt pour la série, qui reste malgré tout coincée dans ses schémas d'intrigue de cour qui ne progresse pas beaucoup. Le dessin est égal à lui-même. L'atout de la saga réside encore et toujours principalement dans les paysages post-apo imaginatifs et fascinants.
Afficher en entierTrès bavard, très improbable, gaspillage de personnages plutôt bien développés qui meurent de façon inutiles ou vont droit au suicide... Dommages parce qu'il y a quelques bonnes pistes d'intrigue, mais elles s'étouffent toute seule sans donner de suites intéressantes. Le dessin présente les mêmes défauts et qualités que dans les tomes précédents, de très belles idées de paysages, mais des couleurs criardes et des personnages trop outranciers.
Afficher en entier"Le Pavillon des singes" ouvre une des trop nombreuses séries parallèles aux sept vies de l'épervier, une saga quelque peu victime de son succès. Dans cet épisode, on découvre l'origine du jeune Jean-Baptiste Poquelin, plus connu sous le nom de Molière. L'auteur truffe son récit d'allusion à la série principale, mais aussi aux personnages et évènements historiques de l'époque. C'est très érudit, trop pour le bon déroulement de l'intrigue. On se perd sans cesse dans des récits secondaires et des anecdotes dont il est difficile de se souvenir sans une connaissance approfondie de l'histoire et de l'œuvre principale. Les spéculations sur la jeunesse de Molière ne sont pas non plus toujours très passionnante. A réserver aux fans.
Afficher en entierUn premier tome d'une série marquante de son époque, mais qui n'a pas très bien vieilli... Les dessins sont datés, le personnage de la sorcière est un peu trop grandiloquent et met le lecteur à distance du récit. C'est distrayant, mais parfois trop cape et d'épée. Mais le personnage d'Ariane est prometteur. Reste à voir comment la suite a supporté l'usure du temps.
Afficher en entierCe deuxième album des 7 vies de l'épervier est plus dense et plus efficace que le premier. Deux intrigues évoluent en parallèle et les transitions entre les deux sont parfois un peu trop rapprochées ce qui empêche parfois l'immersion, mais elles sont assez prenantes. La sorcière est moins présente et c'est heureux car en annonçant leur destin aux personnages, elle laisse au lecteur l'impression que tout est joué d'avance ce qui entache le suspens. Mais la lecture devient agréable et quelques scènes sont d'anthologie.
Afficher en entierToujours cette gêne induite par l'aspect prédestiné de l'intrigue, même si effectivement, nous savons tous comment va finir Henry IV ! C'est dommage parce que la série prend vraiment de l'ampleur tant du côté de la cour que du manoir de Troïl. Il y a bien l'un ou l'autre méchant un brin caricatural, mais les personnages prennent une belle ampleur, c'est agréable à suivre. On notera le clin d'œil amusant aux chemins de Malefosse de Dermaut et Bardet, qui se passe à la même époque.
Afficher en entierUn quatrième tome mené tambour battant vers une fin inéluctable. On se laisse entraîner avec plaisir sur les traces des personnages principaux, même si la sorcière reste encombrante et certains rôles secondaires dont celui du titre sont un brin "too much". Maintenant, comment rebondir après cette conclusion tellement évidente, telle est la surprise que la suite nous réserve.
Afficher en entierIl était forcément difficile de relancer l'histoire après la mort d'Henry IV. L'intrigue traîne la patte, l'épervier agit de manière irréfléchie peu en accord avec ce qu'il a fait jusqu'à présent et la touche de surnaturel est toujours aussi peu utile. On sent qu'il s'agit d'un tome de transition où les personnages se cherchent.
Afficher en entierOù l'on accompagne les principaux personnages restants jusqu'au bout de leur destin et où les plus sympathiques se montrent aussi d'infâmes salopards et sont rattrapés par leur ignominie. Peut-être le meilleur tome de la série dont la qualité de l'intrigue va crescendo.
Afficher en entierUne fin terrible et annoncée. Le déroulement qui mène au drame final est peut-être un peu trop semé de coïncidences troublantes pour être complètement crédible et l'on peut quand même un peu se poser la question de savoir comment les auteurs vont bien pouvoir rebondir pour nous proposer une suite auquel il manquera forcément trop de personnages importants. La lecture est néanmoins plaisante et le suspens prenant.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Patrick Cothias
et autres évènements
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Editeurs
Glénat : 110 livres
Bamboo Édition : 18 livres
Grand Angle : 15 livres
Dargaud : 14 livres
France Loisirs : 5 livres
J'ai lu : 3 livres
Le Lombard : 3 livres
Laurent Hennebelle : 2 livres
Biographie
Cothias signe de nombreuses séries chez Glénat, dont le fameux cycle des 7 vies de l’Épervier prolongement de Masquerouge), Le Vent des dieux et Les eaux de Mortelune. Chez Dargaud, il prolonge Les 7 vies de l’Épervier dans Plume au vent.
Cothias a obtenu l’Alph’Art du meilleur scénario pour Le Lièvre de Mars au Festival d’Angoulême en 1995. Cothias a également signé chez Anne Carrère l’adaptation en roman de sa BD Les Eaux de Mortelune, et plus récemment chez Grand
Angle romans Hindenburg, les cendres du ciel et Le Fils de l’officier, à quatre mains avec Ordas.
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